Nous étions tous en train de regarder cette Marie, un peu surpris nous avons cessé nos va et-viens. Marie aussi était paralysée à la vue du spectacle. Je m’adresse à Rose :
– Qui c’est, elle ?
Pas de réponse. Je lui claque les fesses.
Nous étions tous en train de regarder cette Marie, un peu surpris nous avons cessé nos va et-viens. Marie aussi était paralysée à la vue du spectacle. Je m’adresse à Rose :
– Qui c’est, elle ?
Pas de réponse. Je lui claque les fesses.
– Répond, salope !
– C’est ma… ma soeur…
Vraiment ? Je fais signe aux deux autres qui ont déjà venus de retenir Marie. Je recommence mes mouvements de reins dans le cul de Rose.
– Dis à ta soeur que tout va bien.
– Marie, laisse-toi aller, tu verras, c’est super.
– Bonne fille, Rose.
Jean-René et Vincent ôtèrent le haut de Marie. Wouahhh, quels seins magnifiques. Je m’y perdrais durant des heures. Mes deux coéquipiers la tripotèrent avec joie pendant que les mains de Marie se promenèrent sur le torse et le ventre musclés des deux jeunes hommes. Moi encore dans le cul de Rose je m’apprêtais à venir. J’attendis Marie gémir quand Jean-René lui pénétra deux doigts.
Les yeux fermés, la bouche ouverte, cette voix … oh… Ça y est, je déchargeai dans le cul de Rose avec un râle qu’on aurait pu confondre avec quelqu’un qui soufre un max. Rose en sentant ma semence se répandre en elle jouit également.
– Putain ma Rose, j’achèterais ton cul pour le garder pour moi.
Je me retirai et un autre prit immédiatement ma place. Elle n’avait pas fini de couiner celle-là. Je m’approchai de Marie. Malgré que j’aille déjà éjaculer dans Rose, mon érection ne diminua pas, bien au contraire. J’avais l’impression que ma queue grossissait encore plus.
Marie gémissait déjà avec les caresses de mes amis. Je plongeai ma bouche dans sa poitrine. Mes lèvres et ma langue entourèrent les seins de cette cochonne. Je mordillais ses mamelons au passage. J’étais sur un nuage pendant environ 5 minutes quand les genoux de Marie commencèrent à fléchir.
– Elle est prête, mon capitaine.À toi l’honneur.
– Avec grand plaisir.
Marie se mit à genoux devant moi et je lui enfonçai aussitôt ma queue dans sa gueule. Oh mes amis, c’est qu’elle aime ça, oh oui. Elle aime ça. Je dois me retenir sinon j’éjacule presque immédiatement.
– Regarde-moi dans les yeux, chienne.
Marie leva les yeux vers moi.
– Occupe-toi aussi de mes amis.
Elle masturbant deux autres queues tout en continuant sa superbe fellation. Je jetai un coup d’oeil vers Rose, tous ses trous étaient occupés par des queues de jeunes hommes qui s’en donnant à coeur joie. Rose était aussi sur le bord d’un autre orgasme. Elle était sur couché de dos sur Mathieu, Martin dans sa chatte et Jean lui baisait la bouche. Marie me regarda toujours tout en me suçant. Oh ma chienne, j’en pouvais pu.
Je me retira et mit Marie debout. Je la retourna et la fit accoter sur le mur. Je lui ôtai le bas de son bikini et mit ma queue en érection sur le bord de sa chatte.
– Tu veux que j’aille plus loin ?
Elle n’osa pas répondre. J’éloignai ma queue d’elle.
– S’il vous plaît, murmura Marie.
– S’il vous plaît, quoi ?
– BAISEZ-MOI !!
À peine qu’elle eût terminé sa phrase que j’étais déjà au fond de sa chatte chaude et baveuse.
– Allez, capitaine, défonce là, elle aussi.
Je voulais y aller tranquillement, mais le contact des parois de son intimité frottant sur ma queue me ne donna pas le goût de prendre mon temps.
Je la défonçai comme elle le méritait.
Jean-René présenta sa bite devant la bouche de Marie qui l’engloutit immédiatement.
– Putain !, c’est plus qu’une bouche qu’elle a, c’est carrément une seconde chatte!
Les autres commencèrent à s’astiquer en regardant le spectacle.
Au bout de quelques minutes, moi et JR sentîmes l’orgasme de Marie arriver. Tant mieux parce que nous aussi étions à la limite. Tous les trois jouissions quasiment en même temps. Je remplis la chatte de Marie tandis que JR souilla sa bouche. Un petit filet de sperme s’échappa de ses lèvres fermées sur l’engin de JR.
Les trois autres joueurs étaient intenables. On se retira lentement, Marie s’effrondra sur le sol, épuisée. Mes coéquipiers n’en ont eut cure de son état puisqu’ils se positionnèrent pour la farcir eut aussi.
Elle resta allongée sur le dos et ouvrit la bouche aux deux queues de jeunes hommes qui se présentèrent à elle. Une troisième verge commença à la pénétrer. Je regardais Rose qui faisait venir mes autres coéquipiers. Elle luisait de foutre de la tête aux pieds.
– T’es sexy comme ça Rose, tu le sais ?
Je m’assois sur le sol, je continue de la regarder dans les yeux :
– Je veux rendre hommage à ta soeur, viens ici et redonne moi de la vigueur.
Rose répondit par un sourire, elle s’approcha pratiquement en rampant de moi. Elle saisit ma queue avec sa bouche et appliqua une de ses fellations qui veut dire « merci pour ce cadeau ». Jean-René m’en donnant cinq en ajoutant :
– Dommage que nous partons dans deux jours, ces putes me donnent envie de m’installer dans cette ville.
– Tu l’as dit, l’ami… Oh putain !
Mon membre était déjà dressé, mais Rose ne voulait pas le lâcher.
– Rose ma belle, j’te garderais pour moi seul, mais le cul de ta soeur me réclame.
Elle ôta mon pénis de sa bouche et me branla tranquillement. Elle me dit :
– Laisse là reprendre des forces. Ta queue goûte trop bon.
Et elle enfonça mon membre dans sa belle petite bouche de chienne. Ce que femme veut alors. Je fit signe aux deux autres de prendre chacun un trop de Rose. Elle veut de la queue, elle en aura.
Je jetai un coup d’oeil vers sa soeur. Les joueurs se partagèrent la bouche et la chatte. Rose, trop habile avec sa langue et ses lèvres, était sur le point de faire venir, encore. Putain de salope. Je me retirai de sa bouche presque de force. J’ordonnais à celui qui lui limait la chatte de venir me remplacer dans la bouche.
Je m’approchai de Marie et lui dit :
– Maintenant c’est les choses sérieuses. Retournez-la, vous autres.
Celui qui prenait Marie en levrette se retira et s’allongea sur le dos. Les deux qui se faisaient pomper le dard aidèrent Marie à s’empaler sur le membre du troisième.
Bien positionné, je crachai sur l’anus serré de Marie. Elle avait la bouche trop pleine pour protester si elle voulait le faire. Je commençai par y glisser un doigt, elle semblait habituer cette truie. J’en glissai un deuxième. Elle me sembla pas si serrée que ça finalement.
Je l’imaginais en train de se faire enculer à la chaine dans sa cave, sale vide couille. À cette pensée, j’ai eu l’impression que ma queue allait exploser. Tant pis, pas de douceur. Ma queue bien alignée, je la pénétrai d’un seul coup. Le cul aussi confortable que celui de sa soeur. Oh que ça ne sera pas long avant que je jouisse de nouveau, assez étonnant qu’il me reste du jus d’ailleurs. Oh putain.
Je faisais claquer mes hanches sur ses fesses charnues et appétissantes. La vision des deux soeurs se faire prendre par trois hommes chacune et malgré les queues dans leur gueule de suceuse nue, on pouvait sûrement les entendre jusqu’en Suisse, j’en étais certain.
C’en ai trop. Je déchargeai dans l’anus de Marie. Les autres joueurs me suivirent de près, aspergeant les deux soeurs qui avaient maintenant peine à garder les yeux ouverts.
Nous serions tombés endormis si ce n’était pas d’un homme obèse, très laid, malpropre, probablement l’homme à tout faire, qui entra en demandant ce qui se passait.
– Et d’après toi ?
– Vous n’avez pas le droit d’être ici.
– Nous avions besoin d’un endroit calme, relaxe, c’est cool.
– Non, non, je vais vous faire expulser d’ici.
Je me levai, les autres joueurs aussi. Nous l’entourions. Il avait autour de lui six jeunes hommes en muscle et en sueur qui pouvaient clairement lui donner une sale raclée.
– Ah oui ? Et comment ?
L’homme baissa le regard.
– Les règlements sont les règlements. Mais on peut sûrement s’arranger, n’est-ce pas ?
Je regardais les deux soeurs qui se remettaient tranquillement.
– Ces putes ont besoin de prendre une douche, on te laisse les regarder en train de se laver.
L’homme regarda Rose et Marie en se lichant les lèvres.
– Je ne pourrais pas …
– Non, c’est à prendre ou à laisser. De toute façon t’n’es pas de taille pour négocier. Bon garçon.
Les soeurs prenaient une bonne douche méritée pendant que l’homme à tout faire se branla le manche en les regardant.
J’en profitais pour fouiller dans le sac de Rose et de Marie. Un iPhone tient donc. Et pas verrouillé en plus. Comme le monde n’est pas prudent. Beaucoup de selfie de Rose, donc c’est son téléphone. Je reconnais Marie sur d’autres photos et une troisième femme.
En fouillant un peu, je découvre que c’est une autre de ses soeurs. Tiens donc. Je vois le email de son mari aussi. Je souris. Ça serait dommage qu’il sache ce qui s’est passé. Une idée arrive dans mon esprit. MMmm, je copie la liste de ses contacts avec les photos et adresse associés et je m’envoie le tout sur mon email.
La douche est terminée. Je remets tout en place avant qu’elles sortent. Je les remercie en leur roulant une pelle à chacune.
– À bientôt mes jolies.
Dehors c’était déjà la nuit. Ça passe vite quand on s’amuse. Nous rentrons tous à l’hôtel, pour ma part, j’ai hâte de décortiquer les infos du téléphone de Rose pour voir ce que je peux en faire.
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