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Vive les joies du bateau au soleil

Vive les joies du bateau au soleil



Je voudrais vous raconter ce que nous avons vécu en janvier de cette année. Je m’appelle Claire et mon mari Bruno. Nous sommes âgés de 40 ans tous les deux, bruns tous les deux, assez sportifs, et j’ai une assez forte poitrine dont je suis fière même si elle est un peu lourde à porter de temps en temps.

Cette aventure a modifié ma façon de voir les choses.

Nous avons saisi, dans la période qui suit les fêtes de Noël, fêtes pendant lesquelles nous n’avions pu ni l’un ni l’autre prendre de vacances, l’opportunité d’aller naviguer sur le voilier d’un cousin éloigné du mari d’une amie, basé en Guadeloupe. Cette amie, Bénédicte, et son compagnon Guy, n’avaient presque jamais pratiqué la voile, et le cousin avait insisté pour qu’ils viennent le voir. Aussi, sachant notre enthousiasme pour tout ce qui touche aux choses de la mer, ils nous avaient proposé de partir avec eux. C’est ainsi que nous sommes partis le 5 janvier d’Orly, par un vol Corsair.

À l’arrivée, le « cousin Gilles », un homme brun de 45 ans, tout bronzé, nous attendait. Nous avons rejoint le superbe catamaran de 16 mètres amarré dans la marina, et commencé par la visite du bateau, équipé en formule propriétaire : trois cabines, deux à l’arrière et une sur l’avant bâbord. Bénédicte et Guy s’approprièrent la cabine propriétaire dans la coque tribord avec la grande salle de bain à l’avant, Bruno et moi celle à l’arrière de la coque bâbord, Gilles se contentant de la cabine double à l’avant, dans le prolongement de la nôtre à bâbord. Un petit cabinet de toilette était situé au milieu.

Après avoir pris possession de notre lieu et rangé nos quelques affaires, nous sommes partis faire l’avitaillement pour les 10 jours de croisière que nous avions programmés.

Nous avions tous besoin de prendre nos marques après tant d’heures d’avion. Nous avons décidé de rester à la marina pour la première nuit plutôt que d’appareiller et naviguer de nuit. Après le « ti ponch » local et un repas composé de fruits, nous sommes tous partis nous coucher. Je n’ai rien vu de la nuit.

Nous fûmes réveillés par le clapot de l’eau, tôt le matin. En effet, Gilles avait décidé d’appareiller et nous nous trouvions en mer, à quelques encablures du port. Le catamaran évoluait sous voile. Bénédicte et Guy étaient déjà debout, et une bonne odeur de café envahissait le cockpit. Le vent amenait une jolie fraîcheur et le ciel était plein de jolis nuages.

Nous avons navigué quelques heures. J’avais décidé de me protéger du soleil pour cette première journée en mer de peur de griller sur place. Bénédicte était déjà bronzée comme un pruneau (je soupçonne les lampes). Elle s’était allongée sur le « trampoline » à l’avant du bateau, à côté de Guy. Bruno s’était installé à côté d’eux, un bouquin dans les mains. Enfin, le farniente pouvait commencer.

Nous avons navigué jusqu’à trois heures de l’après-midi. Gilles a trouvé une petite crique dans laquelle nous avons jeté l’ancre, un vrai petit paradis avec personne autour de nous et une jolie plage de sable fin.

Ce fut un bonheur que de se plonger dans l’eau pour se rafraîchir. Nous sommes allés explorer les fonds avec palmes, masques et tubas. Un véritable aquarium dans lequel, pendant une heure et demie, nous avons nagé tous les quatre, admirant les jolis fonds sous-marins. Bruno est retourné à bord du cata, tandis que Bénédicte et Guy rejoignaient la plage, à quelques dizaines de mètres. Bonne nageuse, j’ai continué à admirer les fonds.

À mi-chemin, je décidai d’aller faire une pause sur la plage de sable blanc et de les rejoindre. Ils avaient laissé leur matériel de plongée au bord de l’eau. Je les hélai. Ils s’étaient installés tout en haut de la plage déserte, allongés sur le sable chaud, et profitaient des rayons désormais moins forts du soleil. Je fus surprise de les voir nus. Bénédicte était allongée les bras en croix, laissant à l’air sa petite poitrine et son sexe presque glabre, juste un petit trait finement dessiné ; à ses côtés, Guy était également nu, sur le ventre. J’eus un petit coup de chaud et mes yeux ne purent s’empêcher de fixer son long sexe brun lorsqu’il se retourna pour voir qui arrivait. Finalement, je m’assis près de Bénédicte.

— Vous êtes super-décontractés, lui dis-je.
— Nous avons l’habitude avec Guy de pratiquer le naturisme et cet endroit paradisiaque y incite encore plus. Et toi ?
— Jamais eu l’idée de pratiquer, ni probablement l’occasion, et c’est vrai que je suis un peu pudique avec mon corps.
— C’est le moment de commencer, dit-elle de façon un peu autoritaire en attrapant la bretelle de mon maillot deux pièces.

J’enlevai mon haut, laissant apparaître mes seins à la vue de mes compagnons. Je dois vous dire que j’étais un peu rouge de honte. Je notai le regard appuyé de Guy qui fixait mes larges aréoles. Je m’allongeai sur le sable pour profiter du soleil, et c’est vrai que cela fait du bien de sentir le soleil sur sa peau nue.

C’était la première fois que nous partions en vacances avec eux. Nous avions fait connaissance via l’école et les enfants. Nous n’avions partagé que quelques soirées après des fêtes d’école avec les enfants, mais même si nous ne nous connaissions pas beaucoup, l’occasion était trop belle pour rater une croisière pareille.

Le soleil commençait à se coucher et nous sommes rentrés à bord. Une bonne douche pour se dessaler et nous enduire de crème après soleil. Bruno avait pris ses quartiers au pied du mât, un endroit idéal pour lire.

Repas animé dans le carré, sous un beau clair de lune, en revanche pas de brise, chaleur torride. Vers neuf heures et demie, cuits par le soleil nous rejoignîmes nos cabines pour une première nuit en pleine mer. J’ôtai tee-shirt et slip pour m’allonger nue sur les draps de la cabine. J’avais envie d’un câlin, mais Bruno n’arrêtait pas de bâiller, et il ne tarda pas d’ailleurs à s’endormir. Et moi également…

Mais vers minuit je me réveillai en sursaut, trempée de sueur : la chaleur était étouffante dans la cabine. Bruno ronflait doucement. J’ouvris l’autre hublot pour créer un courant d’air, mais cette chaleur étouffante persistait. J’entendais le clapot de l’eau contre la coque, et aucun autre bruit. Je décidai d’aller sur le pont prendre le frais. À tâtons dans le noir de la cabine, je cherchai mon paréo. Impossible de le trouver, tant pis. Je tendis l’oreille et me glissai hors de la cabine. Je grimpai quelques marches, et me retrouvai dehors dans le carré. Je me glissai jusque sur le trampoline à l’avant du bateau, nue dans la nuit, et je m’y allongeai sur le dos. J’avais comme une impression de liberté.

J’admirais le ciel quand j’entendis un léger bruit derrière moi. Je me redressai, n’osant pas bouger et cherchant du regard une serviette qui traînerait à sécher sur un bastingage, mais rien. J’entendis la voix de Gilles, juste derrière moi

— Tu as du mal à dormir ?

Le plus naturellement du monde, il vint s’asseoir près de moi. Je me retournai et m’aperçus qu’il était presque nu, portant seulement autour de la taille un paréo en soie. Je m’étais recroquevillée sur moi-même. La conversation s’ouvrit sur le ciel et les étoiles. Il me décrivait les constellations. Je me suis un peu décontractée et j’ai relâché ma position fœtale pour me mettre sur les coudes, jambes repliées, mais ne lui cachant rien de ma poitrine. Je trouvais la situation quelque peu cocasse, être nue sur le pont d’un bateau en compagnie d’un autre homme que mon mari qui dormait dans la cabine.

Le silence s’était installé. Je regardais au loin, je ne souhaitais pas croiser son regard. J’ai senti son regard se poser sur mon corps, et les bouts de mes seins se durcir.

C’est alors que sa main vint se poser sur mon ventre. Je réagis vivement en la saisissant pour l’écarter, mais je sentis une pression forte sur mon ventre qui me déséquilibra et je m’allongeai sur le dos, offrant à sa vue tout mon corps. Sa main glissa doucement sur mon corps, envahi d’une douce chaleur. Tout tournait à fond dans ma tête, des tas d’images, mon mari… et en même temps je me sentais excitée. Sa main glissa jusqu’à mon sexe qu’il commença à caresser. Je sentais arriver le désir, mon sexe s’humidifiait. D’un doigt, il saisit mon bouton et le caressa. J’étais inondée de plaisir, offerte à ses mains. Sa bouche est venue saisir mes larges aréoles qu’il commença à suçoter. Mon corps se cabrait de plaisir, et je sentais également contre moi son sexe qui s’était durci ; ma main le saisit pour caresser de ce long sexe brun.

Nous nous sommes caressés mutuellement. J’étouffais ma jouissance pour ne pas faire de bruit mais deux orgasmes me secouèrent. Je massais son sexe jusqu’à la jouissance. Nous sommes restés de longues minutes l’un contre l’autre.

J’étais un peu hébétée par ce qui venait de se passer. Après une dernière et brève étreinte, je suis retournée dans ma cabine où j’eus bien du mal à trouver le sommeil.

Le matin, je me suis réveillée complètement excitée. Je me suis blottie contre Bruno qui se réveillait. Je m’étais promise de ne rien lui dire de mon incartade nocturne. J’avais envie de sexe, et lui aussi visiblement, vu son état. Je me précipitai sur son sexe turgescent et le chevauchai. Je mouillais comme une folle, j’avais envie de le sentir en moi, aussi je me lâchais complètement, hurlant de plaisir et de jouissance, tandis que lui accélérait la cadence. Son sexe claquait contre le mien et cela ne faisait qu’accroître mon désir. Dans un râle, je sentis son sperme gicler.

Dix minutes plus tard, nous étions tous les deux sur le pont où la table du petit déjeuner avait été installée et où Bénédicte, Guy et Gilles nous attendaient pour démarrer. Guy nous accueillit avec un sourire complice. Au cours du petit déjeuner, Bénédicte fit des allusions à notre début de matinée en fanfare en charriant Bruno sous sa forme du matin, mesurée par l’ambiance sonore. Elle s’exclama « chapeau » en lui jetant une œillade que j’interprétai « pleine d’envie ».

Cette troisième journée fut semblable aux autres, farniente, bain de soleil et navigation pour rejoindre un autre mouillage paradisiaque. Le soir, nous avons décidé de faire un barbecue à bord pour griller les poissons que nous avions pêchés à la traîne.

Ambiance festive après un apéritif et un repas bien arrosé. Nous étions à l’ancre dans une jolie baie, la nuit était tombée, nous avions allumé quelques lampes qui éclairaient joliment le bateau. Nous avions mis de la musique de jazz. Moment sympa.

— Qui vient se baigner ? lança Bénédicte à la cantonade.

Guy et Bruno se déclarèrent partant pour plonger dans l’obscurité. Bénédicte, tout à son aise, déclara :

— C’est un bain de nuit, non ? Donc, à poil !

Et joignant le geste à la parole, elle ôta son tee-shirt et son short et incita les garçons à faire de même. Guy laissa son maillot et plongea dans l’eau à la suite de son épouse, Bruno fut le dernier à sauter à l’eau.

Nous nous sommes assis avec Gilles, les pieds dans l’eau, à l’arrière du bateau. On les entendait nager autour de la coque et les voici apparaissant tous les trois à l’arrière du bateau. Guy essayait de couler son épouse, qui se débattait et demandait à Bruno de l’aider, Bruno attrapa Bénédicte par les aisselles, tandis que Gilles lui immobilisa les jambes. Bénédicte se débattait mais Bruno la tenait fermement. Les mains de Bruno en profitèrent pour se promener sur sa poitrine. D’un geste, Bénédicte se tira de cette situation et vint s’agripper à nos jambes pour nous tirer tous les deux à l’eau. Ce fut un bel éclaboussement collectif.

Nous sommes tous remontés nous sécher sur le pont à l’avant du bateau. Nous nous étions tous allongés côte à côte, moi coincée entre Bruno et Gilles, et Bénédicte entre Gilles et Guy. J’avais ôté mon haut trempé et conservé mon bas de maillot, les autres étaient restés nus.

Le silence s’était fait sur le pont et chacun goûtait la paisible nuit et l’arrivée progressive des étoiles. J’avais fermé les yeux, allongée sur le dos, quand je sentis des souffles sur ma poitrine. Je me trouvais entre deux hommes allongés sur le côté, la tête au-dessus de mes seins. Je me dressai sur les coudes et aperçus mon homme, le sexe bandé et plein de désir, qui caressait de sa main Bénédicte.

Je sentis les lèvres de Guy et de Gilles venir suçoter chacun de mes seins tandis que leurs mains se promenaient sur mon ventre. Je me cabrai un peu et m’abandonnai à cette douce torpeur. Je sentais leurs sexes dressés le long de ma cuisse. Guy s’était enhardi et avait glissé sa main sur mon sexe, tandis que d’une main, Gilles faisait glisser mon maillot à mes pieds. J’étais nue et offerte à leurs regards et leurs mains. J’entendais que Bénédicte avait saisi le sexe de Bruno dans sa bouche et le suçait avec vigueur.

Guy vint m’embrasser tandis que Gilles posait sa bouche sur mon sexe et le lapait. Il avait saisi mon clito entre ses lèvres ; je mouillais comme une folle et ne pouvais m’empêcher de gémir.

Je vis Bénédicte se mettre accroupie sur le sexe de mon homme. La situation était excitante, et doucement le sexe de Bruno la pénétra. Elle faisait un doux va-et-vient avec le bassin et Bruno râlait doucement de plaisir. Il semblait concentré sur son plaisir.

Mes deux hommes n’étaient pas en reste. Gilles s’était glissé le long de mon corps et m’avait basculé sur lui. J’étais à quatre pattes au-dessus de son corps, son sexe était tendu comme la corde d’un arc. De sa main, il le guida jusqu’à mon entrée et joua avec mes lèvres à entrer et sortir. Quelle excitation !

Pendant ce temps, Guy s’était mis derrière moi et je sentais son sexe se glisser entre mes fesses. Son sexe était extrêmement long – plus de 20 centimètres – et assez fin. Je lui dis d’y aller doucement, et il me pénétra dans l’anus. Une vive chaleur m’envahit d’abord, puis il lança son bassin à un rythme soutenu. Sous moi, Gilles avait pris la cadence. Je me trouvais pour la première fois avec deux sexes en moi. J’avais du mal à suivre la cadence de mes deux compagnons qui poussaient des grognements, je haletais et hurlais de plaisir dans la nuit.

Des minutes passèrent, où j’eus plusieurs orgasmes d’une v******e inouïe. N’en pouvant plus, je leur dis d’arrêter quand je sentis leurs sexes se gonfler en moi, de plus en plus fort, ce qui déclencha une véritable crise de tremblements. Guy se retira le premier ; je sentis des jets de sperme m’inonder les reins tandis que Gilles continuait à me pilonner. Enfin, dans un râle, il gicla sur mon ventre et jusqu’à mes seins. J’étais couverte de sperme.

À côté, j’avais eu en écho les cris de Bénédicte sous l’assaut du sexe de Bruno. Elle s’était précipitée pour avaler le sperme de mon homme et avait englouti son sexe après avoir joui comme une dératée.

Nous sommes tous retournés dans l’eau nous laver de cette partie.

La croisière débutait bien, pour moi qui n’avais jamais pratiqué l’amour à plusieurs, malgré les demandes insistantes de Bruno pour qui, comme la plupart des hommes, c’est le phantasme. Je n’étais pas déçue, et de plus j’avais eu ma petite expérience avec Gilles avant, expérience dont je taisais l’aventure.

La croisière fut l’occasion de superbes baises.

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