Je nettoie bien mon plan de travail, puis je remonte vers les étages supérieurs pour l’embrasser, mais elle détourne le visage en riant. Je demande :
— Tu n’as pas aimé ?
— Si, c’était délicieux, mais tu sens trop la chatte !
— J’aime ton odeur…
— Tu es mignonne.
Tandis qu’on bêtifie, une grosse voix se fait entendre :
— Alors Samia, pour demain ?
Je fais la conne en répondant :
— Quoi, Monsieur Djibril ?
— Est-ce que tu viens ?
Malha se lève et me prend contre elle, on est peau à peau, seins à seins, ses poils caressent mon pubis épilé. Elle met ses bras autour de mon cou, en disant :
— On dansera ensemble.
— Bon… alors, je viens… pour toi.
Malha dit à son frère :
— Djibril, sois gentil avec elle, c’est une femme, pas une gamine… Arrête de la fesser.
— La ramène pas trop, toi. Rappelle-moi la dernière fois que tu as reçu une fessée ?
Elle rougit, enfin, j’imagine, parce que c’est difficile de rougir quand on a un teint… ambré. Elle me dit :
— Mets ma robe pour rentrer… Tu me la ramèneras demain.
— On ne se voit plus aujourd’hui ?
— On doit aller discuter avec le chef de la région, mais demain, on viendra vous chercher vers 14 h et on préparera tout ensemble.
— Tu resteras près de moi ?
La grosse voix de Djibril retentit à nouveau :
— Dis, Samia, t’as plus 8 ans. Oui, elle s’occupera de toi et si tu fais ce qu’on te demande, tu pourras passer la nuit avec elle. Mets la robe, je te raccompagne.
J’enfile la robe de Malha… Oh ! il y a des auréoles de transpiration sous les bras et… Ho, vos gueules les hormones !
Arrivée à la maison, je vais dans le jardin… Josiane est là avec les jumeaux. Je leur dis :
— Vous m’avez bien laissée tomber !
C’est Josiane qui répond :
— Qu’est-ce que tu voulais qu’on fasse ?
Jumeau 1 ajoute :
— On savait bien qu’il ne te ferait pas de mal.
— La fessée, je te jure que ça fait mal !
Josiane vient près de moi en disant :
— Djibril nous a fait un signe le pouce levé, on savait qu’il allait se racheter, c’est ce qu’il a fait ?
— … Euh…
— Mais dis donc, toi !
Elle me renifle, puis s’exclame :
— Tu sens la chatte ! Qu’est-ce que tu as fait ?
— C’est que… euh… je suis très souple.
Elle ouvre de grands yeux, puis éclate de rire. Je lui dis :
— C’est Malha, la sœur de Djibril.
— Aaah d’accord, elle t’a prise par les sentiments…
Djibril met fin à cet échange mondain en nous annonçant :
— Cet après-midi, je dois voir des gens importants. Je voudrais que les deux femmes en profitent pour faire le ménage à fond. Ça devient une porcherie, cette maison. Ramassez tout ce qui traîne, faites la vaisselle, donnez un coup de torchon par terre, prenez les poussières…
C’est tout, faut pas lui cirer les chaussures en plus ? Il ajoute :
— J’ai dit les femmes, Samia. Compris ?
— Ouais, ouais…
— Est-ce que c’est poli de répondre comme ça ?
— Non, monsieur Djibril, et oui, le ménage sera fait.
— Voilà qui est mieux… quand tout sera impeccable ici, vous pouvez aller dans la 5e maison en descendant, il y a une piscine. Vous pouvez en profiter, mais sans foutre le bordel.
Il nous traite vraiment comme des enfants, mais on dit tous « Oui Monsieur Djibril ». Il ne sait pas si c’est pour se foutre de lui ou pas. Il s’en va, le macho.
Qui a dit que c’était aux femmes de nettoyer ? Et là, j’ai une idée… je dis à Julien :
— Va chercher la valise
Il obéit toujours aussi vite et aussi bien. Quand il la pose devant moi, je lui dis :
— Transforme-toi en Giulia.
Pas un instant d’hésitation, ce qui lui vaudrait une raclée avec la cuiller… Oui, la même, et je sais qu’elle fait vraiment mal ! Il se déshabille, les jumeaux rient en voyant son petit sexe. Il met une mini, un top, des chaussures à haut talon et voilà Giulia. J’explique à Josiane :
— Djibril a dit les femmes, et voici Giulia, la nouvelle bonne.
Elle rit, puis s’exclame :
— Super ! Mais j’ai une autre idée.
Elle va dans sa chambre et revient avec une perruque blonde qu’elle met sur la tête de Robert. Les jumeaux éclatent de rire, eux aussi. Il faut dire Robert avec une perruque blonde, il y a de quoi se marrer. Les deux nouvelles « servantes » commencent à tout ranger et à nettoyer. Je dis à Josiane et aux jumeaux :
— C’est vrai que les femmes nettoient bien… Dites, si Djibril revient, vous me défendrez ?
Ils me le jurent. Jumeau 1 me dit :
— Tout à l’heure, on a été surpris et puis on avait envie de voir ce qu’il allait faire et… c’était si beau la cuiller sur tes fesses !
Ils n’ont pas de filtres, les frangins.
Pendant que les « femmes » font le ménage, je vais me laver… Ensuite, Josiane me propose :
— Si on allait à la piscine ?
— Bonne idée…
Il est déjà 15 h. Josiane crie :
— Plus vite les femmes de ménage ! Sinon, pas de piscine !
Ils sont déjà rouges et suants, mais ils se dépêchent… C’est cool d’avoir des servantes aussi dévouées. C’est vrai que la maison avait besoin d’un bon nettoyage. Je dis à Julien :
— Change-toi…
On part pour la 5e maison. La porte est ouverte et on entend déjà des cris d’enfants. Merde ! Il y a d’autres gens. Il s’agit d’un couple de Scandinaves avec leurs gosses. Je leur parle en anglais, ils sont sympas… La fille, très blonde, est à l’ombre d’un parasol. Je lui demande :
— Ça ne vous dérange pas si on fait du topless ?
— Pas du tout, on a déjà fait du naturisme, allez-y…
Le mari est d’accord aussi et les enfants n’ont pas l’air de se soucier de ce qu’on fait. Évidemment, il n’est pas possible de « jouer » devant les Suédois… Alors on se baigne. Les jumeaux ont du mal à ne pas regarder nos nichons. On envoie les maris acheter à boire, quelque chose d’alcoolisé. Josiane donne de l’argent à Robert, en fait, son argent. Ils vont dans le magasin du village et reviennent avec des bières et du vin. En principe, on ne vend pas de boissons alcoolisées ici, mais on est des touristes et on paye. On donne une bière aux Suédois.
Les jumeaux boivent aussi, bien que ce ne soit pas habituel. Ça m’arrange, parce que j’ai envie de leur demander quelque chose. Je différencie bien les jumeaux, maintenant, mais je ne retiens pas leurs prénoms. Mon préféré, je l’appelle N° 1. On nage et on s’amuse dans la piscine. N° 2 joue à la balle avec les enfants, tandis que N° 1 se repose appuyé sur le bord de la piscine. Je m’approche de lui jusqu’à ce que le bout de mes seins s’appuie sur sa peau douce. Il s’immobilise comme paralysé par le contact de mes nichons. Je lui dis :
— Tu as vu comme on regarde les marques sur le haut de mes cuisses ? C’est vraiment gênant. J’en ai marre des sévices de Djibril. Je n’irai pas à la soirée demain… Je vais peut-être retourner à Marrakech.
Oulah, N° 1 fait une de ces têtes. Il me supplie pratiquement :
— Oh non, ne nous fait pas ça, je t’en prie !
— Je ne sais même pas ce qui va se passer. Si ça se trouve, il va me fouetter pour amuser ces putains d’investisseurs.
— Non ! Je te jure…
— Alors, raconte-moi ce que Djibril t’a dit…
N° 2 arrive au secours de son frère qui perd pied.
Vous savez que certains jumeaux inventent une langue à eux que les autres ne peuvent pas comprendre ? Ben, si… Ils parlent en jumeau bas et vite. Donc je ne comprends rien. On a de l’eau jusqu’à la taille et je plonge la main dans leurs maillots. Ouch ! Radio jumeau s’arrête net. Par contre, leurs bites grandissent entre mes doigts… N° 1 me demande :
— Tu jures de ne pas répéter qu’on te l’a dit ?
— Je le jure !
Alors ils me racontent en se relayant :
— Il y aura une grande soirée aux cascades.
— C’est très important pour la région.
— Il y aura un DJ, plein à boire et à manger.
— Et aussi de très belles filles.
C’est un peu comme si j’assistais à un match de tennis, je passe d’un jumeau à l’autre… Je leur demande :
— Quelles filles ?
— La sœur de Djibril, une de ses amies, deux belles Marocaines et…
— Et puis Josiane et toi.
Il s’arrête. Je leur redemande :
— Qu’est-ce qu’on devra faire ?
Là, ils se bloquent tous les deux. J’accentue la pression de mes doigts sur leurs sexes qui frétillent dans mes mains…
Les Suédois se lèvent et nous disent au revoir… Ils ont rendez-vous avec un guide. Güt. On est seuls… Josiane s’approche de nous en disant :
— Vous faites quoi ?
— Les jumeaux me parlent de la soirée.
On est toutes les deux en face des jumeaux qui déballent tout : « On devra distraire les investisseurs, ce qui ne sera pas un problème, puisque nous sommes du genre à se coucher en écartant les cuisses, quand on nous propose de nous asseoir ».
Je reconnais le style de Djibril… Josiane et moi, on se regarde en riant. C’est vrai qu’on n’est pas tellement farouches. Je dis à N° 1.
— Continue.
— Il nous a promis qu’on pourrait baiser les filles, après les hommes importants…
— Et même vous… On a tellement envie de vous…
C’est mignon, non ? Et puis ça me plaît qu’ils baisent leur belle-mère… Je dis :
— Et c’est tout ?
— Non, vous recevrez des cadeaux.
Josiane leur fait remarquer :
— Si vous aviez envie de me baiser, fallait simplement me le dire.
Les deux numéros ensemble :
— Tu serais d’accord ?
— Évidemment et Samia aussi. Hein chérie ?
— Mais oui, bien sûr. Toujours d’accord pour me faire baiser, moi.
Ils nous regardent tous les deux, comme s’ils étaient affamés, et nous, deux gros gâteaux au chocolat et crème fraîche ! Ils demandent :
— Maintenant ?
Josiane répond :
— Oui, on rentre, on boit un coup et on le fait. Mais avant ça, faut penser aux maris.
Elle crie :
— Les maris à poil !
Après qu’ils se soient déshabillés, elle leur jette :
— Allez, dans la piscine !
Oh ? Elle se préoccupe d’eux maintenant ? Elle leur lance une balle en disant :
— Vous pouvez jouer.
Ils obéissent. Putain, ces deux-là, la cigogne qui les apportés a dû égarer leurs paires de couilles en chemin !
Je sens la main du N° 1 sur mes fesses tandis que N° 2 tète goulûment les seins de sa belle-maman.
A suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici : [email protected]
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