Je suis une femme que l’on appelle, communément, une petite « bourge », épanouie, je m’assume complètement. Je m’appelle Élisabeth, j’ai 50 ans, veuve depuis 5 ans, je suis devenue, petit à petit, très complice avec ma belle fille, à tel point qu’un jour elle a commencé à me parler de son intimité avec mon fils, des exigences de mon fils alors qu’elle-même, n’est pas du tout portée sur le sexe ! Elle me connait bien aussi, elle sait que j’ai de nombreuses aventures depuis mon veuvage et je lui ai aussi fait des confidences.
J’ai été très surprise, alors qu’elle me parlait de mon fils, qu’elle me dise que c’était un homme comme lui que je devrais rencontrer pour être satisfaite sexuellement. Je lui ai dit : « c’est sûr, mais c’est mon fils et il est ton mari », et là, elle m’a dit, en rougissant : « mais s’il était ton amant, je serais rassurée, car ainsi, il n’aurait pas besoin de prendre une maîtresse, avec toi il n’aurait pas besoin d’aller voir ailleurs ». Sur le coup, j’ai été surprise, vaguement choquée, mais je comprenais un peu son désarroi. On en a plus reparlé pendant un moment, mais je pensais beaucoup à ce qu’elle m’avait dit et un jour, sur le ton de la plaisanterie alors que nous étions toutes les deux, elle m’a dit : « alors Élisabeth, quand vas-tu devenir la maîtresse de Bernard ? ». Je lui ai répondu : « si je te prends au mot, ne viens pas te plaindre », nous en avons ri, mais tous les jours, elle m’en parlait et un jour je me suis décidée !
Au fil de nos discussions et de ses confidences, elle m’a avoué avoir une faible libido, alors que son mari était très porté sur le sexe. Par peur qu’il n’aille voir ailleurs et connaissant aussi mon grand besoin de sexe, après beaucoup d’hésitations, elle a insisté en me demandant de séduire mon fils, qu’elle serait rassurée si cela se passait avec moi et que ça resterait entre nous dans la famille. Après bien des réticences, par gêne, par honte aussi, car ce sujet est tabou, j’ai mis longtemps avant de me décider.
Elle me parlait souvent des exigences sexuelles de mon fils, de leurs relations, de ce qu’il lui faisait au lit et je n’étais pas indifférente aux détails qu’elle me racontait. Un jour, j’ai accepté, mais ce qui m’a le plus étonné, c’est que mon fils a tout de suite répondu à mes avances comme si c’était tout naturel pour lui, à croire que son épouse et lui-même en avaient déjà discuté ensemble. Et depuis presque 2 ans, je suis la maîtresse de mon fils !
Cela s’est passé tout naturellement, Bernard était passé m’apporter une bricole promise par son épouse. Inutile de préciser que nous nous étions entendues de ce prétexte et que je l’attendais, fébrile et anxieuse, mais de pied ferme, remontée par la discussion que nous avions eue cet après-midi même.
J’avais passé ma robe de chambre sur une nuisette transparente, juste fermée par une ceinture un peu lâche. Bien entendu, les pans du col s’ouvraient au moindre mouvement et, machinalement, je retenais ceux-ci pour ne pas avoir l’air de le tenter. Bernard surveillait tous mes gestes et paraissait obnubilé par la vue de mes seins qui se profilaient sous le fin tissu !
Nous étions assis sur le canapé du salon, en train de boire un café et son regard dévia de ma poitrine à mes genoux, c’est alors que je vis que ma robe de chambre était remontée et que le haut de mes jambes était bien visible, je décidai que c’était le moment de me lancer !
« Bernard, petit coquin, que regardes-tu ?
– Tes jambes, maman, elles sont très belles !
– Mais, voyons, je suis ta mère, tu n’as pas honte ?
– On ne peut pas avoir honte de regarder ce qui est beau, même si tu es ma mère !
– C’est vrai que j’ai encore de belles jambes…, elles te plaisent ?
– Non seulement tu as de belles jambes, mais en plus, ta poitrine est superbe ! »
Il se mit à rougir, ne sachant plus comment se dépêtrer de cette situation qui le mettait mal à l’aise. Je me devais de réagir, avant qu’il ne se bloque :
« C’est la poitrine d’une femme de 50 ans qui t’a allaité durant 18 mois !
– Justement, ce sont des seins naturels, sans silicone… ! Me dit-il, en se léchant les lèvres.
– Oui, je me souviens avec quelle voracité tu me tétais… !
– Ce que je regrette ce temps… !
– Tu as une femme pour ça, non ?
– Franchement, maman, elle n’est pas très portée là-dessus et ça me manque… !
– C’est pour cela que tu regardes mes seins avec envie ?
– Surtout maintenant, tes bouts crèvent le tissu… ! »
C’était vrai, d’autant plus que le haut de ma robe de chambre s’était complètement écarté et que mes mamelons me faisaient mal d’être tendus. Je les pris entre mes doigts, espérant les calmer, mais le remède fut pire que le mal, ils se dressaient, orgueilleux, avides de caresses. Je le regardai, implorante, le suppliant du regard :
« Tu vois, maman, ton corps parle pour toi !
.. Tes seins bandent d’excitation et ta chatte a laissé une auréole sur ta nuisette !
– Oui, je suis veuve depuis cinq ans et j’ai encore des besoins !
– Si j’osais, je me dévouerais bien !
– Et que ferais-tu ?
– Je te sucerais les seins, puis la chatte qui me semble bien juteuse !
– Alors, qu’attends-tu, prends-les, je te les offre ! »
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, mon fils s’était agenouillé devant moi, avait écarté mon peignoir et pris mes seins en bouche. Le salop, il savait y faire et tandis qu’il s’occupait de mes tétons, son autre main était descendue entre mes jambes et s’attaquait à ma chatte qui ruisselait. Très vite, il fut nu et je pus contempler sa verge qui était au garde à vous. J’étais tellement excitée que je le suppliai de me prendre à la hussarde, sans perdre de temps. Le plaisir, pour nous deux, vint très vite, nous emportant comme un ouragan. La deuxième fois, nous prîmes le temps de nous déguster, de goûter à toutes les parties de nos corps, nous étions en parfaite symbiose et l’orgasme qui s’ensuivit fut l’un des meilleurs que j’aie connu !
Ma belle-fille avait raison, mon fils était fou de sexe, il ne pensait qu’à ça et j’avoue que ça me convenait très bien, moi aussi j’en étais folle et j’étais devenue folle de lui. Ma belle-fille me demandait souvent comment ça se passait et elle prenait la chose très bien, je crois qu’elle en était soulagée. Comme j’habitais à côté de chez eux, mon fils venait me voir tous les jours, il avait des exigences qui me plaisaient et m’excitaient.
Je jouais le jeu et tout se passait bien, j’étais toujours très complice avec ma belle-fille et nous parlions beaucoup de choses très intimes.
Il est vrai que la première fois, je ne me sentais pas très à l’aise, je pensais que je franchissais un tabou, mais quand le plaisir fut venu, mon orgasme a été très violent et les fois suivantes ont été vraiment supers, surtout lorsque j’en ai parlé avec ma belle-fille et qu’elle m’a serré dans ses bras en me remerciant !
Est-ce que je considérais mon fils comme un fils ou comme un amant ? Sexuellement, il me comblait pleinement, il était donc plus mon amant que mon fils, mais j’avais aussi beaucoup d’amour maternel pour lui, c’était assez troublant ! Cette situation ambigüe était déroutante, mais aussi particulièrement excitante. Quand je regardais mon fils, j’étais fière qu’il fût mon jeune amant et que je puisse lui faire l’amour. Tous les interdits de mon éducation bourgeoise s’étaient envolés au profit d’une perversité grandissante, balayant tous les tabous que j’avais encore. L’amour maternel et l’amour sexuel renforçaient cet amour naturel et emportaient tous mes préjugés !
Ce n’est que quelques mois plus tard que j’ai mis mon fils au courant de ma connivence avec ma belle-fille à son sujet. Il ne me croyait pas, bien que je fusse persuadée du contraire. Sa femme lui a confirmé, il fut très surpris, étonné, mais il l’a très bien pris. Néanmoins, il a quand-même mis du temps à oser me faire des vrais câlins devant sa femme, de me prendre alors que sa femme était toute proche !
En présence d’autres personnes, nous faisons très attention, mais sans trop forcer, car une mère et un fils peuvent très bien se faire quelques câlins.
Au début de nos ébats en sa présence, ma belle-fille se faisait très discrète, puis a fini par ne plus y faire attention. Quand nous nous retrouvions seules, je cherchais à savoir la raison de son apathie vis-à vis du sexe.
Nous en discutions, je lui faisais lire des ouvrages sur la sexualité, puis des histoires érotiques, peut-être qu’il serait possible de l’ouvrir aux voies de la sensualité ?
À mon avis, si ce n’était pas son éducation ou la morale qui l’avaient bloquée, elle avait dû subir, durant son enfance ou son adolescence, un événement qui avait heurté sa sensibilité, occultant toute envie de sexe ! Possible qu’en lui parlant, je pourrais l’aider à se découvrir !
Depuis quelques temps, je la sens s’ouvrir un peu, peut-être le fait que nous ne nous gênons plus devant elle ! C’est, peut-être le bon moment de rediscuter de sexualité, d’anciennes expériences, de parler de certaines préférences, de certaines pratiques et, selon ses réactions, lui faire lire des histoires qui vont dans le sens de ses goûts ! En y allant gentiment, délicatement, je devrais pouvoir la débloquer complètement !
Ma belle fille s’émancipe, peut-être de nous voir mon fils et moi ! C’est bien possible que ça la fasse réfléchir sur son manque d’intérêt aux choses sexuelles et que lui cela lui donne des idées et, qu’enfin, cela lui donne des envies J’aime cette ambiance où le vice et la luxure se mélangent ! Plus je parle avec elle et dédramatise cet acte si beau et si passionnel, plus je la sens davantage réceptive !
Mon fils m’a avoué, récemment, que ma belle-fille le sollicite de plus en plus souvent, il en est le premier étonné, mais ne s’en plaint pas !
J’en ai parlé avec ma belle fille qui reconnaît que de nous voir, de nous imaginer ensemble, la stimule, j’en suis presque jalouse !
Je plaisante en disant cela, je n’ai pas à être jalouse, c’est son mari et je suis contente qu’elle découvre, enfin, le plaisir que l’on peut avoir avec le sexe. De plus, dans l’amour, il y a une notion de partage et d’échange d’expériences, cela ne peut que consolider nos liens familiaux !
Si le fait de nous voir faire certains câlins et imaginer plus, suscite des envies à ma belle-fille, cela a le même impact sur moi ! Je me rends compte que j’ai toujours été attirée par mes amies, mais mon éducation bourgeoise me l’occultait, aussi je n’avais jamais répondu favorablement à celles-ci. Avec la transgression du tabou de l’i****te, je suis plus libre et je me laisse aller. Par exemple, je suis excitée de m’exhiber avec mon fils devant elle et j’en viens à la considérer comme une partenaire potentielle. De plus en plus, j’imagine que notre relation pourrait évoluer vers une relation à trois, surtout vu la grande complicité que nous semblons avoir avec ma belle-fille.
Je me demande même si elle n’est pas émoustillée de m’imaginer, moi, « jouissant ». En d’autres termes, ne serait-elle pas aussi attirée par moi ? J’avoue que ces pensées me sont venues en discutant avec des correspondants de bons conseils
Il ressort de nos discussions qu’elle est attirée par les femmes, mais aussi, m’avoue-t-elle, de nous imaginer mon fils et moi, lui donne des idées coquines et que ça la travaille de plus en plus ! Je sais bien que ce n’est pas en un jour que je pourrais avoir une certitude du bien fondé ou non de nos assertions, mais qu’il faudra un certain temps, avec moult discussions et lectures choisies sur ce thème pour la décider !
Ma belle-fille s’émancipe, je m’en rends compte en bavardant avec elle, par son comportement lorsqu’elle nous voit mon fils et moi, mais c’est surtout mon fils qui s’en rend compte lorsqu’il est avec elle, il me dit qu’elle prend des initiatives, qu’elle accepte des choses qui la répugnaient avant, je la trouve aussi plus câline, plus encline à parler de choses coquines.
Nous allons réveillonner tous les trois chez eux, nous allons bien fêter le nouvel an et que va-t-il se passer ?
À tout hasard, en allant sur Internet, j’avais fait l’acquisition de quelques photos soft de lesbiennes, partiellement dénudées ou en train de s’échanger des baisers passionnés ! Sitôt arrivée chez eux, je les sors de mon sac et les étale sur la table du salon, prétextant les avoir prises pour faire plaisir à son mari. Ella a l’air très intéressée, elle les contemple avec envie, les examinant sous toutes les coutures. Je profite de son intérêt pour lui dire que j’ai trouvé, sur un forum de discussion sur l’i****te, des confessions bien émoustillantes, elle me répond derechef :
« Tu me les feras lire, j’ai toujours été excitée par ce genre d’histoires !
– Avec joie, nous les regarderons à deux ! »
Je constate avec un plaisir sous-jacent que ma belle-fille s’ouvre à la sexualité, c’est très prometteur et très agréable pour moi ! Je ne peux pas encore dire qu’elle soit entreprenante, mais elle est moins farouche et accepte quelques caresses, que je sois seule avec elle ou que nous soyons en compagnie de son mari. Elle me laisse lui caresser le ventre, les seins, lorsque nous sommes toutes les deux tranquilles à regarder la télé, mais je ne brusque rien.
La sentant accessible à mes turpitudes, grâce aux photos dont elle s’est régalée, je l’attire contre moi et dépose un baiser sur sa bouche que je sens frémir, mais qui, pourtant, reste fermée. Je pose ma main sur son sein et là, miracle, sa bouche s’entrouvre et sa langue vient chercher la mienne. Elle est excessivement réceptive et me laisse agir à ma guise, savourant le moment présent. Je lui murmure des mots d’amour tout en continuant de la lutiner :
« Ma chérie, depuis le temps que j’attendais ce moment !
– Moi aussi, mais j’en avais honte !
– Pourquoi en avoir honte ? C’est tellement naturel !
– Je vais t’avouer quelque chose que j’ai toujours caché !
.. Tu ressembles beaucoup à ma mère et depuis mes 14 ans, je fantasmais sur elle !
– Il n’y a rien de honteux, pourquoi ne pas le lui avoir dit ?
– Ce n’est pas possible, c’est une grenouille de bénitier !
– C’est justement celles-ci qui sont les plus propices à un partage de l’amour, fusse-t-il familial !
– Tu crois que j’aurais dû ouvrir mon cœur et lui avouer mon désir ?
– Peut-être, en y mettant les formes, en jouant sur ses cordes sensibles !
.. Mais, si tu en as toujours envie, on peut essayer d’y remédier et de ratt****r le temps perdu !
– Tu penses que ce serait possible ?
– Il y a de fortes chances, on ne le saura que lorsqu’on aura essayé !
.. Par contre, de ton côté, tu dois en avoir sacrément envie…, tu mouilles comme une fontaine !
– J’ai honte d’être dans un état pareil en pensant à ma mère… !
– Il ne faut pas, j’adore te sentir couler et je vais te le prouver tout de suite ! »
Je me suis occupée de sa chatte comme une lesbienne confirmée, pourtant, j’étais une novice et j’avais tellement de temps à ratt****r.
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