« Ca y est te voilà enfin, depuis que je t’ai donné rendez-vous dans ce bar fréquenté du bord de mer, je n’ai cessé de me demander si tu viendrais. Lorsque je t’ai appelé en te demandant de me rejoindre et surtout de venir dans une tenue sexy et sans sous-vêtements, j’ai bien senti ta réticence mais aussi ton trouble, signe qu’imaginer la situation t’excitait également, la question était de savoir lequel des 2 sentiments l’emporterait.
Maintenant j’ai ma réponse et j’avoue que tu as été au delà de mes espérances. La petit robe blanche à fines bretelles que tu portes met magnifiquement tes belles courbes en valeur et son tissu est tellement fin que l’effet de transparence frôle l’indécence. Le regard des hommes qui croisent ton chemin alors que tu t’avances vers moi confirme que je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué.
Tu t’assieds en face de moi et un long silence s’installe alors que je te déshabille du regard. Tu finis par briser le silence et me dit
« écoute, je ne sais pas ce que je fais ici, je n’aurai pas dû venir »,
je te regarde en silence et je sens ton trouble s’accentuer. Au bout de quelques secondes qui ont dû te paraître interminables je répond
« Comme tu étais libre d’accepter mon invitation, tu es également libre de repartir si tu le souhaites et tu n’entendras plus parler de moi ».
Je marque une pause, je vois tes yeux se tourner de droite à gauche comme si tu cherchais une issue mais tu ne bouges pas.
« Bien, je vois que tu désires rester et vu ce que je t’ai dit au téléphone, j’en conclu que tu acceptes mes règles, n’est-ce pas? »
tu hoches lentement la tête en guise de réponse et le rouge de tes joues montre autant ton trouble que ton envie.
« As-tu respecté toutes mes demandes? Tu ne portes pas de sous-vêtements? »
te dis-je alors que je sais déjà que c’est bien le cas, la finesse de ta robe m’ayant déjà permis d’en être certain.
« Oui, j’ai respecté tes consignes ».
« Bien je vais m’en assurer »
dis-je en me penchant sous la table comme pour ramasser quelque chose. Je pose la main sur ton genou le repoussant vers l’extérieur, tu trésailles et résistes légèrement mais finalement tu écartes légèrement tes jambes me permettant de découvrir ta superbe chatte épilée de frais. Je remarque également quelques signes qui ne trompent pas sur le fait que la situation t’excite.Je reviens en place et viens m’asseoir sur la chaise à côté de toi.
« Comme je te l’ai dit, tu es une femme magnifique et aujourd’hui je suis d’humeur partageuse. Tu as répondu à mes attentes et comme tu sais que la terrasse de ce bar est très fréquentée tu dois te douter de ce que j’attends de toi. »
Tu te tournes vers moi et je vois que tu as effectivement compris.
« Je veux que tu t’exhibes pour moi, que tu affoles les sens d’un mec en lui faisant deviner par ton attitude, à quel point tu es une petite salope assoiffée de queue, tu as bien compris »,
un petit silence puis tu laisses tomber du bout des lèvres un oui qui me comble.
« Bien, qu’est ce que je te demande d’être? »,
tu baisses légèrement la tête et murmure
« une salope ».
Je me penche vers toi et posant ma main sur ta cuisse remonte légèrement ta robe.
« Tu vois la table sur ta gauche, celle où il y a ce couple? Le gars n’arrête pas de te reluquer depuis que tu es arrivée. Je veux que tu viennes à côté de moi pour être placée face à lui, que tu remontes légèrement ta robe et que tu écartes un peu tes jambes…. Voilà pas trop, prenons le temps de l’exciter ».
Le regard du type s’est immédiatement posé sur tes longues jambes et à sa mine ahurie on voit qu’il n’en revient pas de la chance qu’il a. Tu resserres les jambes rapidement et les yeux du type reviennent brusquement sur son amie avec un air troublé et inquiet d’avoir raté une partie de leur conversation.
« Tu vois ce n’est pas compliqué » te dis-je « et je suis certain que cela t’a plu, n’est ce pas? »,
« oui j’ai aimé ça » lâches-tu dans un murmure.
« Bien, mais nous n’allons pas laisser ce pauvre garçon sur sa faim, recommence mais cette fois écarte un peu plus tes jambes, je veux qu’il puisse voir ta chatte ».
Je lis l’appréhension dans tes yeux.
« Ne t’inquiète pas je surveille afin qu’il n’y ait que lui à te voir ».
Après quelques secondes d’hésitation, le désir a raison de ta réticence et tu te replaces face au type qui, alerté par ton mouvement, repose ses yeux sur tes jambes immédiatement tout en tentant de conserver l’air de quelqu’un qui n’a rien vu. Tu écartes tes jambes et je vois ses yeux s’écarquiller tandis qu’il fait un petit bon sur sa chaise qui me confirme qu’il a bien vu ce que je voulais qu’il voit. Ses yeux passent rapidement de ton entrejambe au visage de sa compagne mais au fur et à mesure il parvient de moins en moins à quitter des yeux ton sexe et ce d’autant que, l’excitation te gagnant, il ne peut s’empêcher de remarquer la brillance de tes lèvres alors que maintenant tu commences à mouiller. La manière dont il se trémousse sur sa chaise confirme qu’il est en proie à une érection de tous les diables.
» Je savais que tu aimerais ça. Tu es une belle petite salope faite pour le cul, je l’ai vu au premier regard. Bien, nous allons passer au niveau supérieur. »
Tu ne bouges pas, signe de ta soumission et de ton plaisir.
« Je veux que tu poses un doigt sur ton clito et que tu le caresses quelques secondes »,
avant même que je finisse ma phrase ta main était déjà sur ta cuisse et remontait vers ta chatte. Sans t’en rendre compte, tu écartes un peu plus les jambes pour atteindre ton clitoris que tu caresses lentement non sans avoir sursauté surprise du plaisir que ce simple contact te procurait, comme une décharge électrique. Le visage du type est vermeille à présent, il a le souffle court et la queue raide comme il ne l’a jamais eu auparavant, ses yeux ne te quitte plus.
« Maintenant, tu vas rentrer un doigt dans ta chatte, le ressortir lentement, puis le sucer »,
tu t’exécutes, ce qui achève toute résistance chez notre involontaire camarade de jeu qui a désormais complètement oublié qu’il était accompagné. Tout en regardant amusé le pauvre type, j’entends ta respiration s’accélérer. Je me penche à nouveau vers toi,
« tu vois dans quel état tu peux mettre les hommes, c’est excitant n’est-ce pas? »
Tu acquiesces timidement mais un léger sourire vient confirmer tout le plaisir que tu prends à faire bander ce gars, et moi par la même occasion.
« Veux-tu toujours m’obéir? »
« oui je le veux ».
« Es-tu prête à être encore plus chienne? ».
A cette question tu te surprend à répondre
« oui j’en veux plus »
et tu acceptes enfin que tu es bien une vrai petite salope et qu’en ce moment tu ne désires qu’une chose, une belle queue bien raide pour assouvir ta soif de vices.
» Bien tu vas te lever et te diriger vers les toilettes mais tu prendras le petit couloir vers la gauche et au fond il y a une porte, tu m’attendras derrière cette porte complètement nue. Le patron est un ami et c’est déjà prévu avec lui ».
Tu me regardes
« Tu avais donc tout prévu ».
« Je te l’ai dit, je savais depuis le début que tu étais une petite pute, il fallait juste que toi tu le comprennes et l’acceptes. Maintenant vas-y, je te rejoins très vite ».
Tu te lèves et te dirige vers le bar et les toilettes. Je ne te regarde même pas tellement certain de ce que tu vas faire. Non, mon regard est désormais fixé dans celui de notre camarade qui a pu retrouver un semblant de dignité. Après quelques instants, je me lève tout en continuant de le regarder et d’un mouvement de tête je lui fais signe de me suivre. Je le vois balbutier quelque chose à sa compagne et se lever si précipitamment qu’il manque d’entraîner la table avec lui. Nous arrivons à la porte sans un mot, nous entrons dans la pièce, tu es là entièrement nue et à la vue du type derrière mois, tu ne peux t’empêcher de mettre tes mains devant ta chatte comme pour protéger ta vertu. Je souris et referme la porte derrière nous. Je me tourne vers le type,
« elle te plaît n’est-ce pas? », il hoche la tête rapidement.
« Tu voudrais l’avoir? La baiser? », re-hochement de tête.
« Bien….Ma chérie »,
dis-je en me retournant vers toi,
« notre ami n’est plus aussi vigoureux que tout à l’heure, caresse toi pour remédier à cela ».
Aussitôt tu commences à caresser tes seins et ton ventre, tes tétons turgescents montrent toute ton excitation, oui, tu veux te faire baiser, tu veux sa queue là maintenant. Ta main descend vers ta chatte et tu commences à caresser ton clito, tes yeux se ferment et ta respiration s’accélère, tes doigts descendent un peu plus dans ta fente et des bruits de succions s’en échappent tellement tu mouilles désormais. Tes jambes tremblent sous les assauts du plaisirs, tu gémis désormais. A côté de moi, le type a sorti sa queue, de belle taille d’ailleurs et se branlent vigoureusement devant le spectacle que tu lui offres. Je m’approche de toi et ma main vient se refermer sur un de tes seins t’arrachant un petit cri de plaisir.
« Alors ma belle petite salope, tu as vu la belle queue qu’il a? Elle te plaît? Tu la veux? »
« Oui je la veux ».
« Mmmm et tu la veux où sa queue? hein petite pute, dans ta bouche? »
« Oui, je le veux, je veux sucer sa queue ».
Je repart vers le type et lui dit
« Va lui baisser la bouche à cette chienne, met lui ta queue bien profond mais contrôle toi, je veux que tu la baises par tous les trous »
En un éclair il se retrouve devant toi bandant comme un âne. Tu te jettes sur sa queue et commence à la lécher de haut en bas, avant que tes lèvres ne viennent se refermer sur son gland gorgé de sang. Fou de désir, il prend ta tête entre ses mains et s’enfonce en toi manquant de t’étouffer. Il commence un mouvement de va et vient de plus en plus rapide, sa queue, à chaque mouvement, ressortant un peu plus dégoulinante de salive.
Inquiet pour la suite de mon scénario de débauche et craignant l’accident éjaculatoire, je ne peux m’empêcher d’intervenir.
« Hé doucement mon gars, je sais qu’elle est bonne et que tu adorerais te vider les couilles dans sa bouche mais calme toi, on a tout notre temps ».
Il se retire et chancèle légèrement en arrière tout étonné de ce qu’il était en train de faire.
« Désolé, désolé »balbutie-t-il. « J’suis pas comme ça d’habitude ».
« Je sais, je sais t’as pas l’habitude, en général c’est plutôt planplan avec ta femme et là tu es face à la reine des salopes, à une suceuse de compétition. Allez, on va calmer tout ça, tu vas lui bouffer la chatte pour reprendre tes esprits. »
Il revient vers toi qui t’es relevé et saisi tes seins à pleines main et à pleine bouche. Tu étouffes un gémissement de plaisir et prend sa tête entre tes mains pour qu’il aspire encore plus tes seins durcis par le plaisir. Il descend une main vers ta chatte et te branle vigoureusement.
« Oui comme ça » dis-tu dans un râle « fais moi mouiller comme une chienne ».
Il t’adosse au mur et se retrouve à genoux en extase devant ta chatte trempée et bombée.
« Allez vas-y bouffe lui la chatte, aspire son jus, elle n’attend que ça ».
Aussitôt il prend tes fesses à 2 mains et prend ta chatte à pleine bouche. Tu reprends sa tête entre tes mains pour qu’il aille plus fort.
« Oh ouiiiiii, bouffe-la, suce moi, je suis ta petite pute, fais moi jouir s’il te plait »
ce disant tu me regardes droit dans les yeux, me montrant que la dernière partie de ta phrase était pour moi.
« Oh putain c’est bon, t’es une sacrée salope toi » dit-il entre 2 coups de langues.
Tes gémissements de plaisir répondent aux râles de notre camarade de jeux devenu presque une bête désormais. Tes yeux ne quittent plus les miens, tu veux que je vois à quel point tu prends ton pied, t’assurer que je rate pas une miette du spectacle de ma salope en train de se faire baiser. Ne t’inquiète pas je n’en manquerai rien pour tout l’or du monde.
Tu le relèves maintenant et l’embrasses à pleine bouche car toi aussi tu veux goûter le parfum de ta chatte. Puis tu te retournes, plaques tes mains au mur et le regardant par-dessus ton épaule tu lui lances
« baise moi maintenant, prend moi par derrière comme une traînée ».
Il s’enfonce en toi d’une seule secousse t’arrachant un cri de plaisir, ta tête se tend vers l’arrière et il en profite pour saisir tes cheveux d’une main, l’autre se referment violemment sur un de tes seins qu’il malaxe sans vergogne tout en te prenant la chatte avec force. Il te défonce la chatte maintenant au point que tes jambes parviennent difficilement à te soutenir, la mouille dégouline le long de tes cuisses. Tu n’es plus que jouissance, tu as oublié tout tes principes sur le sexe, tu ne veux que le sentir s’enfoncer en toi encore et encore.
Dépassé par le plaisir qu’il ne pensait pas pouvoir être aussi extrême et achevé par l’orgasme que tu viens d’avoir, notre camarade de jeu oublie sa promesse et vient mourir sur ton cul y déposant de longs et puissants jets de sperme chaud avant de s’affaler sur le sol le souffle coupé par un orgasme qu’il ne croyait pas possible. Je m’approche de lui et pose ma main sur son épaule.
« Allez dégage maintenant, va rejoindre mémère » lui dis-je d’un ton cassant. Il obtempère sans demander son reste et part la queue entre les jambes, au propre comme au figuré, prenant à peine le temps de remettre son pantalon avant de sortir.
La porte à peine refermée, tu te retournes vers moi, les cheveux en bataille, à moitié collés par la sueur qui perle sur ton front et me lances « tu es content, tu as fait de moi une pute », je m’approche et pose ma main sur ta joue délicatement. « Non j’ai fait de toi Ma Pute, ma chose, mais seulement parce que tu l’as voulu, parce que tu le souhaitais ».
« En revanche, je suis déçu » je marque une pause et tu me regardes comme si tu étais inquiète à l’idée de me décevoir. « je voulais que tu jouisses par tous les trous mais malheureusement ce n’est pas le cas. Il n’a pas eu le temps de s’occuper de ton cul, mais bon, ce n’est pas grave, comme tu m’as bien excité je vais m’en occuper moi-même », tu te retournes, reprends appui sur le mur et cambres les fesses vers moi, abandonnée à mon bon vouloir……..
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