Nous avons 20 ans tous les deux, lorsque je rencontre Béatrice, lors d’une soirée étudiante à la plage. Nous sommes une vingtaine autour du feu, assis sur nos serviettes et nous buvons quelques bières. Je ne connais pas grand monde, j’ai été invité par un ami. Béatrice est une fille de sa promo, elle est assise en face de moi avec ses copines de classe. Je l’observe à travers les flammes, elle est plutôt mignonne. C’est une grande brune aux cheveux mi-longs ondulés, elle est assez fine, taille mannequin.
Un peu plus tard dans la soirée, étant très sociable, je décide d’aller discuter avec ce groupe de nanas. Je fais donc connaissance avec « Béa », on s’entend très bien, on se découvre pas mal de points communs, je la fais beaucoup rire, elle a un très beau sourire.
Puis, on échange sur nos vies privées. Elle m’explique qu’elle est en couple depuis 2 ans, mais que ça ne va pas trop en ce moment.
Je suis en train de délirer avec mes potes, lorsque les copines de « Béa » choisissent de rentrer. Cette dernière reste et vient s’assoir près de moi, puis pose sa main sur la mienne. Les autres ne remarquent rien, je lui souris, nos regards complices en disent long.
Une fois seuls sur la plage, on s’embrasse, on se câline, on se caresse. J’ai envie d’elle et je bande fort. Elle a glissé sa main dans mon boxer et lorsqu’elle enroule ses longs doigts fins, autour de ma queue toute raide, elle me dit avec un regard coquin:
– Hum, intéressant!!!
Elle commence à me branler et m’explique qu’elle a ses « ragnagnas », que ce soir, c’est elle qui s’occupe de moi. Elle baisse mon pantalon et mon boxer jusqu’au genoux, elle s’allonge entre mes jambes et commence à me sucer. Moi, sur le dos,posé sur mes coudes, je la regarde faire, je lui dis en gémissant:
– Hum, c’est trop bon, tu fais ça super bien.
– Merci, j’adore sucer, je pourrais faire ça toute la nuit…
Ces mots m’excitent, et mon plaisir s’intensifie lorsqu’elle me lèche les couilles. Elle me suce à nouveau en me disant:
– Hum, elle est bonne ta bite!
Je lui dis que je vais jouir, elle me gobe les couilles, les aspire en me branlant rapidement et en me fixant dans les yeux. Je gicle partout sur mon torse.
Ensuite, nous avons dormi ensemble sur la plage, dans le même sac de couchage.
Trois jours plus tard, on se retrouve chez moi en début d’après-midi. On se saute dessus, on s’embrasse, elle me suce la langue, je lui pelote les fesses par dessus son jean’s super moulant.
Une fois dans ma chambre, on s’allonge sur le lit. Je retire mon tee-shirt pendant qu’elle enlève mon pantalon. Je suis en boxer et il est aisé de distinguer mon érection. Je retire le haut de Béatrice et dégrafe son soutif. Je découvre enfin ses jolis petits seins pointus (85B). Mais au moment de déboutonner son jean’s, elle m’arrête et me signifie qu’elle a toujours ses règles. Déçu, je l’embrasse dans le cou, lui mordille le lobe de l’oreille pendant qu’elle retire mon boxer. Je lui lèche les seins, suce ses petits tétons tous durs, « Béa » me malaxe les couilles et m’astique le manche vigoureusement. Je jouis une première fois.
J’ai passé l’après-midi à poil, et Béatrice ne m’avait pas menti quand elle m’avait annoncé qu’elle pouvait sucer toute la nuit. Après 3 ou 4 bonnes pipes et autant d’éjaculations, je me sens vidé… Je la remercie pour tout ce plaisir et lui dit que je suis épuisé. Elle m’annonce qu’elle a encore envie, qu’elle adore ma queue. Je lui précise que je ne peux plus bander et elle, avec un regard de cochonne, me dit:
– Je parie que je te fais jouir en moins de 10min.
Sûr de moi je répond: – Pari tenu!!!
Elle est à genoux entre mes cuisses, prend ma queue molle en main et me suce doucement. Je ne tarde pas à gonfler dans sa bouche. Elle accélère le rythme, joue avec sa langue sur mon gland et mon frein. Elle accélère encore, c’est un aspirateur à gland, elle me branle sauvagement, elle me crache sur la queue, me lèche la grosse veine, m’astique très vite en me bouffant les couilles. Elle pose ensuite ses mains le long de mes hanches et me suce sans s’arrêter, me faisant une gorge profonde, elle en bave, sa salive dégouline sur mes boules. Elle continue, me reprend en main, elle me serre très fort la verge, me faisant limite mal. Elle me masturbe en aspirant mon gland, je ne sais plus où je me trouve et un intense frisson me parcourt de la t^te aux pieds. Je gicle sur mon ventre en criant. Je vois trouble, comme des étoiles dans les yeux. Je viens d’avoir mon PREMIER orgasme… et elle a gagné son pari.
Le samedi suivant, je reçois un texto dans l’après-midi: » Je suis seule ce weekend chez moi, j’ai envie de passer ma nuit avec toi, rejoins-moi «
Je sonne à sa porte avec une légère excitation, sachant que cette nuit, nous allons enfin baiser ensemble.
Elle m’ouvre toute souriante, elle est pieds nus et porte une mini-jupe noire et un chemisier blanc un peu transparent. Je la trouve très sexy. On s’embrasse, on discute un moment, puis elle me prend la main et me guide dans sa chambre. Debout, sur le côté du lit, on s’embrasse, nos langues s’enroulent, on se caresse, je passe mes mains sous sa jupe pour caresser ses fesses, elle porte un string. Je défais son chemisier, dégrafe son soutif et pendant que je lui lèche les seins, elle déboutonne mon jean’s, glisse sa main dans mon boxer et me caresse la queue. J’ai une gaule d’enfer et mon excitation monte d’un cran lorsque je sens ses longs doigts malaxés mes bourses.
Pendant que je me mets à poil entièrement, Béatrice se met à genoux sur le bord du lit. Elle me prend en bouche et me suce goulument, la chaleur de sa langue sur mon gland me rend dingue.
Au bout de 5 min d’intenses caresses buccales et sentant que je ne vais pas tarder à jouir, je l’interrompt et l’allonge sur le lit. Depuis le temps, c’est à mon tour de lui faire du bien.
Je fais glisser sa jupe le long de ses jambes et j’aperçois quelques poils pubiens dépassés de son string. Je retire ensuite le string et découvre enfin sa chatte et sa grosse touffe…
Cela me refroidi un peu, et je n’ose pas y collé ma bouche. Elle ne se rend pas compte de ma gêne, l’excitation étant si forte, je glisse ma main entre ses cuisses, je caresse son clito avec mon pouce, je la doigte, elle est bien ouverte et sa chatte est trempée. Avec deux doigts, je fais des va et viens de plus en plus rapide, je l’entends gémir et je suis heureux de lui faire du bien.
Je la sens très excitée et elle m’allonge sur le dos et elle me suce à nouveau. Une main sur ma queue pour me lécher comme une chienne, une autre entre ses cuisses pour se caresser le clito, nous sommes dans un pur instant de plaisir sexuel. C’est à ce moment qu’elle décide de se mettre sur moi à l’envers. En 69, je n’ai plus le choix, elle pose sa chatte poilue sur mon visage, alors je lui lèche le clito, rentre ma langue dans son vagin, elle coule beaucoup et je prend plaisir à boire son jus. Même si ses poils me piquent un peu le visage( à 20 ans, j’ai compris définitivement que je n’aime pas les poils) je donne mon maximum pour la faire jouir. L’entendre jouir m’excite beaucoup et je la lèche de plus en plus vite en lui pétrissant les fesses. Elle ne tient plus et me dit:
– Prends-moi !!!
Elle est à quatre pattes sur le lit, moi derrière, je tapote ma queue sur ces jolies petites fesses, et la pénètre doucement. je coulisse facilement en elle et en levrette je me faufile au fond de sa chatte humide.
Dans cette position, j’ai une superbe vue sur son petit trou du cul légèrement poilu, il me fait envie et pendant que je la lime, je lui caresse l’anus avec mon pouce. Elle retire ma main immédiatement et me dit d’un ton sec:
– N’y pense même pas.
Un peu déçu, je me reconcentre sur cette bonne levrette, je lui donne des coups de reins de plus en plus violents. Elle a un orgasme, je sens son vagin se contracter sur ma queue, elle crie fort:
– AH, AH, AH, hum oui, hum c’est bon.
je continue et accélère le rythme et dans un grand râle, je joui en elle en plusieurs saccades.
J’ai chaud, je transpire et j’ai soif.
Je me lève pour aller dans la cuisine. Je bois un verre d’eau, ouvre la fenêtre et allume une clope.
Béatrice me rejoint, me taxe une clope, je la mate debout devant moi, entièrement nue. J’ose lui demander si elle à déjà penser à s’épiler;
– Pourquoi? Tu n’aimes pas? Ca te gène?
– Bah c’est pas très agréable pour le cuni…
– Je sais mais je n’aime pas quand c’est tout lisse, ça fait petite fille et en plus, j’adore plonger mes doigts dans ma touffe et jouer avec mes poils.
Ce qu’elle fait devant moi pour me montrer comment elle s’y prend et aussi pour me provoquer. Ca marche, cela m’excite et me fait bander. Heureuse de son effet, elle écrase son mégot et s’agenouille devant moi sur le carrelage froid de la cuisine. Elle me prend dans sa main et joue avec sa langue autour de mon gland, elle me lèche sur toute la longueur en me caressant les couilles, puis m’avale entièrement et me suce en me regardant dans les yeux; je suis super excité, je la relève et la soulève par les fesses. Elle serre ses jambes autour de ma taille et on s’emboîte d’un coup. On baise debout quelques minutes et n’étant pas « Superman », je la dépose sur la table de la cuisine. Ses jambes toujours enroulées autour de moi, je la fourre de plus en plus vite. Elle jouit bruyamment et je décide de lui donner encore plus de plaisir.
Je desserre ses jambes, l’att**** par les chevilles et écarte ses jambes tendues en l’air. Elle forme un V. Ses fesses juste au bord de la table, j’admire mon sexe entrer et sortir de son minou. Je varie le rythme, par moments je lui donne de grands coups de rein, à d’autres instants je la pénètre doucement. cela l’excite beaucoup et elle me crie:
– Vas y baise moi, baise moi fort.
Je lui donne alors des grands coups de bassins, elle adore ça, et lorsque je sens que je vais jouir, je me retire, prend ma queue en main et je me branle énergiquement au dessus de sa chatte ouverte. Elle me regarde en se caressant les seins et c’est à ce moment là, que je jouis en giclant sur ses poils.
Quelques jours plus tard, je reçois un texto de Béatrice: «
On s’est fait grillé, mon mec est au courant pour samedi soir, il a discuté avec un voisin qui nous a entendu. Je préfère qu’on ne se voit plus car je tiens à lui »
En souriant j’y repense et effectivement, nous n’avions pas refermer la fenêtre de la cuisine…
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