C’était en forêt de M….
Année 20.. Je circulais avec mon véhicule pour voir les étendues d’arbres et de forêts, n’arrivant pas à analyser et rien qu’à voir cette nature verte qui me parlait, j’étais un autre moi-même et les rumeurs, dans cette forêt révélaient qu’il y avait pas mal de maléfices car en effet, il y a deux ans, l’on parlait d’une personne ayant squatté un logement mais expulsée immédiatement.
Les surprises se multipliaient davantage dans cette contrée : on parlait de mecs et de filles qui, disparaissaient mais qui revenaient et avaient une autre attitude, bref le Triangle des Bermudes, sans-doute, et puis surtout dans cette magnifique région connue pour les lacs et étangs et autres activités comme la pêche et la chasse.
Ainsi, je commençais à voir et un beau jour, je m’apprêtai à sortir du véhicule et apparemment, personne ne me voyait. J’étais entrain d’uriner en cachette.
C’est alors qu’un homme en uniforme vint vers moi et d’un ton fortement sec :
– Alors, c’est comme cela qu’on vient se promener?
Je pris peur et lui répondis :
– Mais, Monsieur, que voulez-vous dire, enfin, je ne gênais personne et c’est tout naturel.
Il me dit :
– Tu m’expliques cela et motive-toi, sinon… (avec un rire masqué, bref un gendarme costaud et d’une magnifique barbe).
Je lui expliquai :
– Monsieur, je ne trouvais pas les toilettes publiques et dans une forêt…
Il me dit :
– Jeune homme, c’est comme cela que l’on t’apprend à être éduqué et tes parents savent que tu pénètres surtout dans une zone fortement protégée et surveillée par le garde-champêtre?
Mais, Monsieur, j’étais pressé, et au fait au sortir de la forêt, il y a un buraliste.
Le gendarme, avec sa barbe baissa un peu le ton mais me répliqua :
– Ici, et déjà, tu devrais le comprendre, il est interdit de fumer surtout l’été en raison des fortes chaleurs et surtout à cause de la pollution.
Son ton effectivement baissa, quant à lui, il n’avait pas l’air si sévère et rien qu’en souriant me proposa une cigarette. A mon tour, et timidement :
– Monsieur, il faut que je vous paie la cigarette car vous savez, les prix ont augmenté et je vous avance la somme….
Et d’un ton un peu grinçant me dit :
– Tu me prends pour une pute! Me payer! Ici, on ne paie pas, on paie mais l’amende suite à une infraction, à savoir les nuisances que les personnes créent sur notre environnement et par ailleurs, la pollution. Je t’offre la cigarette.
A mon tour :
– Merci!
Le gendarme :
– Il n’y a pas de quoi, si je te l’ai offerte, c’est par bonté d’âme, voilà c’est tout. Et tu m’as l’air sympa. Moi, mon nom c’est, Antoine, exerçant dans le corps… et après 5 ans dans les services de…
Il ne m’avait pas l’air si brutal, plutôt romantique et sa barbe lui donnait de l’éclat et rien qu’à voir ses dents blanches, en réalité, un beau bear vêtu de bleu et aux yeux verts qui sympathisa avec moi. Je me présentai et en quelques paroles.
– Moi, c’est Laurent De la…. Très timide, célibataire et je travaille pour la Mairie de ….
Ce gendarme barbu se proposa de faire une petite route après discussion et j’eus l’accord pour vider encore l’urine après surprise mais je pensai qu’il était attiré par mon pénis car moi-aussi, j’aime les hommes bears mais lui, le sut après.
Au fur et à mesure que nous marchions, nous rencontriâmes des végétaux et des animaux, tels que les cervidés et autres et m’expliqua qu’il pratiquait la chasse les week-end. Je demeurai un homme original, il avait bien l’air sympathique et je lui racontait mes relations avec les hommes, et lui me raconta ensuite ses aventures masquées avec des mecs au plumard et me dit que le sergent en avait marre des midinettes et m’expliqua que lui et ses collègues ou amis, se retrouvèrent les soirs, soit sous les douches soit au plumard. Nos yeux se croisèrent d’un sourire et me fit signe de m’assoir tout en me demandant de baisser mon pantalon et slip et le reste comme mes chaussettes et chaussures et les capotes étaient enfilées afin de passer à l’acte.
– Antoine, tu es merveilleux avec ta barbe : lèche-moi partout et suce-moi bien avec ta barbe sans limites pour me faire jouir de plaisir.
Le gendarme commença avec sa langue à la passer autour de mon pénis qui grossit, je perdis le souffle et je sentis des chatouilles tant il pratiquait bien la fellation. Il avait bien des expériences, cela se remarquait. Puis, il ôta sa chemise et je vis des poils sur le bide et son pénis, gros comme un cigare, était bien entouré de poils, et j’étais à l’aise puisqu’il se régala et ne cessait de me lécher rapidement, couilles et verge en même temps.
Ainsi, me mettant bien en confiance, me proposa lui-aussi de lui lécher ce monstre enroulé de poils et pas comme les autres car sa verge était longue. Rien qu’en le léchant, je vis apparaître un jus mais enleva immédiatement sa chose pour cracher fortement.
Enfin, il me dit :
– Jeune homme, tu suces bien et je voudrais te revoir, pour ce qui est de l’amende, c’est arrangé, plus besoin de payer en venant ici.
Pour conclure, je lui dis :
Antoine, comme tu es bon et gentil, je penserai à toi, nous conviendrons d’un rendez-vous et les suces seront à volonté. Seulement fais attention à ta bite, et méfie-toi des animaux qui peuvent la …..
Antoine me répondit que sa verge était rien que pour moi, c’est donc agréable de rencontrer un bidasse qui dévore bien!
Par Alligatin. Histoire inventée, toutes personnes et espèces végétales ne sont pas mentionnées, ce qui serait fortuit au cas où des situations seraient authentiques.
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