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Mûres35/la belle-mère et sa petite fille,bite réjo

Mûres35/la belle-mère et sa petite fille,bite réjo



Vlada est la mère d’Olga, ma première compagne. Une petite dame brune, vraiment petite, dynamique, souriante, simple mais soignée, avec un gros fessier.
Mon foutre bouillonne dans mes couilles quand je pense à elle.
Olga est châtain-blond, les cheveux mi-longs, sans caractéristiques physiques particulières. Nos rapports sont clandestins, car elle a environ 20 ans de plans que moi. A l’origine, c’était ma logeuse.
J’ai déjà raconté que l’essentiel de nos rapports intimes se résume à des marathons de léchage de vulve.
Je lèche, et lèche et relâche…elle ondule du bassin de plus en plus fort.
Elle jouit à chaque fois.
Ensuite elle me branle.
Je ne vais pas me répéter. Tout cela est authentique. C’est ici que le rêve commence.
J’ai parlé de sa fille Agata.
18 ans, maigrichonne, des lunettes. Pas franchement laide, mais aucun penchant pour la séduction. Avec le temps, elle est devenue officiellement gouine.
Par défi, par perversité, j’ai tenté de me branler en pensant à Agata. C’était difficile.
trop garçonne, trop pénible. Mais j’ai quand même pu m’imaginer des scènes bien perverses, et me suis fait dégorger la bite en pensant à elle.
Je la voyais les cheveux mouillés, sortant de la salle de bain, en peignoir.
Cela changeait de ses affreux vêtements débraillés qui cachaient ses formes.
Lorsqu’elle était en peignoir, je pouvais au moins entrevoir la rondeur de ses seins.
Olga était désolée de constater le manque d’intérêt d’Agata pour les garçons. Peut-être m’aurait-elle encouragé si elle m’avait vu peloter les petits seins ronds de sa fille, en passant ma main sous son peignoir, en l’assaillant sur mes genoux, par jeu. Ou au cours d’un semblant de lutte, dans sa chambre, par gaminerie.
La relation avec Olga touche à sa fin. Elle doit avoir des vues sur quelqu’un. Alors, je vais me branler sans complexe en pensant à sa fille.
Viens découvrir ce que c’est qu’un sexe d’homme, petite coincée bizarre…tu rougis souvent, pour un rien…là, ce sera pour quelque chose…cela fait bizarre, n’est-ce pas, nous qui nous connaissons depuis longtemps de manière familiale…quand je passe ma main sous ton peignoir, et que ma main palpe doucement ton sein tout doux…
Tu as un corps de femme…et moi je bande…putain c’est bon, j’enfile en rêve le bout de mon gland dans le vagin serré d’Agata, on reste debout, nos têtes sont baissées sur nos sexes qui font connaissance…le corps d’Agata qui sort du bain est si chaud…Dommage que je ne jute que sur le lavabo, ce serait bon de te la mettre…
Olga s’est absentée pour un voyage d’une semaine.
Peut-être se fait-elle enfiler plusieurs fois par jours par celui qui deviendra son deuxième mari? Peu importe.
J’ai retrouvé mon premier statut, cela d’étudiant locataire.
Vlada est venue habiter à la maison pendant ce temps, pour être avec sa petite fille.
J’aime bien cette petite dame brune. Simple, mais soignée, dans sa féminité toute maternelle.
Par quel hasard l’ai-je croisée en pleine nuit, alors que je me levais pour boire un verre?
En chemise de nuit blanche, toute simple, ses gros nichons ressemblent à deux melons un peu mous mais appétissants, à peine soutenus par un tissu trop mince pour des fruits aussi lourds.
Quelle amabilité dans la rondeur des fesses de cette vielle poupée russe!
On s’est déjà dit bonne nuit, pourquoi se le redire à 3 heures du matin, si ce n’est pour s’accorder le plaisir de se serrer brièvement l’un contre l’autre?
Ah, ses gros seins…
Moi 19 ans…elle 68 ans…
Notre histoire n’a aucun avenir, juste un présent, une occasion de jouir…
Notre étreinte se prolonge juste assez pour exprimer le désir de nos corps.
Le plaisir de serrer ce petit corps potelé…mmm, mon érection est immédiate.
Vlada, gentille vieille dame, à fourrer d’urgence…elle est veuve,
Est-ce que vous mouillez autant que je bande?
vos mains potelées et vigoureuses sont douces, elles effleurent mes bourses.
Je vérifieriais volontiers si vous mouillez, en m’accroupissant devant vous. Je relèverais votre chemise de nuit, et plaquera ma bouche sur la vieille vulve touffue, balayant les grandes lèvres d’un grand coup de langue, en aspirant avec un bruit obscène.
Mais voyez-vous, question léchage, je n’ai fait que ça avec Olga pendant plusieurs années. Alors, je veux bien vous la bouffer, votre vieille moule, et même soigneusement, avec la langue bien à fond pour recueillir toute la mouille, et même pour en faire sortir un maximum, mais là, il faut que je vous enfile, bordel!j’ai envie. Il faut qu’on baise tout de suite, vous le voulez aussi, n’est-ce pas? Sinon vous n’auriez pas le souffle aussi court, la bouche collée à la mienne, la langue aussi enragée!
Putain, nos bouches collées l’une à l’autre, nos langues enivrées l’une de l’autre…
Le jeune homme et la vieille dame qui vont jouer au papa et à la maman, en pleine nuit, debout dans la cuisine.
ça rentre tout seul, c’est tout humide là dedans! ça bave dans les poils! tout cela veut dire: bienvenue la grosse bite du jeune homme!
Mais vous êtes trop petite, Vlada, je ne vais pas vous enfiler comme ça, debout, je dois trop plier les genoux.
Vous avez un cul à vous faire prendre en levrette.
Ah! Nos rapports n’ont jamais été aussi agréable que depuis deux minutes, depuis que je tamponne vigoureusement contre vos grosses fesses.
déjà quand vous m’avez effleuré la bite de vos mains, c’était meilleur qu’avec votre fille.
Alors maintenant, dans la chatte….
Allez, on ne va pas faire des prolongations sophistiquées, une bonne giclée au fond du vagin, ça va nous secouer d’une bonne chaleur, on en avait besoin tous les deux.
Putain, la vieille moule, je lui gicle jusqu’au fond de la matrice.
Arrêtez vous petits cris ridicules, on dirait une chouette, ça va réveiller Agata.
on reste emboîtés un moment, et on marche comme un crabe jusqu’à ce qu’un rouleau de papier soit à porter de la main.
Vlada me tapote la bite avec le papier pour m’essuyer. Le foutre lui coule sur les cuisses.
On va se laver, d’humeur joyeuse. Qu’est-ce que ma bite est contente, me dis-je en me savonnant. Je n’ai qu’une envie, me blottir dans le lit de Vlada, et lui bouffer les seins. Je suis sûr que je vais rebander tout de suite, et la foutre à nouveau. Surtout si elle me touche les bourses pendant que je la fourre.
Le lendemain, elle se propose de dérouiller Agata. Elle discutent un bon moment sur le lit.
Elle relève sa robe, et montre à sa petite fille comment elle se branle.
Elles se branlent un peu toutes les deux. Ensuite, elles croisent leurs mains.
Agata s’enhardit à enfoncer deux doigts dans la chatte de Vlada.
La vieille dame passe un gode-ceinture à la jeune fille, qui trouve très amusant de faire l’homme, vu ses tendances. Ainsi, elle peut foutre le gros cul de Vlada, qui reste à quatre pattes, heureuse de se faire enfiler de cette façon.
Je ne veux pas interrompre leur jeu.
Puisqu’Agata veut faire l’homme, qu’elle soit donc un peu homo our l’occasion. Je pointe ma queue bien huilée sur son
anus. Du moment que je ne m’enfonce pas trop, elle accepte. Elle continue de faire des mouvements de bassin. Difficile de ne rester dans son cul.
Elle est vraiment trop garçonne pour mon goût. Mais je m’agrippe et l’encule agréablement. Surtout qu’elle baise les grosses fesses de Vlada.
soudain, elle me repousse.
Je n’en fais pas une histoire. Je vais me branler entre les gros nichons de la grand-mère.
Agata est amusée de voir le sperme éclabousser la vieille dame.

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