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Un trio infernal

Un trio infernal



J’avais pris l’habitude de sortir avec ces deux filles. Je travaillais avec Choé et Sandrine était son amie. Elles étaient vraiment sympa et marrantes et on s’amusait bien quand on sortait. Samedi dernier, nous sommes allés au restaurant et avec l’apéro, nous avons vidé plusieurs bouteilles si bien que quand des deux gars nous ont abordés, nous étions prêtes à les suivre.
On n’avait pas l’habitude de suivre des inconnus mais ceux-là était plutôt pas mal. Ils nous ont proposé d’aller continuer la soirée dans une boîte et en chemin, nous avons rencontré un autre de leurs amis et nous nous sommes dit en riant que trois hommes et trois femmes, c’est l’idéal.
Seulement, au lieu d’aller en boîte, nous sommes allés chez l’un d’eux et on a continué à boire et nous avons commencé à nous bécoter.
Pourquoi me demandaient-ils de rouler une pelle à Chloé ? Savaient-ils que j’avais eu une aventure avec une fille de ma classe quand j’étais au lycée ? C’était la première fois qu’on baisait et on prenait notre pied mais ça c’était mal terminé parce que sa mère nous a surprise en train de faire un soixante-neuf et elle nous avait mis une baffe à toutes les deux avant de me chasser en m’interdisant de revoir sa fille. Ça m’avait calmée de faire la gouine.
J’ai hésité un moment et Chloé aussi mais les autres nous encourageaient à nous rouler une pelle et nous avons fini par céder. A peine avait-elle posé ses lèvres sur les miennes que mon corps s’est réveillé. Il fallait que je baise avec elle. Il le fallait vraiment mais sans le savoir, les autres me facilitaient les choses. Ils nous ont dit de nous gouiner et Chloé s’est lâchée. Pendant que mes doigts partaient à l’assaut de sa vulve, les siens partaient à l’assaut de la mienne.
Je crois que c’est Sandrine qui nous a déshabillées puis elle s’est jointe à nous et nous avons baisé toutes les trois. Je crois que c’est des applaudissements dont je me souviens. Les trois mecs nous applaudissaient et nous nous sommes gouinées encore plus, en faisant la ronde, bouche à con. Tout à coup, j’ai hurlé qu’on me mette les doigts dans la chatte et j’ai eu droit à un fist mais je ne sais pas de qui et Chloé et Sandrine ont fini par glisser leurs mains jointes dans mon vagin.
Je n’avais jamais eu autant de plaisir en baisant. Elles me fistaient tout en me tétant les mamelons et je crois me souvenir que je leur ai crié de ne pas arrêter, au contraire, je crois que je leur ai demandé de me fister dans le cul et l’une d’elle a enfoncé ses doigts dans mon anus mais j’étais moins ouverte de ce côté-là.
Qu’auraient dit mes deux amies si je leur avais avoué que j’avais récupéré un cône de travaux et que je m’entraînais dessus et chaque fois que je m’empalais avec, je m’ouvrais un peu plus. Quand j’ai raconté ça des années plus tard, à mon psychiatre, il m’a dit que c’était un désir d’enfant, tout du moins d’accouchement.
– Ah, oui ! Enfonce-la, a alors gémi Chloé !
J’avais du mal à voir et j’ai vu que Christophe la prenait par derrière puis Simon a pris Sandrine et moi, peu à peu, je suis restée avec personne puis Robert m’a prise d’assaut, directement dans l’anus et il m’a traitée de pute. Je pouvais voir les deux couples, à côté du nôtre. Les deux mâles baisaient mes amies régulièrement, comme des machines. C’était l’impression que ça me donnait et tout à coup, j’ai eu une bite dans la bouche. Une bite dans l’anus et une dans la bouche mais Christophe s’est glissé sous moi et il m’a prise dans la chatte.
– Tu es vraiment une belle pute, m’a crié Chloé ou bien c’est Sandrine qui m’a crié ça !
Elles me caressaient les seins et elles les soulevaient en les écrasant sur mon torse. C’était vraiment agréable mais je ne pouvais pas leur dire. Après ça, les types nous ont fait mettre en levrette, en triangle et ils nous ont prises. J’avais un peu dessaoulé et je pouvais presque tout voir car j’étais presque face à face avec mes amies. On pouvait s’embrasser et se rouler des pelles pendant que les garçons nous baisaient.
Ils nous prenaient dans la chatte cette fois-ci mais tout à coup, Chloé a hurlé que son partenaire l’encule. Elle a fait une grimace. Je lui ai dit que ça, c’est une preuve d’amour et maintenant, c’était le tour de Sandrine qui s’est mise à hurler qu’elle ne fait pas ça.
-Je t’encule, tu es ma putain, lui a répondu Simon !
Je voyais bien qu’elle avait mal. Elle n’arrêtait pas de se torturer les seins et de se tortiller les mamelons. Robert s’est remis dans mon anus mais après un petit moment, il a dit qu’il y était déjà venu et il a changé de place avec Christophe qui a pris le relais. Ils ont encore ajouté que nous sommes leurs putes et qu’ils vont nous mettre sur le trottoir puis ils ont encore changé de partenaire. Chaque tournée ne leur prenait que deux minutes avant qu’ils ne changent de trou et de femme. Après ils nous ont attachées toutes les trois ensemble comme pour faire un rôti puis ils ont joui sur nous et après ça, ils ont étalé leur foutre sur nous et nous avons eu l’impression qu’ils nous avaient abandonnées sur le lit, dans cette chambre. La seule chose qu’on pouvait faire, c’était tourner la tête de cent vingt degrés pour rouler une pelle.
Quand les trois garçons sont revenus, ils nous ont cousu la vulve. Ça piquait un peu cette aiguille qui traversait nos petites lèvres mais le fil, non et ça m’a paru naturelle d’être cousue ainsi. Au moins, ai-je pensé, ça m’empêchera de faire des bêtises mais une fois cousues toutes les trois, ils ont coupé le fil et j’ai eu droit à un fist des grosses mains de Christophe. Je lui ai crié de pousser mais il n’a pas pu entrer et il m’a laissée là et il a essayé avec mes amies sans plus de succès puis on les a entendus se concerter. Ils se demandaient avec quoi ils pouvaient nous baiser. C’est Simon qui a pensé au rouleau à pâtisserie.
Le rouleau à pâtisserie. Je n’y avais jamais pensé et il l’a enfoncé dans mon vagin sans problème mais ça n’a duré que trois allers et retour, el temps de le lubrifier et il me l’a enfoncé dans l’anus. Mes amies me tenaient les mains puis elles m’ont sucé les doigts.
– Moi aussi, a demandé Chloé à Simon !
Il a hésité un instant puis il m’a retiré le rouleau de l’anus et il l’a lubrifié dans la chatte de Chloé avant de lui enfoncer dans l’anus.
– Je suis ta pute, lui a-t-elle lancé ! C’est pour ça que tu me punis !
Elle était allongée sur le dos, jambes relevées et je pouvais voir le bout de bois entrer et sortir de son anus.
– Punis-moi ! Je suis méchante, a insisté Chloé !
– Punis-moi aussi, lui a crié Sandrine qui venait de prendre la même position à côté de son amie et le rouleau à pâtisserie est passé de l’anus de Chloé dans le vagin de Sandrine avant de finir dans son anus mais je ne m’attendais pas à ce qu’une main se pose sur mon cou et me force à me mettre en levrette.
– Je te baise, m’a dit Robert en même temps qu’il enfonçait sa bite dans ma chatte !
Je ne me serais jamais laissée soumettre autrement. J’étais la vache qu’on avait amenée au taureau. La bite m’envahissait et son flux et son reflux me charmaient. Quand j’ai voulu me toucher la poitrine, il m’a mis une tape sur les fesses et quand j’ai voulu me masturber, il m’en a empêchée en me traitant de pute et quand je lui ai demandé si je peux faire autre chose, il m’a répondu que je n’ai qu’une seule chose à faire, me soumettre.
– Au coin, m’a-t-il ordonné une fois son foutre au fond de mon vagin !
J’ai obéi. J’étais maintenant la méchante petite fille punie.
– On avait dit qu’on baise ces trois putes, a encore crié Robert à ses deux amis !
Maintenant c’était au tour de Chloé et Sandrine de subir la saillie et j’étais fière de les voir tout aussi soumises que moi. Quand Chloé s’est plainte, Christophe lui a crié dessus.
– Silence ! Tu es ma pute !
Sandrine a été plus discrète sous le joug de Simon. Elle s’est prêtée sans se plaindre et le sperme l’a envahie elle aussi puis elles ont rejoint deux autres coins de la pièce.
– Vous ne vous touchez pas, leur a lancé Simon avant que les trois gars ne sortent de la pièce.
– Ça va, leur ai-je demandé au bout d’un moment ?
– Silence, m’a hurlé Simon !

– Allez, maintenant, on boit un coup !
C’était la voix de Christophe. Il portait un plateau et sur le plateau des coupes et une bouteille de champagne. Il l’a posé sur le lit puis il a rempli les coupes avant de nous demander de les rejoindre mais ce n’était pas fini. Il a fallu tremper nos seins dans les coupes puis se les laisser lécher. Les garçons refaisaient le plein des coupes et on a pu boire un coup de champagne.
Après Robert nous a demandé si on risque d’être enceintes et il a ajouté qu’il est prêt à assurer sa responsabilité mais je n’étais pas sûre qu’il sache bien qui il avait saillie.
– Moi, non, lui ai-je répondu ! Ce n’est pas le bon moment !
– Moi non plus, leur a dit Chloé !
– Moi, je ne suis pas vraiment sûre, a fait Sandrine !
Ça n’avait pas beaucoup d’importance parce qu’ils nous ont donné la pilule du lendemain et nous avons fini la nuit empêtrés les uns dans les autres. On était déjà dimanche. Quand je me suis réveillée, mes deux amies dormaient encore mais les trois garçons étaient bien éveillée.
– Vous nous avez traitées de putes, leur ai-je lancé ?
– Ça ne te dirait pas de travailler pour nous, m’a répondu Christophe ? Je t’assure que tu ferais pas mal de fric !
Je lui ai répondu que je ne fais jamais payer et il m’a demandé si mes copines seraient d’accord. J’ai réveillé mes amies et nous avons pris un petit déjeuner puis nous avons traîné tout le reste de la matinée en discutant. A midi, ils nous ont emmenées déjeuner au restaurant. Je n’étais jamais montée dans une aussi belle voiture. Toutes les vitres étaient teintées et on ne voyait rien dedans.
Après le déjeuner, nos amis nous ont emmenés au lac et quand ils nous ont demandé de leur faire des pipes, on l’a fait. Je n’avais jamais sucé trois mecs et mes copines non plus puis nous avons baisé dans la voiture sans se cogner. Vous pouvez imaginer ? Tout comme la nuit précédente, on changeait sans arrêt de partenaire et c’était aussi une fois dans la bouche, une fois dans le vagin et une fois sans l’anus et nous amis nous ont fait tirer au sort qui aurait le sperme dans la bouche, qui dans le vagin et qui dans l’anus.
Une fois de plus, je l’ai pris dans l’anus et je dois avouer que je ne sais pas où l’ont pris mes deux amies. Qui la eu dans l’anus et qui dans la chatte parce que quand je leur ai roulé une pelle, elle s’en étaient déjà roulée une.
Après, en rentrant, j’ai demandé à Christophe s’il met vraiment des filles sur le trottoir. Il s’est mis a rire puis il m’a demandé pourquoi j’en doute. Il a ajouté que ces filles partent de chez elles en sachant très bien ce qu’elles vont faire.
– Pas besoin de les forcer, a-t-il ajouté ! Je les protège et j’en ai six. Simon en a dix et Robert une douzaine ! On pourrait facilement en avoir plus mais c’est quand même du travail ! Il faut aussi leur apprendre ce qu’elles peuvent faire et ce qu’elles ne peuvent pas, a-t-il encore ajouté !
– Et qu’est-ce qu’elles ne peuvent pas faire, lui ai-je encore demandé ?
– Tomber amoureuses, m’a répondu Christophe ! Leur seul amoureux, c’est moi !
– Elles ont le droit de jouir ?
– Et même de se faire mettre en cloque, a ajouté Christophe ! Quand elles sont enceintes, ça rapporte plus que d’habitude ! Quand tu seras enceinte, si tu veux, je te mettrai sur le trottoir, a-t-il ajouté en riant !
Je lui ai répondu que ce n’est pas pour maintenant et il m’a dit qu’on sera pas mal, toutes les trois, avec un gros ventre.
– Et toi, tu auras des nichons d’enfer qui vont te pendre sur le ventre !

Il ne croyait pas si bien dire. Ils nous ont déposées sur la place principale et j’ai fini la journée avec mes deux copines, à discuter de ce qu’on venait de vivre mais elles n’ont jamais voulu croire que ces trois types étaient des souteneurs.
Quelques années plus tard, alors que je vivais avec mon amant, je me suis retrouvée enceinte et il a pris la poudre d’escampette. Chloé m’avait devancée en décidant d’avoir un enfant sans s’encombrer du père. Quant à Sandrine, elle hésitait. Chloé venait d’accoucher de sa fille et j’étais enceinte de sept mois.
– En ce moment, ça serait possible, nous a-t-elle avoué !
Du coup, nous nous sommes démenées pour lui trouver un géniteur et ça a été fait. Un mois plus tard, il n’y avait aucun doute et c’est ça qui nous a décidé d’habiter dans un loft, toutes les trois, avec notre progéniture.
On continue à se taper des mecs en faisant attention mais la plupart du temps, on baise ensemble parce que c’est plus simple et avec un gode ceinture, il n’y a pas de différence, mais un incident a changé notre vie. Alors qu’on promenait notre progéniture dans le bois, nous avons vu une fille calée contre un arbre, les seins à l’air et la main entre les cuisses et elle se masturbait. On lui a demandé ce qu’elle fait là.
– J’aime bien, nous a-t-elle répondu !
– On pourrait te voir, avons-nous insisté !
– J’aime bien qu’on me regarde !
– Tu fais des passes ?
Elle nous a regardées avec mépris et elle a ajouté qu’elle n’a jamais aimé les bites même s’il en faut pour se reproduire.
Du coup nous lui avons proposé de venir habiter avec nous.
– C’est des filles, nous a-t-elle demandé en regardant nos landaus ?

L’affaire était entendue. Le samedi suivant, la fille est arrivée avec son barda. Du sang neuf, ça fait toujours du bien, d’autant plus qu’on n’a rien eu à lui apprendre. Il y a juste un petit détail, c’est qu’elle s’amuse à nous rendre jalouses les unes des autres et qu’elle aime beaucoup le plaisir solitaire mais il suffit d’insister.
FIN

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