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une belle balade au bord du canal

une belle balade au bord du canal



Balade au bord du canal

* * *

Ce jour là bien doux de fin d’hiver, ma femme eut l’heureuse idée d’avoir envie d’une petite promenade sous les rayons de soleil.
Je sautais sur l’occasion, d’autant plus qu’elle était aujourd’hui habillée « en fille » ! comme j’aime, avec une petite robe noire assez courte, un petit blouson de cuir arrivant à la ceinture et redonnant du galbe à ses fesses bien moulées par la robe noire et dessous des bas dim-up, avec une belle culotte noire en tulle.
Elle chaussa une paire de jolies ballerines noires adorablement sexy, qui présentaient le double avantage de lui permettre de marcher allègrement et d’exciter le regard des mâles croisés (et le mien bien sûr). Elles lui faisaient de agréables mollets ronds, finement gainés par le nylon noir des bas dim-up : la belle tenue de fin d’hiver quoi !

Pourvu que nous fassions de belles rencontres !

Je choisis de l’amener assez loin du centre ville, sous prétexte d’éviter le bruit et les voitures, en nous rendant à un petit parking champêtre près du canal bien ensoleillé.
Effectivement, en plein après-midi, l’endroit était quasiment désert… je me disais que pour les rencontres fortuites avec des hommes, voyeurs à l’affût de femmes, cela allait être assez compromis. Nous croisons quelques rares « joggeurs » en sueur affairés sur leur « perf », un couple en vélo et… c’est tout !

Donc nonchalamment mais d’un pas assez vif, nous avançons sur le chemin bordant le canal sans rencontrer quiconque pendant une bonne demi-heure. Comme nous commencions à avoir chaud en marchant ainsi, une petite halte s’imposa. Après avoir bu un peu d’eau, ma femme bien échauffée ouvrit son blouson et j’en profitai alors pour la palucher un peu par-dessus sa robe… évidemment, elle rouspéta, non sans apprécier mes pognes appuyées et bien placées : je soupesais ses seins, je plaquais ma main sur ses fesses, remontant sa robe et caressant ses bas… : « il n’y a personne ! » dis-je.
Elle se laissa faire un instant… ça ne devait pas lui déplaire manifestement !
Et elle enchaîna : « allez, on repart ! » … et notre marche en avant reprit (mais je me disais qu’il faudra bien revenir !).

Après quelques minutes, nous passons devant un homme assis sur un banc… il scruta notre arrivée… et moi aussi je vis bien qu’il nous matait… enfin qu’il matait surtout ma femme. Elle, la coquine, arrivée à sa hauteur, entama une conversation banale à haute voix, feignant de l’ignorer, alors que je la surpris entrain de lui jeter quelques coups d’œil à la dérobée.

Ce type me plaisait bien, un homme mûr (voire plus), cheveux blancs, de petites lunettes (il lisait –ou faisait semblant ?- un bouquin) dissimulant un regard perçant et vicieux, des lèvres charnues avec un nez assez gros (gros nez = gros sexe dit-on !) assez corpulent (un bon petit gros vicelard quoi !).

Comme nous le dépassions sans que ma femme n’esquisse le moindre geste ostensible semblant toujours l’ignorer (alors que cette coquine avait considérablement ralenti l’allure en ondulant encore plus, comme si elle voulait se laisser « détailler » par le type), je me retournais discrètement et je le vis qu’il lorgnait intensément les belles gambettes de ma femme, ses ballerines très sexy en ce lieu (plutôt habituellement fréquenté par des femmes en pantalons et baskets), sa croupe ondulant moulée par sa robe noire… nos regards se croisèrent et je vis distinctement ses yeux illuminés, alors qu’il se passa la langue sur les lèvres dans une mimique sans équivoque ! nous étions complices lui et moi !

Mon sang ne fit qu’un tour, je mis ma main sur les fesses de ma femme par-dessus sa robe devant le type (qui n’en perdait pas une) et je remontais même celle-ci un peu, pas trop pour ne pas provoquer une réaction négative de ma femme mais suffisamment pour dévoiler le liseré des bas dim-up noirs et même lui laisser apercevoir l’espace d’une demi-seconde la chair blanche au-dessus des bas.
Comme je savais que ma femme allait rouspéter, je devançais d’éventuelles remontrances (prenant prétexte de son ralentissement « bien réel » dans sa marche) :
« allez ! t’avances plus ou quoi ? t’es fatiguée ? »

Gagné ! touchée dans sa fierté, elle nia être fatiguée et me dit « non, non, on continue »… du coup, sans un mot pour mon geste d’exhibe pour le vieux !… alors qu’elle savait bien que j’avais ça exprès devant le vieux vicieux pour qu’il se rince l’œil.

La promenade en avant reprit comme si de rien n’était. Mais je comptais bien exploiter la situation… alors insidieusement, je fis rouler la conversation sur le type du banc.
« Il t’a bien reluquée le gros vieux tout à l’heure »
« boh ! tu crois ? »
« mais oui… ne fais pas l’innocente, t’as bien vu qu’il te zyeutait à bloc »
« bah… t’exagère toujours, il m’a regardée oui… »
« il t’a bien regardée oui… il a admiré tes jambes ! » (là je savais que je l’avais flattée)
« et toi en plus tu m’as touché les fesses devant lui ! »
« rrrrr ! c’était pour lui en donner plus à voir »
« ça te plait ça hein ? »
« ben oui, j’aime bien qu’un type te mate et le voir te mater »
« ça t’excite ? encore plus si c’est un gros vieux ? » (je m’étais mis à bander)
« oui oui ça me plait, ça m’excite bien oui »
Alors, comme pour vérifier, ma femme se pencha un peu en avant, regarda mon pantalon puis me mit la main sur la braguette :
« mais tu bandes ! c’est ça qui te fait bander ? »
« heu…… oui c’est ça oui »

Puis, silence radio ! Nous marchons encore un peu, quand soudain je lui dis :
« bon là ça fait au moins trois kilomètres qu’on a fait… on fait demi-tour ? »
« déjà trois kilomètres… mais il va falloir revenir ! » dit-elle presque affolée.

Donc nous prenons le chemin du retour (en silence mais avec encore bien en tête la conversation sur le type) et très rapidement nous nous retrouvons en approche du banc sur lequel se trouvait le vieux mateur tout à l’heure. Je sentis bien que ma femme était inquiète de savoir s’il serait toujours là… mais je ne disais rien pour mieux la laisser mijoter.

Effectivement, au détour d’une courbe, nous apercevons à nouveau l’homme sur son banc et nous nous en approchons peu à peu. Il nous vit de loin puis fit semblant de se replonger dans son bouquin sans en perdre une sur notre avancée vers lui.
Au fur et à mesure que nous rapprochions de lui, je sentais ma femme devenir fébrile, avoir des petits toussotements, s’agripper à mon bras… et ralentir son allure. Evidemment je ralentis aussi la cadence et c’est avec une démarche très lente que nous arrivons vers lui. Je me disais que ma femme se demandait bien ce qui allait pouvoir se passer… mais elle ne disait pas un mot et je la sentais de plus en plus excitée.
Bien sûr, à notre approche, le vieux laisse son bouquin et se met à regarder avec insistance dans notre direction. Sans que ma femme le voit, je lui fais un petit sourire complice. Alors il lorgne ostensiblement ma femme de la tête aux pieds (aux ballerines donc !) et elle se met à le dévisager fièrement comme elle sait le faire. Leurs regards imbriqués et insistants favorisent notre halte à hauteur du banc.
Trois « bonjour », gorges nouées, nous réunissent un instant.
Nous lui faisons face alors, ma femme bien campée sur ses ballerines, pieds légèrement écartés, ses gambettes gainées de nylon irisées par le soleil couchant, la poitrine gonflée d’arrogance et d’émotion dans son soutien-gorge balconnet sous sa robe.
Sans un mot de plus nous lui faisons face en silence, le vieux a les yeux rivés dans ceux de ma femme qui ne baisse pas les siens… le silence devient pesant !

Alors, subitement, j’y vais. Je soulève la robe de ma femme jusqu’à la taille !
D’un seul coup, sans qu’elle ait pu esquisser le moindre geste, je dévoile aux yeux écarquillés de plaisir du vieux ses deux magnifiques jambes fuselées, gainées par le nylon noir des bas dim-up, la chair blanche au-dessus et sa culotte arachnéenne noire en tulle fin qui laisse bien plus que deviner son adorable toison.
Surprise et prise de vitesse, elle bredouille un : « hé ! mais qu’est-ce-que tu fais ! », beaucoup trop tardif et pas si convaincant que ça, d’autant plus que ma main tient fermement la robe relevée bien plaquée sur son ventre interdisant toute tentative de redescente et que, de toute façon, il est trop tard ! le vieux reluque comme un malade et ose :
« oh ! que c’est beau ! ahhhhh ! oui, oh attendez, laissez-moi en profiter madame, vous êtes trop belle… c’est pas tous les jours que je vois un si beau spectacle ! »

Ce que j’espérais secrètement se produit, à ma plus grande joie. Ma femme –surprise mais flattée- reste ainsi et se laisse contempler par le vieux érotiquement exposée. Le fait que l’endroit soit désert et que nous soyons les trois seuls joue en ma faveur et en celle du vieux. Alors, exploitant à fond cet instant magique, de mon autre main libre je caresse les cuisses oblongues par-dessus le fin nylon des bas et je remonte jusqu’au mont de vénus en plaquant bien la culotte en tulle noir pour que rien n’échappe au vieux vicelard, qui se régale et se trémousse sur son banc sa main droite massant ostensiblement son pantalon à l’endroit d’une bandaison de plus en plus prononcée… qui attire le regard (de convoitise) de ma femme.

Je sais que la « partie » est gagnée, alors peu à peu je vais les laisser faire tous les deux, juste en favorisant et accompagnant la montée des plaisirs… je commence à bander !

Alors que je continue à masser sa culotte, à bien montrer sa vulve et sa toison à notre nouvel ami, ma femme -convaincue et consentante- se met à onduler imperceptiblement et ferme à moitié les yeux (elle continue à zyeuter l’entrejambe du vieux). Lui, hésite encore à s’aventurer et semble attendre un quelconque « feu vert » de ma part ou d’elle… qui ne dit mot mais consent à lui être exposée.
Alors je redouble d’imagination sur cette « expo » fabuleusement sexy. Son blouson largement ouvert me permet de lui faire remonter sa robe jusqu’à dévoiler sa poitrine… elle se laisse faire ! sûr c’est gagné ! mieux : elle y met du sien, en dégageant les manches de son blouson qu’elle fait choir dans son dos tête renversée en arrière, les yeux mi-clos (ça je sais que c’est un signe de son plaisir !) me laissant totalement le champ libre. Ne voulant pas laisser retomber le soufflé, je remonte totalement sa robe jusqu’à son menton, exhibant fièrement aux yeux du vieux sa belle poitrine, remarquablement mise en valeur par un soutien-gorge corbeille noir en tulle hyper-sexy avec liseré de dentelle bien pigeonnant, tout en caressant par en-dessous ses seins pour encore plus les faire remonter de manière à ce que ses tétons, qui commencent à durcir sous l’effet de son excitation qu’elle ne maîtrise plus, affleurent la limite de dentelle du balconnet.

Le vieux sait, sent, que son moment est venu et commence à s’enhardir. Il défait sa braguette et extirpe sa bite qu’il commence à manipuler devant nous. Elle est bien grosse sa queue et… plait bien à ma femme qui, d’un seul coup comme par miracle, ré-ouvre grand ses yeux et se met à mater avec insistance le membre du gros vieux salaud, qui commence à prendre de fort belles proportions…
Alors, insensiblement je nous rapproche du vieux qui se branle de plus en plus en se léchant les babines et lorgnant de bas en haut et de haut en bas les trésors offerts de ma femme. Elle sent bien que je la rapproche et ne résiste pas !

Bingo ! j’ai gagné. Dans un geste ferme, elle écarte une de mes mains (celle qui paluche), prenant soin de laisser mon autre pogne maintenir sa robe relevée, et se met encore plus à onduler du bassin et des seins en s’approchant encore plus du vieux qui se réhausse sur le banc tout en dégageant encore plus sa bite et maintenant ses grosses couilles velues. Il a l’air subjugué et ne sait plus où poser son regard, ses yeux virevoltent à grande vitesse d’un trésor à l’autre : « oh que c’est beau, que c’est beau ! que vous êtes belle ! oh oui ! là… »

En plus ce vieux salaud a fait tilt chez ma femme qui en rajoute et continue son numéro d’offrande visuelle, flattée comme une jeune pintade, en plaquant elle-même sa culotte hyper-transparente sur sa chatte pour mieux montrer sa toison et ses lèvres légèrement humidifiées au vieux qui se régale de ce spectacle. Il se branle lentement, consciencieusement et son gland maintenant bien décalotté devient luisant et gonflé, sa tige épaisse qu’il empoigne d’une main vigoureuse ne semble pas finir de grossir. Mais il se branle très très lentement, arrêtant de temps en temps son mouvement pour bien enserrer son gland et le tendre vers ma femme… qui lui accorde un regard de plus en plus intéressé. Je les laisse faire en face à face en m’écartant un peu, légèrement repoussé par ma femme même.

C’est elle la coquine, la salope libérée, qui déclenche les « hostilités » : alors que je ne m’y attendais pas, elle me surprend en plongeant sur la queue du vieux qu’elle vient saisir à pleine main. La bouche entrouverte, telle une fieffée salope, elle empoigne cette grosse queue ses doigts mis bien en gouttière et la fait coulisser, non sans omettre de reprendre à son compte les petits arrêts à la base du gland pour bien le serrer et le faire congestionner. Heureux comme un gosse, le gros vieux salaud s’affale sur le banc, écarte ses jambes et se laisse bien masturber par ma femme qui me montre ses talents de manieuse experte de bites. Elle ne s’en lasse pas, elle se régale oui de manipuler cette grosse bite qui grossit encore plus au contact de ses douces menottes. Reprenant ses esprits après ce premier moment d’extase inhabituelle pour lui, le vieux salaud pense alors à caresser ma femme : ses deux pognes de manant commencent par remonter sur le nylon des bas depuis les genoux. Pour mieux s’offrir à lui, ma femme s’approche encore plus, debout entre les genoux du vieux, entre ses cuisses même maintenant. Il peut alors remonter sans peine jusqu’à la terre promise, la culotte de ma femme, sa chatte et ses fesses… qui reçoivent ses deux rangées de doigts bien écartées comme pour recouvrir ce beau cul qu’il saisit à pleines mains.
Ma femme est surexcitée maintenant par ces caresses appuyées de ce vieux vicelard et elle sait que ça me plait. Mais elle entame une partition de son propre plaisir commençant à m’ignorer. A ma grande surprise, elle plonge brusquement sur cette belle tige qu’elle a su faire grossir avec dextérité et l’embouche goulûment, je vois distinctement sa bouche s’arrondir, sa mâchoire s’ouvrir et elle se met à pomper la queue du vieux, totalement en extase… elle entame une fellation de rêve, suçotant le gland, léchant le méat, puis engloutissant totalement sur sa longueur la tige épaisse, ses joues dilatées et presque à s’en étouffer. En même temps, elle a saisi ses couilles qu’elle griffe, caresse, soupèse, alors que sa bouche monte et descend sur la colonne érigée et de plus en plus dure. Le vieux n’a pas dû subir un tel traitement depuis bien longtemps. Il fait ce que j’aime alors, il saisit doucement la tête de ma femme par sa belle chevelure fournie et ondoyante, ses doigts enfournés et massant sa tête en un geste d’accompagnement de la pipe fabuleuse dont elle le gratifie. Je me régale de voir ma femme ainsi salope sucer la queue de ce vieil inconnu… et de la voir y prendre du plaisir, de la voir s’appliquer autant… lui il n’en peut plus, se régale, se délecte et est au bord de l’explosion !

Alors dégageant une de ses mains, le vieux, rassasié par cette pipe fabuleuse, se redresse un peu et vient caresser et flatter la chatte à travers le tulle doux et fin de la culotte ; bientôt son autre main explore le ventre tendu vers lui et remonte jusqu’au soutien-gorge… du coup ma femme (elle a dû sentir que sa pipe appuyée risquait de l’amener à une décharge prématurée) arrête sa fellation, se redresse et se tend vers lui ! quelle joie ! pour lui et pour moi ! Alors il se met à malaxer avec douceur ses seins, à titiller les tétons qu’il dégage peu à peu au-dessus du balconnet.
Du coup, ma femme a dû momentanément arrêter de le branler et de le sucer et, poitrine gonflée, ventre et vulve tendus, s’offre totalement à ses caresses. Les deux pognes du vieux partent alors dans une exploration frénétique des dessous de nylon et des trésors qu’ils contiennent. Je me régale du spectacle, discrètement éloigné et je commence à filmer et prendre des photos. Les mains de ma femme devenues inactives, sa robe totalement remontée ne descend plus et elle n’a pu la possibilité de le branler car elle le laisse la palucher à outrance (se disant probablement qu’elle fait une bonne action d’offrir du plaisir à ce vieux… mais aussi prenant un réel plaisir à se faire tripoter de toutes parts), ses mains viennent se poser sur les épaules du vieux et elles l’attirent vers elle. Le gros vieux, laissant sa trique démesurée flotter et venir se frotter au nylon des bas de ma femme, vient alors goûter les seins de ma femme, son gros nez planté dans la vallée formée par les deux globes blancs qu’il a totalement dégagés des bonnets, sa langue se dardant d’un téton à l’autre, les suçant alternativement.
Cela fait l’effet d’une bombe sur ma femme, elle se cabre tête en arrière, agitant sa chevelure de lionne salope, bouche entrouverte et se fait bouffer les seins par ce gros vieux vicelard. Il sent bien lui qu’il doit continuer pour la pousser au summum du plaisir et l’avoir toute à lui. Elle enserre sa tête dans un geste doux mais ferme, caresse ce crâne blanc pas mal dégarni et commence à entrer en pamoison avec de petits soupirs… d’encouragement et de plaisir. Le vieux redouble de baisers et de succions sur ses deux seins qu’il gobe complètement de temps en temps, ses mains redescendues sur les fesses, parcourant la culotte arachnéenne par-dessus le nylon puis s’immisçant en-dessous pour peu à peu venir doigter sa chatte d’abord par derrière d’une main avec son index et son majeur inquisiteur. Les mouvements de bassin de ma femme, toujours envahie par le plaisir de se faire honorer les seins, ne laissent place à aucune équivoque : elle se donne à lui… Moi je continue à filmer et photographier malgré ma trique dans mon futal !
Alors le gros vieux lui porte le premier coup de grâce : une de ses pognes à fait le tour du nylon et vient agacer sa chatte, il caresse la toison et imperceptiblement enfile un puis deux doigts entre ses lèvres bien trempées. Elle ondule du bassin et commence à gémir, alors lâchant subitement ses seins, il plonge littéralement sur la chatte offerte et préparée. Je vois ses grosses lèvres charnues venir embrasser la toison puis la vulve à travers le tulle fin maintenant bien détrempé. Prestement il écarte ce petit tissu gênant et darde sa langue au plus profond de sa chatte en la maintenant bien plaquée par son autre pogne sur ses fesses. Ma femme pousse un petit cri et plaque ses deux mains sur le sommet de son crâne, puis appuie sa tête contre son intimité. Il la lèche, la lape comme un chiot, suce et aspire ses lèvres, titille son clitoris avec son gros nez tout en s’enivrant de la bonne odeur de sa moule. Elle n’en peut plus, se trémousse, se tortille, appuie encore plus fort sur son crâne… il va la faire jouir. Je peux mitrailler à mon aise, elle m’a oublié ! Elle commence à agiter de plus en plus fort et vite sa tête en tous sens, ses cheveux de chienne en chaleur secoués… elle va partir !
Lui il l’a senti, il la tient bien par le cul (il lui enfile même un doigt de temps en temps dans son petit trou et… elle ne dit rien ! la salope !) et continue à la bouffer avec application ! Il ne va pas la lâcher (j’espère et j’en suis persuadé) car il a dû sentir qu’il allait la faire jouir et doit avoir envie de cet ‘exploit’. Elle jouit oui ma salope, là en plein air, au bord du canal, sous les coups de langue du vieux qui a compris que quand il touchait ‘le’ bouton sensible il déclenchait une implosion de plaisir chez ma femme… lui aussi m’a oublié je crois.
Ma femme se met à gémir, à pousser de petits cris, les yeux fermés, tête révulsée, en écrasant encore plus ce vieux crâne dégarni contre sa vulve dégoulinante : « ahhhhhhh ! hmmmmm ! »
… ça y est il la fait jouir et ça me plait de voir ça ! je bande comme un fou dans mon froc et je me régale de ce spectacle… tout en me disant que le vieux se régale lui aussi… et ma salope de femme, enfin totalement débridée, aussi ! J’ai envie de le féliciter ce vieux, de lui demander ses impressions…
… mais ce n’est pas fini !

Peu à peu ma femme se desserre de cette étreinte dantesque et se relâche un peu alors qu’il la tient toujours par les fesses. Mais il a bien compris qu’il ne fallait pas laisser retomber l’extase trop longtemps… à ma grande joie. Utilisant le pouvoir que lui avait conféré le fait d’avoir amené ma femme au sommet de la jouissance, il se met à la commander fermement :
« viens, … mets-toi là, … comme ça » et joignant le geste à la parole, il la guide sur le banc pour qu’elle se mette à genoux, bras appuyés sur le dossier…
Entretenant chez ma femme le plaisir de la « bouffée » fantastique, il s’agenouille un instant devant son cul, lèche le sillon totalement trempé puis lui enlève sa culotte qu’il descend jusqu’à ses chevilles, tout en caressant langoureusement le nylon des bas. Il fait franchir à la belle culotte le seuil d’une des ballerines qu’il caresse aussi en y appuyant sa queue et la laisse pendante à l’autre cheville… il écarte ses ballerines et fait lentement remonter sa queue, qui a pris maintenant des proportions titanesques, le long des bas qui excitent encore plus son gland turgescent. Ma femme l’attend dans cette position impudique, cul tendu, fesses écartées, fente détrempée. Alors, d’un coup, il présente cet énorme gland à l’entrée désirée et offerte, il saisit ma femme par le haut de ses deux fesses bien cambrées et il la pénètre… totalement.
Je vois, je me délecte de voir, cette énorme et longue tige s’enfoncer sans problème entre les deux belles fesses de ma femme dont il a pris possession et que lui offre volontiers.

Alors, il se tourne vers moi (non il ne m’a pas oublié !), me regarde d’un sourire béat, le visage épanoui, empreint de l’immense plaisir qu’il doit avoir de s’enfiler cette belle femme là sur ce banc. Je suis aux anges ! mon rêve se réalise… je l’encourage en silence mais il a bien compris… alors je sors ma queue et je me mets à me branler devant ce spectacle : ma femme prise en levrette sur un banc par un bon gros vieux vicelard moche, comme je les aime ; ma femme qui se laisse faire et se donne à lui en pleine nature… je vais exploser !

Là maintenant, le vieux l’a bien empoignée par les hanches et le haut de ses fesses charnues et commence à la pilonner bien en cadence. Il s’admire la baiser… comme s’il n’en croyait pas ses yeux et de temps en temps il me regarde, l’air de plus en plus réjoui et empreint d’extase, comme pour vérifier qu’i ne rêve pas. Ma femme, bien secouée par ses coups de treuil, s’est agrippée au banc et fait répondre son cul aux coups de bite bien profond que lui donne le vieux à chaque poussée, alors qu’il l’utilise comme un jouet au bout de sa queue.
Elle bouge oui ma salope, elle aime ces coups de pine vigoureux en levrette, elle se tend bien et recommence à couiner… il va me la faire jouir une deuxième fois ma parole ! Le frénésie les gagne tous les deux et le banc vacille sous les coups répétés… ma femme se laisse aller et commence à gémir de plus en plus fort, agite sa tête en tous sens. Lui vient peloter ses seins par en-dessous de temps en temps, saisit sa tignasse et cogne, cogne fort dans sa chatte pilonnée entre ses deux fesses écartées. A certains moments, il caresse ses bas tout au long de ses cuisses et ses mollets, saisit ses ballerines qu’il empoigne et remonte pour mieux faire s’agiter le cul de ma femme qui tressaille et va seul à la rencontre du dard qui la fouille.

Alors il se tourne vers moi, ses yeux sont écarquillés, il la tient et la plante sans ménagement (et elle répond, répond sans aucune retenue) : « rrrroooooooooooh ! ouuuuaouh ! oh que c’est bon, qu’elle est bonne, ahhhhhhhhh ! qu’elle répond bien, qu’elle est bonne sa chatte ! quel beau cul ! quel pied ! un vrai régal ! »
Et moi qui filme et prend des photos de cette scène fabuleuse, je déverse mon plaisir de voir ça (je sais que ma femme m’entend) : « oui, vas-y oui, baise-la, c’est trop beau de voir ça ».

Alors il se remet à la pistonner de plus belle en levrette en cognant de plus en plus fort, la tenant bien fermement par ses hanches et le haut de ses fesses. De temps en temps, il ressort presque totalement, me montre sa longue tige devenue un vrai mandrin et il la renfourne aussitôt avec force, puissamment, et lui arrache des cris de plaisir… Oui car ça y est elle s’est lâchée et se met à crier des « ouiiiiiiiii ! ahhhhhhhh ! hummmmm ! c’est bon ! » et son cul fabuleux se trémousse et répond encore plus aux coups de pine répétés et profonds.

Il l’a en mains ce vieux, il va encore l’amener à la jouissance car je la vois bien dodeliner de la tête arc-boutée contre le banc, ses seins ballotant et ses ballerines frémissantes au rythme des coups de bite, alors qu’il lui enfourne un puis deux doigts dans son petit trou du cul. A ma grande surprise elle se laisse faire… il ressort ses doigts, les porte à sa bouche, les lèche pour les humidifier et les réintroduit encore plus profond dans son cul dilaté et disponible… Putain mais il va l’enculer, me dis-je alors !
Alors qu’il vient momentanément de s’immobiliser au fond de sa chatte, sa queue enfoncée jusqu’à la garde, ses grosses couilles velues plaquées contre le haut de ses cuisses tendues et réceptives, il me regarde avec un visage souriant et fier mais quelque peu crispé par son désir montant et son envie de lui faire la totale. Les yeux écarquillés, je l’encourage du regard.

Alors, brusquement il ressort totalement sa longue tige hyper bandée et dure (il ne doit pas être loin de déverser son foutre)… il saisit son gland qu’il fait aller tout le long du sillon détrempé, avec ses doigts d’une main il répand le mélange de cyprine (elle a sacrément mouillé ma salope !) et son liquide de pré-jouissance sur la raie culière, puis ré-introduit le tout avec deux doigts dans son cul. Ma femme orpheline de queue dans sa chatte s’est relâchée et du coup ses fesses s’ouvrent encore plus. A-t-elle compris ? Il ne lui laisse pas le temps d’y réfléchir. Il présente son gros gland bien humide à l’orée de l’œillet dilaté et humecté de ma femme, la saisit à nouveau par ses fesses et l’enfile dans son cul. Elle pousse un cri encore plus strident… mais il est trop tard. La pine exacerbée du vieux pousse, pousse et se fraie un passage entre les fesses toujours tendues, s’enfonçant peu à peu. Elle crie encore, balbutie un «non pas là ! ». Je vois, je me délecte, je me régale… déjà la moitié de l’énorme engin est enfourné dans son cul… alors il commence à la limer et l’enculer en règle. Elle crie encore mais peu à peu ses cris de douleurs deviennent des gémissements de plaisir et elle reçoit cette bite dans son cul, qu’elle se remet à agiter. Elle est conquise, il l’a pour lui ! Il l’encule là, profond, sur le banc… et elle a l’air d’aimer ça.
Hébété, bandant comme un âne, je me masturbe en contemplant ce spectacle… je vais partir :
« oui, oui, ouais, encule-la, ahhhhhhh ! que c’est beau ! »
Ma femme se met à crier, à hurler même, elle se trémousse de plus en plus, son beau cul bien écarté répond de plus en plus aux coups de bite profond. A un moment, totalement enfoncé dans son cul, il se bloque en la saisissant à pleines mains par ses deux seins, elle se cabre tête en arrière renversée et il vient l’embrasser, d’abord dans le cou, puis comme elle se tourne légèrement vers lui, il lui roule une galoche d’enfer langue dardée, alors que son pieu est au plus profond de son cul. Je suis comme muet de stupeur et de plaisir de voir ma femme se faire enculer par ce vieux, de les voir se rouler une super galoche et d’être tous deux au bord de l’explosion finale de jouissance…
Comme folle, elle s’astique le clitoris alors qu’il continue à l’enculer avec force… poussant même le vice, le plaisir jusqu’à ressortir en totalité, la planter dans sa chatte, enfoncer son engin en totalité, puis revenir à son cul, l’enculer à nouveau !
Là c’en est trop pour ma femme ! elle jouit ! elle explose avec une multitude de petits cris, d’onomatopées, son doigt affolant son clitoris frénétiquement et son cul agité de soubresauts venant au contact des couilles du vieux qui tapent dans un bruit délicieusement érotiques alors qu’il l’enfile dans la chatte ou l’encule avec vigueur.
Alors c’est lui qui explose :
« ahhhhhhhh, rrrrrrrraagn ! je jouis, elle me fait jouir ta femme ! je vais jouir en elle, je vais l’inonder de foutre ! tu me fais jouir salope, saloooooooooooope, que c’est bon »
il déverse ses premières saccades de foutre au fond de ses entrailles, il sort de son cul aussitôt et replante sa chatte pour venir l’inonder de foutre. Ma femme doit bien sentir son liquide l’envahir car son cul remonte s’immobilise comme pour mieux profiter de la dégustation
Puis il ressort brutalement de son dernier trou visité, saisit sa queue encore bandée et finit de se faire dégorger en se branlant au-dessus du cul pantelant de ma femme. Des bordées de foutre zèbrent son dos et viennent mourir jusque sur sa robe noire retroussée et même se perdre dans ses cheveux. Il presse les dernières gouttes qui s’écoulent de son gland en les étalant sur les fesses blanches… puis ultime geste salace que j’adore, il vient essuyer sa queue contre ses bas sur ses cuisses et ses mollets.
Ah ! j’oubliais moi j’avais déchargé tout mon foutre en les regardant jouir tous les deux : c’était de loin la meilleure branlette que j’ai pu me faire.

Alors les deux baiseurs, le vieux rassasié et ma femme éreintée reprirent peu à peu leurs esprits… le premier regard que me porta ma femme, les yeux embrumés, fut « bizarre ». Le vieux se reculotta tant bien que mal ; ma femme rajusta son soutien-gorge puis sa robe qui redescendit… pleine de zébrures de sperme dans son dos : évidemment je ne dis rien car je voulais qu’elle garde ces traces mémorables.
Alors ils eurent tous deux un geste commun qui me fit frissonner : ils s’embrassèrent à pleine bouche goulûment… le vieux osa « c’était fabuleux ! divin ! j’avais jamais joui autant » et ma femme, un peu tourneboulée : « oh oui, c’était super bon, qu’est-ce que j’ai joui ».
Et moi, pas en reste : « génial cette séance, je me suis régalé, jamais comme ça ! putain que c’était beau, que c’était bon ! »
Ma femme qui me savait un peu jaloux, eut l’air surprise de cette réaction et se contenta de sourire, en tout cas elle avait bien joui.

Puis le vieux vit la belle culotte noire de ma femme par terre, la ramassa et, faisant mine de la tendre à ma femme de loin : « je peux la garder en souvenir ? »
Et moi, prenant ma femme de court, des fois qu’elle aurait voulu la récupérer :
« oui, oui, tu peux la garder, tu te branleras en la reniflant et en pensant à elle »
Ma femme sourit et dut repartir sans culotte sous sa robe tâchée de sperme.
« vous reviendrez des fois ici demanda le vieux »
Et là, ma femme me prit de court :
« ben oui peut-être un après-midi où il fera beau »

Alors nous prenons le chemin du retour jusqu’à notre voiture, laissant le vieux sur son banc cuver ce moment de bonheur. Ma femme qui avait eu bien chaud n’avait pas remis son blouson et en marchant, je pouvais contempler les traces de foutre blanc sur sa petite robe noire et adirer aussi les quelques gouttes qui ornaient sa chevelure. Je souhaitais croiser des hommes qui auraient pu voir que c’était bien du sperme… mais nous ne vîmes personne.

Après un voyage un peu silencieux, avec juste quelques échanges du genre
« tu as aimé ? »
« oui, oui, énormément et toi ? »
« je me suis régalé, c’était génial »
nous rentrons à la maison et, à peine arrivés, je chopais ma femme troussais sa robe encore tâchée de foutre…
« j’aime voir le foutre de l’autre vieux dans tes cheveux et sur ta robe »
« fouf mais je suis fatiguée moi »
« attend, attend, j’ai encore à profiter moi »
« quoi ? »
« ben d’abord t’as pas de culotte… donne ta chatte… »
Je la caressais et je la sentis trempée du foutre du vieux
« je veux te prendre en sentant son foutre en toi »
Je la mis en levrette à mon tour, je léchais un peu sa fente pour sentir l’odeur du foutre et de sa jouissance féminine mélangés, je la chopais bien par ses fesses et je l’enfilais…ma bite nageant dans le sperme du vieux et hyper excité, je lui enfonçais aussitôt deux doigts dans son trou du cul, trempe lui aussi…
Alors je pus enfin l’enculer à mon tour (elle ne pouvait pas me le refuser) et je la limais quelques secondes sans difficulté (la grosse pine du vieux avait fait le passage et son sperme pas encore séché favorisait le passage de ma queue) avant de décharger en elle dans son cul qui débordait de sperme.

… je me dis qu’on y reviendrait au bord du canal !

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