« La dernière fois que je t’ai vue, tu devais avoir douze ans.
Ce sont les premiers mots que mon oncle Julien m’a dit en m’accueillant à la gare. Lui et sa compagne Lucie avaient accepté de m’héberger pendant la durée d’un stage que j’allais faire dans le cadre de mes études.
C’était le frère de mon père, mais tous deux s’étaient querellés il y avait des années. Mon père m’avait cependant suggéré de le contacter, puisque Julien vivait dans la ville où je devais séjourner pendant deux semaines.
Je me souvenais vaguement de lui. Je ne l’aurais pas reconnu. C’est lui qui m’a identifiée sur le quai de la gare, dans la foule, car je ressemble beaucoup à ma mère.
Il était 14 heures et il faisait un temps radieux.
On a pris sa voiture et nous avons discuté de choses et d’autres, de la vie. Un tas de banalités sur le trajet qui dura une vingtaine de minutes.
Julien avait divorcé quatre ans auparavant, puis il avait rencontré Lucie. Quant à moi, j’avais un copain depuis quelques mois. Rien de bien sérieux, mais un copain attitré néanmoins.
Lucie n’était pas là quand on est arrivé. Julien m’informa qu’elle serait de retour en fin de journée. Tous deux vivaient dans une maison de plain-pied, ravissante. Une chambre m’était dédiée, qui donnait sur le jardin situé à l’arrière. Depuis la fenêtre, on voyait un grand parterre de pelouse et des arbres qui l’encerclaient.
J’ai ouvert ma valise et me suis mise à sortir des vêtements que j’ai rangés dans l’armoire, puis Julien m’a rejoint.
« Veux-tu boire quelque chose ? »
« Pas tout de suite, ai-je dit. »
Il suivit mes gestes pendant quelques instants, puis il ajouta :
« Il faut que je te demande quelque chose. »
Je l’ai regardé et, lisant de l’étonnement dans mes yeux, il s’est assis au bord du lit dans lequel j’allais dormir pendant quinze jours.
« Avec Lucie, on s’est demandé si… Comment dire… Est-ce que tu fais toujours du naturisme ? »
J’ai hoché la tête et répondu :
« Oui, toujours. »
« Ah, tant mieux, dit Julien. Avec Lucie, on se demandait. Et je n’ai pas osé te poser la question quand tu as téléphoné. C’est une bonne nouvelle. »
J’ai rangé un tas de t-shirts dans l’armoire, puis je suis venue m’asseoir au bord du lit à mon tour, à gauche de mon oncle.
Il a continué :
« Je te pose la question, car Lucie et moi, on a l’habitude de se promener tout nus dans la maison et dans le jardin. Et toi ? »
« Chez mes parents, je me balade toute nue, ai-je dit, mais pas chez mon copain. Ce n’est pas du tout son truc. D’ailleurs, j’appréhende un peu le mois de juillet, car il aimerait qu’on aille au bord de l’océan, mais il tient à ce que je porte des maillots sur la plage. Il ne supporte pas l’idée que d’autres hommes puissent voir mon corps. »
« C’est ennuyeux, dit Julien. Quoi qu’il en soit, je suis soulagé, et Lucie va l’être aussi. »
Je lui ai souri. Moi aussi je m’étais posée la question avant de prendre le train. Dans le doute, j’avais emporté deux maillots de bain.
Puis Julien s’est levé en disant :
« Vois-tu un inconvénient à ce que j’enlève mes vêtements ? »
J’ai remué la tête :
« Non, bien sûr. »
Et il a ôté son t-shirt, l’a posé sur le lit, puis il s’est mis à défaire son pantalon en me disant :
« Tu ne te déshabilles pas ? »
« Si, si, pardon, ai-je dit en me levant à mon tour. »
Le temps que j’enlève ma robe, Julien s’était débarrassé de son caleçon. Il se rassit sur le lit et me regarda baisser ma culotte. Je posai le tout sur une chaise, puis vins me rasseoir.
« Tu es devenue une vraie femme, dit Julien en examinant mes formes. La dernière fois que je t’ai vue, c’était sur une plage. Tu avais de tout petits tétons qui pointaient, je m’en souviens très bien. »
J’ai souri sans répondre.
J’avais du mal à ne pas lorgner vers sa queue, contrairement à lui dont le regard allait de mes cuisses à mes seins, en passant par mon pubis lisse. C’était une situation assez embarrassante, mais je me sentais beaucoup mieux toute nue.
Il a ajouté :
« Tu as un très beau corps. »
« Merci. »
« Mais il faut que je te dise autre chose… »
« Oui, je t’écoute. »
« Voilà… a-t-il dit. Demain soir, il se trouve que nous avons invité un couple d’amis à la maison, Lucie et moi. Ils sont également naturistes, comme la plupart de nos amis d’ailleurs. Sauf qu’avec ces deux-là, nous avons l’habitude de… comment dire… de faire des petites partouzes. Est-ce que ça te choque que je te dise ça ? »
J’ai haussé une épaule :
« Non, pas du tout. Je ferai en sorte de passer la soirée en ville pour ne pas vous déranger, il n’y a aucun souci. »
« Je me suis mal exprimé, a repris Julien. Ce que je voulais te dire, c’est que si tu en as envie, tu pourras participer. Mais peut-être que tu n’as jamais partouzé et que ce genre de chose te répugne ? »
J’ai remué la tête et dit :
« J’ai déjà participé à des partouzes au cours de soirées étudiantes. Ça ne me déplait pas du tout. Mais je n’en fais plus depuis quelque temps, car mon copain ne supporterait pas ça. L’idée de lui en parler ne m’a même pas traversé la tête, car je commence à bien le connaître. Il est plutôt possessif, tu vois ? »
Julien a acquiescé et j’ai ajouté :
« Donc je participerai volontiers à cette partouze. C’est très gentil de me le proposer, mais je ne veux surtout pas imposer ma présence. »
« Tu ne t’imposes absolument pas, a dit Julien en posant une main sur ma cuisse. Rassure-toi. On est ravi de t’accueillir ici, et je sais que tu vas très bien t’entendre avec Lucie. »
« J’espère, ai-je dit en souriant. »
« J’en suis certain, a dit mon oncle en faisant glisser sa main le long de ma peau. »
Sur ces mots, je n’ai pas pu m’empêcher de porter les yeux sur sa queue. Après tout, on était naturistes, puis il me caressait une cuisse. Et lui s’était mis à bander légèrement.
Il a porté à son tour le regard vers sa queue, puis il a relevé les yeux en disant :
« Je suis désolé, c’est une réaction naturelle. Tu as un très beau corps, je ne peux pas rester insensible. »
« Je comprends, ne t’inquiète pas. »
Il a souri et on s’est regardés pendant un petit moment sans rien dire. Sa queue remuait toute seule et sa main faisait des va-et-vient très lents le long de ma cuisse.
Puis il s’est décidé à dire :
« Mais du coup, si tu es d’accord pour partouzer avec nous demain soir, je me dis qu’on pourrait peut-être s’entraîner un peu, non ? »
Je n’ai pas tardé à répondre :
« Pourquoi pas ? »
Mon oncle avait un grand sourire, très séduisant. Il avait un petit air de mon père, en moins bouffi. Les mêmes yeux en tout cas. Dans ma mémoire, Julien avait neuf ans de moins que lui.
« Y a-t-il des choses que tu aimes en particulier ? dit-il. »
« Je préfère que ce soit toi qui me dises. »
« D’accord. Mais avant je voudrais savoir si tu aimes les mots crus. »
J’ai hoché la tête :
« Oui, j’adore ça. J’en utilisais beaucoup avec mon ex, mais mon copain actuel n’aime pas ça. Il est très fleur bleue. »
« Tant pis pour lui, a dit mon oncle. Il ne sait pas ce qu’il perd. Quant à moi, j’aimerais te dire que j’ai beaucoup aimé que tu enlèves ta culotte en me tournant le dos. Tu as un beau cul de salope et j’ai bien envie d’y enfouir ma langue. »
Quelques secondes plus tard, j’étais à quatre pattes sur le lit, cambrée, les cuisses écartées. Mon oncle s’est mis à sucer mon anus en bavant dessus et moi à me branler le clitoris.
Ensuite, il m’a bouffé la chatte tout en passant une main sous mon ventre, de sorte à palper mes nichons qui se balançaient sous les mouvements. J’ai eu une brève pensée pour mon copain. Vraiment très brève.
J’ai adoré que mon oncle me pénètre sans avoir fait allusion à la moindre capote. Sa bite était encore plus dure que les concombres et les courgettes que je m’enfonçais dans la chatte en l’absence de mon copain.
J’ai adoré le sucer, ensuite, tandis qu’il s’était remis à me lécher le cul et la chatte. Cela faisant longtemps que je n’avais pas fait de 69. J’ai toujours raffolé de cette position. C’est d’ailleurs la toute première que j’ai testée, quand j’étais adolescente, avec une copine de collège.
J’ai adoré qu’il me dise que Lucie allait sans doute craquer pour moi, le soir venu. Elle aimait les chattes, surtout les jeunes. Tout en me baisant, mon oncle m’expliqua qu’ensemble ils s’étaient récemment envoyés une petite asiatique dans un sauna.
J’ai adoré qu’il ne puisse pas se retenir d’éjaculer au moment où je lui ai raconté qu’au cours d’une partouze étudiante, trois bites successives avaient déchargé dans ma bouche. Pour sa part, il l’a fait sur mon ventre. Son sperme était liquide, je l’ai étalé autour de mon nombril, puis une dernière giclée a échoué plus bas et coulé entre mes lèvres.
Une petite voix m’a dit que j’allais passer un bon séjour.
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