Ce récit en 2 épisodes est le dernier que je publie sur ce site avant de supprimer mon compte.
Je fais mes adieux aux fidèles qui m’ont supportée et les remercie pour leurs gentils commentaires.
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DUR,TRES DUR 1/2
Je ne pensais pas que ce que j’ai vu, il n’y a pas très longtemps un jeudi, pouvait exister.
C’était un spectacle qui me laisse perplexe et me paraît encore irréel aujourd’hui.
Le mardi je bois un verre dans un bar avec Fabien, après avoir fait l’amour avec lui pour la deuxième fois en une semaine dans une chambre d’hôtel.
Parlant de choses et d’autres il me demande:
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Je ne vais pas lui raconter ce que j’ai subi à une certaine époque de ma vie.
<<ça te dis d'assister à une exhibition>>.
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Ma curiosité prend le dessus.
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Le jour dit j’attends Fabien devant la gare, à l’heure prévue il arrive et sa voiture stoppe devant moi.
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Je m’installe sur le siège passager puis il démarre, nous discutons pendant le parcours.
Nous sortons de la ville et roulons un moment sur des routes de campagne et traversons des bourgs, puis il s’engage dans un chemin caillouteux et poussiéreux.
Ensuite nous traversons une partie boisée puis passons sous le porche d’une propriété qui doit être ou a été une ferme.
Une fois garés à côté d’autres voitures je le suis dans un des bâtiments ou je vois des cages pour chiens faites de barreaux métalliques.
Cinq hommes et une femme sont occupés à discuter, leurs regards sont dirigés vers des cages.
Un peu plus loin deux femmes maquillées comme des putes et totalement nues, à part le collier pour chien autour du cou, attendent à genoux les mains dans le dos et la tête baissée.
Ce que j’aperçois est surprenant.
D’abord un endroit carrelé avec des lavabos, sanitaires et douches collectives non cloisonnées.
Puis dans des cages faites de barres métalliques éclairées par des spots, je vois deux femmes également nues qui se tiennent plus ou moins couchées, à cause de la faible hauteur de leur geôles elles ne peuvent pas se tenir debout.
Il y a une blonde aux cheveux très courts et au corps mince ainsi qu’une brune dont la chevelure assez longue cache le visage elle est plus en chair avec de gros seins à larges aréoles.
Autour de leur cou je remarque un gros collier clouté.
Nous parlons avec les personnes présentes, enfin surtout Fabien car moi il me semble que ma présence est invisible.
Le maître des lieux arrive. Après avoir salué les hommes, mais pas moi, il veut nous montrer quelque chose et nous entraîne au fond du bâtiment puis il s’arrête devant une porte verrouillée.
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Il nous raconte que son client, la trouvant à son goût et attiré par son jeune âge, a recueilli la fille qui traînait dans les rues car étant sans ressources et sans papiers.
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Il ouvre la porte et allume la lumière.
La pièce qui sert de geôle est triste, sans fenêtre et ne comporte d’un côté que des planches mal assemblées qui servent de lit.
Une très jeune black nue, à voir les aréoles de ses seins elle n’a pas terminé sa puberté, est suspendue le ventre tourné côté sol, à l’aide de cordes fixées au plafond et attachées à ses poignets, ses chevilles et autour de son corps.
Son crane est entièrement rasé.
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Elle est bâillonnée et bave, la boule dans sa bouche est tenue par des lanières nouées côté nuque.
Des poids sont accrochés à ses tétons ce qui les étire.
Sur son corps il y a de nombreuses électrodes reliées par des fils à des boîtiers eux même branchés sur une prise électrique. L’intensité du courant varie en permanence de supportable à très douloureux à en juger par les larmes qui coulent de ses yeux, par les cris étouffés qui sortent de sa bouche et par les mouvements désordonnés de son corps: elle reste immobile par moments puis est très agitée à d’autres moments.
Il continue à parler d’elle.
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Voir cette jeune fille dans cette posture me met mal à l’aise, je souffre pour elle.
Nous sortons de la cellule, il éteint la lumière et verrouille la porte.
Nous allons dans une autre pièce du bâtiment ou des bancs sont alignés le long d’un mur, une fois assis nous attendons la suite.
Les deux femmes nues qui se tenaient à l’écart nous ont suivies, elles se mettent à genoux sur le sol aux pieds de deux hommes.
J’interroge Fabien.
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Quelques minutes plus tard une porte s’ouvre, vêtu de cuir noir le maître dresseur entre.
Dans une main il a un fouet et dans l’autre il tient les laisses reliées aux colliers des deux femmes qui étaient en cage.
Toujours nues elles le suivent en marchant à quatre pattes mais sans plier les genoux.
Elles sont muselées.
Après les avoir débarrassées de leur muselière il leur fait faire le tour du local puis s’arrête devant nous.
Pour dire bonjour à l’assistance les filles, en se déplaçant toujours à quatre pattes, embrassent les chaussures des personnes assises sur les bancs mais négligent les deux femmes assises sur le sol qui étant également soumises n’ont pas droit aux égards.
Le maître des lieux s’adresse à nous.
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Il nous présente les deux jeunes femmes.
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Fabien m’explique qu’elles passent environ 6 mois en cage ici et que leurs maîtres viennent quand ils du temps libre pour s’en occuper avec l’aide du maître éducateur. Les femmes qui passent ici ne viennent pas uniquement de France et quand le futur maître ne peut pas venir les contacts visuels se font par caméra et webcam avec projection sur un grand écran télé.
J’ai remarqué qu’il y avait des caméras un peu partout donc les filles sont surveillées en permanence.
Après les avoir testées Thomas leur donne un nom qu’elles gardent ensuite.
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Celles qu’il vient de désigner et qui sont assises par terre aux pieds de leurs maîtres répondent au nom de Sodome pour l’une (elle adore la sodomie) et Doucette pour l’autre (elle est trés caressante).
Il demande aux deux soumises tournées vers nous de « faire la révérence » ce qu’elles font en courbant le dos, bras repliés posés sur le sol et fesses en l’air.
Ensuite elle doivent nous « dire bonjour » en levant un bras à l’horizontale.
Puis elles doivent « faire le beau » en se redressant sur leurs jambes repliées, en pliant les coudes et présentant la paume de leurs mains vers nous.
Le fouet claque sur leurs fesses ou leur dos quand le dresseur n’est pas satisfait, c’est surtout la blonde qui trinque car elle ne semble pas encore très habituée à ce genre d’exercices.
Même si les coups ne sont pas portés violemment c’est douloureux mais les victimes ne cherchent pas à se soustraire au châtiment.
J’ai de la peine de les voir souffrir.
Ensuite le spectacle se passe au centre de la pièce.
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Il poursuit son speech.
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Munis de cravaches Yann et Pierre les compagnons des deux femmes font leur apparition.
L’un au visage sévère est âgé d’une vingtaine d’années, c’est le maître de la blonde.
L’autre au physique quelconque a environ quarante ans soit le double de sa soumise brune.
Le maître dresseur leur demande de tenir leurs soumises en laisse et de les promener, ils n’hésitent pas à les cravacher quand leur façon de se déplacer ne correspond pas à celle d’une chienne.
A la fin de chaque exercice que le dresseur a concocté elles doivent s’accroupir et rester immobiles aux pieds de leur maître.
Puis débarrassées de la laisse elles marchent à quatre pattes à côté de leur dominant qui fait le tour de la pièce, elles s’immobilisent quand il s’arrête et repartent quand il recommence à avancer.
Les maîtres donnent l’ordre aux soumises de rester couchées sans bouger sur le sol, ils vont se positionner à une extrémité de la pièce puis sifflent, en essayant de courir à quatre pattes les filles viennent rapidement s’accroupir à leurs pieds.
Obéissant aux ordres elles exécutent les différents exercices demandés.
C’est d’abord quelque chose de simple: »assis », « debout », « couché ».
Puis elles doivent tourner autour de leur maître sans arrêter pendant un moment.
Après ça elles obéissent à l’ordre de tourner sur elles même comme des toupies.
Nouvel exercice, en rampant elles font le tour de la salle et quand elles ont tendance à relever le postérieur la cravache claque sur celui-ci.
Ensuite allongées elles roulent sur le sol pendant plusieurs minutes.
Le dresseur pose sur le sol en différents endroits des obstacles pas très hauts.
En se déplaçant le plus rapidement possible, toujours à quatre pattes, elles doivent sauter par dessus ce qui n’est pas évident, les coups de cravaches leur cinglent les fesses et le dos.
Elles passent au jeu de la balle, un divertissement qu’adorent les chiens.
Une balle est lancée dans la salle, débarrassées de leur muselière elles vont chacune à leur tour la chercher le plus vite possible, la prennent dans leur bouche et la ramenent à leur maître.
Quand ce jeu a assez duré elles reçoivent l’ordre d’effectuer un parcours en poussant la balle avec le nez.
Ensuite quand la balle est lancée, elles partent ensemble et la plus rapide ou plus adroite s’en empare en se servant uniquement de sa bouche et la ramène, celle qui revient bredouille reçoit un coup de cravache pendant que la gagnante « fait le beau » devant son maître en lui présentant la balle qu’elle tient dans la bouche et a droit à une caresse.
Pendant que le jeu se poursuit les contacts entre les deux soumises deviennent de plus en plus rudes, tout en restant à quatre pattes elles se bousculent violemment pour avoir la possession de la balle.
Enfin l’exercice prend fin.
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Toujours marchant à quatre pattes elles suivent leur maître qui leur demande de se placer à genoux chacune devant un homme de l’assistance.
Obéissant à un ordre avec les dents elles baissent le zip des pantalons.
Elles sortent le sexe de l’homme avec les mains puis mettent celles-ci dans leur dos et attendent sans bouger.
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Très excités par le spectacle qu’ils viennent de voir les hommes bandent.
Les deux futures soumises prennent la queue dans leur bouche et font une fellation qui ne dure pas longtemps, elles prennent soin d’avaler tout le sperme qui envahit leur gorge et de bien nettoyer le membre avec leur langue avant de se reculer.
Elles remettent la verge ramollie dans le pantalon de l’homme et remontent le zip.
Ensuite elles se déplacent et en font autant à deux autres hommes.
Reste les deux personnes qui sont venues avec leurs esclaves, celles-ci bien dressées et sans jalousie apparente s’écartent de leur maître pour laisser la place à la blonde et la brune qui ne perdent pas de temps et font une pipe aux hommes.
En voyant la façon dont celle appellée Suceuse engloutit les queues dans sa bouche, queque soit leur dimension, et les suce je comprends l’origine de son prénom de soumise, le maître dresseur aurait aussi pu l’appeler La Goulue.
Une fois que les deux derniers hommes ont joui dans leur bouche les deux filles se reculent et s’accroupissent attendant qu’un nouvel ordre leur soit donné.
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