Des fois il faut être très très patient. Une fois qu’un contact se fait sur les sites de rencontres, il faut savoir attendre son heure. Ainsi j’ai pu organiser ce rencard avec une belle femme de 39 ans au love Hôtel de Paris à Châtelet. On avait discuté plus d’une année auparavant sur un site de rencontre de femmes mariées infidèles. Nos envies étaient en phase, notre infidélité assumée et l’endroit était enfin déterminé.
Je me retrouve donc sur place dans ce sexe shop assez fourni d’ailleurs, qui met à disposition des clients des chambres à thème dans son arrière boutique. Je fais un tour des rayons et la voilà qui s’amène. PAT était une motarde, le casque moto à la main, brune d’170cm, bottes de moto et un joli physique. Le temps de préparer la chambre, on a fait un tour ensemble des rayons. C’était assez irréel, de se retrouver avec quelqu’un la première fois et voir du porno dans chaque allée, mais comme on est la pour ça, on attendait juste le moment d’appliquer ce qu’on voyait.
On avait une heure devant nous avec la réservation et au diable l’avarice, j’avais pris aussi le jacuzzi.
Dans la chambre à thème miroir, on commençait à se déshabiller l’un à côté de l’autre. Je ne savais pas quand est ce qu’il fallait agir, et avant même d’y penser, elle a sauté sur ma bouche pour m’embrasser. Voilà qui commence bien! on s’embrasse fort en se caressant le corps puis on se dirige vers le jacuzzi. Le jacuzi était entouré de miroir sur les côtés et au plafond. On ne pouvait pas rater une action et ça nous excitait. A peine immergé dans l’eau, qu’on s’est mis à s’embrasser et à explorer nos corps. Elle a immédiatement dirigé sa main vers ma queue, qui était déjà dure, et ça lui plaisait de mes couilles et de remonter vers mon gland, code photo: qwerty. Je ne manquais pas non plus d’initiative, sous l’eau ma main, frôlait sa belle chatte rasée avec ses lèvres généreuses. Assis dans le jacuzi, je lui ai dit de se lever et d’écarter une jambe pour m’offrir sa belle vulve. c’était la belle chatte de la femme confirmée, les petites lèvres qui dépassent des grandes et qui sont un plaisir à lécher tellement ça lui donnait du plaisir. Face à moi, elle se voyait dans le miroir se faire lécher et doigter le cul et elle aimait ça.
Elle mouillait beaucoup et elle a interrompu son excitation pour m’offrir une belle fellation. Je ne savais pas si c’était le temps imparti ou son avidité sexuelle qui faisait qu’elle était très entreprenante et hâtive. elle a littéralement avalé ma queue dès le début, elle suçait bien, tellement bien que je sentais ma mouille couler dans sa bouche. je me voyais dans le plafond avec une belle brune sur ma queue. je l’imaginais encore en habit de motarde puis je l’ai saisi par la tête pour accélérer le rythme ce qui ne lui déplaisait pas. Elle léchait abondamment de chaque côté en caressant mes testicules.
On est sorti du jacuzzi puis on s’est dirigé vers la chambre avec sous mon peignoir, ma gaule que je ne cachais pas. Dans la chambre, elle s’est assise et s’est assurée en poursuivant la fellation que ma queue est toujours rigide. Pas de perte de temps, directe la levrette, elle était chaude et elle n’avait qu’une envie c’est de se faire démonter. Mon excitation était déjà au sommet. je caressais sa chatte pendant que je trépignais de prendre son petit trou. je l’ai pénétré et elle a poussé un cri de soulagement, elle s’est cambré et a posé sa tête contre le lit. Son vagin c’était comme du beurre, ça rentrait bien et ça lui procurait beaucoup de plaisir. J’ai compris alors, que c’était le type vaginal, car elle ne se touchait pas le clito pendant la pénétration.
Je la pénétrais à répétition avec son petit trou qui me faisait de l’oeil. plus j’y pensais, plus je le voulais. Il me semblais serré. je ne le voyais pas s’entrouvrir pendant la pénétration vaginale et ça c’est un mauvais signe de celles qui ne se font pas sodomiser. soit, je prends ma queue et je la tape contre son petit trou. Elle ne réagit pas, je la ressaisi vaginalement puis je me mets à doigter son petit cul. J’avais la vaseline qui était sur la commode mais je ne pouvais pas l’atteindre sans arrêter de la baiser. je ne voulais pas arrêter son plaisir, j’ai donc usé de ma salive et de sa mouille. j’ai mis un doigt puis deux dans son cul. c’était vraiment serré. dans l’euphorie de la baise, je l’allonge et je lui dit: je vais t’enculer!
Elle ne réagit pas, je retire ma queue de son vagin dégoulinant et je mets mon gland en face de son petit trou. je m’en doutais la préparation n’était pas très longue et la salive sèche vite. Le fait de l’allonger, ne lui permet pas de s’échapper de la sodomie et j’ai enfoncer ma queue en la tenant tellement c’était dur pour ne pas qu’elle se torde. j’enfonce mon gland qui disparaît dans son rectum, avec son cri de douleur. Je lui dit que j’y vais doucement, mais en vérité, je ne pouvais pas, j’étais si raide, dès que je poussais ma queue, elle bougeait et criait et moi ça m’excitait. je n’étais même pas arrivé à la moitié de ma queue que j’ai joui!
J’ai joui en silence et elle ne l’a pas remarqué, je me suis retiré et je pense qu’elle devait se dire, que je n’ai pas insisté pour ne pas lui faire trop mal. Je regrette surtout la mauvais préparation mais j’ai adoré ce moment ou j’avais ma queue entre ses fesses et l’idée qu’à 38 ans elle ne se fait pas démonter le cul si souvent que ça. Pour une motarde, ne pas aimer la sodomie, m’a laissé perplexe, mais petit à petit j’ai commencé à coller les morceaux dans ma tête (la vulve saillante, vaginale, le cul serré…) sans arriver à une conclusion encore…
Soit, je n’allais pas la laisser comme ça, elle était vaginale, et en enfonçant mes doigts dans son vagin, j’ai finalement compris et j’ai tout visualisé sur les pratiques de cette motarde. Elle doit aimé le fisting. En effet lors de ma pénétration vaginale, je n’avais pas senti la moindre résistance. Cette cochonne doit se faire dilater le vagin à coup de main et négliger son trou de cul. je lui donne ce qu’elle veut, et je la fist fortement, itérativement voire violemment et je peux vous assurer qu’elle a pris son pied en jouissant si fort que son cri s’est propagé aux chambres d’à côté.
Une fois sa jouissance retombée, elle s’est retournée et a pris ma queue à sucer. je la regardais amusé et elle ne comprenait pas. je l’ai laissé lécher et nettoyer ma queue de son sperme et je lui ai dit que j’avais joui dans son cul. Elle a souri et m’a dit qu’elle ne m’avait pas entendu!
On s’est rhabillé avec une dernière embrassade et pour une femme infidèle, elle ne craignait pas de sortir avec moi du sex shop. on s’est dit au revoir ou plutôt adieu!
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