Voilà comment tout a commencé pour moi. J’étais jeune et encore puceau parce que je n’avais jamais trouvé le courage d’aller aborder une fille. En effet, elles m’impressionnaient trop. Dans le jeu de la séduction, elles avaient un pouvoir que je n’avais pas. Les filles qui me plaisaient étaient belles et avaient l’habitude d’être désirées et donc elles n’avaient qu’à attendre d’être courtisées. Jamais une femme ne m’avait abordé parce que dans les lieux que je fréquentais à l’époque, c’était aux mecs d’aller draguer les filles. Pour cela, je trouvais qu’elles avaient un pouvoir considérable. Une fois qu’un mec (ou plusieurs) avait manifesté la convoitise qu’il éprouvait à son égard, la fille avait tout le loisir de faire son choix. Les filles n’avaient donc rien à faire, elles étaient des pièges à homme dont je redoutais l’extraordinaire puissance.
Il y eut un soir ou je fus invité à une soirée déguisée. Je ne savais pas encore quelle tenue j’allais porter. Je m’interrogeais donc sur le sujet. Je n’avais pas de costume chez moi. Je cherchai alors dans mes armoires si je ne pouvais pas trouver d’ancienne fringues à détourner pour m’improviser un costume original. Etant assez créatif, je m’étais déjà confectionné de costumes sympas par le passé. J’avais bon espoir de trouver quelque chose d’intéressant. Je fis rapidement le tour de mes habits, ne trouvant pas d’inspiration connaissant mes piles de vêtement par cœur. Je vivais encore chez ma mère. Tout naturellement, je m’orientai alors vers sa chambre pour voir si je ne pouvais pas trouver des vieux habits à détourner pour mon costume. J’ouvris son armoire, regardai dans sa penderie, privilégiai des fringues qu’elle ne mettait plus pour qu’elle accepte de mes les prêter et je fus rapidement inspiré. C’était évident. J’allais me déguiser… en femme !
Je fais l’impasse sur les différents essayages effectués ( nous ne sommes pas sur un blog mode) mais je parvint aisément à trouver mon bonheur dans la garde-robe de ma mère. Le soir venu, j’enfilais la tenue que j’avais retenue. Il s’agissait d’une robe bustier blanche à pois rouges, qui dessinait bien ma taille, évasée sur les cuisses et qui me tombait au dessus des genoux. Elle disposait de petites bretelles qui commençaient, de chaque coté, au départ de la poitrine pour venir se relier derrière le cou. J’avais emprunté à ma mère quelques bijoux bons marchés et autres falbalas pour agrémenter ma tenue. Quelques joncs ornaient mes poignets et ça et là, quelques anneaux simples sur les doigts. J’avais mis une amie proche dans la confidence de mon déguisement afin qu’elle me fournisse quelques accessoires que je n’avait pu trouvé dans le dressing de ma mère. Elle me prêta donc des créoles à clip pour aller sur mes oreilles non percées, des escarpins noirs qui étaient à ma pointure. Lorsqu’elle m’avait amené la poche avec ces effets, elle m’avait prévenu qu’un surprise m’attendait à l’intérieur de celle-ci. Effectivement, la maline y avait ajouté des sous-vêtements qu’elle ne mettait plus. Dans la poche, j’avais donc trouvé un soutien gorge et … un string ! J’avais juste eu à m’acheter une perruque pour faire plus femme. J’avais opté pour des cheveux bruns pour un mariage plus naturel avec mes sourcils sombres. Un ruban blanc noué dans ma crinière féminine venait figer ma chevelure en s’accordant au ton de ma robe. Ma musculature peu développée complétait l’illusion. Je m’étais dépilé pour l’occasion, histoire de parfaire le déguisement, le poil aux pattes n’étant pas dans le thème ! Je m’étais maquillé légèrement, un peu de rouge à lèvre et de mascara, un trait de crayon pour approfondir mon regard. Me voilà prête ! J’avais l’air d’une pin-up des années 60.
Avant d’enfiler ma tenue, j’avais longuement hésité pour les sous-vêtements. Finalement, au diable l’avarice, quitte à se déguiser, autant le faire à fond ! J’avais d’abord enfilé le soutien gorge que j’avais rempli avec des ballons gonflables, doublés, pour plus de solidité, et pleins d’eau afin qu’ils imitent le mouvement de vrais seins lors de mes déplacements. Ensuite, j’avais succombé au string. J’avais trouvé très sensuel le simple fait de l’enfiler et de positionner la ficelle entre mes fesses.
Je partis donc rejoindre la soirée déguisée, totalement métamorphosé. Lorsque je marchais, je sentais mes jambes lisses qui se touchaient parfois. Cela me déclenchait des petits frissons. Je sentais aussi le poids de mes faux seins qui ballottaient à chacun de mes pas. De temps à autres, une petite brise douce et légère venait caresser mon corps jusque sous ma robe, dans mes parties intimes et c’était une sensation nouvelle, assez agréable.
Lors de la soirée, mon costume fit fureur. Les mecs me lançaient « Hey mais tu es bonne en fait ! », les filles, plus délicates, me disaient des « Tu es super belle, je suis jalouse ! » J’étais fier de mon choix de déguisement. Je reçus beaucoup de compliments et c’était jouissif. J’avais l’impression d’être une autre personne. J’avais même eu l’impression que certains mecs me draguaient !
Au fil de la soirée, je me sentis fatigué, saoulé par la musique et les basses tonitruantes. Je décidai d’aller me rafraichir aux toilettes (celles des hommes, évidemment). J’entrai, ça avait l’air vide. Je me penchai pour approcher ma bouche du robinet afin de boire quelques gorgées d’eau. A ce moment là, tout se passa en une seconde. Je sentis une présence derrière moi, je n’étais donc pas seul. Aussitôt, je sentis quelque chose passer sous ma robe, une main remonter le long de ma cuisse, un doigt s’immiscer entre mes fesses et s’arrêter sur mon anus pour y entrer une phalange. Je sursautai et fis un pas sur le coté en me retournant. Dans la foulée, sans même savoir qui était le pervers, j’envoyai une gifle, dans une réaction incontrôlée, un réflexe. C’était un des garçons qui m’avaient dragués un peu plus tôt.
« Pour qui tu te prends pour me mettre un doigt au cul toi ? T’amuse pas à ça ! » Dis-je furieux.
– Ca va chérie, t’énerve pas. C’est juste pour rigoler.
– 1, je suis pas ta chérie. 2, ça me fait pas du tout rire. T’avises pas de recommencer !
– C’est vrai, c’était déplacé, reconnut-il aussitôt. Je suis désolé, je voulais pas t’offenser. Sincèrement, excuse moi. »
Je fus déstabilisé par ces subites excuses et cet aplomb sans faille. Aussi, je ne su quoi ajouter. Il repris qu’il était confus et qu’il tenait à se faire pardonner. Il m’invita à boire un verre avec lui. J’acceptai à la condition que nous sortions pour nous aérer. Il accepta à son tour. Nous partîmes au bar nous faire servir, il paya et nous sortîmes.
Nous allâmes nous assoir sur un banc, un peu à l’écart de la salle afin de nous isoler du bruit et trouver un peu de quiétude. Il relança la conversation que nous avions entamé avant l’épisode aux toilettes. Cela dura un bon quart d’heure. En fait, ce mec était vraiment sympa. Certes, son geste m’avait surpris, même déplu mais je n’arrivais pas à lui en vouloir. En vérité, je l’appréciais.
Soudain, il me dit « Ca te dérange pas si je pisse un coup ? » Je répondis que non. C’est vrai, pourquoi ça me dérangerait ? Il se mit à, à peine un mètre plus loin en disant « Pas besoin de faire des manières après tout, on est entre mec, même si, des fois, j’ai un peu tendance à l’oublier! » Sur ça, il ouvrit sa braguette et sorti sa bite de son pantalon. Je ne pus m’empêcher de le regarder faire. Il resta une bonne minute sans rien dire, à fixer l’horizon, la bite à la main, comme pour se concentrer pour faire venir la pisse. Je regardais le spectacle, un peu gêné. Pour être plus précis, je jetais juste des coups d’œils. Déjà que j’étais habillé en fille et qu’il s’était permis de me mettre un doigt, je ne voulais pas qu’en plus, il me surprenne en train de matter sa queue ! Tout à coup, toujours le regard au loin, il me lança :
« Tu sais, tout à l’heure, dans les toilettes, j’étais pas en train de pisser… j’étais en train de me branler en pensant à toi. Je te trouve tellement sexy dans ta petite robe. Du coup, quand je t’ai vu rentrer et te pencher sur le lavabo, j’étais plus moi-même, j’ai pas réfléchi. Je suis désolé si ça t’a choqué. J’ai eu une pulsion. J’ai pas réussi à réfréner mon désir… Et là maintenant, pour tout te dire, j’ai pas spécialement envi de pisser non plus… »
Il se mit à faire des va et vient avec sa main sur sa bite qui gonfla en un clin d’œil. Elle était grosse, épaisse. Son gland était large et bien gonflé, vigoureux. Je me surpris à trouver que son membre était joli ! Il me demanda si ça ne me dérangeait pas qu’il s’assoit à côté de moi pour se branler et que je n’avais pas à m’inquiéter, il ne me toucherait pas. Un peu déstabilisé par tout ceci, et aussi, touché par ses confidences et l’honnêteté dont il venait de faire preuve, je lui répondis que c’était bizarre. Et sans trop savoir pourquoi, je rajoutai aussitôt que non, ça ne me dérangeait pas !
Il vint s’assoir à coté de moi et se remit à secouer sa grosse queue qui commençait à m’obnubiler. Cette bite raide avait quelque chose d’attrayant. Si, au début, je ne jetais que quelques coup d’oeils furtifs, là, ça faisait quelques bonnes minutes que je ne la lâchais plus du regard. Je me disais « C’est mignon une bite quand même. » Je me demandais ce que ressentais les femmes avec ce genre de gros membre en elles. Je me demandais quel effet ça faisait ça pouvait faire de sucer une bite comme ça.
J’entendis sa voix me dire « Je te vois me regarder la bite depuis tout à l’heure. » Je détournai alors le regard, comme pour nier que son constat soit vrai. « Ca me gêne pas, t’inquiètes pas, ajouta-t-il. » Puis il ferma les yeux et pencha sa tête en arrière comme pour savourer son moment de plaisir.
Avec ses yeux fermés, j’eus tout le loisir de dévorer des yeux sa bite virile et puissante sans ressentir le poids de son regard. Il se mit à se masturber plus lentement comme pour mieux me la montrer. Elle était grosse, elle était belle. Du liquide pré séminal commençait à dégouliner du sommet de son gland. Je sentais les effluves de son membre viril parvenir à mes narines. Cette odeur m’envoutait petit à petit. Sa bite m’appelait. La petite brise légère me caressait le corps et je sentis que je commençai à avoir une érection. Je sentis que se tendait le string dont la ficelle traversait la raie de mes fesses. Je sentis mes seins (aussi faux soient-ils). Je croisai mes jambes comme font les femmes, pour retenir un peu mon érection naissante. Il n’y avait plus rien autour de moi que cette bite qu’une main caressait langoureusement. C’était terriblement excitant. Sa verge turgescente était en train de m’obséder. Je sentis le gout de mon maquillage sur mes lèvres. Je repensai que, toute la soirée, j’avais eu l’impression d’être une autre personne.
Il me dit alors : « Tu l’aimes bien ma bite, pas vrai ? »
-N’importe quoi ! répondis-je gênée.
– En attendant, tu fais que la regarder, coquine.
– C’est toi aussi, tu te branles à coté de moi, qu’est-ce que je peux faire d’autre ? »
Un silence, puis…
« Tu t’es déjà demandé comment c’était de sucer une queue ?
-… Euh… beh… euh… non. »
Un autre silence, puis…
« Menteuse, me lança-t-il. Je suis sur que tu en meurs d’envi.
– Non, répondis-je bêtement.
– En tout cas, si tu veux la toucher, tu peux. Ma bite est toute à toi. Et je te promet que je le dirais a personne, ce sera notre secret. »
J’étais ahuris par cette proposition. Tout de même, je vais pas sucer sa bite ! Mais que croyait-il ? La toucher ? Ca, à la rigueur, ce serait pas trop grave… Je continuai à regarder cette grosse queue toute raide en me questionnant. « Qu’est-ce que je fais ? Je la touche ? En même temps, j’en ai un peu envi, c’est juste pour voir… »
Un moment passa et je posai enfin ma main sur sa queue chaude. Il sortit la sienne pour me laisser le champs libre.
« Ah enfin tu te décides ! »
Je touchais pour la première fois la bite d’un autre mec et je me rendais compte qu’en fait ça me plaisait ! Je savourai l’instant. Je la décalottai pour laisser apparaitre ce gros gland qui m’excitai de plus en plus. Du liquide se remit à en dégouliner pour couler entre mes doigts. Cela me déclencha un frisson et je me mis à le branler plus franchement. En agitant ma main sur sa bite, je sentis mes seins blobloter et soudain, j’eus l’impression d’être un fille. Il m’apparut qu’il avait gagné, il m’avait séduite. Il allait obtenir de moi tout ce qu’il voulait. J’étais là comme une pauvre sotte, en train de lui astiquer le manche et en plus, j’étais contente de le faire ! Je pensai à quelle allait être l’étape suivante et j’eus l’eau à la bouche à la simple idée de m’y fourrer son dard. Après tout, ce soir j’étais une femme. Je pouvais au moins faire une pipe à un mec.
« Allez suce-la, insista-t-il, ne te fais pas tant prier !
– Bon mais c’est juste pour voir ce que ça fait, expliquai-je fébrilement. »
Je me sentis gauche. Comment allais-je bien pouvoir m’y prendre pour ne pas passer pour une idiote dans cette situation inédite ? J’approchai petit à petit mon visage de son sexe gonflé que je prenais à pleine main. J’admirais un instant le spectacle de son gland que le plaisir irradiait. Son odeur était plus intense à présent. Elle me happait délicieusement. Une nouvelle salve de liquide gluant s’échappa de sa bite et dans un mouvement incontrôlé, un léger coup de rein de sa part, son gland vint s’écraser sur mon nez, le tartinant de jus de bite. C’était trop bon. Je perdis toute retenue. Mes yeux se fermèrent, ma bouche s’ouvrit et accueillit cette grosse bite dont l’emprise avait enfin raison de moi. Je me délectai alors de son gout délicatement salé. Ce gros gland dans ma bouche me faisait ressentir un plaisir intense dont pouvait témoigner l’érection entre mes jambes. Je n’avais pas du tout envi de me branler. La seule bite qui existait à présent était celle de mon male. J’avais envi de lui dire « Merci de me donner ta bite à sucer » mais j’étais trop occupée à la tache.
Je fis de premiers va et vient sur son outil. Je n’arrivais pas à l’engloutir intégralement tellement celui-ci était imposant. Je pris conscience qu’il ne disait rien et observait le spectacle que je lui offrais. Je me rendis compte que même si j’appréciais particulièrement la sensation de sa queue dans ma bouche, le gout salé de son nectar sur ma langue, le gonflement de son gland à l’entrée de ma gorge, l’acte ne pouvait se limiter qu’à mon seul plaisir. Je compris que son plaisir à lui comptait tout autant. Tout en continuant mes va et vient sur sa bite, je m’interrogeai sur d’autres façons de le faire bander plus fort encore. Je remontai alors pour ne prendre que son gland dans ma bouche. D’une main, je me mis à le branler lentement sur toute la longueur de sa bite. Je commençai à coordonner mes succions buccales à mes mouvements de main. Ça doit être ce que l’on appelle pomper. Je pompais sa grosse bite et ça me comblait de bonheur. Je comprenais le plaisir qu’une femme ressentait à sucer un homme. C’est vrai que c’était chouette !
« Wouah ! Mais c’est pas possible que tu fasses ça pour la première fois toi ! Tu suces vraiment trop bien.
– Non je n’ai jamais fait ça avant, confirmai-je après avoir sorti sa queue de ma bouche et esquissé un sourire de fierté, dû au compliment qui venait de m’être fait.
– Chérie, me dit-il, je crois bien que tu as découvert ta vocation ce soir. Tu es faite pour sucer des bites. »
Il se releva, je restais assise sur le banc, dans l’attente de découvrir la suite des évènements. Il se mit face à moi, debout, me présentant ainsi l’objet de mes désirs. Cette fois-ci, j’ouvris grand la bouche sans me faire prier. Il m’y enfourna sa quéquette et commença à aller d’avant en arrière. Je me laissai totalement faire, acceptant de devenir sa chose. Il me baisa littéralement la bouche. Pour lui plaire, au fur et à mesure qu’il s’agitait, je m’affairais à ouvrir plus grand et à tirer la langue pour offrir à son membre un tapis chaud et baveux, le lubrifiant et facilitant ainsi sa pénétration plus profonde. Son gland finit rapidement au fond de ma gorge. J’engloutis alors toute sa bite ! Cela me coupa la respiration et déclencha chez moi une réaction de rejet. J’étais face à cette bite qui bandait dur et que ma bave recouvrait, dégoulinant jusque sur ses couilles. Quel magnifique tableau !
Je posai alors mes deux mains sur elle et me remis à la branler, pour ne pas trop perdre l’inertie de notre ébat. Assez vite, je me sentis vide et j’eus besoin de la reprendre en bouche. Une main se retira alors de sa verge pour laisser la place à ma langue. Je mis des grands coups de langue sur son gland comme pour rouler une pelle à sa queue. C’était une manière de lui signifier que j’étais subitement tombé amoureuse de son appareil. J’ouvris la bouche en le regardant dans les yeux. Entre chéri, pensai-je. Il prit sa queue en main et me la secoua à l’entrée de la bouche, la faisant rebondir d’une lèvre à l’autre. C’était tellement bon. Une nouvelle coulée de liquide pré séminal vint se déverser sur ma langue pour l’emplir de ce petit gout si subtilement salé dont je raffolais à présent. Oh merci mon chéri ! Je repris sa bite dans ma main pour le branler et je me remis à le pomper comme je le faisais tout à l’heure quand il était encore assis sur le banc. Mon bassin commençait à remuer, des spasmes de plaisir le traversant. Des frissons d’extase parcouraient mon corps de pucelle. Je pouvais même sentir que mon anus baillait au rythme des palpitations de ma petite queue, raide d’excitation. Comment pouvais-je prendre autant de plaisir à sucer cette grosse bite ? J’étais un mec tout de même… Non. Ce déguisement m’avait transformé. Je devais me faire une raison. J’étais devenu une petite salope lubrique. A cette idée, je descendis ma main en direction de mon cul. Mon majeur alla à la rencontre de mon trou et je commençai à me doigter.
Alors que la cadence de mes succions allait en s’accélérant, il retira subitement son chibre de ma bouche. « Que se passe t-il ? Ai-je aussitôt pensé. Oh non, j’en veux encore, réclamai-je en mon for intérieur, la bouche encore toute souillée des sécrétions de sa pine.
« Doucement chérie, me lança-t-il.
– Pardon je t’ai fait mal ? »
Il rit et me répondit que non, au contraire, je lui faisait trop de bien. Je compris qu’il était sorti pour éviter d’éjaculer. Je compris qu’il s’en était fallu de peu pour qu’il me jouisse dans la bouche. A l’idée de recevoir ses giclées de sperme chaud sur ma langue, et de gouter à ce jus de couille, je fus terriblement excitée et à la fois, un peu déçue qu’il ne l’ait pas fait. Le temps que je comprenne cela et que ces pensées traversent mon esprit, mon male avait passé ses mains sous ma robe, fait glisser mon string le long de mes cuisses lisses et fait basculer tout mon corps en arrière en relevant mes jambes pour les grouper sur ma poitrine. Je me retrouvai couchée sur le banc, les jambes en l’air et les fesses ouvertes, offertes à mon chéri qui engouffra sa langue dans ma raie. J’avais été complètement spectatrice de ce mouvement soudain, impuissante face à la vigueur de mon fougueux cavalier.
Sa langue chaude vint me pénétrer la rondelle. Sa bave me coulait le long de la raie et me donnait l’impression de mouiller du cul. Rapidement, ses doigts vinrent s’inviter à la fête. Il commença par en rentrer un. Il fit des va et vient dans mon trou. Il sentit que j’étais bien lubrifiée pour passer à l’étape suivante. Il me mit alors deux doigts et recommença ses va et vient. Il compris vite que ma capacité d’accueil était loin d’être atteinte. Je découvrais mes aptitudes de femelle en même temps que lui. Il se releva et me demanda :
« Tu en a envi ?
– Quoi ?
– Tu veux que je te sodomise ? »
Honteusement, je répondis : « Oui, s’il te plait… » Alors, il présenta sa bite à mon anus. Comme ma bouche, ma chatte semblait déjà amoureuse de cette bite qui obnubilait mon esprit depuis une bonne demi heure. Mon orifice vint l’envelopper tendrement comme un cocon charnel. Il me pénétrait. Mon anus était tout ouvert à son membre comme si l’accueillir était sa fonction première. Qu’est ce que j’aimai être une femme ! Qu’est ce que j’aimai qu’un homme me remplisse ! Je pensai alors que cette sensation dans mon cul provenait de cette si belle bite dont je me régalais une dizaine de minutes plus tôt et cela m’enchanta d’autant plus. J’entamai alors des mouvement du bassin pour montrer à mon homme que j’aimais qu’il m’encule. Il intensifia alors ses coups de reins qui avaient été doux jusqu’à présent. Il me baisait langoureusement comme le gentil garçon qu’il était. Quel bon amant pour une première fois ! Puis, pris d’une excitation soudaine, il intensifia ses coups de bite. Je commençai à ressentir une douleur dans les profondeurs de mon cul. Il devait toucher le fond. Cette douleur n’était rien comparée au bien-être que je ressentais à me faire défoncer comme une petite garce. Autour de ma bouche, je sentais sécher la pellicule de bave mêlée au jus que son pénis avait laissé pendant la pipe. Cela renforça mon sentiment de féminité. Je m’incarnais en petite cochonne en train de se faire baiser par tous les trous. J’aimais ça.
Là, il sortit de moi. Il m’invita à me lever. Sans rien dire, avec un regard plein de tendresse, il m’embrassa. Alors que sa langue se mêlait à la mienne et que ses mains me malaxaient les fesses en me les écartant, mes bras vinrent s’enrouler autour de son cou, comme un réflexe de la femme qui sommeillait en moi. A ce moment là, j’eus l’impression que, par nos langues, nous nous disions « je t’aime ».
Puis il me retourna, pris mon genou droit et le posa sur le banc, fit pareil avec le genou gauche. Je posai mes mains sur le dossier du banc et cambra ma croupe pour qu’il revienne en moi. Je sentis son gland sur mon petit trou. Il s’y frotta quelques secondes dans un câlin humide puis, fit des va et vient avec sa bite dans ma raie. Je sentais une coulure dégouliner de mon cul sur mes cuisses car je mouillais à présent comme une vraie petite femme.
Il s’inséra à nouveau en moi et ce fut une révélation. Je voulais me faire baiser comme ça tous les jours de ma vie ! Sa grosse bite me pilonnait le cul, comblant le vide en moi. A chaque instant, je sentais sa présence dans mon corps, son désir fougueux pour moi. Mon corps l’excitait et pour moi c’était très gratifiant. Mes seins ballotaient toujours plus au rythme de ses assauts, je me sentais voluptueuse. Bientôt, il ralentit, certainement éreinté par la vigueur de ses ruades. En moi, le plaisir grandissant m’encouragea à pendre le relais et je me mis à improviser des mouvements de salope. Je m’empalai sur son braquemart pour continuer à sentir ses couilles me tamponner l’intervalle. Je me mis à pousser des petits cris aigus à chaque à-coup. Je trémoussais mon petit cul autour de sa grosse verge qui pénétrait mes entrailles. J’étais aux anges. Puis, hors de contrôle, ma bouche échappa : « Oh bébé ! oh ! Je t’aaaaiime ! »
Ça l’excita certainement puisqu’il se remit à me ravager l’arrière train. J’étais dans un état second, totalement soumise à ses ruades. Le gout de sa bite dans ma bouche me revint à l’esprit, une brise légère vint souffler dans ma raie, je pris conscience de mon état, habillée en pin-up, le corps épilé, le visage maquillé, ma chevelure de femme, le ballotement de mes seins, le robe relevée et les fesses à l’air, en train de me faire enculer par un mec que je connaissais à peine. Ses coups de bite en moi déclenchèrent des spasmes de plaisir qui s’accentuèrent et bientôt, je jouissais sur ma robe sans m’être touché la bite à aucun moment ! Le simple fait d’avoir été traité comme une femelle avait comblé mon désir et avait suffit à me faire éjaculer. Je n’en revenais pas de tant aimer la queue.
Je n’en revenais pas d’être aussi salope. Mon partenaire qui s’affairait encore dans mon cul avait assisté au spectacle de ma jouissance affranchie. Vu la façon dont sa bite entrait en moi, il était fou d’excitation par ce qu’il venait de voir.
« Mais quelle salope tu es toi ! »
– Oh oui mon chérie, continue de me baiser !
Il continua un peu mais ne put plus retenir longtemps sa montée de sève. Il se retira de mon cul et vint placer sa queue d’amour face à ma bouche. Il allait enfin me gicler au visage ! J’étais sûre que son sperme serait délicieux. Il se branla alors, pris de convulsions, son gland juste sous mon nez. Je tirai la langue et sa sauce chaude vint envahir ma gorge par rasades successives. J’en avalais un peu au passage, flattée d’être aussi désirable qu’une femme. Des giclées maladroites vinrent aussi sur mon nez, mes joues, mes lèvres. Ce nectar d’amour me couvrait la bouche. Son éjaculation était terminée et mon visage en portait les stigmates. Je pris sa bite dans ma main en la masturbant lentement. J’ouvris la bouche et finis de le sucer pour le remercier de tout ce qu’il venait de m’apprendre sur moi-même. Puis j’utilisai sa bite comme un outil pour venir récupérer le foutre échappé sur mes joues, mon nez et mon menton, et me refourrer tout dans la bouche pour avaler chacune de ses giclées. Puis, sa queue ramollit un peu, il se recula, la rangea dans son pantalon et ferma sa braguette.
Là, il se mit à rire et s’en alla sans même me dire un mot. Je me sentis terriblement humiliée. Je restai là, comme une idiote, ne sachant même pas où était ma culotte, le cul encore tout dilaté par la sodomie que je venais de subir, et son sperme plein la bouche. Etourdie par les émotions, je le regardai s’éloigner et retourner dans la salle où la fête avait lieu. Je ne savais même pas quel était son prénom. Il m’avait séduite. Salaud ! Il m’avait abusé.
N’ayant pas de mouchoir, je m’essuyai le visage avec la main, comme je pus. Je retournai dans la salle récupérer mes affaires pour rentrer vite chez moi, couverte de honte. « Qu’est-ce que je viens de faire ? » En rentrant dans la salle, je croisai un mec qui me regarda avec un sourire jusqu’aux oreilles puis un autre. Etaient-ce des amis à lui à qui il avait déjà tout raconté. J’étais tellement humiliée. Affolée, je bousculait un autre garçon qui me demanda gentiment: « ça va ? » La mine penaude, je répondis « Euh oui, merci ». Puis je pensai : « J’espère qu’il n’a pas senti l’odeur de tout le sperme que je viens d’avaler … »
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