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Ode à ma femme

Ode à ma femme



Odes à ma femme 1

Je me considère comme un mari comblé .Karine et moi nous nous connaissons depuis nos 16 ans au lycée Quand j ai vu arrivé cette superbe rousse dans notre classe le coup
de foudre a été instantané …et réciproque . Une semaine plus tard nous larguions nos petite et petit copain respectifs pour se mettre ensemble et plus se quitter .

Ca été tout de suite fusionnel et ça l est toujours .Le moindre intercours ou pause ou récré et même l heure de cantine on la passait dans cette petite pièce certes poussiéreuse mais bien isolée prés du grenier du dernier étage d un célèbre lycée parisien en des ébats passionnés. Nous n’étions plus vierge ni l un ni l autre et adorions sans modération ses moments
Personne n’était dupe ni nos camarades qui nous ont parfois (souvent) couverts ni même nos professeurs et encore moins nos parents . La coiffure ébouriffée de Karine , les traces de rouges à lèvres que j avais pas pu enlever ou le fait qu’ on arrivait en cours le souffle court ou le rouge au joue ne trompait personne .

Mais bon nous étions bons élèves , très sages (en tous les cas très discrets) pendant les cours et donc nous n avons eu aucune autre remarque qu’un sourire en coin un coup d œil entendu ou comme ce prof de philosophie en terminale qui s est servit de nous comme exemple pour définir la passion .
Karine est une rousse sublime et je ne dis pas ca parce qu’elle lira ce texte. 1m77 58kgs (et oui toujours à 44 ans !) une longue chevelure roux acajou au reflets naturellement cuivrés des yeux aussi verts que des émeraudes un arrogant 85D en demi pommes et toujours aussi ferme qu’elle ne fera siliconer que quand le sport ne suffira plus , un fessier à vous transformer en loup de Tex Avery et une jolie petite chatte totalement lisse depuis toujours. Elle comme moi détestons les poils nous nous somme toujours rasés puis épilés au laser
Je suis pour ma part pas trop mal fait de ma personne 1m84 85 kgs musclé toujours les abdos apparents (oui on s entretient) brun les yeux verts pâles la nature a été assez bonne aussi pour donner une bonne queue de 21 sur 6 très veinée .Bref disons le sans fausse modestie nous sommes un beau couple .
Si aujourd’hui nous goutons au libertinage et aux partouzes entre autres choses (mais jamais l un sans l autre) , à l époque nous avions une sexualité plus classique quoique volcanique .Notre seul petit pêché mignon étant un gout assez prononcé pour la lingerie et les talons hauts. J engloutissais d ailleurs pas de mon argent de poche et les salaires de mes petits boulots à lui en offrir même si s en achetait des tonnes aussi de son coté .Ses premiers achats furent de troquer ses collants contre des bas .
Notre frénésie dans notre petit sanctuaire avait provoqué un véritable génocide de collants et elle avait adopté les bas et surtout à cette époque les fameux « Dim-up »
Elle n a d’ailleurs plus jamais porté de collant sauf en de très rares occasions .
Nous avions aussi utilisé assez rapidement des mots crus . Je me rappelle clairement la première fois où en pleine baise forcenée je l’avais appelé « salope » un éclair de lucidité m’ a fait arrête net ce que je faisais bafouillant une pauvre excuse , Karine m a lancé un sourire désarmant puis prenant un regard sulfureux et une moue qui l était tout autant m a sortit « t excuses pas je suis ta salope »

Voilà je vous ai je pense brossé un tableau fidèle de notre couple et vais au cours du temps vous parler de nos expériences .
La première va porter sur comment nous en sommes arrivés à des jeux sado-masos certes soft mais vraiment très intenses et ce bien avant la mode de « 50 nuances de gris » .
Tout à commencé quand nous avions 22 ans étudiants à HEC nous nous étions fiancés en mai après 6 mois d économie à bosser chez McDo pour lui payer une bague digne de ce nom. Nos parents , ouverts d esprits et réalistes avaient très vite compris que notre histoire était sérieuse et nous passions les week end chez mes parents ou chez les siens dormions (peu !) dans le même lit et ce là aussi dés nos 16 ans partant du principe que de toute façon si ils empêchaient nos ébats dans nos chambres on trouvait d autres endroits et qui ne seraient pas forcement appropriés .
La demande avait été émouvante à défaut d’être une surprise Karine avait néanmoins pleuré toutes les larmes de son corps.
L été approchant et nos résultats scolaires toujours satisfaisant mes parents qui avaient fait l’acquisition d un petit appartement à Cannes pour le proposèrent pour les vacances de juillet et aout .
Deux mois rien que tous les deux ! C était une première sur aussi longue période . Nous étions déjà partit en vacances mais avec des amis là nous ne serions que tous les deux .
Ca été un pur délice nos journées étaient que bains de mer bronzette amours et baises frénétiques .Je crois que cet été là elle en a rendu dingue plus d un avec son bikini brésilien vert. Elle m a dit que beaucoup de femmes m avaient croqué aussi du regard mais j avoue n avoir eu d yeux que pour elle .
Et donc nous voilà ce fameux jours Nous étions là depuis 15 jours déjà bien dorés par le soleil .Ma déesse aborait un hâle cuivré du plus bel effet faisant ressortir ses magnifiques yeux verts , son corps couvert de tâches de rousseur adorables .
Après un repas léger Karine était allé dans la chambre pendant que je regardais les infos .Elle revint dans une robe noire moulante des bas coutures et des talons aiguilles les yeux maquillés de façon très provocatrice un rouge rubis aux lèvres
-C est vous qui avez demandé une call girl- me dit elle d une voix suave
Je suis rentré dans le jeu immédiatement bien entendu Un jeu délicieux , elle m alluma en une danse lascive et suggestive sa langue passant sur ses lèvres avec une lenteur affolante .
Je me suis jeté sur elle et s en est suivit presque deux heures d’étreintes sauvages auxquelles cette belle petite robe noire n en a réchappé que par miracle .
Nous étions en sueur collé l un contre l autre affalés dans le canapé J allumais la télé pendant que Karine se lovait toujours habillée que de ses bas talons et porte-jarretelles
Je zappais sur les débilités qu’il y avait déjà à l’époque pour arriver sur M6 A cette époque ils passaient le dimanche soir un petit film érotique en général bien innocent voir carrément niait .Et là on tombe sur « Histoire d’O » .Je vais pas dire que je ne connaissais pas mais juste de nom et pas son contenu. Le film avait une certaine esthétique .On se disait que ce film serait certainement bien soft en comparaison de nos deux heures d’ébats torrides. En sens c’était vrai mais les scènes SM commencèrent assez vite . J avoue avoir été presque été tenté de zapper de peur de peut être choquer ma Karine sur cette vision de femmes objets .
Elle m’arrêta
-Non laisse s’il te plait .- dit elle les yeux rivés sur l’écran
La vision de cette femme attachée puis fouettée je l avoue me laissa pas de marbre Mais j étais pas le seul Karine était littéralement fascinée par ce qu’elle voyait
elle se pressait un peu plus encore contre moi .Mes yeux allaient de l’écran à ma fiancée , elle prit ma main doucement et la posa sur son sexe . Elle était littéralement trempée .Elle ferma le yeux à ce contact et poussa un long soupir éloquent .
On a regardé le film jusqu’au bout ma bite était presque violette tellement je bandais fort Le canapé lui était trempé de cyprine Karine s était caressé les seins mais pour seul stimuli sur sa chatte elle n avait que le contact de ma main Dans un murmure elle m avait demandé de pas lui caresser le clitoris .Elle jouissait de ce refus de jouissance qu’elle s’imposait .
Dire que nous étions en feu était en dessous de la vérité ! Son sexe et son ventre étaient brûlants Le générique défilait Karine se retourna vers moi ses yeux pétillants de son désir
-J ai envie de ça- dit elle -fais moi la même chose –
-On a pas de fouet -arrivais je à plaisanter dans un rire un peu crispé
Elle pris ma main posée sur chatte et la posa sur ses fesses Elle souriait pas elle était très sérieuse
-tu as des mains -dit elle
-Mon amour j ai pas envie de te faire du mal- dis je la gorge sèche
Avec un sourire provocateur et sans arrêter de me fixer du regard elle passa un doigt le long de ma queue bandée à bloc
-Bien sûr que si tu en meurs d envie ! dit elle mutine Mais j apprécie que tu luttes contre ton désir dit elle riant
Elle se pencha vers ma queue et lentement commença une pipe délicieuse jouant avec mon gland .J étais fou de désir Je la pris par les cheveux et essaya de lui imposer un rythme Mais elle se redressa lentement
-J apprécie mais j ai envie d être ton esclave tu pourras me faire tout ce que tu veux-
Que l homme capable de résister à un tel appel me lance la première pierre
-Ok pour toi mon amour –
Je me leva elle allait me suivre mais je lui intima d un geste de rester là. Je me rendis dans la chambre pour prendre une cravate de soie et revient vers elle
-tu vas me fouetter avec ça ?dit elle avec une moue déçue
-Pas te fouetter non T attacher !-
Joignant je geste à la parole je retourna Karine pour lui amener ses mains dans le dos et lui ligota les poignets ensemble sous son sourire ravi
Je la saisi à nouveau par les cheveux avec un peu plus de force que la première fois
-Debout esclave – lui dis je d un ton ferme
Jouant le jeu , les yeux baissés je la guida lentement vers la grande table du salon qui faisait face à tout un pant de mur couvert de miroir . Je voulais qu’elle ne manque rien et je voulais voir son visage .je la plaqua contre la table la fit se cambrer offerte toujours juchée sur ses talons aiguilles .
-Ecartes les jambes salope- lui dis je mais du pied je lui fis écarter moi même Elle poussa un petit cri de surprise
Je la maintiens contre la table une main toujours dans ses cheveux et armant l autre pour la fessée Je l abattit
-Plus fort me dit elle dans un souffle
Un peu anxieux j obéis
-Plus fort – continua t elle
J accéléra la frappe et la cadence et force était de constater que ces petits cris que j entendais n’étaient pas que de douleur loin de là
Ses superbes fesses rougirent sous la fessée sévère que je lui appliquais j ‘étais dans un état d’excitation démentiel ses cris et la vision de ses fesses me rendait dingue
Je la pénétra d’un coup sec en levrette malgré sa chatte trempée elle se cambra sous le coup et passa un long cri. Je continua de la fesser la chevauchant littéralement la tenant par les cheveux de l autre main .Il est heureux que l appartement fut bien isolé ou que les voisins étaient sourds parce que Karine jouissait comme une folle
C ‘était pas de l amour c était de la pure baise mais entre un couple follement amoureux je voyais ses yeux dans le miroir ses seins tendus de désir et de plaisir
J étais entrain de défoncer ma fiancée en l abreuvant de mots crus
-tu aimes ca salope n est ce pas prend ça petite pute-
-oh oui j aimes ca vas y fort mon mâle-

J étais fou de désir et dans cette débauche de sexe et de domination une autre envie me vient .J avais les yeux rivés sur ses fesses .C était mon envie secret je n avais jamais osé lui avoué mais je fantasmais depuis toujours de la sodomiser.
Je ne l avais fait qu’une fois avant de la connaitre à une jeune femme plus âgée que moi et j en avais tiré beaucoup de plaisir
Mais là ses mains attachées dans le dos ses fesses rougies par la fessée monumentale que je lui donnais s en était trop la tentation était bien trop forte.
Je lui lâcha les cheveux et arrêta de la fesser tout en continuant de la prendre Mes mains se posèrent sur ses fesses meurtries je les pressais les écartais
Pas totalement inconscient je me saisis d’une bouteille d’huile solaire qui était sur la table lui enduit l’anus avant de presser mon pouce contre l’étroit orifice elle se figea un instant et tourna la tête vers moi un grand sourire sur les lèvres
-Ca fait longtemps que tu en as envie? N est ce pas ? Je pensais t offrir ma dernière virginité pour notre nuit de noce et…
L introduction d un deuxième doigt la coupa dans sa phrase elle poussa un long gémissement .Je faisais aller et venir mes doigts entre ses fesses et m apprêtait à en forcer un troisième Mais elle m arrêta de la voix
-Non Marc mon chéri non- dit elle toujours souriante
Je fis une moue de dépit mais elle continua
-Encule moi me prépares pas plus j ai envie de vivre ca pleinement je veux que tu me violes que prenne possession .
-Je veux pas te faire de mal chérie
-Moi je veux avoir mal mon plaisir et ma douleur se mélangent c est un vrai délice tu l as vu Vas y n ai pas peur encules moi comme une pute-
Elle me quitta pas des yeux pendant que je guidais mon gland contre son anus j étais terriblement excité mais aussi inquiet je suis pas mal membré et j avais peur de la déchirer elle continua de m encourager et de me provoquer Ses yeux débordait d amour et de plaisir quand je força ma queue dans son cul. Je vis instantanément ses pupilles se dilater elle poussa un cri terrible les larmes coulèrent Je voulu me retirer mais elle me demanda de rester
-Non mon amour j ai mal c est vrai mais ca m excite aussi vas y Sodomise moi sans ménagement fais moi sentir ton désir pour moi Rends moi folle-
Comme si elle ne connaissait pas mon désir pour elle me dis je .Tous les verrous étaient relâchés d un coup de rein je m enfonça jusqu’à la garde dans son cul .Elle continua a me regarder pendant que je l enculais elle était complètement partie elle criait de douleur et de plaisir pendant que je la défonçais completement
Mon dieu quel délice ce cul si serré , ses cris l éclat de ses yeux ses seins gonflés tout me rendait dingue de désir elle avait mal je le savais et une partie de moi s en voulait mais elle prenait aussi un pied d enfer partie dans des orgasmes violents a répétition de ceux qui nous fascine nous les hommes quand nous contemplons le plaisir féminin qui semble tellement plus fort que le notre
Tout le temps que dura cette sodomie endiablée elle ne me quitta pas du regard et quand je fus sur le point d exploser je décida encore une fois de réaliser une autre de mes envie je sortis d elle la fis se mettre à genoux me branla et jouis abondamment sur son visage et dans ses cheveux avant de lui coller ma queue dans la bouche
Pas du tout étonnée elle me suça décuplant encore le plaisir de l ‘éjaculation je resta de longues minutes ainsi dans sa bouche à aller et venir observant son visage et ses cheveux couverts de sperme épais
-Oh désolé ma chérie j en avais trop envie-
-Désolé? Mais je suis ravie dit elle en ramassant de la semance sur sa joue avant de le dirigée vers sa bouche tu peux faire ça aussi souvent que tu voudras

Ce fut notre première scéance SM . Le lendemain on se rendit la main dans la main dans un sex shop et nous fîmes l aquisition d’un martinet d un fouet et d une paire de menottes premiers jouets d une longue série. Notre vie de couple se pimenta d autres expériences et d autres perversions en particulier avec ma soeur que je ne manquerais pas de vous conter Notre vie de couple est toujours aussi passionnée et harmonieuse et même si la stérilité de Karine nous a privé du bonheur d’être parents je dirais que je souhaites à tous les couples un bonheur aussi parfait

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