Le lendemain je décidais d’être la plus désirable possible pour mon chéri avec qui j’avais rendez-vous le soir même. J’avais envie de mettre du vernis à ongles sur mes pieds et mes mains. Mais il n’y en avait pas dans la trousse de maquillage que mon amant m’avait offert. J’appelais ma mère.
-Maman, tu as du vernis à ongles?
-Oui bien sûr, pourquoi?
-Tu accepterais de m’en mettre sur les mains et les pieds?
-Oui, viens, ma belle.
Je me précipitais chez elle. Elle était encore en « déshabillé » quand elle m’ouvrit la porte. Nous choisîmes un vernis rouge sang et ma mère se mit à l’oeuvre. Elle coinça des petits bouts de coton entre mes doigts de pieds.
-Tu as de jolis pieds Maud, on dirait des pieds de fille.
-Merci maman
-Tu devrais te laisser pousser les ongles des mains, ce serait beaucoup plus féminin.
Quand elle eut terminé d’appliquer le vernis sur mes pieds et mes mains, elle me regarda avec une infinie tendresse.
-Tu veux que je te maquille aussi?
-Oh oui maman
Elle commença par les paupières. J’avais sa forte poitrine sous les yeux et je dois avouer que ça me troublait. Elle s’aperçut de mon trouble.
-Ils sont trop gros, hein?
-Non, ils sont beaux…
-Tu veux les toucher?
Je n’avais jamais touché des seins de ma vie. J’étais curieuse de savoir quel effet ça faisait. Je posais mes mains sur ses mamelons. Ma mère poussa un long soupir. En un clin d’oeil ses tétons durcirent.
-Oh tu me fais de l’effet, ma chérie. Caresse-moi encore…tu sais ce que j’aimerai?
-Non, dis-moi, maman…
-Que tu me tètes comme quand tu étais bébé…viens, pose ta tête sur mes genoux, je vais te donner le sein…
J’étais un peu décontenancée mais j’avais envie de faire plaisir à ma mère. Je m’allongeais sur le canapé et ouvris la bouche pour recevoir le sein que maman m’offrait.
-Oh, ma petite fille, vas-y tète maman
Son excitation était si communicative que je me mis à aspirer ce téton goulûment.
-Oh ma chérie, comme tu es gourmande…vas-y bois mon lait…tu les aimes les seins de maman?
-Oh oui, c’est trop bon…moi aussi je voudrais avoir des seins.
-Aussi gros que les miens?
-Non plus petits.
Ma mère passa ses doigts sous mon tee-shirt tandis que je lui suçais le téton avec frénésie. Je sentis ses doigts effleurer mes propres tétons. Je les sentis durcir sous l’effet de cette délicieuse caresse.
-Oui, toi aussi tu auras des seins ma chérie, des jolis petits seins d’adolescente.
Sa main glissa sur mon ventre et s’introduisit sous mon jogging. Ses doigts emprisonnèrent mon sexe en érection.
Elle descendit mon jogging sur mes cuisses exhibant ma verge comme un trophée.
-Quel ravissant clito, ma chérie.
C’était la première fois qu’on comparait ma bite à un clitoris. J’étais heureuse que ma mère me considère ainsi comme une vraie fille, même si mon « clito » était nettement plus gros que la moyenne. Soudain ma mère retira sa main et se redressa.
-Arrêtons là, tu me rends folle…je ne vais quand même pas me gouiner avec ma propre fille.
-Tu préfères les femmes de ton âge ou les jeunes filles?
-J’aime les deux…
-Tu as déjà couché avec des filles plus jeunes?
-Oui
-Des filles de mon âge?
-Oui, avec une de mes étudiantes…elle avait 21 ans…
-Tu as fait comment pour la draguer?
-C’est elle qui m’a draguée…elle était fascinée par mes seins….j’ai craqué et j’ai finis par les lui montrer puis par me laisser caresser…elle était insatiable. Je crois bien qu’elle a sucé mes seins pendant au moins une heure. Elle me disait qu’elle était amoureuse de moi et ça m’a fait peur, vu notre différence d’âge. Alors j’ai mis un terme à notre relation.
Ma mère se leva et changea subitement de sujet de conversation.
-Bon, il faut finir de te faire belle maintenant. Est ce que tu veux que je te prête de la lingerie?
-Oui, je veux bien. Je peux regarder dans ton tiroir?
-Oui, d’ailleurs c’est pas la première fois que tu le fais, petite coquine. J’ai bien vu que tu m’avais piqué une petite culotte en dentelles.
A SUIVRE
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