Suite de l’histoire DE L’AIDE POUR MA VOISINE…
Quelques semaines plus tard, la porte de l’ascenseur s’ouvrait juste au moment où je passais.
Hélène apparaissait, me saisissait le bras et m’entraînait à l’intérieur de la cabine.
Je n’avais pas réalisé ce qui se passait que la porte se refermait déjà. Hélène m’embrassait avec fougue en me caressant de sa main l’entrejambe.
– J’ai un rendez-vous professionnel mais dès que je t’ai vu, je n’ai pas pu résister de te voir, me dit-elle.
Nous avions fait connaissance trois semaines auparavant dans des circonstances un peu particulière.
Depuis je n’avais pas revu Hélène mais elle m’avait sacrément retourné la tête.
Il faut dire qu’elle cachait bien son jeu.
Qui pourrait croire que derrière cette femme mûre et d’apparence distante se cachait une femme sensuelle qui devenait une véritable bombe sexuelle lorsqu’elle se lâchait ?
L’ascenseur stoppait sa progression, la porte s’ouvrait. Hélène reprenait son attitude habituelle.
– Voyez-vous Pascal je ne comprends pas pourquoi ce fichu téléphone ne fonctionne pas. J’espère que vous pourrez m’aider, me dit-elle en ouvrant la porte de son domicile. Je prenais un air désintéressé alors que je bandais déjà comme un fou.
Je savais que le voisin de palier était à l’affût du moindre commérage et Hélène prenait ses précautions.
La porte de l’appartement refermée, elle me sautait littéralement dessus.
Trois semaines, c’était long, très long même !
Nous étions enlacés alors que nous reculions vers le salon pour nous jeter sur le tapis. J’avais déjà dégrafé le chemisier et libéré les seins.
Ma main se glissait sous la jupe et remontait sur son entrejambe. Mes doigts glissaient sur le bas de soie, franchissaient l’ourlet maintenu par les pinces du porte-jarretelles pour arriver sur un string en soie. Mes doigts soulevaient le rebord de celui-ci et se faufilaient dans la vulve déjà gonflée de désir. Je glissais mon majeur dans l’ouverture soyeuse puis remontait vers le clitoris durci.
Mon pantalon était ouvert, la main experte d’Hélène ayant déjà sorti ma queue de son étroit espace. Elle flattait de sa main mon sexe maintenant fièrement dressé hors du caleçon. Hélène poussait des grognements tandis que sa langue, fouillant ma bouche, semblait impatiente d’y goûter.
Je ne me faisais pas prier, jetant mes vêtements dans le salon.
Nous primes la position du 69.
Je pénétrais la bouche d’Hélène tandis que j’avais retroussé sa jupe, jeté le string pour dévorer sa chatte. Nous roulions sur le côté et inversions les positions . Hélène faisait des va et vient d’avant en arrière avec son bassin frottant son clito sur ma langue. Petit à petit, Hélène faisait en sorte que ma langue vienne lécher son petit trou. La première fois qu’elle présenta celui-ci devant ma langue, je le léchais sans trop prendre garde mais elle revenait rapidement se positionner pour ensuite ne plus changer de position. Ma langue fouillait alors son cul qui se détendait rapidement. Je glissais mon index préalablement salivé puis mon majeur. Hélène se servait de mes doigts comme d’un godemiché en se laissant glisser dessus. Hélène me suçait avec gourmandise réagissant à mes caresses en écartant au maximum les cuisses et en ondulant du bassin afin de dilater au maximum son cul. Je devinais son envie. Hélène bascula sur le côté, se mit à quatre pattes, jupe retroussées, chatte offerte.
-Je te veux maintenant !
La scène était surréaliste.
Je me plaçais à quatre pattes entre ses chevilles, guidais ma queue dans sa chatte ouverte tout en glissant mon majeur dans son cul. Ma queue entrait facilement et se lubrifiait abondamment. tandis que je faisais aller mon majeur entre ses fesses, Hélène passait une main sous son ventre, saisissait ma queue. D’un mouvement de bassin, elle s’empalait sur ma queue en poussant un cri. Passé l’effet de surprise et sentant l’étroitesse autour de ma queue, je la prenais par les épaules, allant et venant lentement au plus profond d’elle. Hélène avait glissé sa main sous son ventre pour lubrifier ma queue avec sa propre mouille.
La tenant par les hanches je donnais à présent de vigoureux coups de reins dans son cul.
Hélène avait le visage affalé sur le tapis, la jupe retroussée sur le dos. Son bassin faisait des cercles autour de ma queue. Je m agrippais encore plus fort à ses hanches. Hélène triturait sa vulve frénétiquement en gémissant de plus en plus fort. Je n’avais plus besoin de bouger, elle coulissait seule sur ma queue. Soudain, elle s’immobilisa comprimant ma queue avec les muscles de son anus. Hélène poussait un long râle de jouissance.. Je la pilonnais de plus belle en déchargeant ma semence au fond de son cul.
Je tombais de tout mon poids sur elle. Nous étions k.o.
Le souffle court, les cheveux en désordre nous reprenions nos esprits.
Nous étions fourbu mais heureux.
Elle se redressait sur les coudes puis léchait consciencieusement mon sexe
-J’adore ton goût. Je garde ta semence en moi, c’est très excitant.
Prends ma carte de visite et note mon numéro, je ne supporte plus d’attendre aussi longtemps.
Et puis nous n’avons pas encore essayé tous les nouveaux sous-vêtements !
J’embrassais Hélène et la quittais avec une pointe de tristesse.
Ce matin, j’avais envoyé un message à Hélène:
-curieux de découvrir vos derniers achats. Libre cet après-midi. Amitiés.
La réponse ne tardait pas.
– libre également cet après-midi. Impatiente de vous faire découvrir mes nouveaux articles. Venez directement à l’appartement à 14h. Amitiés
En lisant la réponse mon coeur battait la chamade car je savais que ce ne serait pas un rendez-vous anodin. Il fallait être irréprochable dans tous les sens du terme . Que me réservait Hélène ?
Je pressais le bouton de la sonnette à 14 heures précise.
La porte s’ouvrait. Hélène portait une longue robes de chambre en soie noire du plus bel effet.
J’entrais tandis que Hélène refermait la porte. Dos à celle-ci, elle m’attirait contre elle et m’embrassais longuement.
-Comment trouves-tu ma nouvelle robe de chambre ?
– Magnifique Hélène. Tu est très sexy.
Je caressais le tissus parcourant de la pointe des doigts ses épaules, la pointe des seins et le ventre.
Mon ventre faisait des vagues.
Hélène m’invita à avancer vers le salon où attendait une bouteille de champagne ainsi que des petits fours.
-J’ai pensé que cela nous changerait du thé, me dit-elle tandis que je m asseyais sur le canapé.
-Tchin-tchin mon amour, me dit-elle en brandissant sa flûte.
Nous parlions de banalités. Le champagne commençait à faire son effet.
Hélène était assise sur l’accoudoir du canapé en face de moi. Le côté de sa robe fendue laissait apparaître sa jambe gainée d’un bas noir pincé par une bretelle.
Hélène se leva pour éteindre la lumière laissant seulement les bougies comme éclairage.
Elle s’approcha et caressa mes cheveux.
L’intimité créé par les bougies ainsi que l’excitation présente dans la pièce m enhardissait.
Je posais une main sur sa cheville appréciant la douceur de la soie puis la glissait sous la robe pour remonter progressivement entre ses cuisses. Hélène s asseyais sur l’accoudoir du canapé, se penchait vers mon visage, m’embrassais langoureusement. Les pans de sa robe étaient maintenant ouvertes et me laissaient la voie libre.
La frontière entre sa peau blanche et les bas noirs était nette. Ma main franchissait cette frontière pour aller se glisser sous un shorty de soie rose très ample. Je bandais au contact de son entrejambe. Tandis que Hélène me mangeait la langue, je plaquais la main sur son sexe et glissait un doigt dans son sillon humide.
Hélène murmurait
-Que penses-tu de ce shorty ?
-Hummmm parfait ! Répondis-je en enfouissant mon visage entre ses cuisses.
Hélène me tenait la tête par les cheveux tout en se mettant plus à l’aise. Je respirais l’odeur du shorty, glissait ma langue sur l’Aisne pour écarter délicatement le tissu. Je pouvais entendre la respiration d’Hélène accélérer au fur et à mesure que m’a langue approchait de son point sensible.
Saisissant le bord du shorty du bout des doigts je dégageait son sexe et introduisait ma langue entre les lèvres lisses. Je m’attardais sur l’entrée, pénétrant le plus loin possible pour ensuite remonter à la rencontre du clito déjà dressé de plaisir. Je l’aspirais longuement arrachant des soupirs de bonheur à Hélène qui plaquait mon visage des deux mains sur son entrejambe. J’étais maintenant à genoux entre ses cuisses.
Je poussais Hélène de sorte qu’elle bascule sur le canapé tout en me laissant sa chatte à hauteur de visage. Le shorty volait dans le salon.
Je glissais mes mains sous ses fesses tandis que ma langue fouillait ses lèvres trempées.
Hélène avait posé ses pieds sur l’accoudoir et écartait au maximum les cuisses pour me faciliter l’accès à son intimité. Sa respiration se faisait de plus en plus saccadée.
Je me redressais pour placer ma queue devant sa chatte béante
Hélène attrapait ma queue dressée et la tirait entre ses cuisses. Je donnais un coup de rein et me calais entre ses cuisses.
Hélène donnait de vigoureux coups de reins pour mieux sentir ma queue.
Elle était dans un état d’excitation incroyable.
Soudain elle tournait sur elle-même me présentant ses fesses écartées.
Je ne résistais pas à l’envie de la pénétrer ainsi. J’appuyais ma queue sur son petit trou en prenant Hélène par les hanches. Le gland écartait doucement l’anus puis disparaissait entièrement. Hélène relevait les fesses, aspirant entièrement ma queue en elle. Je restais immobile tandis qu’elle allait d’avant en arrière. Ses fesses claquait sur mon ventre. Le rythme s’accélérait. Je me cramponnais à ses hanches alors qu’un cri rauque sortait de ma bouche. Ma queue était comme prise en étau dans le petit fourreau bien lubrifié d’Hélène. Les sensations étaient décuplées par la jouissance.
Encore ! Me suppliait Hélène en se masturbant, continue à me baiser ! Je viens !
Elle jetait littéralement ses fesses en arrière engloutissant ma queue entre ses fesses.
Ses doigts s’agitaient frénétiquement dans sa chatte détrempée en faisant un bruit de succion.
Elle poussa un cri que j’étouffais avec la main ne voulant pas alerter le voisinage. Hélène jouissait longuement contractant ses fesses, ondulant du bassin.
Les mouvements ralentirent.
Hélène se retira lentement, m’attirait vers elle et entreprit de me sucer. Je reprenais rapidement de la vigueur. Hélène m’agrippait par les fesses et prenait ma queue le plus loin possible au fond de sa bouche quand elle sentit que je venais. Mon corps était secoué de convulsions tandis que je déchargeais une nouvelle fois. Elle continuait à me sucer lentement tandis que nos regards se croisaient. Je pouvais deviner le plaisir qu’elle ressentait à ce moment précis.
Quelle voisine !
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