Ma femme chez mes amis
Il y a de deux ans, nous étions ma femme et moi chez un de mes ancien camarade de
lycée , aujourd’hui médecin. Le repas était terminé, nous bavardions au salon. Mon
copain, posait avec insistance son regard sur mon épouse depuis le début de la soirée,
nous nous étions peu vus ces dernières années et ce soir là de plus ma femme avait mis
une jupe, ce qu’elle fait très rarement et mon copain jetait des coups d’œil prononcés
quand ma femme décroisait ses jambes, elle portait des collants foncés sous sa jupe
qui lui arrivait à mi-genoux et par moment elle tirait nerveusement sur le bas de
cette jupe ne faisant qu’attirer encore plus ses regards.
Sa vue se portait aussi vers le buste de mon épouse, car son chemisier blanc assez
léger laissait deviner par moment les motifs de sa combinaison et des bretelles de son
soutien-gorge sa poitrine plutôt forte tendait bien le tissu du chemisier.
Ma femme est du genre très classique, avec ce genre de lingerie et surtout très
pudique, or elle portait curieusement ce corsage plutôt transparent qui attirait l’œil
et mettait en valeur sa poitrine.
La conversation porta sur un examen qu’elle devait passer qui nous obligeait à faire
cents kilomètres en une journée le mercredi suivant , trajet qui pour l’instant posait
des problèmes encore non résolus. Mon copain après s’être enquérait sur la nature de
cet examen de routine pour un certificat nécessaire au travail de mon épouse s’exclama
alors :
– Mais je suis parfaitement habilité à produire ce certificat !
Sa femme confirma et quand son mari nous proposa de passer dans son cabinet attenant à
l’appartement je me suis souvenu après coup d’un regard entendu entre lui et sa femme.
Les deux femmes étaient très différentes, elle exubérante et ma femme réservée, et
j’avais remarqué qu’elles se chamaillaient parfois sur des broutilles.
Quand Mon copain nous fit asseoir dans les fauteuils en face de son bureau je
m’attendais à ce qu’il nous remplisse ce certificat sans tarder. La femme de mon
copain, avait pris place sur une chaise sur le coté. Mon copain posa quelques
questions relatives à l’examen à ma femme tout en continuant à fixer ses jambes. Je
sentais ma femme gênée.
– Tu comprendras, qu’avant de signer ce certificat je doive procéder au moins à un
examen de ta charmante épouse, aussi dois-je demander à ta femme de se déshabiller.
Je suis resté interloqué, mais mon regard fut tout de suite attiré par la réaction de
ma femme qui avait sursauté et s’était retournée vers moi en faisant non de la tête.
– C’est une plaisanterie, Pas question, dis-lui chéri enfin c’est pas possible.
– Oui ! Ca me semble plus que gênant pour elle, tu es mon copain.
Je ressentais l’ambiance équivoque qui d’un coup s’était installée. C’est
l’intervention de la femme de mon copain qui me décida, d’une voix douce elle lui
expliqua que c’était impossible pour son mari de faire ce certificat sans l’ausculter
et qu’il ferait très vite pour ne pas l’embarrasser, mais qu’elle devait pour cela se
dévêtir entièrement.
Ce dernier mot – entièrement- fit un effet terrible sur ma femme qui devint toute
rouge, mais provoqua alors chez moi je dois le reconnaître l’envie de voir ma femme
obligée de se mettre nue devant mon ami et sa femme. Ma femme s’était levée pour
quitter la pièce mais je l’arrêtais, pris d’une étrange sensation, mais je ressentais
le désir de la pousser à l’humiliation et surtout devant mon copain qui, maintenant je
le savais, n’attendait qu’une chose : se rincer l’œil avec elle.
– Il faut profiter de l’occasion d’avoir ce certificat, ce serait trop bête autrement.
– Mais tu te rends comptes de ce qu’il me demande, et toi tu veux que je me déshabille
devant lui ! !
– Mais enfin il est médecin, c’est normal pour un examen » rétorquais-je et je m’étais
levé face à elle pour lui barrer le passage.
– Je ne suis pas habillé pour un examen. Tu ne peux pas me faire ça. Non, j’aurais
trop honte pas devant ton copain.
Elle commençait à paniquer, la femme de mon copain se retenait de rire, tout cela
était incroyable, je trouvais ma femme si attirante dans sa pudeur. Une phrase absurde
me traversa la tête :
– Si tu veux, je sors…
Ma femme les yeux suppliants me demanda au contraire de rester.
– Si je me déshabille je veux que tu sois là.
Je me rassis alors comme pour assister à ce qui allait suivre, regarder ma femme se
déshabiller, chose aussi dont je n’avais pas le loisir chez nous, ma femme allant
toujours s’enfermer quand elle se changeait . Je me rendis compte combien la situation
était humiliante pour elle et je commençais à ma grande surprise à ressentir un début
d’érection. Mon copain lui salivait littéralement enfoncé dans son fauteuil, les yeux
exorbités par le désir… Ma femme demanda à mon copain si elle devait vraiment se
déshabiller complètement. Lui sentant que ma femme allait refuser définitivement cet
examen, les yeux rivé sur son chemisier puis sur ses jambes lui répondit :
– Rassures-toi, tu pourras garder ta culotte sans doute si je n’ai pas l’utilité d’un
examen plus poussé.
Ma femme eut un sursaut en entendant ces mots, elle n’arrivait à se faire à l’idée
finalement d’offrir un strip-tease à mon copain et à sa femme qui la fixait d’un air
narquois, elle se tenait toujours debout et elle eut comme un tremblement quand elle
voulut défaire le premier bouton attaché de son chemisier.
– Ce n’est pas possible, vous êtes tous les trois à me regarder !
Elle retendit ses mains vers son col, puis laissa retomber ses bras :
– Non , je ne peux pas.
La femme de mon copain lui coupa la parole :
– Ce sera très vite fait avec moi !
Elle s’était levée d’un coup. Elle avait attaqué le premier bouton du chemisier, puis
un à un, elle déboutonnait tout en ne quittant pas des yeux le visage de ma femme qui
se décomposait : je n’en revenais pas car ma femme se laissa faire. Les boutons
sautèrent les uns après les autres et d’un geste sec avec un grand sourire entendu en
direction de son mari tira en arrière sur le chemisier tout en tournant autour de sa
victime, elle tira le vêtement le long des bras de ma femme dévoilant son buste. Le
mouvement lui fit même redresser les seins et tendit les brettelles de la combinaison
et du soutien gorge blanc qu’elle portait dessous.
Le visage de ma femme était cramoisi . La femme de mon copain l’offrait aux regards de
son mari. Mon copain était devenu rouge à son tour en plongeant ses yeux sur les
dessous de ma femme. Moi aussi je prenais un plaisir en détaillant cette combinaison
et ce que l’on voyait du soutien-gorge. La femme de mon copain après avoir tombé le
chemisier s’attaquait déjà à la fermeture de la jupe. Ma femme était comme une
marionnette, elle tourna la tête en se mordant la lèvre inférieure quand la femme de
mon copain tira sur la jupe pour la faire tomber à ses pieds.
Ma femme était désirable en combinaison blanche, elle était offerte aux regards du
couple dans cette fine lingerie , jusqu’à la lisière de fines dentelles au-dessus de
ses genoux mon copain passait en revue toute sa silhouette, il prenait son pied
d’apercevoir au travers le collant sombre qui épousait ses hanches, et un flou
blanchâtre qui laissait deviner une large culotte. La combinaison collante bombait
légèrement au niveau du ventre, de face il devait mieux distinguer la culotte,
assortie au soutien-gorge… Mon copain ne put s’empêcher de faire un commentaire :
– Ton épouse est vraiment charmante.
– Mon mari veut dire que toutes ses patientes n’ont pas de tels dessous.
Quand la femme de mon copain voulu tirer sur les bretelles de la combinaison, ma femme
se rebiffa… elle recula et lui souffla au visage :
– Alors, enlève là toute seule !
Ma femme se pencha et attrapant la lisière de sa combinaison la remonta le long de son
corps… Mon érection était à son comble, celle de mon copain aussi qui s’activait
semblait-il sous le bureau les yeux fixés sur les cuisses qui se dévoilaient, puis sur
la taille haute du collant noir avec la culotte blanche et chair, ma femme se retrouva
à ce moment à moitié en collant et les bras engoncés dans la combinaison qu’elle
tentait de faire passer par-dessus son soutien gorge.
Mon copain lui se rassasiait de ce spectacle, sa femme lui désignait avec des gestes
équivoques et sans se gêner devant moi le haut du collant et la culotte renforcée…
puis ce fut au tour du soutien-gorge d’apparaître laissant mesurer la forte poitrine
de ma femme. Enfin libérée de la combinaison, qu’elle fit tomber par terre en
tremblant, ma femme se tenait les bras ballant en collant noir et soutien-gorge blanc,
le collant dont l’élastique ceinturait en une ligne parfaite son ventre en dessous de
son nombril et par dessous la culotte marquée d’un liseré fantaisie, le soutien gorge
avec armatures et bretelles larges à frise de dentelle et dont les bonnets laissaient
toutefois deviner les bouts des seins visiblement durcis par l’émotion.
Les yeux fermés, offerte, elle était mortifiée de honte… Je n’avais jamais pu
l’observer en sous-vêtements comme ça… Il y eu un long silence. C’est la femme de
mon copain qui au bout d’un moment voyant son mari se caressait sous son bureau est
passé derrière ma femme pour dégrafer son soutien gorge. Ma femme sans s’y opposer
d’abord, s’est brusquement retourné..
– Je t’en prie, non !
Elle avait d’un geste sec défait l’agrafe, ma femme a alors essayé de retenir les
bonnets sur sa poitrine en croisant ses bras mais la femme de mon copain a tiré
violemment sur le tissu élastique tout en criant :
– Les seins à l’air pour l’examen !
Cette phrase brutale a achevé ma femme qui a laissé partir son sous-vêtement , sa
lourde poitrine s’est alors balancée et mon copain a laissé échapper un son rauque de
plaisir, laissant présager une éjaculation. Il ne quittait plus des yeux les deux
seins mis à nu, une poitrine toute en rondeur, ferme mais un peu tombante avec des
pointes charnues…
C’est alors que la porte du cabinet s’est ouverte par surprise et que le beau fils du
couple est entré : il n’avait pas été du repas il était allé à une soirée, ma femme ne
l’avait vu qu’une fois auparavant, un grand gaillard boutonneux de 18 ans . Bien
évidemment il resta bouche bée devant la scène, tout en profitant de ce qu’il voyait
et de mater un max ma femme seins nus et en collant.
Ma femme interloquée qui en écartant les bras au lieu justement de cacher sa poitrine
ne savait plus quoi faire, elle parvint juste a articuler :
– Arrêtez… faites le sortir, je vous en…
Mais la femme de mon copain ne lui laissa pas le temps de finir et s’adressant a son
beaufils :
– Installe-toi, elle va enlever son collant à présent, et si ton beau père trouve que
c’est nécessaire pour l’examen Madame enlèvera aussi sa culotte.
Ma femme s’était retournée en mettant sa tête dans les mains et en trépignant
d’humiliation , elle nous offrait ses fesses moulées dans le collant et son dos nu qui
tremblait . Mon copain, comme moi d’ailleurs, dut avoir peur que la petite partie se
termine ainsi. Il se leva tant bien que mal et intimant l’ordre à son beaufils de
sortir il s’approcha de ma femme pour la réconforter et lui assurer qu’on allait vite
terminer l’examen. Inutile de préciser que son beaufils quitta la pièce en reculant
gravant dans sa mémoire l’image de ma femme à demi nue et en collant.
Ma femme ne cessait de répéter «c’est pas possible, c’est pas possible… puis sans
qu’on ne lui dise rien, après avoir essuyé ses yeux rougis du revers de sa main
gauche, comme un automate elle baissa son collant et le retira. Nous nous sommes tous
regardés. Le couple échangea un sourire et la femme de mon copain murmura :
– Cette fois c’est elle qui a envie…
Ma femme avait surtout envie que tout cela finisse et après avoir retiré son collant,
elle attendait en culotte qu’on lui dise quoi faire, les bras croisés sur sa poitrine
les yeux baissés comme soumise… Après tous ces événements je pouvais à peine bouger
tant mon sexe était dur… Mon copain sous prétexte d’une inspection mammaire lui fit
mettre alors les mains sur la tête et sans aucune retenue il palpa ses seins tout se
reculant pour la jauger des pieds à la tête s’arrêtant bien évidemment sur la culotte
: la vue de ma femme seins nus en culotte, les mains sur la tête en train de se faire
peloter par mon ami me fascinait.
C’est la femme de mon copain qui annonça la suite en rappelant à son mari que ma femme
devait s’allonger sur la table d’auscultation. Je l’encourageais en lui promettant que
tout serait bientôt fini; mais elle ne me répondit pas en se laissant conduire par mon
copain dans la pièce voisine du cabinet. Je me demandais bien ce qu’ils allaient
inventer où plutôt je n’osais l’imaginer en me demandant si maintenant on allait pas
trop loin, ma femme était résignée. Une fois allongée mon copain continua à lui
palper les globes des seins à pleines mains et faisait rouler les bouts sous ses
doigts, sa femme lui souffla quelque chose à l’oreille. Il n’osait aller plus loin
mais se résolu à dire :
– Pour terminer il faudrait juste que je pratique un court examen gynécologique…
Je n’osais comprendre mais Patricia qui avait compris sortit aussitôt de sa léthargie
:..
– Non, pas ça … chéri, ou es-tu ?
Je m’avançais tandis qu’elle ajoutait :
– Je veux partir… me rhab…
La femme de mon copain qui avait senti sans doute que j’allais flancher avait à ce
moment précis d’un coup sec tiré et descendu la culotte blanche sur les cuisses de ma
femme. Celle-ci plus que surprise hurla dans ma direction : je ne trouvais qu’à lui
dire en lui prenant une main :
– C’est bientôt fini, ma chérie, c’est bientôt fini…
Mais elle m’agrippait la main a présent, les mots se bousculant :
– Ils m’ont baissé ma culotte, regarde, ils m’ont baissé ma culotte. !
Des larmes jaillirent mais soudain elle eut un spasme… Je n’avais plus fait
attention aux gestes de mon copain et de sa femme depuis l’action surprise de la
culotte baissée… J’avais juste aperçu le coup d’œil soutenu de mon copain sur la
toison brune mise à jour, mais en regardant vers eux je les vis affairés entre les
cuisses de leur patiente forcée : sa femme avait écarté les grandes et petites lèvres
du sexe et mon copain la touchait au plus profond de son intimité.
Ma femme tenta de se relever. La femme de mon copain dit cette phrase à son mari :
– Remplace -moi, elle est à point !
Je n’en croyais pas mes yeux… : Elle avait plongé sa bouche dans le sexe de ma femme
et sa langue fouillait l’intérieur. Je criais :
– Arrêtez c’est dégueulasse ! ! !
Mais aucun des deux n’avait prêté attention à ma réaction et encore moins ma femme qui
se cabra sous la caresse buccale en laissant échapper un long gémissement plaintif :
elle se mit à glousser de plaisir tout se contorsionnant sur la table d’auscultation.
Je n’avais jamais vu ma femme dans un tel état….les yeux presque révulsés, la bouche
entrouverte à gémir sous la précision de la caresse qu’on lui infligeait. La femme de
mon copain avait relevé la tête avec un grand sourire et s’adressant à son mari :
– Occupe-toi de ses nichons, elle ne fait plus la malheureuse à présent.
J’étais stupéfait, ma femme se cambrait le bassin en avant en murmurant me semblait-il
! oui, encore.
La femme de mon copain repris de plus belle tandis qu’il lui pinçait le bout des seins
qu’elle dressait comme pour réclamer… ma femme gémissait sans retenue et dans un
sursaut ou son corps se tendit elle eut un orgasme comme jamais je lui avais vu… Je
n’en revenais pas, dépassé par la situation… Ils la laissèrent à demi
inconsciente… La femme de mon copain s’était plaqué contre le mur et avait baissé
son jean pour demander à son mari de se mettre à genoux et lui donner du plaisir.
J’aidais ma femme à se relever, remontais sa culotte et la conduisis vers le bureau,
elle se rhabilla sans remettre ni la paire de collant ni sa combinaison… Elle ne
disait pas un mot, les yeux baissés, piteuse, tandis que l’on entendait les râles de
plaisir de la femme de mon copain… Ils revinrent avant que nous ayons eu le temps de
nous éclipser. La femme de mon copain me dit :
– Ton épouse a pris son pied comme jamais, tu vois !
Ma femme le chemisier mal rajusté voulut la gifler, mon copain s’interposa et c’est
lui qui reçut la gifle. J’emmenais vite ma femme sans écouter mon ami qui voulait
qu’on attende qu’il rédige le fameux certificat. En avait-il la capacité, nous ne le
saurons jamais… En sortant nous avons croisé le beaufils dans le salon qui nous a
apostrophé d’un «elle est bien roulée ! ! » puis nous sommes sortis dans la rue en
nous demandant ce qu’il nous était arrivé.
Après cette aventure ma femme a accepté que je me livre à quelques petits jeux
érotiques avec elle du genre la faire mettre en culotte les mains sur la tête pour lui
peloter la poitrine. Bien évidemment me réclamant pour la première fois des
cunnilingus j’ai désormais droit aussi à des fellations même maladroites. Tout cela à
cause d’amis que nous n’avons bien sûr jamais revu.
Le mois dernier j’ai réussi à renouveler l’expérience de la faire se déshabiller en
public, et de plus devant une grande partie de ses collègues de travail.
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