Je m’appelle Thomas. J’ai 36 ans et depuis 4 ans, j’ai abandonné ma petite vie tranquille de cadre en assurance pour pratiquer ma passion: l’hypnose. Les débuts furent difficiles car beaucoup de gens s’avèrent plus que sceptiques quant à ma discipline souvent assimilée à du charlatanisme. Pourtant, ça marche! Avec l’aide d’Internet et du bouche à oreille, j’ai réussi tant bien que mal à percer et je gagne aujourd’hui correctement ma vie. Étant célibataire depuis une éternité, je mène donc une vie un peu « plan-plan », succédant les séances d’hypnose de fumeurs désespérés ou de gourmands compulsifs qui voient en mon art un moyen de stopper leurs penchants qui les fait souffrir. Tout allait bien jusqu’au jour ou j’ai reçu un appel d’une patiente pas tout à fait comme les autres. C’était Charlène. Ma dernière ex! Cela remonte à mes 18 ans (oui je sais, je suis ce que l’on appelle un célibataire endurci.) Elle avait entendu parler de moi par des connaissances et elle souhaitait bénéficier d’une séance d’essai. Nous convenons d’un rendez-vous deux semaines plus tard, en fin de journée car elle était très prise par son travail. Ce sera donc mon dernier rendez-vous de la semaine.
Deux semaines! Une éternité à réfléchir au passé. Nous étions ensemble à la fac. J’étais fou de cette fille! C’était une bombe! Un corps parfait: 1,70m, des cheveux mi-long châtain foncé, un visage de mannequin, et sans oublier un joli 90D, ventre plat et un derrière à faire bander un curé! Je l’avais dans la peau… mais elle m’avait largué comme une vieille chaussette avant même que l’on puisse passer aux choses sérieuses pour un fils de riche de la fac, qui, lui, n’avait pas mis longtemps à la mettre enceinte. Elle avait quitté ses chères études de psycho, disparaissant de ma vie jusqu’à aujourd’hui.
C’est donc à 19h dans cette chaude journée de vendredi que je la revis dans ma salle d’attente. Elle était superbe! Comme si le temps n’avait eu aucun impact en 18 ans! Elle me fit un large sourire. Moi, professionnel (et encore en colère de ce qu’elle m’avait fait!), je me contentais d’être strictement professionnel.
Elle m’expliqua que sa vie était difficile en ce moment. Son couple était une catastrophe et elle s’était mise à boire depuis quelques semaines et elle y prenait de plus en plus goût. Elle en était effrayée. Aussi, elle avait besoin de mon aide pour la libérer de cette dépendance.
Pendant que je l’écoutais, je ne pouvais m’empêcher d’admirer son corps, parfaitement entretenu dans sa petite robe noire d’été. Mais très vite, nous sommes entrés dans les choses sérieuses. Autant être clair, elle venait à reculons me voir sur les conseils d’une amie patiente que j’avais débarrassé de sa dépendance à la cigarette. Elle, elle n’y croyait pas. Aussi, elle me demanda avec un aplomb incroyable de lui faire une séance d’essai gratuitement… en souvenir du bon vieux temps! BON VIEUX TEMPS!!!! Non mais elle est gonflée celle-là! Néanmoins, sûr de moi, je jouais le jeu!
Je lui expliquais le côté aléatoire d’un tel traitement, 5% des patients étant totalement insensibles à l’hypnose et, à l’autre extrémité, 5% étant ultra réceptifs. Elle le savait!
La séance commence. Après 5 min de relaxation, elle était prête. Elle n’écoutait que ma voix, parfaitement détendue sur le divan. « Je vais compter jusqu’à 5 et vous vous endormirez dans le plus profond sommeil de votre vie » 1,2, 3, 4 5… Elle s’affaissa d’un seul coup! Elle faisait partie des 5″ bons » pourcents. Après quelques minutes durant laquelle je lui suggérait d’abandonner l’alcool, elle était prête pour que je la ramène.
Je m’attardais sur son corps, inerte, reposé. En un instant je perdais le contrôle: « Vous allez sentir le contact de mes mains sur vous, laissez vous aller. » Je posais ma main sur son genou droit. Puis je remontais ma main, doucement, profitant du contact velouté de sa peau à nu. Peu à peu sa petite robe légère remonte me laissant admirer ces jambes interminables jusqu’à arriver à un magnifique shorty en dentelle rouge. Je passais ma main sur son pubis que je devinais parfaitement épilé, puis sur son sexe qui laissait transparaître une douce humidité. Je quittais son sexe et m’enhardis en tirant sur la fermeture de sa robe que je n’eus aucun mal à retirer. Elle était là, en offerte, en sous-vêtements coordonnés, la tête légèrement tournée vers moi ce qui eut l’effet d’entre-ouvrir légèrement sa bouche. Je me débarrassais de mon pantalon et de mon boxer, présentant ma formidable érection à l’entrée de cette bouche offerte. Je m’enfonce… quelle douce chaleur! Je commence mes va-et-viens dans cette grotte qui m’accueille et en profite pour sortir les seins de ma belle au bois dormant de sa prison de dentelle. Ils étaient un peu plus gros que dans ma jeunesse. Certes, légèrement plus tombants qu’il y a 18 ans mais encore parfaitement fermes. Je sortais de sa bouche pour mettre ma queue dans cet étau de chair si doux et chaud. Au bout de quelques va-et-viens, ils sont enduits de mon liquide pré-séminal. Je m’arrête là. Je veux bien plus. J’enfile une capote et je la débarrasse de son shorty et je découvre alors une partie de son corps qui m’était jusque là inconnue. A moitié sur le coté, j’entrepris de passer derrière elle sur le divan. Ma queue se glisse entre ses fesses parfaites et ne tarde pas à trouver le chemin. Je m’enfonce doucement pour ne pas la sortir de cet état de transe dont je profite allègrement. Les cinq minutes les plus agréables de ma vie! Je sens la jouissance qui monte. Je me retire. Elle retombe sur le dos, les jambes légèrement écartées. Je retire ma capote précipitamment. Juste à temps pour jouir la plus grosse quantité de sperme de ma vie. Un premier jet viens se répandre sur son sein gauche, son cou et son menton, avec quelques éclaboussures s’aventurant sur son nez et coulant sur ses lèvres entrouvertes, Une deuxième sur son ventre et son pubis. La dernière, moins violente, sur ses cuisses. Quel pied!
Je restais là, deux minutes, à admirer ma belle endormie, inerte, couverte de ma semence. Mais très vite, je du revenir à la réalité. J’attrapais quelques mouchoirs pour effacer les preuves de mon crime et la rhabillais le plus délicatement possible. Elle était prête pour revenir. « Je vais compter jusqu’à 5 et vous vous réveillerez parfaitement reposée. 1, 2, 3, 4, 5.
Elle rouvre les yeux, parfaitement fraîche. Quelques banalités plus tard, elle quittait mon cabinet, pleinement satisfaite d’avoir bénéficié de cette petite séance gratuite…. Gratuite?
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