Cette année, à l’université de Perpignan, j’ai rencontré une fille incroyablement belle. Aurélie a 18 ans, elle est très mince avec des fesses rondes et de seins fermes que ses t-shirts moulants mettent en valeur. Des cheveux bruns coupés carrés encadrent son visage d’ange. Quand j’ai vu ses grands yeux noirs et son air innocent j’étais instantanément amoureux.
Pour quelque raison, que je n’arrive toujours pas à m’expliquer, elle était tombée sous mon charme. Nous étions inséparables. Nous perdîmes notre virginité ensemble, ce fut une expérience incroyable. Depuis cette nuit-là, nous avions des rapports réguliers, tendres et délicats. Aurélie refusait de prendre la pilule, elle n’aimait pas l’idée d’avaler régulièrement des médicaments. Je la pénétrais toujours avec un préservatif ; je perdais en sensations, mais je tenais un peu plus longtemps.
Pour les vacances d’hivers Aurélie voulait passer quelques jours à la neige mais nos bourses d’étudiant ne nous permettaient pas de payer une location. Mon grand-oncle possédait un chalet dans une station des alpes. Je n’aimais pas avoir affaire à lui, moqueur, limite grossier, j’avais souvent l’impression qu’il me prenait pour un imbécile. Mais ne voulant pas décevoir Aurélie, je pris sur moi et lui demandai les clés de sa résidence secondaire. De toute façon elle était toujours vide, mon oncle, qui était resté célibataire, n’y allait jamais. Il n’était pas sportif et son embonpoint l’empêchait de faire du ski.
Le jour des vacances, les clés en mains, nous prîmes le train nuit, direction la montagne. Nous arrivâmes à la station de ski au petit matin. Avant d’aller sur les pistes, nous devions passer par le chalet pour déposer nos valises. Alors que je tournais la clé dans la porte d’entrée, je sentis que quelqu’un l’ouvrait de l’intérieur. Comme une apparition, mon oncle, dans le cadre de la porte, souriait à pleines dents jaunes. Il me regarda à peine puis tendit sa main potelée à Aurélie en disant « Enchanté, appelle moi Henri!». « Que faisait-il ici!» pensai-je avec horreur.
Il continua « C’était inattendu, j’ai dû venir faire un papier à la mairie, je repartirais demain. » Ensuite, il insista pour nous montrer notre chambre à l’étage. En montant dans les escaliers, il restait collé à Aurélie en fixant ses jolies fesses. Pour voyager confortablement, elle avait mis un pantalon de jogging tellement fin qu’on pouvait deviner son boxer en dessous.
Arrivé dans la pièce, mon oncle nous dit « Préparez-vous pour aller skier, ne vous inquiétez de rien les enfants, je m’occupe du diner» puis il redescendit. Aurélie me regarda en fronçant les sourcils « Je te trouve un peu sévère avec ton oncle, tu m’avais pas dit qu’il était aussi aimable! »
La journée de ski se passa sans encombre.
Le soir, nous étions attablés tous les trois dans la cuisine. Mon oncle avait ouvert une bouteille de vin rouge. Ce soir-là, le vieil homme était de la discrétion incarné et nous traitait comme des adultes ; je commençai à me détendre. Le repas fut très long, Henri avait préparé de nombreux plats et veillait toujours à ce que nos verres soient pleins. Les joues d’Aurélie commençaient à rougir et je voyais qu’elle n’allait pas tarder à être ivre. Moi aussi je me sentais grisé. La journée de ski m’avait épuisé, mes paupières s’alourdissaient ; je somnolais sur ma chaise.
Dans mon demi-sommeil, je réalisai que mon oncle avait réussi à orienter la conversation sur le sexe. Je me demandai si c’était une sorte de jeu pour lui. Je décidai de rester les yeux fermés et d’écouter leur conversation. Au lieu d’être agacé je me senti excité et décidai de rester tranquille pour voir ce dont serait capable le rusé vieillard.
Pendant un moment ils ont juste parlé de sexe en général :
Il commentait « Tu te trompes, le sexe c’est très bien si c’est fait correctement, tu dois juste trouver le bon gars. Tu dois essayer avec beaucoup avant de le découvrir. »
Elle répondit « Je ne suis pas d’accord, le sexe doit être fait avec amour, et j’aime Yann »
«Je te parle pas d’amour. Je te parle de sexe. Chaque femme est différente. Chacune a quelque chose qui la rend folle, une certaine façon d’être traitée qui les fait se mouiller juste d’y penser. »
Aurélie gloussa. Je devenais plus excitée phrases après phrases.
« Je connaissais une femme qui était désespérément amoureuse de son mari, mais elle pouvaient pas avoir d’orgasme avec lui. Par la suite, elle a découvert que ce qui l’excitait c’était de faire l’amour avec d’autres femmes »
Ma copine rit une fois de plus et mon oncle continua
« Elle était pas gouine, elle aimait son mari. D’ailleurs ils ont eu trois enfants. Ce que je veux te faire comprendre, c’est que même si tu es follement amoureuse de Yann tu devrais chercher ailleurs pour être vraiment satisfaite. »
« Mais comment suis-je censé savoir que Yann est pas la bonne personne? » demanda t’elle
« Il te faudrait d’autres expériences, trouver un homme plus chevronné pour découvrir de nouvelles expériences. »
«Quelqu’un comme vous, j’imagine» Elle se mit à rire puis elle continua
« Dans l’hypothèse ou … que vous me proposeriez quoi pour me combler sexuellement? »,
J’étais abasourdi. Jamais elle n’avait parlé de cette façon, cela m’excitait tellement.
«Je suis pas sûr que tu apprécies » Lui répondit-il.
« Dites toujours »
« On voit bien que Yann et toi êtes innocents. C’est sans probablement la seule personne avec qui tu aies couché et sans doute vous vous sentez un peu coupable après chaque acte. Non?»
« Continuez. » Dit-elle laconiquement.
« Tu as jamais envisagé le sexe oral, ni anal, Même pas la masturbation »
Il me sembla qu’Aurélie mal à l’aise se tortillait sur sa chaise.
« Parfois tu penses à des choses sale, puis tu as honte et tu t’en veux »
« Ça ne réponds pas à ma question, vous m’avez pas dit comment vous me satisferiez »
« Eh bien, je suis sûr que tu veux être dominée. »
Je m’attendais à ce que ma petite amie se lève et parte, mais au lieu de ça elle demanda calmement « Quoi de plus? »
Mon oncle expliqua «Ton genre, c’est faire l’amour tout le temps, et je parle pas de baiser normalement, je parle de sexe sale, humiliant.»
Il y eu un silence «J’ai raison non? »
Aurélie copine resta calme.
Il poursuivit « Tu veux être forcé de baiser. Tu veux un homme, un vrai, qui réalise tes perversions. »
Je n’en pouvais plus. Ne sachant pas quoi faire, je simulai que je me réveillais. Ils restèrent silencieux. Ils ne soupçonnaient pas que j’avais entendu leur conversation. Prétextant la fatigue, je leur dit que j’allais me coucher. Mais une fois dans le salon obscur, au lieu de monter à l’escalier, je restai caché derrière le rideau qui séparait les deux pièces. Depuis ce poste d’observation j’avais une vue imprenable sur la cuisine.
Mon oncle, satisfait souriait. Cambré contre le dossier de sa chaise, il exhibait son gros ventre rond, le nombril à l’air. Sa petite taille accentuant l’effet d’obésité, il avait l’air plus pervers que de coutume.
Aurélie brisa le silence « Vous êtes complètement trompé sur moi. »
«Je crois pas, et je peux te le prouver. » Dit-il.
« Comment? » Demanda-t-elle d’une petite voix effrayée.
« Facile ». Dit mon oncle qui se leva l’attrapa para la taille et enfonça sa main grassouillette entre les jambes de ma copine qui portait une jupe en coton. Aurélie haleta, il lui fallut un moment avant de réaliser ce qu’il se passait. Elle serra les jambes et essayé de le repousser, mais il était trop fort.
J’étais hors de moi. Je savais que j’aurais dû me précipiter pour arrêter ce vieux vicieux, mais je bandais de le voir toucher ma petite amie comme jamais je ne l’avais fait.
Aurélie dit en colère. « Arrêtez! »
La main dodue allait et venait sous sa jupe. J’étais tellement excitée que je commençai à frotter mon sexe à travers mon pantalon.
«Si vous arrêtez pas, je vais crier. »
Mon oncle la regarda et dit: «Si tu devais crier tu l’aurais déjà fait … tu es qu’une pute réticente »
A ces mots orduriers Aurélie frémit. La main de mon oncle accélérait. Je ne pouvais en croire mes yeux, mais elle avait l’air de réellement en profiter. Ses yeux se fermèrent et elle dit «S’il vous plaît».
Mon oncle sourit exhibant sa denture dégelasse. Il baissa les yeux sur elle et dit «Écoutez, tu es qu’un chienne qui a besoin qu’on lui dise quand écarter les jambes, quand baiser, quand jouir … »
Aurélie gémissait à chacun de ses mots.
« Fait ce que je dis. Enlève ta jupe et ta culotte … écarte bien »
Elle obéissait docilement à chaque ordre. Pendant qu’elle faisait glisser son habit, mon cœur battait comme si il allait exploser. Elle révélait sa petite chatte complètement épilée à mon oncle ventripotent. Ça en devenait trop pour moi.
Il immisça deux doigts grassouillets dans son con humide. Je les vis disparaître à l’intérieur d’elle. Elle soupira tandis que mon oncle s’enfonçait un peu plus. Jamais je n’avais été autant excité, pour me soulager, je sortais ma verge comprimé dans le pantalon et commençait à me caresser.
Les doigts de mon oncle entraient et sortaient à un rythme effréné. La respiration d’Aurélie devenait plus rapide. Elle approchait de l’orgasme, un orgasme différent de tous ceux que je ne lui avais jamais lui donner. Ses jambes tremblaient. Sur son visage était une expression de pure extase. Elle avait joui en silence, pour ne pas me réveiller.
Elle s’effondra contre le vieux pervers les deux gros doigts encore à l’intérieur elle. Elle s’écarta pour se dégager. Elle avait l’air gêné.
«Je te l’avais dit. » Dit-il avec suffisance.
« C’est une erreur, seulement parce que je suis saoule »
« Je crois pas, c’était ton premier orgasmes non? »
Elle baissa les yeux
« J’ai raison? » Demandât-il avec plus de force.
« Oui. » Répondit-elle timidement.
Je ne pouvais pas y croire. Toutes les fois où nous avions fait l’amour … Elle m’avait menti pour ne pas me chagriner.
« Maintenant tu en voudra plus. Yann ne sera pas en mesure de te faire jouir comme moi »
«Ça fait rien. » Dit-elle avec colère soudaine. « Je l’aime et c’est tout ce qui compte. »
« Tu as tort, mais tu ferra comme tu veux … une fois que tu m’auras renvoyé l’ascenseur »
Elle avait l’air inquiète « Qu’est-ce que vous-voulez dire? »
«Tout ceci m’a excité… ce serait poli de me faire la même chose … »
Aurélie avait l’air choquée, mon oncle n’était pas un homme attrayant.
Sur ce, il ouvrit sa braguette de son pantalon et sorti son épais instrument. C’était une queue bouffi et grasse qui étrangement s’accordait bien avec le physique obèse d mon vieil oncle. Même au repos elle, était plus grande que la mienne en ce même instant. Aurélie frissonna, j’imaginais qu’elle aussi, faisait la comparaison avec mon sexe et ça me dérangeais.
Elle resta un moment la bouche ouverte en fixant cette trompe boursoufflée. Le vieil homme lui prit la main et la posa sur son pénis brunâtre. «Voyons ce que tu sais faire. »
Voir les doux doigts fins de ma petite amie se refermer sur cet horrible chibre trépidant était de loin la chose la plus érotique que je n’avais jamais vu. Elle était loin d’en faire le tour. Malgré sa réticence initiale, elle se mit à le caresser avant et en arrière. La vielle bite de mon oncle fut bientôt entièrement droite. Fascinée elle recula son prépuce, dévoilant le gland gonflé et cramoisi
Mon oncle appuya un peu sur son épaule pour la faire s’agenouiller. La vielle queue était au niveau de sa tête.
Devinant les intentions vieil homme elle fit non de la tête ce qui n’empêcha pas mon oncle de la pousser plus près de son énorme bite. Je savais qu’Aurélie détestait l’idée d’avoir une bite dans la bouche mais comme le nœud gorgé de sang poussait contre ses lèves, elle ouvrit la bouche. Le spectacle me fit jouir en silence, derrière le rideau.
Mon oncle avait les deux mains autour de la tête de ma petite amie et tirait vers lui. Cela ne servait à rien, son gland était tout simplement trop grand. Il s’en agaçait et dit « Puis que tu veux pas faire d’effort, je vais devoir te pénétrer. Tu vas voir comme ça va être bon »
« Non non, ça va empirer les choses » dit-elle avec honte.
« Tu veux que je raconte tout à Yann, hein? »
Elle avait l’air horrifié mais accepta à contre cœur.
Mon oncle triomphant, l’attrapa par la taille, lui fit faire volte-face et l’a poussa contre la table.
Mon oncle était face à moi à peine à un cinquante de centimètres quand il baissa complétement son pantalon. J’admirais ses couilles gonflées qui s’agitaient devant moi. On aurait dit on aurait dit deux bouteilles d’Orangina qui ballotaient dans un sac en peau.
Depuis mon poste d’observation, je ne perdais pas une miette. Je distinguais aussi que la chatte écarté de ma petite amie était encore mouillée. Mon oncle s’en aperçut aussi et rit « Toujours humide … tant mieux, tu auras pas besoin de lubrifiant». Elle enfouit son visage dans ses mains. « Prete? » Il positionna la tête de son énorme pieu à l’entrée de sa chatte adolescente et poussa. Aurélie ne connaissant que ma verge dut avoir l’impression qu’on plantait une batte de baseball dans sa vulve. Elle poussa un cri douleur rapidement étouffées.
Mon oncle avait seulement réussi à loger son gland suintant entre les lèvres distendues par l’effort. Cela devenait difficile. Il saisit ses hanches et poussa plus fort. Petit à petit il s’enfonçait à l’intérieur de ma copine.
« S’il vous plaît, Henri, c’est trop grand. Je ne peux pas. »
Se moquant de la douleur il répondit : «Mais non, il faut juste adapter ta chatte à une vrai bite. »
«S’il vous plaît, Ça fait mal. »
«Vraiment». Dit-il en poussant encore un peu. «Je te fais une faveur. Après cette nuit, ta chatte sera tellement large que Yann, avec sa bite chétive, ne sera plus jamais en mesure de te satisfaire »
Sa queue pénétrait encore un peu plus dans ce corps mince. Aurélie sanglotait, chaque centimètre étirait un peu plus le vagin. De ma cachette je contemplais cette magnifique queue disparaitre dans la chate lisse de ma petite amie.
« Tu dois bien admettre que tu es une pute » dit mon oncle.
Son ventre gras était posé sur le dos d’Aurélie. Il resta un moment au fond d’elle savourant sa victoire. Je n’en croyais pas mes yeux elle avait pris son pieu tout entier.
Henri ne voulait pas laisser plus de temps pour qu’Aurélie s’habitue à sa bite géante, brusquement, il sorti de quinze centimètres puis repoussa tout à l’intérieur. Aurélie étouffa un autre cri. Mon oncle répéta son geste sadique. Aurélie hurla de douleur.
« Je vais étirer cette chatte tellement qu’elle ne pourras jamais se refermer »
On aurait dit qu’il étudiait ses cris pour savoir quel mouvement était le plus douloureux.
J’étais torturé par la culpabilité de voir souffrir copine mais j’étais trop excitée. Mon sexe durcissait à nouveau je ne pouvais rien faire d’autre que d’observer. Peu à peu, je notais un changement dans ses gémissements. Le temps passait et la douleur semblait céder la place au plaisir. Cela me semblait pourtant impossible qu’une demoiselle si douce puisse apprécier les coups de boutoir de ce vieux monsieur, qu’une fille si sensée puisse savourer l’humiliation d’être traitée comme une pute. Pourtant les gémissements devenaient plus fort, Aurélie jouissait d’être dégradée par cette énorme bite.
Mon oncle augmenta son rythme et il était évident qu’il était sur le point de jouir. Sentant cela, Aurélie se rappela soudain quelque chose d’important, Henri ne portait pas de préservatif!
Tournant la tête, elle dit: «Je ne prends pas la pilule. Vous pourriez me mettre enceinte si vous éjaculez … »
Mon oncle avait l’air encore plus heureux. « Désolé, poupée. Mais il ne fallait pas chercher les ennuis! »
« Je suis au milieu de mon cycle … »
Mon oncle avait l’air indifférent pourtant, il stoppa net de la pilonner et se retira.
«Si tu veux on arrête. J’ai pas de préservatif, donc on va laisser tomber … »
L’arrêt inattendu des vas et viens eu un effet étonnant sur Aurélie. Elle sentit un grand vide. Elle retomba contra la table et murmura « S’il vous plait … »
« S’il vous plait … quoi? »
«S’il vous plaît … baisez-moi …».
«C’est bien ce que je pensais, tu es un salope qui adore la bite.» Dit ‘il en se repositionnant en elle
Ses mots l’électrisèrent, elle recommença à crier.
«Tu veux que je bourre de foutre Aurélie? »
« Oui! »
« Sure? Tu veux mon jus chaud et gluant?»
« Ouiiii, remplis moi de sperme, je veux le sentir sur les parois de ma chatte!»
Quelle salope, elle savait qu’il y avait de forte possibilité qu’elle soit fécondée. Je les regardais jouir avec voracité. Mon oncle relâchait son fluide sans modération. Il eut de nombreux spasmes, chacun se traduisait en une nouvelle décharge dans les profondeurs les plus intimes de ma petite amie. La pensée que le sexe si gros de mon grand-oncle, était le premier à déposer sa semence dans le ventre mince et fertile de ma petite amie me fit éjaculer à nouveau.
Pendant un moment personne ne parla, mon oncle reposait son corps vieux et gras sur ma copine. Enfin, il se souleva et sortit sa bite flétrit d’Aurélie épuisée. De ma cachette j’observais avec émotions le liquide séminal dégouliner de la chate distendue.
Pendant qu’elle se rhabillait le sperme coulait sur ses jambes. Elle pleurait…
« C’est pas grave… » dit-il avec un rire gras « Y’a pas beaucoup de vierge qui peuvent prendre ma bite et marcher droit le lendemain»
Elle s’écarta et s’enfuit dans la chambre. Tandis qu’elle passait devant moi dans le salon, je restai blotti dans l’ombre pour ne pas qu’elle me voit.
Je senti mon oncle près du rideau qu’il souleva soudainement « C’est un bon coup ta copine ». Il se tenait -dessus de moi, encore à poil. Sa queue majestueuse était encore un peu boursouflée, elle brillait à cause du liquide collant dont elle était barbouillée. Je le regardais surpris.
« Depuis le début, je savais que tu étais là… C’est drôle non?»
« Quoi? » fis-je interloqué
Il montra mon sexe poisseux… Il était rabougri à cote du sien « C’est drôle de regarder sa copine se faire baiser et de se régaler! »
Je ne savais pas quoi dire.
« Ne t’inquiète pas, Yann. C’est pas ta faute. Tu es juste une tarlouse. Tu attires une fille comme Aurélie parce tu es sensible. »
« Mais tu pourras jamais la satisfaire et c’est là que j’interviens! »
« Je comprends pas. » Je réussi à marmonner.
« C’est simple. Tu continueras de regarder et moi je continuerai de la baiser. »
J’essayai de regarder révolté.
« Ne te plaint pas, tu as vu ce qu’il s’est passé ce soir. Si je vous aide pas, tu pourras jamais la conserver »
« On en reparlera demain soir. Ne la touche pas, sa chatte a besoin de se reposer!» dit-il avec autorité.
Je le regardais médusé.
« C’est clair? » demanda-t-il avec force
« Oui » Marmonnai-je
Il partit se coucher. Je remontais dans la chambre. Aurélie était affalée sur le lit. Ses cuisses étaient couvertes de liquide et les draps étaient imbibés. Les lèvres de sa chatte étirées étaient rouges crus. Dans désordre humide de son ouverture béante se mélangeaient le sperme et les poils pubiens de mon oncle. Ma bite était une fois de plus dans ma main, et avant je ne puisse résister, une fine éjaculation alla se mêler au fluide épais de mon oncle.
Je me couchai à côté d’Aurélie et m’endormis.
Dommage que pas de suites
Oui trop
J’adore