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Sénario d’embauche

Sénario d’embauche



Lors de mes pérégrination sur les réseaux coquins du net,Après une longue discussion sur le net, j’apprends qu’un de mes « interlocuteurs », est le DRH d’une grosse entreprise. C’est à ce moment que j’ai un déclic et fantasme sur un entretient d’embauche plutôt chaud. Je lui parle de mon idée et il me propose de prendre RDV pour un entretient d’embauche pour le Lundi après-midi. Le jour dit, je me présente au secrétariat et demande à voir le DRH. Je porte pour les circonstances une jupe au dessus du genous, un chemisier et une veste. Je fais trés BCBG.

Mais, mes dessous sont plus affriolant.

Je patiente quelques minutes puis la porte du bureau s’ouvre et un homme de grande classe, habillé avec soin me propose d’entrer.
« Veillez vous asseoir Michèle. Depuis le temps que je souhaitais vous voir, le moment est enfin venu. » Me dit-il en me désignant un fauteuil devant son bureau.
Le fauteuil est profond et dévoile très haut mes cuisses. Il est resté debout devant moi et peut facilement plonger dans mon décolleté.

Le DRH, sûr de son autorité me déshabille du regard et pausément s’assoit sur son bureau pour commencer l’entretient. Les premières questions sont de classiques questions d’embauches. Mais rapidement, son interrogatoire dérive.
« Qu’elles sont vos mesurations jeune fille ? »
Le changement de ton me surprend mais j’essaye de garder mon aplomb en lui répondant :
« Heu mes.. mes mensurations .. je .. et bien mesure 1 m 70, je pése 60 kg Monsieur. »
Il ricane doucement et me lance :
« Et vos seins ! »
« 90 C Monsieur ! »
« Huuum enfin c’est ce que vous dite ! Enlevez votre jupe, vest et chemisier, je vous prie ! Que je juge de moi même ! »
Je me lève et docilement, les jambes un peu tremblantes, j’enléve mes vêtements et me retrouve au milieu du bureau juste en lingerie.

Exposée ainsi devant cet homme, un mélange de honte et d’excitation me submerge. Je sens comme des papillons dans mon ventre. Ma fente s’ouvre et s’humidife. Mes tétons durcissent. L’homme tourne autour de moi sans rien dire. Il juge mes formes et m’inspecte comme on le ferait d’un a****l de foire. Puis, il s’exprime à nouveau :
« Pas mal… Pas mal…. ôtrez votre soutient gorges ! Ëtes vous certaine de faire du 65 C ? »
« Heu oui Monsieur ! »
« Je pense que vous êtes une menteuse ! Donnez-moi votre soutif ! »
J’ôte mon soutient gorges et le donne au DRH. Mes seins souplement s’offrent à son regard. Il reste à les regarder frémir et inspecte mon soutient gorges pour vérifier la taille. Je rougie malgré moi et espére que personne ne rentrera dans le bureau.

Il fronce les sourcils en me regardant sévérement.
« C’est bien ce que je pensais ! Vous m’avez menti ! Vous avez de plus grosses mamelles que vous voulez bien le dire ! Je lis 95F et pas C ! »
Je bredouille impressionnée :
« Mais … heeuuu… C’est que je les trouve trop gros Monsieur ! »
Il sourit devant mon désarrois et me dit :
« C’est pas à vous de juger ! Je n’aime pas les menteuse ! Si vous avez des mamelles de vaches laitiéres, il faut l’assumer ! »

A nouveau, il me scrute. Je sais que mon string transparent peu laisser deviner mes lèvres vaginales. Sans doute extrêmement intéressé par cette vision, il se place dans mon dos. Ses mains se posent sur mes seins, sans que je ne réagisse. Il les masse de longues secondes, en silence.

Je sens la bosse dure de son pantalon entre mes fesses. Puis il se penche et me murmure :
« Tu es une petite pute ! Je vais t’apprendre comment on dresse des chiennes comme toi salope ! J’vais te baiser par tous les trous et te prêter à mes collaborateurs et clients ! Tu as bien compris comment je vais t’utiliser et ce que tu faire ?»
Ces mots vulgaires me font frissonner et contrastent avec l’aspect très classe de cet homme. Je lui réponds avec un timide sourire :
« Oui j’ai compris Monsieur. »
Satisfait, il saisit son téléphone et indique à sa secrétaire, je ne veux être dérangé sous aucun prétexte ! Prévenez juste Bertrand que notre nouvelle recrue est là. Il saura de quoi il retourne ! »
Une fois le téléphone reposé, il m’ordonne :
« Vient ici à quatre pattes salope et suce moi ! »
Je m’empresse de me mettre à quatre patte et docile , je me met à le sucer consciencieusement. Il admire, d’un regard très envieux, ma poitrine qui ballote au rythme de la pipe que je lui prodigue.

Pendant que je le suce, il triture mon sexe sans ménagement. Je débute de lents mouvements de va-et-vient le long de son mandrin tandis que, sans crier gare, il m’introduit son majeur dans l’anus qu’il perce sauvagement. Nos deux mouvements s’accompagnent, accentuant mes couinements et ses soupirs. Alors que je ne donne pas l’impression de vouloir le sucer plus loin que jusqu’à mi-longueur, son doigt quitte mon anus. Il tire ma tête en arrière en prenant appui dans mes cheveux et me gifle en me lançant agressivement :
« j’vais te montrer comment une pute doit sucer !»
Une main placée derrière mon crâne, l’autre sous ma mâchoire, il tire sans ménagement ma tête en direction de sa queue. Il y empale ma bouche, mes lèvres entourant difficilement son chibre. Des larmes s’écoulent de mes yeux. Je manque de plus en plus d’oxygène. Je bave abondamment sur son membre, sur mon menton. Il me souille le visage. Et continue à investir ma bouche, mon nez venant finalement heurter son ventre. Entièrement englouti, il n’en est pas pour autant rassasié et, malgré la pression de mes mains se crispant sur ses cuisses, mes yeux devenus vitreux, après avoir conservé son sexe au chaud durant de longues secondes, il me baise la bouche. Jusqu’à se décider à dégager ma tête, afin que je puisse respirer et reprendre mes esprits. 

La séance de gorge profonde, pourtant, se prolonge. Mon visage larmoyant, recouvert de salive, faisant couler mon maquillage. Il prend aussi plaisir à me déformer les joues. Une fois satisfait, il se lève tout en s’accrochant à mes cheveux pour me maintenir à quatre pattes. Il s’agenouille derrière moi imposant sa domination, il m’encule profond. Je veux crier mais les son reste au fonde de ma gorge. Il me défonce le cul sévèrement sans que je ne puisse me défendre.

Je ne cesse plus de crier et de pleurer. On frappe à la porte et un homme entre.
« Bonjour Bertrand ! Tu tombe bien, j’étais entrain d’essayer cette chienne ! Elle a le cul étroit la pute ! Fourre lui ta queue dans la bouche pour la faire taire ! »
Il n’en faut pas plus à se Bertrand pour m’enfourner la bouche avec son engin. Les deux hommes se congratulent en se tapant dans la main. Je suis secouée par ces deux bite et je suis prise malgré moi de convulsions que je ne maîtrise pas. Puis son chibre gagne mon vagin déjà humide qu’il comble dans toute sa largeur. Comme possédés, les deux hommes me pénètre en levrette, et me baise la bouche me faisant couiner comme une damnée.

Bertrand quitte ma bouche pour prendre la direction de mon anus. Désormais dilaté, il me sodomise plus facilement. Les deux queues me baisent sauvagement. Je me sens totalement remplie.

Enfin, me saisissant par les cheveux, ils sortent de mon con et de mon cul et se lâchent en grosses giclées de foutre sur mon visage et dans ma bouche.

Une fois pleinement satisfait, Ils m’ordonnent de me rhabiller, précisant :
« T’es une bonne pute dévouée ! Mais il faudrat que tu répondes à toutes nos convocation ! »
Je rassemble mes affaires et me rhabille tant bien que mal. Je sors de son bureau, sans un mot. J’ai le visage couvert de sperme et quand je passe devant une secrétaire, elle me jette un regard de dédain. Là je me rends compte que dans ma précipitation, je ne me suis pas nettoyé le visage. Je me rince le visage dans le lavabo des toilettes. Quelle aventure !!!!

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