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La diplomate (6e partie)

La diplomate (6e partie)



Valerie avait perdu ses repères dans l’espace et dans le temps. Heureusement, elle partageait maintenant sa cellule avec Emilie Brancheux, de l’ambassade, ce qui lui permit de ne pas sombrer dans la folie. Les nouvelles qu’elles lui avaient donné étaient préoccupantes. Ses géoliers ne semblaient pas disposés à la liberer, malgré tous les efforts qui avaient été fournis. A priori, une rançon avait également été payée. Le temps leur paraissait interminable. Parfois elles discutaient ensemble, se soutenaient moralement, puis à d’autres moments, elles restaient silencieuses, et s’entendaient juste respirer l’une l’autre.

Les journées étaient rythmées par les passages des soldats pour les repas, qui les malmenaient de plus en plus régulièrement. Valerie demanda à voir le capitaine à plusieurs reprises, mais sans succès. Le geolier jouflu passait de plus en plus de temps dans sa cellule, prenant plaisir à lui maltraiter les seins, les giflant et les pinçant, encore et encore.

Emilie Brancheux tenta une approche protocolaire avec les gardes, leur rappellant certaines conventions internationales, et son statut d’attachée d’ambassade. En retour, elle fut plaquée debout au mur, tenue par les bras par deux soldats, et se prit deux coups de matraques sur la chatte. Elle hurla de douleur, voulut se plier en deux et s’allonger sur le sol, mais les soldats la maintenir debout, et elle se fit masturber par trois doigts qui allèrent à toute vitesses dans sa chatte. Valerie l’entendait pleurer, et entendait également le bruit de plus en plus mouillé de la chatte d’Emilie. Les soldats riaient, se relayant quand l’un commençait à avoir mal à la main. Valerie ne disait rien et se faisait la plus discrète possible, de peur de subir le même sort.

Plusieurs soldats se succédèrent, entrant à un ou à plusieurs dans la cellule.
Ce n’étaient plus leurs doigts, mais leurs queues, qu’ils enfonçaient dans la chatte d’Emilie.
Et Valerie comprit rapidement que ce n’était pas que sa chatte qui était visitée.

Elle voyait les gardes se mettrent à deux derrière la pauvre prisonnière, et la baiser en même temps. Il devait y avoir une quinzaine de soldats dans la pièce, entourant Emilie. Valerie l’entendait gémir et pleurer. Un soldat la sodomisait brutalement avec un sexe démesuré sortit de son cul, qui n’avait jamais connu de telles pratiques, et s’approcha de Valerie. Cette dernière sentit son coeur battre de plus en plus fort. Il lui présenta son gland devant son visage et lui fit signe de le sucer. Valerie avait peur. Dans de telles circonstances, on imagine le pire. Elle prit le gland du soldat dans sa bouche, en douceur, et commença à le sucer. Sa bouche fut envahie d’un gout de sexe sal, et de cul. Elle suçait et l’homme se laissait faire. Elle n’avait jamais eu un engin aussi énorme dans sa bouche. Elle sentit son sperme exploser en elle et la submerger. Elle toussa et cracha tout en faisait sortir le gland, le foutre coula à profusion le long de sa bouche vers son menton, pour couler par terre. Elle leva les yeux, et deux autres soldats attendaient leur tour. Elle prit la queue la plus proche dans sa bouche, et la suça. Il ne tarda pas non plus à éjaculer dans sa bouche. Valerie regardait le nombre de soldats de plus en plus nombreux autour d’elle. Elle comprenait qu’après avoir baisé une prisonnière, ils allaient se finir dans la bouche de l’autre. En prenant les queues en bouche, elle devinait assez rapidement si elles étaient allées dans la chatte d’Emilie, ou dans son cul. Le sperme giclait à chaque fois dans sa bouche. Elle ne savait pas trop où elle en était, elle avait l’impression qu’il y avait toujours autant de queues face à elle et de corps qui attendaient leur tour. Pour certain, c’était trop long d’attendre, alors ils se branlaient et éjaculaient sur son visage. Elle se sentait aspergée de toutes parts, tandis qu’elle continuait de vider des couilles en suçant des queues une à une. Quand ce fut fini, elle se laissa tomber sur le coté, et essayait de faire le vide dans sa tête. Le noir était à nouveau retombé dans la pièce. Elle entendait Emilie pleurer. Elle n’osait pas lui parler. Que pouvait-elle dire pour la réconforter.

Le soldat jouflu apporta le repas peu de temps après. Il regarda un moment Emilie qui pleurait, et posa une assiette à coté d’elle. Il lui attrappa un mamelon, et le pinça et en faisant tourner entre ses doigts, jusqu’à la faire crier. Il donna de petites tapes sur la pointe de ses seins. Puis il s’approcha de Valerie, et posa une autre assiette à coté d’elle. Il lui saisit un mamelon à son tour, et commença à le pincer fermement. Un autre soldat entra dans la pièce, visiblement alerté par les cris d’Emilie, et alluma une lampe torche. Le soldat jouflu lacha aussitot le mamelon de Valerie, et s’écarta un peu, visiblement mal à l’aise.

C’était un soldat d’une cinquantaine d’années qui venait d’entrer. Il sagissait à priori d’un gradé, que Valerie n’avait pas encore rencontré. Il braqua sa lampe vers le visage d’Emilie, puis vers Valerie. Il lacha une phrase agressive en arabe, mais cette fois-ci, n’étant pas adressée aux filles. Il semblait scandalisé de leur état. Il fallait dire qu’elles étaient couvertes de foutre séché, et hormis ça, qu’elles étaient vraiment sales. Le gradé respira par le nez à quelques reprises, pour faire comprendre que l’odeur dans la pièce était forte. Il braqua sa lampe un peu partout, dans chaque recoin de la pièce. Il fit signe à Valerie de se lever, et ordonna au soldat jouflu de détacher Emilie. Les deux femmes se mirent debout et s’approchèrent du gradé, qui leur parla doucement, et leur indiqua de se diriger hors de la pièce. Il cria après le soldat jouflu, sortit à son tour de la cellule, ouvrit un placard situé non loin, et sortit un seau, un balai et une serpière. Il les lança en direction du soldat, lui ordonnant de nettoyer la pièce. Le soldat jouflu gromela en ramassant le balai. Le gradé fit signe aux femmes de le suivre, et il les amena dans autre pièce, située au même étage. Ils croisèrent quelques gardes, dont certain qui avaient participé à l’orgie du matin, qui se mirent au garde à vous sur leur passage. Certains semblaient génés et s’oserent pas croiser le regard des femmes.

La pièce dans laquelle ils venaient d’entrer était assez grande, et semblait être une pièce appartenant au gradé. Il y avait de nombreux objets personnels, ainsi que des photos fixées au mur. Dans un coin se trouvait un lit, dans un autre, un canapé, face à une télévision. Une table se trouvait au centre de la pièce, où se trouvait une coupe de fruits. Il indiqua une porte dans le fond de la pièce.

– Salle de bain, dit-il avec un certain accent. Lavez vous je vous prie… Et mangez si vous voulez.

La voix du gradé était bienveillante et posée. Les deux femmes ne se firent pas prier pour prendre des fruits et les manger. Le gradé les laissa faire, puis dit à nouveau :

– Je m’appelle Nadir. Je suis sergent. Je rentre d’operation… Et je suis assez désolé de voir ça…

Il ouvrit un placard, et sortit deux serviettes blanches, qu’il tendit aux femmes. Valerie en saisit une, et se dirigea en première vers la salle de bain. Celle-ci était propre et bien rangée, ce qu’elle apprécia, et elle remarque plusieurs savons à disposition, encore dans leurs emballages. Elle en prit un, et fit couler l’eau de la douche. Elle la règla pour qu’elle soit tiède, légérement chaude, et se plaça sous le pommeau. Le contact de l’eau sur sa peau lui fit un bien fou, et une douce odeur de parfum se fit sentir tandis qu’elle déballait le savon.
Emilie entra à son tour dans la pièce, et sans se faire prier, rejoignit Valerie sous la douche. Cette dernière était en train de se savonner copieusement, son corps se couvrait de mousse, ses bras, son corps, ses seins, ses jambes, et évidemment aussi ses parties intimes, vraiment négligées depuis plusieurs jours. Elle se sentait de suite beaucoup mieux. Emilie en fit de même, savonnant sa chatte encore et encore. Elle se sentait tellement sale et souillée. Ca lui faisait tellement de bien de redevenir propre qu’elle se savonnait en se masturbant en même temps, discretement, agitant ses doigts plein de mousse et de savon sur son clitoris.

Les deux femmes se rincèrent, puis se séchèrent avec les serviettes que leur avait remis Nadir, puis sortir de la pièce, en enroulant les serviettes autour de leur taille. Nadir avait allumé la télévision, et fit signe aux femmes de s’installer dans le canapé.

– Reposez vous, je dois vous laisser, mais ici personne ne viendra vous déranger. Je vais parler de vos conditions au capitaine.
Il s’inclina légèrement, puis prit une casquette qu’il posa sur sa tête, et sortit de la pièce. Les deux femmes s’installèrent confortablement. Elles se sentaient bien, en sécurité pour le moment. Le programme à la télé ne les interressèrent pas particulièrement, il sagissait d’une production locale, une sorte de serie à l’eau de rose. Elles s’endormirent au bout de quelques instants, épuisées, relachant un peu la tension qu’elles avaient depuis plusieurs jours.

Lorsque Valerie se réveilla, Nadir était rentré, et s’était changé. Il portait un sarouel et un tshirt blanc. Il avait visiblement pris une douche, ses cheveux étaient encore mouillés.

Emilie n’était plus là.

– Bien reposée ? fit Nadir d’une voix douce.
– Oui, merci, répondit Valerie, en lui adressant un sourire en signe de reconnaissance.
– J’ai ordonné que vous ayez chacune une chambre, juste en face de la mienne. Vous aurez un lit, et une tenue propre.
Valerie se leva, s’enveloppant à nouveau correctement dans la serviette. Nadir la regarda et pencha un peu la tête sur le coté, comme s’il attendait quelque chose. Valerie vit que deux assiettes étaient servies sur la table, avec de la viande et quelques légumes. Une troisième assiette était vide.
– Emilie a déjà mangé, et elle est partie se reposer dans sa chambre.

Comme les yeux de Nadir continuait de la deshabiller du regard, elle fut un peu génée. Elle se demandait s’il souhaitait lui aussi la voir nue et qu’elle retire sa serviette, mais elle n’était pas sure, car il avait montré une veritable bienveillance et n’avait montré aucun interet pour elles jusqu’à présent. Elle ne voulait pas l’offenser ou faire une maladresse.

– Vous… Vous voulez quelque chose ?
– Juste être sur que vous allez mieux.
– Oh oui… Tellement…
– Venez vous assoir à table, venez manger.
Valerie fit quelques pas vers la table, et Nadir lui tira une chaise pour l’inviter à s’assoir. Elle le remercia, et s’installa, tandis que Nadir lui avançait la chaise. Il fit le tour de la table, s’arrêta devant un meuble, dont il ouvrit un tiroir, et en sortit un téléphone satellite. Il retourna ensuite s’assoir, face à Valerie.
– N’en parlez pas au capitaine… Nous sommes d’accord ?
Il montra d’un geste de la tête le téléphone qu’il avait posé sur la table. Valerie mangea une nouvelle bouchée, fit signe qu’elle ne dirait rien. Nadir prit le téléphone, et composa quelques chiffres pour l’international, et demanda :
– numero de votre mari ?
Valerie eut comme un vertige. Elle récita les numeros, elle avait peur de se tromper, d’avoir oublié ces chiffres, mais ils revenaient un à un à son esprit. Une fois le numero composé, il tendit le téléphone à Valerie. Elle le porta à son visage et entendit sonner. Son coeur battait la chamade.
– Allo, fit une voix en décrochant.
C’était la voix de son mari. Elle l’avait tout de suite reconnu.
– Allo… Allo ! c’est moi !
– Valerie ???!!!! Ou es tu ??
Nadir fit signe de ne pas répondre.
– Je… Je ne peux pas te dire… C’est dur cheri…. Mais là ça va mieux, depuis aujourd’hui… Une belle rencontre, une personne m’a autorisé à vous téléphoner… Et il nous aide…
– Comme ça fait du bien de t’entendre… Que cet homme soit béni ! On ne pourra jamais le remercier assez ! Nous sommes en pourparlés avec un groupe pour ta liberation, nous devons rencontrer un responsable la semaine prochaine !
– Je… On me fait signe que je dois raccrocher… Je t’aime… Embrasse notre fille… Je vous aime…
– Je t’aime aussi ! Courage et sois forte !
Valerie raccrocha et tendit le téléphone à Nadir.
– Merci Nadir… Merci tellement… fit elle en pleurant.
Elle termina son assiette, tout en repensant à l’appel qu’elle venait d’effectuer. Elle se sentait tellement légère, alors que ce matin, elle était encore prostrée par la peur dans sa cellule obscure.
Une fois qu’ils eurent fini de diner, Nadir offrit un thé à Valerie. Cette dernière la prit par la main alors qu’il s’éloignait.
– Merci Nadir… Je ne sais pas comment vous remercier pour tout ce que vous faites.
Nadir avait un visage amical, elle sentait beaucoup de bienveillance dans son regard. Elle voulait vraiment le remercier. Chose étonnante, elle n’avait pas été violée durant sa captivité dans l’autre cellule. Maltraitée, certes oui, aspergée de sperme, mais jamais violée. Elle se leva, et fit tomber la serviette par terre, se retrouvant nue, exprès, face à Nadir.
– Je veux vraiment vous remercier… murmura t-elle.
– Vous êtes certaine ?
Valerie hocha la tête, en tirant la main de Nadir pour l’entrainer vers le lit. Elle s’allongea tandis qu’il se déshabillait. Le corps de Nadir était musclé, malgré le fait qu’il abordait la cinquantaine, et il avait quelques cicatrices sur la poitrine et le bras. Certaines semblaient reçantes, comme des griffures. Lorsqu’il baissa son sarouel, il dévoila un sexe assez démesuré, rien à voir avec son mari, se dit Valerie en fixant le penis large et gonflé de Nadir.
Il s’allongea sur Valerie, qui écarta les cuisses, et il présenta son gland contre sa chatte.
– Doucement, fit Valerie, d’une voix calme et affectueuse.

Nadir l’attrappa fermement par les hanches, et lui enfila d’un coup sec son sexe au fond de la chatte. Valerie poussa un hurlement de surprise, et Nadir se mit à lui démonter la chatte avec force et vigueur. Il tapait très vite au fond d’elle. Valerie poussa de longs gemissements. Nadir la gifla à deux reprises pour la faire taire, puis la retourna, et lui écarta les fesses.

– Non ! fit Valerie.

Sans attendre, Nadir plaça son gland énorme contre l’anus de sa prisonnière, et il commença à forcer l’entrée. Il lui fit tendre les fesses, et lui plaqua la tête dans le matelas. Il appuyait son gland de toutes ses forces, qui entrait petit à petit. Puis il la saisit par les hanches, et l’encula brutalement. Ses couilles se retrouvèrent contre son cul. Il se mit à taper fort, encore et encore. Valerie criait.

– Doucement ! supplia t-elle.

Nadir n’écoutait pas. Il n’avait pas écouté Emilie non plus.
Il enculait Valerie sauvagement.
– Dis moi merci encore une fois… Allez dis merci….
A l’exterieur, les soldats ricanaient en entendant le sergent faire couiner sa prisonnière. Il n’y avait aucune chambre face à celle de Nadir. Juste un couloir, qui donnait sur d’autres cellules.
Emilie avait voulu le remercier aussi. Elle l’avait sucé, et il l’avait enculé tellement à sec que ça lui avait déchiré le cul. Et comme elle se débattait trop, il avait été obligé de la faire taire. Les gardes étaient en train de jeter son corps quelque part dans le desert.
Valerie encaissait mieux, elle avait un bassin plus large. Il sortit sa queue, et éjacula dans le cul qui resta largement ouvert devant lui. Valerie pleurait, tandis que Nadir l’attrapait par les cheveux, en direction du couloir.
Aucune porte face à la sienne, Valerie comprit que Nadir lui avait menti depuis le début. Il la tira jusqu’à une pièce, visiblement un dortoir, où se trouvait une dizaine de gardes. Il lança un ordre en arabe, puis regarda Valerie.
– Je leur ai demandé qu’ils te fassent la chatte, tous. Mais pas ton cul. Ton cul est à moi.
Valerie cria, tenta de résister, mais des bras l’attrapèrent et l’immobilisèrent. Elle se fit baiser pendant plus de deux heures, se faisant ramoner la chatte encore et encore.
Puis elle fut raccompagnée à sa cellule obscure, où l’attendait le soldat jouflu.
Il lui pinça et lui tourna les seins si longtemps qu’elle ne sentait plus rien à la fin de la nuit.

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