Jessica.
Je l’ai rencontré lors de mon arrivé à l’IUT, avec ma mère nous avions trouvé un studio sympathique et proche de la mer. Alors que j’emménageais, j’ai vu arriver ce petit bout de femme blonde. Il s’agissait de l’occupante de l’appartement voisin, elle avait l’air sympathique et s’est tout de suite présenté.
C’était une petite blonde d’un peu plus d’un mètre soixante, des grands yeux bleus et des formes qui ne laissait pas indifférent. Sans être un canon de beauté, elle était attirante et j’allais découvrir qu’elle avait un tempérament affirmé qui confirmait cette première impression.
Nous avons vite sympathisé, les soirées étudiantes et l’alcool aidant nous sommes devenue assez proches, en toute amitié.
De mon coté j’avais 19 ans, pas bien dans ma tête et dans mon corps par extension. J’étais victime (et ça continue aujourd’hui) de mélancolie, une profonde envie de rien et un manque d’estime de soi flagrant. Je pesais presque 100kg pour mon mètre quatre vingts. Blond aux yeux bleus et larges épaules, sans être un cageot mon manque de confiance et l’image que je renvoyais de moi faisait que je n’avais pas beaucoup de succès auprès de la gente féminine.
De son coté la jeune Jessica de 17ans (elle avait sauté une classe) avait des atouts et le savait. Sa grande gueule faisait que l’on savait tout de suite à quoi s’attendre. Elle était en couple avec un espèce de footballeur qui était dans la promo qui la précédait (en chimie), je le trouvais un peu con mais d’après elle ce n’était pas là sa principale qualité. Car la demoiselle aimait ça, en tout cas elle ne ce gênait pas pour évoquait ses aventure avec force détails notamment à moi qui sans être totalement ignorant à ce sujet était carrément en manque. Elle le savait et je pense que ça la faisait triper de m’aguicher discrètement.
Car il faut lui reconnaître qu’elle savait obtenir ce qu’elle voulait. Je jouais dans un groupe de musique en atelier et elle venait souvent assister au répète. Ça a d’abord était un bon pote guitariste, puis un batteur et enfin un chanteur. J’ai eu trois groupes en trois ans et au final elle a toujours consommé l’un des membres (si j’ose dire). Et bien sur il y avait les à coté de son mec de temps à autres, elle était très « honnête » avec l’adultère : « tant que l’un ou l’autre n’est pas au courant, il n’y a pas tromperie ». Elle se doutait que son sportif allait ce dépenser sur d’autre pelouse, mais ça lui convenait comme ça.
On s’est bien amusé durant toute cette année, les fêtes se sont enchaînées amenant parfois des situations étranges. Je pense que ça la faisait marrer de foutre les gens à poil, sont grands truc c’était que Kems qu’elle transformé en strip Kems. Étant particulièrement mauvais dans ce genre d’exercice, encore plus quand l’alcool est de la partie. J’ai souvent montré mon cul sans même voir un bout de nichon. Mais je m’en foutait un peu, je me foutais de tout en même temps, je me contentais de la frustration.
Elle sympathisais rapidement avec mes potes, notamment une amie lesbienne et sa grande pote qui n’était autre que mon ex dont j’avais été très amoureux et que je continuais à voir en toute amitié (je suis un peu maso). En les rencontrant, le courant était tout de suite passé. Outre son aptitude à s’entendre avec tout le monde, elle avait placé discrètement qu’elle avait sa lesbienne et avait détaillé ce qu’elles pratiquaient quand elle se voyait. Clairement elle aguichait la pote ce qui m’avais fait comprendre à quel point elle pouvait être manipulatrice, à l’opposé de moi.
Bref de mon coté j’observais cette fille pour laquelle j’avais de l’affection (amical) mais aussi une forme d’attirance a****le pour ce qu’elle représentait et pour son comportement aguicheur. De son coté je pense que ça la faisait profondément marrer d’aguicher les mec et moi en particulier.
À la fin de l’année et comme il fallait penser à la suivante, elle a évoqué l’idée de faire une coloc, ce qui me motivais assez. Nous avons posé les bases directement en disant qu’il n’y aurait pas de sexe entre nous. Nous étions tous les deux en couple et de toute façon je ne l’intéressait pas et de mon coté même s’il y avait une attirance sexuelle, je crois que je l’aurais buté à la moindre seconde en « couple » avec elle (et oui c’est bizarre d’être attiré par des gens qu’on ne supporterais pas sorti d’un certain contexte) donc il n’y avait pas de recherche de mon coté. Cette année de coloc fut encore plus délirante que la précédente avec encore plus de fête et de conneries qu’encore aujourd’hui je raconte en m’étonnant d’avoir pu faire ça
En fin de première année j’ai rencontré une fille avec laquelle je suis resté un ans. Les séparations ont été nombreuses, la relation compliqué car j’étais dans une forme de dépression et de son coté elle avait besoin de protection que je ne lui apportais pas. Les sentiments était là mais nos mal êtres respectifs on fini par avoir raison de la relation. Je n’était pas fier de la façon dont je l’avais traité et dont je m’était traité. Jessica était la pour me soutenir et me réconforter, cette séparation m’avais fait un déclic, je devait évoluer et faire ce dont j’avais vraiment envie. Je décider donc d’entamer une transition végétarienne et de faire du sport, « anima sana in corpore sano » devait être ma logique. Je devait m’astreindre et me tenir à mes résolution car ça ne pouvait qu’être bénéfique.
Dans la semaine qui suivait, en rentrant des cours je trouvait Jessica en pleurs sur le canapé occupé à laisser des mouchoirs partout sur le sol.
-Heu ouai… qu’est ce qui ce passe?
-Romain m’a quitté. Il a dit qu’il avait rencontré une autre fille et que c’était avec elle qu’il voulait être.
-Ah merde. Je sais pas trop quoi te dire, je suis dans une situation ou elle est partie pour personne, je suis pas sur que ce soit mieux.
-Mais bordel c’est pas de l’adultère quand on ce le dit pas!
Et la elle retombe la tête entre les mains en pleurant toute les larmes de son corps.
Je m’étonnerais toujours que les cons soit autant aimés, mais bon la nature est comme ça.
Je file dans ma chambre et ramène une bouteille de vodka que l’on m’avait offert pour mon anniversaire quelques jours plus tôt. J’installe deux verres sur la table et les remplis.
-Merci tu ne peux pas savoir à quel point j’en ai besoin.
-Allons c’est fait pour ça un coloc, de toute façon je vais pas la boire tout seul, ça ferait bizarre.
Elle rit fort, on trinque et on boit. On passe la soirée à se raconter nos regrets, les défauts de nos ex et à rire gras. On se fait la bises et on va se coucher un peu plus serein que durant la semaine écoulée, de mon coté je ressent l’envie de changer la personne que je suis et faire des efforts pour m’améliorer.
Durant les mois qui suivent je m’applique à changer mes habitudes de vie et le moins que l’on puisse dire est que les résultats sont surprenant. Je perd 15kg en à peine 2 mois, je m’affine, je me sent mieux en général et même mes insomnies ce calment. Me voila contraint de changer ma garde robe ce qui n’est pas forcément évident lorsque l’on est étudiant. Jess bosse dans un magasin de fringues et est au fait de la mode (concept que je déteste), enfin plus que moi. Je pense qu’elle sera plus à même de m’indiquer ce qui me va bien car les sweat à capuche et les jeans délavé ne sont pas les meilleurs atour pour ce mettre en valeur. Elle me montre donc des pantalon et t-shirt plus près du corps aux antipodes de ce que j’ai l’habitude de porter. Je lui fait confiance, c’est sobre mais élégant donc ça me convient.
Le changement général me convenais plutôt bien, je fais quelques rencontres mais rien de vraiment sérieux. Je m’envoie quelques fille de l’IUT que je ramène à l’appartement que nous partageons, Jessica me fais quelques remarques qu’elle ponctue d’un sourire qui me fous le doute sur son innocence. Un soir à discuter avec l’une de ses bonne copine, elle lui sort devant moi que je deviens « baisable » (avec un accent ricain) et lui parle des quelques filles que j’ai ramené. On parle ouvertement de cul et j’avoue qu’en y repensant le soir je me touche en imaginant seins et sexes gonflés, d’autant qu’avec toutes les confidences qu’elles me font sur ce qu’elles aiment et attendent, j’en arrive à me faire des idées.
Un soir que l’on discute autour d’un apéro on en vient comme d’habitude à parler des nos rapports avec le sexe opposé :
-T’en a pas marre de te faire une gonzesse de temps en temps et de ne rien concrétiser?
-Genre me remettre en couple?
-Bah oui, d’autant que te connaissant c’est plutôt ce que tu recherche.
-Oui mais bon… mes expériences précédentes ne m’ont pas laissé dans un état très brillant donc pour le moment et maintenant que je me sens mieux j’aimerais autant en profiter.
-Je te dis pas le contraire mais est ce que quand tu rencontre une fille tu exclu direct la relation de couple.
-Non pas vraiment, c’est juste que pour l’instant je n’ai pas trouvé quelqu’un qui me conviendrait. Déjà je ne suis pas Don Juan et puis il y a des coups dont je suis pas fier non plus… Il y avait bien l’autre aguicheuse, une vrai furie au lit mais bon elle est à moitié con.
-Oui pour la furie j’ai entendue mais t’es vache avec elle.
Dit elle en riant.
-Tu lui as beaucoup parlé?
-Rapidement en début de soirée.
-Bah essaye d’avoir un débat avec elle.
-Oui mais toi t’es chiant aussi.
-Alors déjà je t’emmerde et puis on s’éloigne du sujet. Où voulais tu en venir avec ton histoire de couple?
-En fait ça ma fait qu’en même du mal ma rupture.
-Tu te doutes bien que je m’en suis rendu compte.
-Bon… Je l’ai insulté comme une merde et j’ai raconté les pires saloperies sur lui.
-J’avoue que pour le coup toi qui me reprochais d’y aller fort tout à l’heure. Tout est vrai?
-Il y a peut être un détail ou deux que j’ai exagéré. Mais bon tout ça pour dire qu’être en couple ça me manque. D’avoir quelqu’un tu sais? Me dis pas que c’est pas ce que tu recherche.
-Heu ouai… c’est quoi le plan que tu me fait?
-Mais non t’es con.
Éclats de rire, un peu gêné pour moi.
-Je me disais aussi j’étais à deux doigts de flipper. Et donc?
-Bah en fait je pensais que l’on pouvait se soutenir dans la recherche toi et moi. Genre tu me présente des mecs et moi des filles. On se motive, on fais les tests.
Je réfléchi un instant et je trouve l’idée sympa.
-Pourquoi pas, sans vouloir faire mon beauf de base ça facilitera la tâche.
-Voila, c’est ça que je voulais : du pragmatisme!
-Bon alors, on commence par quoi?
-On fait les test histoire d’être sûr et puis au cas ou on rencontre l’âme sœur on est prêt à faire le grand saut.
-Au moins t’es optimiste ça fais plaisir à voir. Et après.
-Après on regarde, on se renseigne, de toute façon on connaît les goûts l’un de l’autre. Et puis on se remet au sport histoire de se tonifier.
-Je te signal que j’en fais déjà, c’est toi qui fait ta grosse loque.
-Alors moi aussi je t’emmerde! On est une équipe.
-Allez! On est parti.
Et nous voila la semaine suivante à la clinique, les tests sont négatif et on va pouvoir commencer à prospecter. En tout cas c’est plus facile à dire qu’à faire. Quelque soirées après sans grand succès, nous faisons un premier bilan.
-Alors ton grand sportif, ça avance?
-Pas mal. Je le travail au corps, je pense que la prochaine fois ce sera bon, et toi de ton coté?
-Bah je sais pas trop. Il y avait bien Élise qui me plaisait bien mais bon elle est scotché à l’autre con arrogant. Il y avait bien Émilie aussi mais je pense que je ne suis pas son type. Dis moi Anne-Sophie elle est célibataire non?
-Tu ne touche pas à Anne-So, c’est chasse gardé.
-Tu sais bien qu’elle n’est pas bi.
-Oui mais je garde espoir et si je ne l’ai pas il n’y a pas de raison que tu l’ai.
-C’est un raisonnement qui se tient. Bon tu le revois quand ton sportif? Essaye de faire en sorte qu’il ne soit pas aussi con que le précédent.
-Je vais déjà essayer de le foutre dans un pieu et de voir ce qu’il vaut, pas besoin d’avoir inventé la poudre. Et ça il le faisait bien Romain.
-Ok ça lui fait une qualité.
-Oui au fond c’est pas faux. Enfin bref ma pote l’a invité demain soir chez elle et c’est là que je vais attaquer. Tu veux t’incruster chez elle?
-Non merci je vais prendre un verre avec les gars et puis je vais rentrer tôt, je voudrais casser le rythme des week-end soirée vendredi, samedi et comatage le dimanche.
-Comme tu le sens je te laisse t’éclater.
-On est quand même là pour étudier à la base.
Je me lève pour aller faire a manger tandis qu’elle fouille sur son PC pour lancer une série.
Après une soirée de vendredi bien calme je rentre à l’appart ou je constate que je suis seul. Après mon petit pétard du soir, je prend la route de ma chambre pour aller pioter. Dans un demi sommeil, j’entends Jess rentrer, tituber dans le couloir (elle se cogne contre les mur) et enfin claquer la porte de sa chambre. Merci la coloc.
Le lendemain je vais courir vers 10h et faire mes exercices sur la côte. Je rentre vers 11h sans faire de bruit, j’écoute ce qui ce passe et j’entends ronfler. Je toc légèrement à la porte en disant tout bas:
-coloc?
J’entends grogner et des mouvement dans le lit, je me met à cogner.
-DEBOUT LES MORTS, INTERRO SURPRISE!
-OOOH TA GUEULES.
Et j’entends le choc d’un oreiller sur la porte. Je me casse dans le séjour en riant comme un gosse qui a fait une connerie, c’est de bonne guerre, elle m’a fait pire.
Je ferme la porte et commence à faire la vaisselle en sifflotant (je laisse la vaisselle s’entasser quand c’est mon tour alors qu’elle, elle le fait quand il y a trois assiettes… logique féminine ou connerie masculine, je ne sais pas). Elle passe enfin la porte avec une gueule de déterré, elle ne porte que sa blouse blanche de chimie tachée de plusieurs couleurs différentes.
-Houla… t’as une tronche pas possible et manifestement tu es à poil sous ta blouse. Soit c’était exceptionnel soit c’était en dessous de tout.
-J’ai pas envie d’en parler.
-Allez! C’est toi qui avait lancé l’idée… ça ne peut pas être si pire que ça.
-SI!
-Allons, allons. C’est quoi le problème? Petite bite? Grosse bite? En fait c’est ton frère caché? Non mieux, il a couché avec ta mère? Non encore mieux, avec ton père?
Je souris bêtement, me foutant ouvertement de sa gueule tandis qu’elle me regarde avec des yeux de cocker.
-Allez, Racontes!
-Bah… il est pd. Donc ta dernière proposition est possible même si j’en doute.
Je reste bouche bée en la regardant avec des yeux de merlan frit et j’éclate de rire.
-Alors là c’est la meilleure! La duchesse Jessica à qui personne ne résiste et tombé sur plus fort qu’elle, je me marre. Sans déconner un pd, et tu t’en es rendu compte à qu’elle moment? Je te croyais super balèze à ce jeux?
-Te fous pas de ma gueule ça me fait assez chier.
-C’est pas grave, c’est drôle. C’est même la chose la plus drôle de l’année. J’en connaît que ça va bien faire marrer.
-ah non! Tu ne dis rien à Josh, on peut plus ce voir et je ne tient pas à ce que tu lui donne cette satisfaction.
-C’est bon pète un coup c’est juste drôle. Et puis vu ce que tu lui a fait subir, ça ne lui ferait pas de mal de pouvoir ce foutre de toi.
-Je te rappel que tu t’étais joint à moi pour ce foutre de la gueule sur ces deux minutes aux pieu.
-Alors je le reconnais que c’était pas sympa mais c’est pas moi qui l’ai baisé pendant 3 mois avant de le larguer. Donc je gagne!
-Tu gagnes pas.
Elle s’allume une clope et m’en file une.
On se met à discuter comme deux copines (des fois ça me fait flipper).
-Sans déconner il est trop chaud et ça ce sent qu’il prend soins de lui.
-Ouai, un pd quoi. Et tu l’a su comment.
-Bah en fait je me suis chauffé toute la soirée, on s’entendait bien et à un moment j’ai décidé de le chopper dans un coin. Je lui ai mis la main au paquet et je me suis rendu compte qu’il ne bandait pas. C’est la qu’il m’a dit en souriant « je t’aime bien Jess. Mais je suis gay ». J’étais dégoûté. Il a cru bon de rajouter « je t’apprécie vachement ». Quel enculé.
J’écrase ma clope et retourne finir la vaisselle en me bidonnant.
-Ça, c’est bien dit. J’aurais tellement aimé voir ta tête à ce moment là.
-Bah a peu prêt celle que je tire en ce moment.
-Effectivement c’est pas jojo. Finalement je m’en sort pas si mal avec mes petits plans cul.
-Ouai bah toi au moins tu baises en ce moment.
-Hého ça va je croyais que tu voulais le grand amour.
-Oui mais là j’étais à fond donc je suis frustré.
-Ah bah ça arrive, de temps en temps ça fais pas de mal. Regarde moi, ça a duré jusqu’à mes 20 ans, je n’en suis pas mort.
-oui mais bon toi.
Je m’arrête un instant.
-oui?
-Non rien, oublis!
-Tu sais je te connais bien mine de rien et je sais quand même un peu ce que tu penses. Tu devrais péter un coup de temps en temps sinon les chevilles pourrait te faire mal.
-Ça va, je suis pas hyper prétentieuse non plus.
-Sans aller jusque là, il t’arrive d’être hautaine. Alors je dis pas que ça ne plaît pas à certain type, mais en tout cas j’ai su assez vite que l’on ne pourrait pas être ensemble parce que je déteste ça chez les gens. Tu me diras que de toute façon je n’étais pas à ton goût et ça je le sais, mais bon c’est pas forcément agréable à entendre. Après en temps que potes, je sais pas pourquoi mais ça passe.
-Excuses moi je voulais pas être blessante. J’ai la gueule de bois.
-C’est pas grave et puis je te connais, je n’aurais pas accepté la coloc si je ne t’avais pas supporté.
-Ouai… J’ai la gueule de bois et je suis frustré.
-Héhé, bienvenue dans la peau d’un mec qui rentre à 4h du mat et qui ce fait envoyer chier par ça gonzesse.
-Alors la j’aimerais bien voir ça.
Elle écrase ça clope précipitamment, ce lève et ouvre grand sa blouse dévoilant ses seins lourds et une belle petite vulve tondu si ce n’est le traditionnel ticket de métro (châtain clair… J’habitais avec une fausse blonde pendant tout ce temps). De mon coté je reste bouche bée et je laisse échapper la vaisselle que j’étais entrain de nettoyer dans l’évier (ouf!). Avec ce qu’il me reste de sérieux, je dis :
-Plaît il?
-Me dit pas que tu n’en as pas envie, je suis sur que tu t’es masturbé en pensant à tous les trucs dégueulasse que tu me ferais.
Sans pouvoir détacher les yeux de ses formes, de es cuisses un peu potelées
surplombées par ses anches larges, de son petit ventre affichant une petite brioche et surtout de ses seins lourds au larges auréoles, j’articule :
-Ce n’est pas parce que j’y pense que j’ai l’intention de le faire et puis on avait pas dis « pas de sexe entre nous ».
Elle se rassoit et s’allume une autre cigarette. Elle se penche en arrière dans le canapé en soufflant bien haut sa fumé, de cette façon ses seins dardent vers le plafond tandis qu’écartant largement les cuisses son sexe s’offre à mon regard. Je ne peux plus détacher mon regards de ses lèvres ouvertes qui semble suinter un liquide visqueux et épais dont je ressent l’irrépressible envie de me gaver.
-Les choses ont changées et à ce moment précis j’ai envie de me faire embrocher.
Elle se lève et se dirige vers moi avec sa démarche de femelle en rut qu’elle prend quand elle a un mec dans le viseur. Sauf que là s’est moi et qu’elle est à poil, ses seins se dandinent de droite à gauche et elle tend le pieds en avant lorsqu’elle marche comme une ballerine qui aurait envie de rendre fou son partenaire.
Elle se plante à quelques centimètre de moi avec sa clope au bec et plante son regard dans le mien. L’intensité de son regard bleu dans le mien me file des palpitation, elle sait exciter le mâle pour arriver à ses fins.
-Écoutes, je pense que l’on peut s’envoyer en l’air sans scrupule, on en a envie tout les deux et puis on est grand. De toute façon la coloc s’arrête dans quelques jours et on sait que l’on habiteras plus ensemble l’année prochaine, c’est un peu comme pour marquer le coups.
-Tu es sur que tu ne le regretteras pas?
-On a peut être trop parlé de cul, ce serait dommage de pas passez à la pratique.
Elle éteint sa clope d’une main et me caresse la verge de l’autre à travers le short de sport (je revenais du footing et j’étais encore chaud, ce qui tombais bien).
-Je constate qu’il y a matière, Julia m’a dit que tu était bien monté et d’après ce que je sens ça à l’air effectivement très appréciable.
Elle a maintenant mis ses deux mains sur mon entrejambe, ses bras enserrent ses seins qui débordent de l’étreinte. Avec sa blouse de petite chimiste coquine je commence à me sentir à l’étroit.
-J’aurais juste une petite question Jess.
-Hunhun?
-c’était prémédité.
Elle rigole fort et me répond :
-Absolument pas. J’ai envie de te baiser alors je le fais.
Elle se retourne et commence à frotter ses fesses sur ma bosse à travers sa blouse. Elle me demande de lui agripper les seins. Je chope une belle boule dans chaque main et commence à les masser comme j’aime. Le pouce au dessus et les quatre autres doigts au dessous pour un massage bien appuyé. Je fais tourner les pouces autour des auréoles, je trouve ça fous qu’elle n’ai quasiment pas de tétons, elle m’avait confié qu’ils rentraient et qu’elle n’aimait pas ça. Je glisse maintenant mes paumes sous ses belles loches pour les soupeser et les presser en utilisant toute la surface de ma main. Ça a l’air de lui plaire, elle soupir fort et presse son bassin contre le mien, elle penche sa tête en arrière et je commence à lui embrasser le coup.
-Alors on peut se servir de sa langue sans problème, c’est même recommandé, par contre on ne s’embrasse pas.
-J’en avais pas l’intention, c’est tes lèvres du bas que j’ai envie de bouffer.
Elle sourit en riant légèrement et ses main qu’elle avait laissé sur mes hanches s’insinue sur les cotés de mon short, au dessus de mes poches. Elles se faufile entre le short et le caleçon pour ne baisser que le premier. Elle tient maintenant dans l’une de ses paume une belle bosse maintenue par le coton du boxer. Elle appuie ses caresse et va flatter mes bourses tandis qu’elle remonte sa blouse jusque sur sa chute de rein. Dans cette configuration elle peut aisément glisser la bosse dans le sillon séparant ses fesses. Alors, tandis qu’elle se frotte vulgairement sur ma bite à travers mes sous vêtements, je lui malaxe la poitrine en crachant de temps en temps sur mes main pour humecter ses beaux seins pales aux belles auréoles légèrement plus foncé.
On se frotte comme des animaux en rut et respirons très fort, elle sait faire monter la pression. Je me doutais qu’elle aimait commander à voir son comportement avec les hommes mais je ne pensait pas qu’elle était capable de me chauffer à ce point là. Soudain elle se retourne et me pousse contre la table, j’appuie mes fesses sur le rebord et soutient son regard qui me laisse deviner la suite.
Elle se met à genoux et caresse ma bosse à deux main. Elle joue comme cela pendant cinq minutes montant ses deux main le long de ma verge simultanément, puis s’attarde sur mes couilles et enfin consacre une main à chaque outil. Elle donne des petits coups de langue de temps en temps ou fait mine d’engloutir le gland dans le caleçon. Elle me rend fou et je n’ai qu’une idée en tête, baisser mon caleçon pour lui introduire mon sexe épais dans la gorge. Cependant je suis incapable de faire autre chose que de suivre son rythme et ses désir, c’est comme si elle me dominait.
Enfin elle glisse deux doigts dans le caleçon juste au dessus de la verge et tire vers le bas, libérant ma queue gonflée qui n’en demandais pas tant. Elle siffle légèrement.
-Bah tu vois je me disais bien que ça devais valoir le détour, j’avais eu quelque écho. Et puis les chocs du lit sur le mur quand tu ramènes tes plans cul. En tout cas j’en ai déjà eu des plus longue ou des plus large mais je trouve que là c’est un bon compromis.
Elle met le gland dans sa bouche, fait juste quelque aller-retour puis reprend son discours :
-Elle est bien épaisse et pour moi c’est la bonne taille, ça ne tape pas trop fort dans le fond. Tu fais combien, 18?
-Ça doit être un truc comme ça.
Mes traits sons crispés car j’adore son petit air mutin quand elle fixe ma bite, une main caressant mes couille et l’autre tirant sur la tige afin de décalotter, ce qui est rendu plus facile par sa salive. Il n’y a pas a dire elle sait y faire. Je me demande combien de mecs ont eu droit à son petit jeu?
-Bon bah on attaque.
Ceci étant dis elle plonge la tête la première pour avaler mon chibre, elle tente directement de se le caler au fond de la gorge et réussi quand même à l’avaler à moitié. Elle va et vient comme ça dans de grands bruit de succion, lâche l’objet de temps à autre pour me sucer les bourses ou me gober une couille ou deux. Elle est inventive et cherche toujours à surprendre, quel tempérament. Ses petits jeux et allusions depuis que l’on se connaissait m’avais pas mal fait fantasmer, je me rendais compte maintenant que mon subconscient avait des raisons de s’emballer.
-Alors tu vas finir par venir ou bien?
Elle s’acharne sur ma queue tout en restant douce, elle gare ses dents et fait une travail très appréciable avec sa langue avant de se servir de mon gland pour se masser la glotte.
-Tu me met une pression pas possible dans les couilles, c’est sur que je vais venir si tu continue à ce rythme là. Je vais m’occuper de toi!
-Pas tout de suite, j’ai envie de goûter à du sperme de végétarien.
-Sérieux, je croyais que c’était pas ton truc?
-Disons que j’aime bien de temps en temps, c’est un petit peu un plaisir coupable. Et puis là disons que l’ambiance se prête bien à la pratique.
-Moi ça me va. Tire moi bien sur la courge en me branlant à deux main alors.
-Attend je te fais ma spéciale avant.
Elle chope la bouteille d’huile d’olive et commence à se tartiner les seins avec. Elle glisse ensuite mon chibre entre ses deux mamelle et commence à jouer avec d’abord en secouant simultanément des deux seins de haut en bas puis en les décalant. Elle s’amuse et rigole doucement en me voyant kiffer la douceur de ses seins. Elle sort mon chibre et s’en sert de gourdin pour matraquer ses seins, elle a du voir ça dans un porno, le contact de mon frein contre ces petit bout de tétons me rend fou. Pour une pipe ça c’est une pipe et je sens que ça commence à la démanger méchamment de son coté. Elle libère alors mon chibre de sa douce étreinte et le replonge dans sa bouche gourmande. Comme je lui ai demandé, elle accompagne sa fellation d’une superbe branlette à deux main. Le petit plus Jessica auquel je m’attendais un peu c’est la belle quantité de salive qui s’échappe de la commissure de ses lèvres.
-Oui, accélère.
Je venais de lui donner un ordre, ça me faisait une impression étrange mais agréable. Elle se met à pomper comme une furie et je sens mes testicules se contracter et un flot de sperme remonter mon urètre. Encore dans sa bouche, mon gland commence à vomir un foutre épais et chaud qui déborde immédiatement de ses lèvre. Elle a un mouvement de recul et le sperme fuse dans de belles giclée qui éclaboussent tantôt son visage, tantôt ses cheveux et enfin sa poitrine. Elle et couverte de sperme, je suis très fier de moi même si j’ai la tête qui tourne. Elle regarde ses seins, tourne vers moi son air dépité avec du sperme qui coule de ses lèvre puis me fais un grand sourire.
-Bon maintenant je crois que c’est mon tour de me faire sucer.
-Laisse moi une seconde, tu m’as vidé.
Je m’appuie contre la table en bois, j’ai les jambes coupé et l’impression profonde que je ne pourrais plus bander avant 15 jours. De son coté Jess allume une clope, le sperme qu’elle a sur les lèvre laisse des traces humide sur le filtre, elle me sourit. Je sourie également en la regardant, elle a reçu un peu de sperme sur le nez et le front et bien sur la première giclée dans la bouche. Mais au delà de ça je trouve que le trait qu’elle a reçu dans les cheveux ainsi que les grosses traces sur ces seins donne un coté très érotique à la scène. Cela étant souligné par son coté détaché, madame fume sa clope comme après un cours à l’IUT alors que je viens juste de la recouvrir de semence. Voila que ça commence à m’exciter de nouveau.
Elle me regarde tandis que je contemple cette femme souillé par mes soins et à sa demande.
-T’es fier de toi? Demande t elle un grand sourire sur ses lèvres barbouillées de blanc.
-Bah plutôt ouai. Disons que j’ai mis ma touche personnelle sur un bien beau tableau.
-T’es mignon. Par contre maintenant j’ai très faim.
-T’inquiètes pas, je vais te cuisiner à petit feu.
Je l’att**** par la taille et la monte sur la table en bois avant de lui faire écarter les jambes en grand. Elle à les grandes lèvres serrées, il faut que son sexe soit grand ouvert pour distinguer les petites, par contre elle a un clitoris de bonne taille facile à repérer. Le tout luisant à la lumière du jour filtrant par les rideaux fin que j’ai pris soin de tirer, avant de la poser sur la table.
-Allez vas y bouffes moi!
Le signal étant lancé je me plonge dans dans sa vulve suintante pour goûter sa cyprine. Je dévore, je lèche, je nettoie, je racle… je glisse ma langue dans son vagin humide, bref je lui bouffe la chatte avec avidité. Mes mains appuyé sur les fesse, je remonte légèrement son coccyx de façon à bien lécher ses lèvre sur toute leur longueur avec le plat de ma langue. J’alterne en la faisant rentrer dans sa grotte humide et j’en profite pour goûter sa mouille qui commence à bien en dégouliner. Après quelques minutes de ce traitement je passe sur son clitoris et son ticket de métro afin de voir si elle est réceptive de cette endroit là mais je continu à lui mettre des doigts bien profonds et dynamiques. Elle halète un peu plus rapidement comme une chienne en rut qui se fait lécher les parties génital par un gros dog énervé et tout en se caressant la poitrine (et donc en étalant mon sperme) elle me souffle :
-Au fait j’ai peut être oublié de préciser que je n’ai pas pris de douche en rentrant. En tout cas, tu as l’air d’aimer ça, Julia ne m’avait rien dis à ce sujet.
-Déjà parce que j’avais 18 ans et que c’était mes premiers rapport, qu’ils ont été peu nombreux et que de toute façon elle aime pas ça. Depuis j’ai connu plusieurs femme dont notamment M. Qui était très clitoridienne et qui ne jouissait que comme ça. Et puis j’adore ça tout simplement.
En joignant le geste à la parole, je replonge la tête entre ses cuisse pour avaler sa mouille épaisse. Elle a un goût appréciable, salé mais pas trop aigre malgré le fait qu’elle n’ai pas pris de douche. Elle sent un peu l’urine mais après un bon nettoyage à coup de langue je retrouve un bon goût d’iode typique d’une bonne chatte (étant en bord de mer c’est un arôme que j’apprécie).
Embrassant sa toison et son bas ventre puis passant à des coups de langue appuyé sur son clito, elle commence à haleter encore plus fort et gémir. J’aspire son petit bouton et elle commence à essayer de donner des petits coups de bassin pour que j’appuie plus fort avec la langue. Sentant son désir monter, je décide d’en finir avec elle, je relève ses jambes presque à la vertical (j’en profite pour passer un coup de langue furtif sur son anus) et je plaque ma bouche contre sont vagin. Je vais chercher une grosse lampé de mouille fraîche au fond de son vagin puis je ressort le tout pour le plaquer sur son clitoris et le dévorer avec énergie. Elle se met à gémir très fort (heureusement que les proprio, un couple de vieux sont absent, on aurait encore eu des réflexions) et au bout d’une minute lâche quelques cris de jouissance non sans avoir plaqué ma tête de force sur sa chatte avec ses deux mains. J’ai l’impression d’avoir pris du rab de mouille plus acide au moment de sa jouissance, comme si elle m’avait éjaculé dans la bouche (c’est de bonne guerre), ce que je lui confie immédiatement. Toujours allongé sur le dos elle me répond essoufflé :
-hé ben comme ça on est quitte. Pfiou, ça fait longtemps que l’on m’avait pas bouffé comme ça.
-Et ton footballeur il était pas bon à ça?
-Bah plutôt le minimum syndical mais surtout c’était pas son point fort.
-Je sais pas si je devrais le demander mais bon je vais le faire quand même… c’était quoi.
-Me mettre sa grosse bite à grand coup de rein sportif.
Elle éclate de rire en ce redressant pour ce retrouver assise sur ses fesses, dodelinant ses jambes d’avant en arrière comme une enfant.
-Et maintenant on fait quoaaaaaa?
Elle appuie son air enfantin pour me provoquer (je l’ai déjà vu faire, en général c’est qu’elle a des idées très salope derrière la tête).
-J’ai bien une idée mais il faut que j’aille chercher des capotes.
-T’as autant envie de bourrer ma chatte que moi de me carrer ta queue?
-Bah il semblerais, dis-je en lui montrant ma queue de nouveau bien raide. D’où mon projet d’aller chercher des capotes
-On a fait des tests, il faut bien que ça serve à quelque chose, dit-elle en descendant de la table puis se tournant pour me présenter ses fesses.
-T’es sérieuse là?
Elle se retourne et me lance un regard dur :
-Je prend la pilule, alors maintenant tu m’att**** par les anches et tu m’enfiles.
Je m’exécute alors comme happé dans un tourbillon ou seul le plaisir compte. Je m’approche de sa fente la queue à la main, j’accompagne le gland dans la pénétration puis une fois dedans je m’agrippe à ses hanches comme elle me l’a demandé. Elle est tellement mouillée que je peux lui carrer directement au fond du vagin et entamer des vas et vient moites. En m’enfonçant profondément je sens mes bourses poilues se cogner contre ses cuisses glabre et se contraste renforce ma gaules. Je me penche en avant att**** ses seins par derrière et déposes des baisers sur ses omoplates, elle à la peau douce et qui sent bon malgré l’alcool qu’elle a ingurgité la veille. Je grogne et elle gémit, elle à l’air d’aimer ce faire secouer.
-Oh oui baise moi bien la chatte, tu m’as bien chauffé à me bouffer comme tu l’a fait, ou est ce que tu as appris ça?
-Sur le tas, sans vouloir être désobligeant. Quand tu as une copine qui ne réagit pas plus que ça à ta verge, tu cherches d’autres moyens et puis tu découvres qu’un bon coup de langue la fais grimper au rideaux.
-D’accord donc tu as appris directement à la source, j’aime la démarche, dis t elle en haletant.
Sa respiration se fait de plus en plus appuyé et elle recommence à gémir. Je me demande si sa façon de couiner n’est pas juste un moyen de pousser son partenaire à la bourrer plus fort, en tout cas ça me motive. Je commence donc à m’enfoncer de plus en plus fort et ses couinement font de même. Après deux minutes elle lâche un cris rauque et tremble des jambes. Elle jouis par la chattes tandis que je lui caresse les fesses. J’ai sentis son vagin se contracté et je m’étonne moi même de ne pas avoir envoyé la deuxième salve de purée en même temps qu’elle.
-Ouah… Je m’attendais pas à ça, tu m’a fais jouir en cinq minute, t’es plutôt un bon baiseur en fait, dis t elle avachie à plat ventre sur la table.
-Merci, mais en même temps comme tu disais tout à l’heure j’ai échafaudé pas mal de plan dans ma tête.
Je me retire, elle glisse sa main droite entre ses jambes, se met deux doigt comme pour vérifier que je n’ai rien cassé.
-Tu m’as bien sauté, mais je constate que t’en a encore sous le coude.
-Oui je m’en étonne moi même, tu me finis à la bouche?
Elle fait une petite moue tout en continuant à fouiller son sexe.
-Au point ou on en est rendu je pense que l’on peut finir en apothéose.
Disant cela elle passe sa main gauche par dessus ses fesses laissant le haut de sont corps en appuie sur ses gros seins, et de ses doigts écarte ses fesse avant de faire passer sa main droite de sa vulve à son anus. C’est alors que je contemple ébahis ma coloc penchée sur la table de la cuisine entrain d’écarter ses fesse d’une main et de masturber sa rondelle de l’autre avec deux doigts couverts de cyprine. Elle fait des ronds sur la couronne avant d’enfoncer ses deux doigts trempé de mouille au fond de son rectum.
-C’est bon, comme ça je suis entrain de te rendre fou. Elle sourie à s’en décrocher les mâchoire et poursuis : je suis sur que dans tes fantasmes cochons tu m’as fais tellement de choses dégueulasses.
-Oui.
La réponse est laconique mais je suis complètement hypnotisé me branlant frénétiquement la queue et me caressant les couilles à pleine main. Elle a tournée la tête sur le coté pour observer mes tentatives pour me soulager.
-Ahah tu me fais penser à toi l’année dernière, j’étais sur de te faire de l’effet et je regardais comment tu réagissais à mes provocation. Je te parlais de la façon dont j’aimais me faire baiser et comment je kiffé allumer les mecs, et toi tu restais impassible mais je savais qu’intérieurement tu bouillais. Ça me plaisait bien de t’imaginer les couilles remplies et la queue toute dure.
-Ça ne m’étonne pas de toi, c’est ton coté salope dominatrice, tu aimes que les hommes soit près au pire truc pour toi.
-C’est vrai. Et j’aurais pensé que tu tenterais des truc mais tu as su te contenir. Tu as raison, j’adore provoquer les hommes et faire en sorte qu’ils me lèche le cul. Tu veux me lécher le cul?
Pour toute réponse je m’approche en continuant à me branler puis une main sur chaque fesse je lui écarte le cul, elle retire ses mains et laisse la place à mon visage. Avec ma langue je part de sa vulve au lèvres suintante puis remonte jusqu’à sa pastille.
-Oh mon gros salaud, tu n’hésite pas, ça me fais des frissons dans la chatte.
Je continue ce léchage superficiel pendant une minute avant d’introduire le bout de ma langue dans son orifice que ses doigts on légèrement détendus. J’adore ce goût poivré (j’ai de la chance, elle ne s’est pas lavée, mais aucun goût suspect), cette sensation que sa langue est écrasé par une force irrésistible, et cette texture ourlée.
-Oula mais tu aime ça ou quoi? C’est bon de ce faire nettoyer le cul par son esclave sexuel.
-D’autant que tu ne t’es pas lavé, lui fais-je remarqué.
Elle se redresse sur ses bras :
-Oh oui merde j’avais oublié, c’est pas dégueu?
-A ton avis, lui dis je en écartant ses fesses plus largement encore et en enfonçant ma langue le plus loin possible. Elle gémi fort en baissant la tête, puis, la relevant elle me sort :
-Effectivement tu as de la chance, à chaque fois que Romain m’enculais pendant mes règles c’est moi qui devait lui enlever la capote parce que les traces dégouttais « monsieur ».
-Oui je m’en souvient tu me l’avais dis. Écoutes, là j’ai presque l’impression de lécher un trou de balle propre, il y a un petit arrière goût mais ça ne me gène pas. Pour être tout à fait honnête j’adore te faire reluire la perle, te lécher la feuille de rose.
Je commence à enfoncer mon majeur dans son cul en continuant de lécher le pourtour de son anus bien ourlé.
-Yeah rosebud, dis elle en souriant. Remarque avec ses 22cm il allait chercher profond, c’est peut être pour ça.
J’y ajoute mon index et je sens la pression sur mes doigts varier comme si elle jouais avec moi (ce qu’elle fait probablement).
-22? bah ça va il n’y a pas un monde entre nous.
-Oui c’est vrai, la tienne est un peu plus large. J’imagine que tu aimerais bien m’enculer.
J’interrompt un instant le récurage auquel je me prêtais pour répondre :
-Bah c’est pas que j’aimerais pas mais dans l’état dans lequel tu m’as mis, je ne vois pas d’autre échappatoire.
-Viens m’enfiler alors.
Je me relève et approche mon gland de son anus serré elle se plaît de nouveau à écarter les fesses pour me faciliter le passage. De mon coté j’ai enserré mon gland dans la main droite de façon à bien le guider dans l’orifice étroit et éviter qu’il ne se sauve, tandis que la gauche maintient le tronc pour conservé la rigidité (bien que dans le contexte ce ne soit pas forcément nécessaire). Je commence donc à m’introduire dans le saints des saints de ma blonde colocataire vicieuse. Comme nous continuons sans capote, mon gland commence à écarter plus fortement les sphincters de Jess.
-Umph… Doucement.
-Attends.
Je tend le bras et att**** la bouteille d’huile d’olive qui traînait sur le plan de travail, j’en verse dans ma main et m’astique le chibre avec, puis j’en verse dans l’anus de ma partenaire et fais bien rentrer (pénétrer?) le tout avec deux puis trois doigts.
-Voila, ça devrait mieux passer maintenant, non? Pour avoir déjà essayé, l’huile c’est le plus fantastique des lubrifiant, surtout en anal.
-Bah écoute on va voir ça, en tout cas tu me surprend je ne m’attendais pas à te voir aussi expert à ce sujet.
-C’est pas parce que je suis pas assez bien gaulé pour toi que je n’ai pas mes petites techniques sexuelles.
-C’est bon soit pas vexé. Et je te ferais dire que tu t’apprêtes à m’enculer.
-Je suis pas vexé et oui, on va terminer cette coloc par une belle sodomie.
-Et puis se faire huiler avant de se faire fourrer c’est normal non?
-Tant que tu te prend pas pour une dinde…
J’arrive encore à la faire marrer alors que désormais à genoux sur une chaise, elle tend le cul vers l’arrière comme une jument attendant la saillie par son étalon.
Je présente mon gland contre son anneau brun engoncé entre ses deux fesses blanches, elle att**** une fesse dans chaque main et les écartes pour faciliter la pénétration. Je sens sa perle passer de cercle à ovale et je pousse en appuyant pour faire passer au gland la barrière de ses sphincter qu’elle tente de détendre. Étonnamment cette dernière est passée facilement d’un coup comme si son cul m’avait avalé.
-Ouf… c’est passé.
-Je dois dire que je suis étonné de la facilité avec laquelle c’est rentré, tu as l’habitude non?
-Mon ex aimait me baiser le cul quand j’avais mes règle, et comme c’était un chaud j’y avais droit tout les mois. J’aimais bien, puis je me suis renseigné et a force d’expérience j’ai appris à bien pousser pour laisser entrer l’engin. J’avais jamais pris aussi large, et toi tu avais déjà pratiqué?
-Vite fais mais avec mon ex mais je bandais mou, l’autre folle que j’ai ramené l’autre jour je lui ai juste bouffé le cul. Là c’est sur que c’est différent, j’ai l’impression que mon gland va exploser.
Je continue à m’enfoncer lentement dans son fondement tout en caressant ses fesses, ses reins et son ventre. Elle baisse la tête comme pour se concentrer et je m’approche lentement du fond de son cul avec la bouche ouverte et les yeux exorbités comme un gamin qui se branle pour la première fois. Enfin je sens la base de mon sexe entrer en contact avec ses fesses, mes poils s’insinue dans sa raie et ceux de mes couilles caressent les lèvres de son sexe. Jessica tourne la tête,son visage affiche une expression relâchée comme si elle sortait d’un effort intense, son front est en sueur et une mèche de cheveux mouillés tombe devant son nez. Elle me sourit et me fais un signe de tête comme pour me dire « vas y, tu peux y aller ».
Je commence à faire des va et vient, d’abord sur quelques centimètres, l’huile s’étale dans son conduit étroit et elle se met à respirer en rythme. Sa tête est penchée et j’imagine ses yeux fermés, concentrée sur le pieu qui la sodomise. Après une minute de ce traitement, je met de l’amplitude dans mes mouvements, elle relève la tête et commence à haleter. Au bout des 20 aller-retour, je l’encule désormais sur toute la longueur de ma queue. Ses couinement se sont transformé en cris, je me penche en avant et me colle contre son dos pour passer ma main droite entre ses cuisse et masturber son sexe. Je me colle au fond de son cul et enfile deux doigts dans sa chatte, je les remues et elle passe sa main derrière ma nuque pour appuyer ma tête contre l’arrière de la sienne. Ce geste de tendresse me touche, je retire les doigts de sa chatte et att**** ses seins qui ballote.
J’ai l’impression d’être un ours, ma partenaire est cambrée sur une chaise, prends mon sexe épais dans le cul tandis que je malaxe ses seins par derrière. Le nez enfoncé dans ses cheveux je respire les effluves de sueurs mêlées à son parfum rond et sucré et mes couilles poilues vont buter sur ses lèvres glabres. Je m’enfonce une dernière fois dans son cul, y reste quelque seconde puis me retire lentement.
-Tu as jouis? Je n’ai rien senti, dit elle essoufflée.
-J’ai envie de te caler les fesses sur la table pour te finir.
-Ok, ça me plaît, répond elle en souriant.
Elle se lève de la chaise tandis que je vais me saisir d’un coussin pour qu’elle ne se fasse pas mal au coccyx avant de le placer au bord de la table. Elle chancelle sur ses jambes, se sert de ses deux bras pour se hisser sur le coussin et bascule en arrière pour se retrouver allongée sur le dos les jambes en l’air. Elle écarte les cuisses et s’enfonce deux doigts de chaque mains dans la chatte pour écarteler son sexe en me fixant de son regard glacé. C’est comme si elle voulait me montrer l’intérieur de son sexe, son exhibitionnisme m’excite et je branle ma queue à deux main. La pièce pue le sexe et l’ambiance et tendue comme une trique dur. Elle sort ses doigts qui sont couverts de cyprine, elle les observes puis les enfonces dans son anus comme elle l’a fait avec son sexe. Encore une fois j’observe son intérieur et là je ne tient plus.
-Enlève moi ça que j’y mette mon gros doigt.
-Oh oui vas y défonce moi le cul.
Elle met ses mains derrière ses cuisses pour maintenir ses jambes levées, je m’approche et m’enfonce en elle d’un coup. Je saisi ses pieds, elle se laisse aller vers l’arrière et se remet à gueuler. Ses orteils se contractent et se relâchent autour de mes doigts tandis que je reprend les va et vient avec une grande amplitude.
-Tu aimes ça te faire enculer profondément par ton coloc?
-Oui s’est bon de se faire défoncer par une bonne grosse bite! Oh mon salaud, qu’est ce que tu me la met.
Encouragé par les saloperies qu’elle me sort, je la surprend en me calant au fond de son cul et en me lançant dans des petits coups rapide. Elle se met à hurler puis saisis sa chatte à deux main pour se branler frénétiquement. Après 2 minutes à ce régime je suis en sueur, essoufflé et je reprends à vitesse normale. Son anus enserre ma queue et sans capote le contact de ses muqueuses Elle enlève les mains de son sexe et laisse courir ses bras au dessus de sa tête, les caresses et les tends comme une chatte qui s’étire au réveil. Dans cette position je distingue les tendons qui vont de ses aisselles à ses gros seins qui se tienne fièrement. Je me penche, les prends en main et commence à les dévorer à pleine bouche.
-Ouah putain c’est bon comme tu me bouffes les miches mon salauds.
-Ton odeur me rend fous.
-T’es entrain de nettoyer le foutre que tu m’a étalé sur les meules, dis elle en souriant.
Je passe ma langue sous ses seins, là où sa peau est rendue humide par la transpiration, elle prend une grande inspiration comme si elle y prenait beaucoup de plaisir. Ça m’excite au plus haut point et je me met sur la pointe des pieds et je me met à lécher ses aisselles. Ainsi comme je l’ai fais avec son entrejambe, ma langue flatte son corps, je nettoie sa peau et bois sa sueur. Je me shoot avec ses hormones, ma queue est sur le point d’exploser et je relève le buste et me met à la défoncer à toute vitesse et tout au fond de son cul. Je me met à hurler :
-Putain de salope, qu’est ce que tu est bonne à fourrer.
Elle me répond en gueulant aussi :
-Vas y pauvre enculé, défonce moi le cul! Balances ton foutre! Souilles moi!
Je gueule de plus belle en enfonçant ma queue au fond de son derche et j’explose. Mes couilles se contractent et j’ai l’impression de sentir le sperme quitter mes bourses et remonter mon chibre. Le foutre inonde les muqueuses de Jessica, je lâche en elle une demi douzaine de grosses giclées épaisse au fond de son anus. De son coté elle a fortement branlé son clitoris et à jouis en même temps que moi. Nous somme tous les deux tremblant, essoufflés et en sueur. Nous avons bien jouis, nous nous regardons et partons d’un éclats de rire tandis que nous sommes toujours l’un dans l’autre. Je me retire doucement histoire de ne pas lui faire mal, ma queue demi molle sort de son cul dans un bruit humide et quelques gouttes de sperme coule de son anus détendu sur sa blouse.
Elle rapproche ses fesses du bord de la table et retombe doucement sur ses pieds, de mon coté je m’appuie contre l’évier de la cuisine, j’ai les jambes coupé et du liquide séminal qui coule de mon méat. Elle me regarde et me fait un clin d’œil toujours en souriant:
-Je t’offre une clope?
-C’est pas de refus.
Elle part vers la table du salon pour prendre son paquet mais s’arrête au bout d’un mètre et me dis :
-Hé, regardes ça!
Elle écarte sa blouse et se penche légèrement en avant et écarte ses fesse avec ses main, son anus est tous barbouillé de foutre. Je suis bouche bée qu’elle me montre ça. Elle rigole et lâche quelque pets mouillés qui font jaillir des gouttes de sperme qui tombent sur le sol et macule ses fesses. Elle se remet à avancer en continuant à lâcher des pets, c’est absolument sale et si excitant, si je ne m’était pas senti si vide je lui serait remonté dessus.
Nous fumons une clope et convenons que cela doit rester entre nous, que c’était bon. Elle me confirme qu’elle a eu un orgasme quand j’étais dans son cul mais que comme elle se branlait le clito en même temps elle ne sais pas si c’est un orgasme anal. De mon coté je lui dis que ces coïts m’ont vidé les couilles à un point que je n’avait jamais connu. En riant elle me soupèse les couilles et confirme mes dire. Elle me fait un bisou sur la joue avant de partir prendre sa douche.
De mon coté je fume une dernière clope et je vais me coucher des images plein la tête. Je me réveil au milieu de la nuit et me branle une nouvelle fois à croire que je n’en ai jamais assez.
Nous déménageons la semaine suivante, nous avons respectivement un nouveau coloc et nous gardons contacts. Par la suite l’éloignement et la différence de personnalité nous on fait nous éloigner mais nous nous sommes revu à plusieurs reprises. Je suis devenu quelqu’un de plus posé et mes démon de jeunesse mon fuit (pas totalement mais je m’attache à finir le boulot) ce qui m’a fait voir notre relation sous un autre angle, d’autant qu’elle a peu changé. C’est devenue une connasse de bobo avec des idées toute faites et la ferme intention de te les imposer, elle s’impose devant son mec en permanence (très sympa d’ailleurs je comprend pas pourquoi il reste… elle le suce probablement comme une reine) et se la ramène à la moindre occasion, du grand Jessica.
Avec le recul tout cela me fais rire, ou comment j’ai pu être obnubilé par son corps et sa personnalité, je me suis écrasé trop longtemps. Pour me consoler de cette pensé je n’ai qu’à fermer les yeux et à me remémorer son anus serrant ma queue, sa vulve suintante, ses seins ballottant sous mes coups de reins et sa petite gueule à la bouche entrouverte laissant échapper ses couinements.
Quel pieds!
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