Comme vous le savez déjà, tout est prétexte à me faire sauter. Tant que je le peux, je multiplie les expériences le plus souvent possible. Je suis bi et je goûte à tous les plaisirs de la vie. J’aime faire l’amour dans des lieux insolites et prendre mon pied. Grâce à la toile, j’aime narrer mes histoires, les romancer et les exagérer en poussant mes fantasmes les plus fous.
Pendant mes vacances au mois de Septembre de l’année dernière, j’ai pu ainsi multiplier mes aventures. Je vous en ai déjà raconté quelques unes. Mais j’avais envie de vous raconter celle-là qui est peut-être plus banale, mais que j’ai bien aimé.
Nous étions en Dordogne. Alain et moi adorons randonner et découvrir notre belle France en dehors des sentiers battus. Le hasard nous a emmené sur un vieux site Gaulois peu connu du grand public .
Comme il fait une chaleur caniculaire, je suis très légèrement vêtue, chaussure de marche, short top sans soutif. Nous suivons un chemin balisé, au milieu de rocailles et d’épineux. De temps à autre un lézard s’enfuit sous nos pieds. Je me dis qu’avec une chaleur pareil, il ne serait pas surprenant de tomber sur un serpent se dorant au soleil. Nous profitons pleinement de cette solitude dans un paysage sauvage et franchement magnifique..
Au bout d’une heure de marche, nous arrivons sur le site mégalithique qui surplombe un gouffre où coule une rivière. Nous faisons une halte pour admirer le panorama et nous désaltérer. Alain très coquin en profite pour m’arroser et je me retrouve avec un tee-shirt transparent. Je sais où il veut en venir. Donc je l’enlève et sans qu’il ait besoin de me le demander, je me mets à genoux, baisse son short, sort sa verge demi molle et comme une vorace, je commence à le pomper. Il bande rapidement et je malaxe ses bourse remplis de bon sperme.
Nous sommes seule au monde. Pomper sa queue dans une nature aussi vierge, avec juste le bruissement du vent dans les arbres et le chant des oiseaux et des cigales.
En pleine action, nous n’avons pas entendu un randonneur arrivé et qui sans bruit nous observe.
A cette instant, la seule chose à laquelle je pense c’est de me faire baiser dans ce site enchanteur. Je me mets nue et me tourne en me cambrant comme une chatte en chaleur invitant mon mâle à me saillir. Alain, écarte mes fesses et plonge sa langue dans le sillon de mon abricot détrempé de plaisir. Sa langue est douce sur mon clito. Je ne me lasse jamais de sel contact délicieux accompagné par le chant des oiseaux. Je gémis et me cambre n peu plus. Lorsque je vois notre randonneur voyeur. Au lieux d’arrêter notre manège, je lui fais signe d’approcher. Il percute aussitôt et vient vers nous en sortant son engin. Je n’en demandais pas tant et je goûte sa tige avec plaisir, enfouissant son membre au fond de ma gorge. Alain qui n’a encore rien vu est toujours plongé dans ma chatte à me brouter le minou et la rosette. Me sentant prête à jouir sous les effets de ses doigts et de sa langue, alors que je suce cette queue inconnue, Alain quitte ma chatte pour me prendre les hanches et me pénétrer de son sexe brûlant. Il a un moment d’arrêt en voyant se type qui se fait sucer et plutôt content de cette surprise, il me fourre d’un coup jusqu’à la garde. Il se met alors à me bourrer vigoureusement en agaçant mon clito. Une bonne queue dans la bouche, une autre dans la chatte et cette stimulation de mon doigt d’amour , ne tardent pas à me faire monter au septième ciel dans un orgasme qui surprend tant le randonneur inconnu, qu’il se lâche au fond de ma bouche. A part ses grognements, je ne connais pas le son de sa voix. J’avale sa crème par automatisme et sans mot dire, il remonte son short et reprend sa rando sans se retourner pendant qu’Alain continue à me bourrer. A nouveau seuls, ses vas et vient son plus sauvages. Au bord de la jouissance, il sort de mon con et m’asperge le visage et les seins de sa semence conjugale en me disant qu’il adorait la randonnée avec moi.
Nous restons un instant prostrés, savourant notre jouissance en pleine nature.
Souillée de son sperme, nous reprenons notre randonnée et dés que nous trouvons une petite rivière, je plonge dedans pour me nettoyer. Alain s’allonge dans l’herbe et admire sa naïade s’ébrouer dans l’eau claire.
Moi aussi j’adore les randonnées.
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