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VU SUR LE NET:le club des nymphes (6)

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CHAPITRE 6 (ÉLODIE) : LA SECONDE ÉPREUVE

Cette fois, c’est officiel : nous connaissons la seconde épreuve de l’initiation. Je relis nerveusement le bout de papier que m’a remis Sarah en cours :
« Seconde épreuve : Choisissez un de vos professeurs et baisez avec. Ce dernier devra nous remettre une de vos culottes remplie de son sperme en guise de preuve. Vous deviendrez alors officiellement une nymphe.
Bonne chance. »

C’est bien ce que m’avait dit Camille quand je lui ai tiré les vers du nez. Cette dernière m’a expliqué qu’au début de l’existence du club des nymphes, il n’y avait pas cette épreuve. Ce n’est que quand les véritables activités du club ont été découvertes qu’elle a été ajoutée. La présidente de l’époque, Ellen Martin, s’est vu contrainte de passer un marché avec le directeur de l’école, M. Povin, afin que le club ne disparaisse pas ; et c’est ainsi qu’a été ajoutée cette seconde épreuve. En plus de cela, il a été décidé que toutes les présidentes suivantes devront baiser avec M. Povin une fois par semaine. Finalement, ce pervers en a bien profité et en profitera encore longtemps.

Après une première épreuve des plus excitantes, je m’apprête à réaliser cette seconde épreuve. Hum, je me revois encore vendredi soir à genoux en train de sucer cinq mecs les uns derrière les autres. En plus, avec le premier qui m’a littéralement inondé la gorge, moi qui adore le sperme j’étais comblée ! Sa bite était d’une taille plus que satisfaisante. Je ne l’ai pas reconnu en le suçant ; je me demande qui ça pouvait bien être…
Il faut que je marque le coup pour cette seconde épreuve. Beaucoup me voient déjà comme la prochaine présidente mais c’est le moment de m’en assurer, comme l’avait fait l’année dernière Sarah de Montferrat. Comme elle, c’est le moment de marquer les esprits, de me faire ma légende.

La campagne pour la présidence des nymphes commence bien avant son début officiel. Je n’ai pas de rivale pour le moment mais on ne sait jamais. Hors de question que je laisse quelqu’un d’autre me prendre ce poste.
Dès que je serai présidente, je me débarrasserai de Thomas. Il n’a rien à faire là. Quelle conne, cette Sarah, de s’être entichée de lui et de me l’avoir collé dans les pattes. Avec le coup qu’elle m’a fait avec le plumeau lors de la soirée initiation, j’avais envie de la tuer ! Putain, mais c’est dégueulasse… C’est mon frère, bordel ! Ce fumier me fait déjà assez chier comme ça. Je me demande ce qu’elle peut bien lui trouver.
Profite bien de ton année de favori, petit frère, parce que dès que je serai présidente, tu ne seras plus rien ! C’est pas faute de t’avoir prévenu : « Cette fille n’est pas faites pour toi, frérot. » que je t’ai dit ; mais non, Monsieur n’en fait qu’à sa tête. Tu vas me le payer !

Je n’ai donc pas le choix : il faut que je sois présidente. Mais comment marquer à mon tour les esprits ? Faire comme Sarah l’année dernière et me taper l’ensemble des professeurs masculins ? Je ne vois pas ce que je pourrais faire d’autre. Même si ce n’est pas inédit, je ne vois pas d’autre chose à faire. Merde, ça en fait quand même pas mal ! Et puis, je n’ai jamais fantasmé sur mes profs ; ça me fait quand même un peu chier d’en arriver à une telle extrémité. Mais bon, si je veux éliminer Thomas des favoris, il n’y a pas trente-six mille solutions. C’est toujours mieux que de me taper trois ans de club avec mon frère dans les pattes. Ce salaud me reluque déjà assez comme ça…

Me voilà donc en cours de management de M. Chauvin ; j’attends la fin de l’heure afin de profiter de la pause du midi pour coucher avec lui. Il est le premier prévu sur ma liste. Voilà, il ne reste plus que quelques minutes avant la fin de l’heure. Je suis très nerveuse, je tremble même. C’est étrange ; à part pour ma première fois, je n’ai jamais été aussi nerveuse au moment de passer à l’acte. C’est peut-être que je ne l’ai jamais fait avec un prof.
J’observe le prof sans prêter attention à ce qu’il raconte afin d’essayer de me calmer. Il est grand, plutôt bien bâti. Il n’est pas tout jeune mais a bien vieilli. Sa teinte grisonnante lui donne un charme certain. Allons, ça ne devrait pas être trop désagréable de coucher avec lui.

Ça y est : M. Chauvin indique la fin de l’heure, ce qui me fait bondir le cœur. Les étudiants se précipitent sur leur sac et rangent leurs affaires. Ça se bouscule à la sortie. Moi, pendant ce temps-là, je range lentement mes affaires. J’attends que la salle se vide. Je jette un coup d’œil au prof : il s’est assis à son bureau et m’observe attentivement. A-t-il compris mon manège ? Merde, je tremble encore plus. Allez, il faut que je reprenne. Le dernier élève, l’un des espèces de débiles de potes de mon frère, est à son tour sorti. Je ne suis plus que seule dans la classe avec le prof ; c’est le moment. Et lui qui ne veut pas me lâcher du regard… Soudain, je panique ; je finis de ranger mes affaires et sors d’un coup de la salle. Putain ! Qu’est-ce qu’il m’a pris ? C’était le moment ! Tant pis, ça sera pour une prochaine fois.

La journée se poursuit normalement et je rentre finalement le soir à l’appartement sans avoir rien fait. Thomas n’est pas là. Il doit être sûrement chez Sarah.
Je me jette sur mon lit et réfléchis à ce qu’il s’est passé aujourd’hui, ou plutôt à ce qu’il ne s’est pas passé. Mon téléphone sonne ; le numéro est celui de Frank Ferral, mon parrain. Je ne lui réponds pas, éteins mon portable et le jette plus loin sur le lit. Je sais très bien ce qu’il veut : c’est toujours la même chose, mais je n’ai pas vraiment la tête à ça ce soir.

Après une heure dans la même position et dans le silence absolu, je crois que je viens enfin de cerner le problème : je n’ai pas envie de me taper tout un tas de profs. Mais alors, que faire de mon projet ? J’abandonne le poste de présidente ? Non, ça jamais ; il faut vraiment que je me débarrasse de Thomas. Et puis, de toute façon, je suis la plus indiquée pour ce poste. Il doit bien y avoir une autre solution que se taper tout un tas de profs. Faire la seule chose que Sarah n’a pas osée ? Mais oui, c’est ça la solution ! Elle se les est tous tapés l’année dernière ; tous sauf un : Monsieur Gluau.
Cet homme est immonde ; mais si j’ose, ça m’éviterait de baiser avec tous les autres et ça marquera à coup sûr les esprits ! Et puis, j’aurai ma propre légende.
C’est toute contente de ma nouvelle idée que je décide finalement de rappeler mon parrain.

***

C’est le jour J ; cours de comptabilité avec M. Gluau juste avant la pause du midi. Je me sens prête, ce coup-ci. Encore nerveuse mais prête quand même. J’observe le prof ; sa laideur aujourd’hui s’est surpassée. Long cheveux gris et gras couplés à une calvitie sur le sommet du crâne, yeux cadavériques, nez crochu, lèvres gonflées, double menton, bras et jambes flageolants et bide énorme. Non vraiment, il n’a rien pour lui. Je n’arrive pas encore à croire que je vais me taper ce mec. Mais je n’ai plus le choix maintenant : ça fait déjà plus d’une semaine que j’ai reçu l’énoncé de la seconde épreuve, et je suis la dernière des cinq filles à ne pas encore l’avoir réalisée.
Le prof indique finalement la fin de l’heure et je recommence mon manège comme la dernière fois. Je suis encore nerveuse, mais bien plus décidée.

— Bon alors, tu te grouilles de te casser de ma classe ! m’ordonne-t-il alors que je ne suis plus que la dernière.
— Attendez, Monsieur Gluau, pourrais-je vous parler ?
— Quoi ? Bon, OK, mais tu te magnes le cul.
— Je suppose que vous êtes au courant de l’existence du club des nymphes, dis-je en m’approchant de lui.
— Quoi ? Quel club ? Ah oui, fait-il en réalisant de quoi je parle. Ce club de petites salopes !
— Oui, c’est ça Monsieur. Et je suppose que vous êtes aussi au courant de nos épreuves pour intégrer le club, notamment notre seconde épreuve.
— Un peu que j’suis au courant ! Les collègues attendent toujours ça avec impatience en début d’année, mais personne n’est jamais venu pour l’père Gluau.
— Jusqu’à aujourd’hui, Monsieur, fais-je en déboutonnant lentement ma chemise.
— Je n’sais pas si t’as perdu un pari ou non, ou si c’est vos manigances entre filles qui t’amènent à moi ; mais si c’est d’la bite que tu veux, ma p’tite salope, tu vas en bouffer ! lâche-t-il avec un sourire dégoûtant.

Bizarrement, il n’a plus l’air si pressé de me voir partir. Ma chemise atterrit au sol, me laissant en soutien-gorge et mini-jupe. Je détache mon soutien-gorge qui rejoint ainsi ma chemise. M. Gluau me regarde faire en se frottant l’entrejambe. Il s’approche vers moi et commence à me palper les seins. Alors que je m’attendais à ce qu’il me les écrase maladroitement, il s’y prend plutôt pas mal. Ça serait presque agréable si l’odeur de sa sueur ne me piquait pas autant le nez.

— Allez, à genoux, sale petite pute ! m’ordonne-t-il après m’avoir pincé un téton.

Je m’exécute et lui palpe l’entrejambe. La bosse a l’air d’être assez impressionnante. Je libère la chose et découvre un monstre d’une taille assez saisissante. Oh, mon Dieu, mais il n’y a pas que le bide que cet homme a d’énorme !
Un mélange d’odeur d’urine et de transpiration m’envahit le nez, et c’est presque avec dégoût que je lui gobe le gland.

— Ouais, vas-y pouffiasse, m’encourage-t-il. Bouffe-moi la bite.

Je lèche sa bite du mieux que je peux. Je n’ai pas l’habitude d’en avoir d’aussi grosses dans la bouche. Le goût est à l’image de son odeur : pas agréable du tout. Finalement, je finis par m’y habituer et presque apprécier. Je me sens sale et ça m’excite.
J’engloutis son membre visqueux le plus possible et le pompe avec le plus grand savoir-faire. Ma tête rebondit à chaque va-et-vient sur son ventre tombant. Le prof apprécie. Il me traite de tous les noms et m’encourage à lui avaler encore plus la bite. J’essaie de lui obéir et enfonce son mandrin le plus loin possible dans ma gorge tout en lui massant ses grosses couilles velues et pendantes. Je finis par me surpasser ; il me dit qu’il est fier de moi. Moi aussi je suis fière de moi ! Je n’avais jamais pris un si gros membre dans la bouche. Je suis de plus en plus excitée par la situation. Je me suis donnée à un prof dégueulasse, et pourtant je sens ma chatte dégouliner. Je bave abondamment, ça coule sur mes seins.

Soudain, sans prévenir, M. Gluau explose dans ma bouche. Il libère une quantité incroyable de sperme. Si le premier des cinq gars que j’ai sucé lors de la première épreuve m’avait déjà étonnée, ce n’était rien par rapport à ça. Il y en a tellement que je suis prise de nausées en tentant de l’avaler ; je tousse et en recrache une bonne partie sur mes seins.

— Eh ben, on dirait qu’t’as fait ça toute ta vie…

Je lui souris ; il me dit de m’allonger sur le bureau et d’écarter les cuisses. J’enlève ma culotte, remonte ma jupe et lui obéis. Je me sers aussi de ma culotte pour récolter le mélange de sperme et de bave étalé sur mes seins. Je viens ainsi de récolter la preuve de ma réussite de l’épreuve.
Il s’installe dans son siège et m’observe la chatte. Un de ses gros doigts s’enfonce dedans.

— Et ben, ma salope, on dirait que ça t’a bien plu de m’pomper. T’es trempée ! Tu vas voir, je vais te bouffer la chatte.

Je sens alors ses épaisses lèvres plonger sur ma vulve. Une grosse langue baveuse s’insinue et commence à me laper l’intérieur. Il me fouille ainsi la chatte. Sa langue plonge profondément. Elle est bientôt rejointe par deux doigts boudinés. Il n’oublie pas de s’occuper aussi de mon clitoris. Quant à moi, je ne peux m’empêcher de gémir de plus en plus fort. J’ignorais qu’il pouvait être si doué. C’est un vrai bonheur. Il est laid, affreusement laid même, mais il sait comment lécher une femme.
Soudain, il me soulève les cuisses et sa langue commence à me lécher la rosette. Je la sens rapidement pénétrer mon cul.

— Non, pas par là, protesté-je.
— Ta gueule, sale pute ! C’est pas tous les jours qu’une salope vient s’occuper du père Gluau, alors laisse-moi en profiter.

Je n’ose pas protester plus. Cet homme me domine complètement. Alors il continue ainsi de longues minutes ; d’une main il me maintient les jambes en l’air, de l’autre il me fouille alternativement la chatte et le cul. Sa langue fait de même et se régale de mes deux orifices. Je commence à apprécier de la sentir fouiller mon cul, si bien qu’un orgasme foudroyant finit par m’atteindre.

J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle qu’il s’est levé et qu’il me pénètre la chatte. Il s’engouffre facilement et commence un violent va-et-vient qui me fait bruyamment gémir. Il me malmène, me traite de tous les noms mais j’aime ça. J’aime qu’il me parle ainsi pendant que sa monstrueuse bite me défonce la chatte. Pendant ce temps-là, il a replongé trois de ses doigts boudinés à l’intérieur de mon cul et me sodomise avec.
Il me retourne, m’écrase la poitrine sur le bureau et continue son manège avec une sauvagerie sans égale. Je suis sa chose, je lui suis complètement soumise et je ne retiens pas ma joie. Et dire que je pensais avoir besoin de simuler le plaisir avec lui ; si j’avais su… J’aime me faire défoncer par ce type !

Puis finalement, après une éprouvante série de violents coups de reins, je jouis une seconde fois. Lui fait de même et lâche la purée dans ma chatte.
Je finis par descendre du bureau, m’essuie le sperme qui coule le long de mes jambes avec la culotte et la lui tends.

— Il faudra que vous remettiez ça à Sarah de Montferrat.
— Compte sur moi.

Puis je me rhabille dans le silence, prends mon sac et me dirige vers la sortie. Il est bientôt l’heure de la reprise des cours. On a donc baisé presque une heure. Je n’ai rien vu passer !

— On devrait te couronner reine des salopes, me lâche-t-il alors que je m’apprête à franchir la porte.

Je souris, me retourne et lui réponds :

— Non, pas reine : présidente m’ira très bien !

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