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Maman offerte et soumise 4

Maman offerte et soumise 4



Je dois parler à présent de ma soeur, Amandine, tout juste 18 ans à cette époque.

Amandine est plus jeune que moi, je l’avais toujours considérée comme une gamine. J’allais découvrir que ce n’était vraiment plus le cas

Elle était pensionnaire dans un lycée éloigné et ne rentrait que tous les 15 jours à la maison. Elle n’avait aucune idée de ce qui s’était passé depuis quelques jours avec maman, qu’elle était devenue en quelque sorte notre servante sexuelle, entièrement soumise à nos fantasmes les plus pervers. C’est pourquoi j’avais un peu d’appréhension de la voir rentrer ce jour là. Comment allions nous faire pour lui expliquer tout ça ?

Lorsque je rentrais à la maison vers la fin d’après-midi, Amandine était déjà là, confortablement installée dans un sofa.

Elle portait un t shirt serré qui moulait parfaitement ses petits seins, et une petite jupe très courte qui dévoilait ses jambes splendides. Ma petite soeur savait être vraiment sexy quand elle voulait.

– Amandine, tu es déjà rentrée ?

– Ben oui. Comme tu le vois, on a fini plus tôt cette semaine.

– Et Léo, il est pas là ?

– Je suis là, frérot !

Je tournais la tête. Léo était assis dans un coin de la pièce. Il souriait, visiblement heureux que nous soyions tous les trois réunis.

– Kevin, on a une surprise pour toi, continua Léo. Maman, tu viens ?

Ma mère entra dans la pièce… Elle marchait doucement, la tête baissée. Elle portait un chemisier très décolleté et une mini jupe qui lui arrivait au ras des fesses.

– Maman, s’il te plait déshabille toi ! Ordonna Léo

– S’il vous plait, les garçons, pas ça, ne mêlez pas votre soeur à tout ça, elle est trop jeune…

– Maman, Amandine n’est plus une gamine. Et puis de toutes façons tu n’as pas le choix ! Déshabille toi, c’est un ordre.

Ma mère avait accepté les règles du jeu. Contrainte de nous obéir, elle enleva lentement son chemisier et fit glisser sa robe sur ses chevilles. Puis elle retira soutien-gorge et culotte.

Elle nous fit face dans sa plus belle nudité, silencieuse, tête baisée, attendant la suite des opérations.

Léo se tourna alors vers moi :

– Kevin, j’ai expliqué à Amandine ce qui se passe avec maman, et elle est d’accord. Elle trouve même que c’est une bonne idée…

Ma petite soeur, toujours assise au fond de son canapé, acquiesca.

– Amandine, continua Léo, maman est à toi. Tu as compris le principe. Demande lui ce que tu veux, elle t’obéira.

– Ce que je veux ? interrogea Amandine.

– Bien sûr soeurette. Vas y.

Amandine afficha alors un large sourire de satisfaction complice. Elle hésita quelques secondes mais pas plus. Puis elle se tourna bien face à notre mère et écarta largement les cuisses, dévoilant ostensiblement son entre-jambe. A ma grande surprise, sous sa jupe trop courte, Amandine ne portait pas de culotte. Elle exhibait sa magnifique petite chatte épilée. J’avais déjà vu ma soeur à poil, mais jamais comme ça, superbe dans sa nudité, incroyablement excitante.

– Maman, ordonna Amandine, viens me lécher !

Ma mère écarquilla les yeux de surprise. Lécher la chatte de sa fille n’était pas une chose qu’elle avait envisagé de faire, dans sa vie. Mais visiblement elle allait devoir s’y mettre. Après tout elle avait accepté le jeu de la soumission.

Obéissant à l’ordre donné, notre mère se mit alors alors à quatre pattes devant le canapé, entre les jambes grandes écartées d’Amandine. Là elle avança son visage, et commença à poser quelques coups de langue timides sur la vulve qui lui était présentée. Puis, se rapprochant encore, elle se mit à la lécher plus franchement, alternant coups de langue gourmands et léchouilles plus ciblées sur le clitoris de de sa fille. Celle ci, pour lui faciliter les choses, avait écarté les lèvres de sa vulve avec deux doigts. Du bout de la langue ma mère pouvait ainsi stimuler efficacement le clitoris de sa fille. Je n’en revenais pas. Comment une mère peut elle faire ça, un cunnilingus sur sa propre fille ? C’était un peu fort…

Ceci dit, il fallait reconnaître que le traitement de ma mère était efficace. Amandine avait du mal à retenir des gémissements de plaisir.

La langue de notre mère semblait en effet d’une grande agilité, explorant habilement tous les plis et replis du sexe de sa fille. Elle avait mit des doigts dans sa chatte, tout en la léchant. Amandine dégoulinait de cyprine, et maman léchait tout avec gourmandise. Décidément, ma mère semblait aussi habile pour les cunnilingus que pour les fellations.

Pour ma part, je trouvais ça aussi follement excitant.

Léo s’était rapproché pour mieux voir.

– C’est beau, hein ? Elle lèche bien, maman, tu trouves pas ? Quelle grosse cochonne. Et à quatre pattes comme ça, on dirait une vraie chienne en chaleur ! Regarde ce cul. Ça donne vraiment envie d’y mettre sa queue, hein Kevin ?

– C’est sûr !

– ok, alors à toi l’honneur, frérot Vas y, baise la !

Pendant que ma mère continuait de lécher Amandine, je venais alors me placer derrière elle. Elle avait deux fantastiques fesses, bien en chaire, presque énormes. Certains les auraient trouvées trop grosses, mais moi elle me plaisaient beaucoup. Je les écartais avec plaisir, dévoilant alors tout son jardin secret, sa fantastique vulve. Je bandais comme un fou dans mon pantalon. Je libérais alors ma queue, que je positionnais derrière ma mère, à l’entrée de son sexe. Sans plus de préliminaires, je la pénétrais. Une nouvelle fois je me retrouvais au fond de ce vagin que j’aimais tant. J’entamais des va et vient absolument délicieux.

– Ha c’est une bonne maman soumise, ça ! exultait Léo en caressant la tête de ma mère. Tu aimes ça, te faire baiser par ton fils, hein ?

Ma mère ne répondit pas, toute occupée à lécher Amandine. Mais je sentais qu’elle aimait ça, se faire ramonner par ma belle queue longue et dure.

Au bout d’un moment, Léo passa à côté de moi, derrière ma mère.

– Allez, à mon tour ! me dit il. Laisse moi baiser notre grosse cochonne de maman !

Laissant un peu à regret le tour à mon frère, je m’écartais pour qu’il vienne pénétrer notre mère.

J’étais cependant loin d’être rassasié. Mais j’avais une autre idée. Depuis un moment, avec Amandine, on se lançait des petits regards en coin.

Les léchouilles d’une maman, c’est bon, mais je sentais que ma soeur avait envie d’autre chose…d’une bonne grosse queue par exemple. Et moi j’avais bien envie de la dépanner. J’en pinçais assez pour elle, ma frangine adorée. Je l’avais souvent matée la nuit nue dans son lit, ou dans sa douche. La coquine n’était pas très pudique. Mais nous n’étions jamais allé plus loin…

Alors je l’ai rejoint sur le canapé. Pendant que ma mère était occupée à se faire baiser par Léo, je faisais pivoter Amandine vers moi et présentais ma queue entre ses jambes. Ma soeur se mordait les lèvres d’impatience, me suppliant des yeux de venir la pénétrer sans attendre.

– Ha oui frérot, j’en ai trop envie, viens !

Assez heureux de constater avec quel désir ma chère soeur regardait ma grosse queue, je la rentrais dans son petit vagin. Contrairement à ma mère, Amandine était plutôt serrée. Quel délice !

J’entamais une série de va et vient qui enchantèrent ma soeur. Avec habilité, j’alternais mouvements rapides avec des manoeuvres plus douces. Amandine se mit à gémir et miauler comme une chatte en chaleur. Ma queue produisait des miracles…

De son côté, Léo baisait notre mère avec hardeur. Toujours en position de levrette, il empoignait à deux mains son gros cul tout mou, rentrait les doigts dans la chaire, imprimant à ce postérieur fantastique des mouvements de va et vient frénétiques, agitant toute cette chaire dans tous les sens. Il la défonçait littéralement, c’était presque violent. Puis il écarta les deux globes du fessier maternel, dégageant son anus. Depuis toujours il était fasciné par le trou du cul de notre mère. Il avait une envie folle de la prendre par là. Il cracha dessus pour le lubrifier, puis introduit un doigt à l’intérieur. Le doigt rentrait bien, avec une facilité encourageante. Alors il présenta sa queue et fit pénétrer le bout de son gland. Il le retira, lubrifia un peu, puis remis sa queue, un peu plus profond. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il la rentre entièrement… Là encore se sentis ma mère un peu décontenancée. A 50 ans passé, elle ne se serait jamais douté qu’un jour elle allait se faire sodomiser par son fils…Et qu’en plus elle prendrait plaisir à la chose…

Quant à ma soeur elle se régalait aussi de prendre ma queue, c’était une évidence. Plus j’y mettais de l’intensité, plus elle aimait. Voir sa mère se faire baiser par Léo, en plus, l’excitait au plus au point.

Lorsqu’elle vit Léo rentrer sa queue dans le cul de maman, elle exulta :

– Kevin, moi aussi ! Je veux que tu m’encule !

J’étais un peu choqué que ma jeune soeur me demande aussi crûment ce genre de chose. Jusqu’à il y a peu, je la pensais vierge. Mais je n’avais aucune raison de refuser sa demande.

Je la laissais ainsi se mettre à 4 pattes, me présenter son cul, et avec précaution j’y rentrais ma queue…

Quel bonheur ! Là aussi je n’avais jamais imaginé ressentir un tel plaisir à ce genre de pratique avec Amandine…

Ce jour là nous avons passé une bonne heure d’échanges torrides avec Léo, ma mère et ma soeur. Jamais je n’avais ressenti une telle extase sexuelle.

Je sentis alors le besoin impérieux de me libérer. J’étais couché sur Amandine, le sexe bien au fond de son vagin.

– Amandine, je suis trop excité, je vais…je vais..

– Vas y frérot, lâche toi, je prends la pilule, t’en fais pas !

Je me laissais alors aller dans une jouissance incroyable, déversant des litres de sperme à l’intérieur de ma petite frangine chérie…

De son côté, en m’entendant jouir, Léo se retira de ma mère et se positionna au dessus de son visage. Il avait envie de lui jouir dessus. Il lui suffit de se branler quelques secondes pour éjaculer sur notre malheureuse maman, aspergeant son visage de sa généreuse semence…

Elle en avait partout. Cependant, loin d’être dégoûtée, elle lécha ce jus, avec délectation jusqu’à la dernière goutte.

Nous sommes restés ainsi un long moment immobiles, térrassés par la jouissance.

Puis Amandine rompit le silence.

– C’était super les garçon ! Je me suis régalée ! Quelle bonne idée, ce jeu avec maman, et merci de m’avoir invitée à y participer ! Je crois qu’on va bien s’amuser maintenant ! …

Décidemment, j’ adorais ma soeur…

Épilogue

Ma mère avait fini par s’habituer à sa situation, soumise à ses deux fils et à sa fille.

Amandine notamment adorait passer de longs moments avec maman, à poil, à se frotter le minou contre le sien, se faire lécher, et elle même la lécher. Elle expérimenta toute sortes de godes qu’elle adorait enfiler dans le vagin de sa mère, avant de nous demander, à nous ses frères, de venir la baiser : Amandine adorait nous sentir la prendre en double pénétration, et nous étions heureux de la satisfaire le plus souvent possible.

Cette situation dura de longs mois, jusqu’à ce que notre mère, à bout de nerf, raconte ce qui se passait chez elle à une de ses copines. La copine fut horrifiée et lui conseilla d’aller voir un psychologue sans tarder.

Ma mère voyait bien aussi que tout cela n’était pas normal. Elle fut d’accord pour l’idée du psychologue. Hélas pour elle, elle tomba sur un jeune gars qui se trouva être un parfait escroc. Pendant ses séances, afin de mieux cerner l’origine du problème, il lui proposa de se mettre en condition réelle : elle du se mettre à poil et se laisser baiser par lui pendant qu’il l’appelait « maman » et la traitait de grosse cochonne, imitant ce que nous faisions avec elle. Après quoi le gars lui demandait de raconter ce qu’elle avait ressenti pendant l’acte, si elle avait joui. Il prenait des notes et lui disait au revoir.

Ce n’est qu’au bout de 3 séances que ma mère réalisa que ces séances n’avaient pas d’effet et que ça revenait juste pour elle à payer 50 € pour se faire baiser par ce salop…

Elle alla alors voir un autre psychologue plus sérieux. Mais après deux séances, le gars lui posa la question fatidique :

– Mais en fait, madame, vous aimez bien ça, au final être au service de vos fils, de votre fille, et avoir des relations sexuelles avec eux ?

Ma mère du reconnaître que oui. Le psychologue en conclut qu’elle n’aurait pas la motivation d’arrêter et que ses services seraient alors inutiles.

C’est ainsi que ma mère accepta définitivement la situation : être soumise à ses enfants et faire l’amour avec eux était la meilleure façon pour elle de jouir. Elle culpabilisait, mais d’un autre côté ressentait trop de plaisir pour renoncer à ça.

Le temps passa.

Léo, Amandine et moi nous avions, grâce à notre mère, une vie sexuelle bien remplie. Nous baisions plusieurs fois par semaine tous ensemble.

Toutefois nous trouvions le besoin de relations amoureuses plus « normales ». Nous nous sommes donc trouvés des conjoints « officiels », avec qui nous nous sommes mariés, et pour ma part, ainsi qu’Amandine, nous avons eu des enfants.

Mais nous manquions à notre mère. Celle ci, célibataire, trouvait peu d’intérêt à la fréquentation d’autres hommes. Tant qu’à faire l’amour, c’est avec nous qu’elle voulait le faire… Elle était accroc à sa relation avec nous. Faire l’amour avec ses enfants était ce qu’elle aimait le plus au monde.

Alors, régulièrement, tous les quinze jours nous nous retrouvions chez elle, pour un dîner de famille, juste nous quatre. En fait de diner familial, il s’agissait d’une bonne partie de baise…

Comme au bon vieux temps, maman nous reçevait habillée très léger… Encore superbe pour son age, elle adorait nous exciter avec des tenues sans arrêt plus provocantes.

Nous prenions le repas, puis passions dans le salon où notre mère se mettait nue, attendant nos ordres pour à nouveau se faire baiser…

Le sexe avait fini par resserrer nos liens d’une manière très solide. Le jeu de soumission existait toujours, mais tout ça donnait au final beaucoup de piment à nos réunions familiales.

A l’heure ou je finis d’écrire cette histoire, j’entends ma soeur Amandine qui vient me récupérer en voiture. Nous allons chez maman…

Je bande dèjà.

Encore une bonne après midi en perspective !

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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