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pute en devenir 10

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L’arrivée dans notre appartement est joyeuse. Notre petite pause est terminée, je propose aux filles de jouer à la patinoire (jeu ainsi baptisé par Aurélie, fan des sports de glisse et vous allez comprendre pourquoi).
La table du salon est poussée par mes deux donzelles et elles étendent une bâche (ma bâche) en vinyle rouge. Sylviane se charge de faire réchauffer au bain-marie l’huile de massage, Aurélie pose des pantoufles et des serviettes sur le canapé.

— Vous pouvez vous installer, Monsieur. Me dit Aurélie.

Je m’allonge au centre, sur le dos quand Sylviane arrive avec l’onguent. Aurélie est à ma droite à genoux, Sylviane est debout à ma gauche. Quand l’huile arrive sur mon nombril, Aurélie se fait plaisir en me massant le ventre, la poitrine. Elle l’étale savamment sur tout le haut du corps, sa mère la faisant couler sans avarice en descendant sur mon sexe, mes cuisses, mes mollets et mes pieds. Sa fille s’en oint la poitrine et s’allonge à mes côtés, bientôt imitée par sa mère. Elles se frottent à moi. Les jambes, les mains luisantes s’accaparent mon corps. Sylviane finit la bouteille d’un litre d’huile parfumée senteur monoï. C’est l’extase pour moi. Les caresses sont douces, savamment prodiguées. Elles se lovent à moi, se massent les seins sur ma poitrine, se frottent leur sexe sur mes cuisses. Les mains s’égarent sur ma queue, mes couilles. Interdiction de me branler, juste toucher, palper. Divin. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ces jeux de mains, de jambes. Un jeu instauré pour conclure nos weekends de débauche et calmer mes deux furies. Pas de télé, pas de musique. Juste le bruissement des massages sur nos corps. Elles m’embrassent maintenant. C’est un balai à trois langues que l’on joue. Un échange de fluide s’engage. Je bois leur salive de tout mon saoule. Accoudées sur un bras, de l’autre elle me triture les couilles, la bite, s’égarant parfois sur ma rondelle.

— Salope, vous n’êtes que des salopes…

Un sourire se dessine sur leur visage aux yeux mi-clos. Un doigt s’immisce un peu plus sur ma rondelle. J’ouvre les yeux. C’est les doigts de Sylviane. Depuis le temps que je lui ai dit et qu’elle a vu que j’aimais bien le plaisir anal, elle n’a de cesse de me demander de lui offrir mon anus. Ce serait un immense honneur pour elle de m’emmener à cette jouissance, me dit-elle. Pour l’instant je l’autorise à jouer avec le portillon, la grande porte s’ouvrira-t-elle ? Un jour peut-être, surement…
Ce jeu dure depuis plus d’une heure. Je demande à mes deux chattes de se lever, ce qu’elles font à contrecœur et avec peine. À l’aide des serviettes elles m’essuient de l’excédent d’huile et me chaussent les chaussons. C’est sexe tendu que je vais à la douche.
Au sortir, tout est impeccablement rangé. Seul le parfum de l’huile subsiste.
Je m’installe dans mon fauteuil et Aurélie m’apporte une bière et m’allume un clope.

— Allez, à la douche. Demain tu as cours.

Elle part rejoindre sa mère qui l’avait précédé. La porte restant ouverte, je peux les entendre jacasser et rire. Cela fait plaisir, au moins ma présence a effacé la rancœur d’une fille envers sa mère et a instauré un climat calme et serein.
Aurélie vient me souhaiter bonne nuit, tandis que sa mère vient prendre position entre mes cuisses. J’allume la télé. Je lui caresse la tête, elle soupire.

— Qu’y a-t-il Sylviane ?

— J’ai envie, Maître. J’ai envie de vous. Me répond-elle en frottant sa tête sur ma cuisse.

— Je sais, je le sens. On va dans la chambre.

Aurélie s’est endormie avec la lumière. J’entre et j’admire ce petit corps positionné en chien de fusil. Elle est nue, paisible. Plus de drap, je l’interdis. J’éteins.
Je vais dans ma chambre où m’attend Sylviane, à genoux, sur le lit. En voyant ma bite tendue, elle ouvre la bouche. Je sais ce qu’elle veut, que je lui baise la bouche. Je me présente devant son visage, elle croise les mains derrière son dos. Je prends sa tête à deux mains et commence mon ramonage buccal. Les bruits de succion, les glups-glups m’excitent. Je reste, parfois, la queue plantée au fond de son gosier. Les gorges profondes n’ont plus de secret pour elle. Quand elle suffoque, je sais qu’il est temps de me retirer. Elle me regarde amoureusement. Je sais qu’elle souffre, mais elle aime ça. L’amour vache, la baise hard, le viol consenti, voilà ce qui la fait jouir. Je continue à pendre sa bouche. Elle bave et ça coule sur la serviette qu’elle a positionnée dessous ses jambes. J’y vais fort, violemment. Mes couilles viennent buter sur son menton. Je ne veux pas jouir dans sa bouche, alors je me concentre sur ma jouissance. Je sors et la biffle sur les deux joues.

— En position.

Elle se retourne en m’offrant son gros cul. La vue est magnifique. Je claque ses rondeurs qui rougissent vite. Elle couine, mais ne crie pas. Je la pénètre un coup dans la chatte, un coup dans son cul. C’est trop bon. Elle ahane. Ma queue est bien lubrifiée par les passages successifs dans son con. Elle se cambre et pousse son bassin à la rencontre du mien. Quand d’un coup sa chatte se resserre. Elle jouit en silence, comme je lui ai appris lorsque sa fille est là. Juste un « HUMMMM » étouffé dans l’oreiller. Je la baise plus vite, plus fort. Elle a sa deuxième contraction lorsque je me vide en elle. Affalée sur ses avant-bras, elle reprend son souffle, puis je me retire. Sans que je dise quoi que ce soit, elle se retourne et s’assoit sur le bord du lit et me nettoie la queue.

— j’ai envie de pisser…

Elle se met sur le sol, prend mon gland en bouche, elle me regarde et me sourit. Je lâche mon urine dans cet urinoir humain. Elle déglutit plusieurs fois, jusqu’à la fin de mon envie.
Je lui souris et je m’en vais prendre une douche pendant qu’elle remet un peu d’ordre dans le lit.
À la sortie de ma toilette, elle m’attend à la sortie de la salle de bain. Je lui cède la place et je vais me coucher.

Le réveil est, comme toujours, agréable. L’odeur du café et des tartines grillées me tire de mon lit. Sylviane est en train de faire une petite vaisselle et Aurélie est partie en cours. J’admire ses courbes, ses formes. Je bande. Elle ne dit pas un mot en me servant le café, mais elle me fait un sourire en coin.

— Qu’y a-t-il ?

— J’ai aimé hier soir, comment vous m’avez baisée.

— Ce matin je t’emmène au marché.

Son visage s’illumine.

— Aurélie finit à dix heures…

— Ah, et en quel honneur ?

— On est lundi et elle finit toujours à dix heures et pour cet après-midi, son prof de coiffure est absent.

— Bon et bien elle viendra avec nous.

Elle folle de joie et vient m’embrasser.

— Allez, finis ta vaisselle et va te préparer, je laverais ma tasse.

Dix heures quinze, Aurélie déboule comme une furie, file à sa chambre et en ressort nue.

— On va au marché. Lui dit sa mère.

— Et comment je m’habille ?

— Nue et ton parka fourré, mais avant douche, maquillage et pose tes bijoux. Ne mets pas la laisse, pas besoin.

Sylviane est prête. Elle a opté pour une jupe flottante rouge qui descend à mi-cuisse, d’un chemisier transparent, de bas résille noirs et des chaussures noires à haut talon, ainsi que son blouson en cuir blanc. Très jolie, très sexy, presque pute.
Aurélie arrive nue sur des échasses d’au moins 10 centimètres. Elle a mis son petit collier, sa petite chaine entre les piercings de ses seins. Elle fait un tour sur elle-même pour me monter son plug. Sylviane sourit et me montre son bijou anal.

Onze heures, on est sur le cours Mirabeau, lieu du marché quotidien de la belle ville de Toulon. On est descendu à pied. On y est en quinze minutes. Je me régale à les voir se dandiner, à rouler des fesses, sachant qu’elles sont toutes les deux pluguées. Aurélie pousse le vice à venir caresser les fesses nues de sa mère. Cette dernière ne dit rien, n’a pas un geste de protestation. On descend le cours, on se dirige vers le bar-resto où j’avais emmené Sylviane lors de notre seconde rencontre. Sylviane s’installe comme à son habitude désormais, fesses au contact de la banquette. Aurélie hésite un peu, mais elle fait de même. Elle remonte son long manteau sur ses hanches et s’assoit. Elle réajuste son manteau sur ses cuisses et son derrière. Parfait. On commande trois moules-frites que nous accompagnons d’un vin blanc. L’ambiance est heureuse, joyeuse. Vendredi soir, c’est décidé, je les emmène en boîte échangiste, il ne me reste plus qu’à en trouver une sur Toulon. De retour, nous flânons dans les rues de la basse ville et passons devant l’endroit où nous avions rencontré Damien. Elle me regarde, interrogative.

— Non, pas aujourd’hui. Je ne suis pas une machine et puis il faut que je sois en forme pour vendredi.

Leurs yeux s’illuminent. Elles me demandent plus de renseignements. Je leur dis juste que la surprise devrait leur plaire et que je n’autoriserai plus de question à ce sujet. Soumises, elles acceptent à contrecœur.
À l’appartement, elles vaquent à leurs occupations. Aurélie prépare un repas léger, Sylviane refait les lits et aère les chambres.

— Que fait-on pour la chambre d’Amandine, il n’y a plus son lit. Me demande Sylviane.

— Tu as toujours son matelas à la cave ?

— Oui…

— Je vais le chercher…

Une fois le matelas remonté, on mange le succulent repas. Tomates farcies et frites.
On est tous les trois dans la chambre de la souillon. On vire tous les bibelots et les peluches de ses étagères. On arrache les posters des murs, on prend les lampes de chevet et de son bureau.

— Aurélie, va chercher ta tenue, ce sera désormais celle de ta sœur.

On pose le matelas sur un tapis au centre de la pièce. Sylviane y pose une alèse et un drap-housse. Moi j’enlève le système d’ouverture de la fenêtre.

— Voilà, parfait, il va falloir qu’elle reprenne ses études, mais cela se fera par correspondance et sous mon autorité.

Aurélie va dans sa chambre et se met à son bureau pour réviser. Sylviane et moi allons dans le salon pour regarder la télé.

La semaine c’est passé tranquillement. Les filles ont été frustrées, sexuellement parlant, leur interdisant tout rapport avec moi. Mais pour elles cela a été plus dur. Mais ayant bon cœur (ou couillon, à vous de voir), je les ai laissé deux fois dormir ensemble sur le grand matelas de la chambre d’Amandine (au moins elle aura les effluves de sa mère et sa sœur). Quant à moi, je me retenais de me branler.

J’ai cherché un club libertin sur le web. Que des endroits glauques et sans grand intérêt. Je suis tombé sur un club très privé de La Garde, à une demi-heure de l’appartement, qui s’est spécialisé dans les relations SM soft ou Hard. Seul hic, il fallait être parrainé. Au culot j’ai appelé le patron, qui s’est avéré être une patronne. Je lui ai demandé de me parrainer, ce qu’elle refusa.

Je réfléchissais quand j’ai eu un coup de génie. Kathy, elle devait connaitre ce genre d’endroit. Je l’appelais.

— Kathy ?

— Oui, que me veux-tu ? Pour le dressage ? C’est une petite coriace, mais je progresse.

— Euh, oui, mais non, c’est pas ça, mais merci de me tenir au…

— Dépêche-toi, faut que j’aille bosser…

— Connais-tu le Marquis à la Garde…

— Oui, oui, je connais. Tu veux que je te parraine et pour quand ?

— Vendredi.

— Vendredi c’est que du soft, c’est mieux pour tes gonzesses. Bon je préviens de ta venue à Mathilde et le mot de code sera « Aurélie ». Bon je te laisse, j’suis déjà à la bourre.

Et vendredi arriva très vite. On est allé prendre des tenues chez Cathy, mais on n’a pas eu le droit de voir Amandine.
Ma Sylviane était habillée un short rouge en vinyle très ras de ses grosses fesses, ça débordait. D’un tee-shirt noir en maille très prête du corps, ce qui laissait passer ces tétons. Pour ce qui est des chaussures, elle a opté pour des cuissardes, rouges également, remontant à mi-cuisse. Cathy lui conseilla de mettre une parka pour faire le chemin.
Aurélie fut habillée par Cathy. Elle lui a mis un baudrier en cuir noir qui soulevait sa petite poitrine, le haut de harnais lui servant de collier, un shorty en simili cuir ouvert devant et derrière. Aux pieds, elle avait des petits escarpins de toile noire. Pour compléter la tenue d’esclave choisie par la petite il lui fit passer des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles.
Quant à moi, Cathy n’avait pas de pantalon à ma taille, elle m’avait dit que mon jean noir et le tee-shirt en maille, qu’elle me donna, irait très bien.
Le chemin du retour vers l’appartement a été rapide. On monta en voiture et nous voilà partis vers « LE MARQUIS ».

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