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Alice au pays de la soumission, chapitre 5

Alice au pays de la soumission, chapitre 5



Au petit jour, Alice prépare le déjeuner du Maître, l’emporte à quatre pattes sur son dos. Près du lit, prenant mille précautions, elle grimpe sans faire tomber ce plateau. Soulevant le drap, elle découvre l’érection de son Maître et suce ce membre délicatement. Paul s’extasie devant l’adresse d’Alice. Par précaution, il retire le plateau du dos d’Alice qui peut maintenant se donner à fond sur ce pénis fièrement dressé. Avant de jouir, il la couche sur le ventre et la possède ainsi. Alice est une bombe prête à exploser de plaisir dès que son Maître la baise. Paul peut le constater, Alice jouit très vite. Paul continue à lui ramoner sa chatte en chaleur. Peu après, Alice repart et de plus belle manière encore. Il ordonne alors de se fesser elle-même et Alice se fesse sur le champ, aussi fort qu’elle peut. Paul ne tarde plus à jouir dans ce sexe détrempé de cyprine. Alice lui emboite le pas en poussant un long râle de bonheur.

Sous la douche, Alice lave son Maître de sa seule bouche, léchant bien partout, des pieds à la tête de Paul. Elle se met aussi à la disposition du Maître pour lui servir d’urinoir sans ne perdre une goutte de ce liquide précieux à ses yeux. Enfin, Paul lui jette son sac, Alice en sort une robe et l’enfile sans ne rien mettre d’autre. Lui, il lui met un collier et la regarde longuement avant de le fermer.

– Tu ne pourras plus le retirer sans le couper, tu le sais, ça !

– Je le sais, Monsieur, il me tarde que vous le fermiez définitivement à mon cou.

Un clic et voilà le collier définitivement fermé au cou d’Alice. À genou, elle enfile les chaussettes de son Maître, son boxer, son pantalon, sa chemise et ajuste le nœud de la cravate. Elle enfile ses chaussures, s’agenouille près de la porte d’entrée. Il la fait se pencher en avant avec ordre d’écarter ses fesses. Dans l’anus, il place un œuf vibrant. De sa télécommande, il peut contrôler le dit œuf. Dans la voiture, Alice n’est pas autorisée à monter dans l’habitacle, mais doit s’installer dans la cage de Mickey, dans le coffre. Sur les yeux d’Alice, Paul met un bandeau et ajoute un bâillon sur la bouche. Au volant, Paul roule comme à son habitude. Derrière, dans la cage, Alice fait ce qu’elle peut pour ne pas trop se cogner dans les virages.

En chemin, à un stop, Alice se rend compte, sans le voir, que tous les autres usagers de la route peuvent la dévorer du regard. La gêne la gagne, Alice se sent terriblement humiliée d’être ainsi exhibée, Paul prend même un malin plaisir à faire le détour par le centre-ville, roulant lentement, s’arrêtant dès qu’un feu passe à l’orange, prenant même son temps pour repartir. Pour Paul, ce n’est qu’une leçon de plus pour Alice. Enfin, Alice n’entend plus le bruit de la ville. Le crissement des pneus lui fait penser qu’ils sont dans un garage souterrain. La voiture manœuvre et s’arrête, le moteur ne tourne plus. la porte du coffre d’ouvre.

– Voilà, ma belle. maintenant, je vais te menotter tes mimines dans le dos. tu vas devoir traverser tout le centre commercial avant d’arriver chez mon copain le tatoueur. Il se peut, suivant le monde qu’il y aura, que je t’ordonne de te masturber en public. Cela étant, si tu refuses, tu passeras toute la nuit sur l’âne espagnol, pieds et poings liés et tes seins alourdis.

Alice sent ce frisson de peur qui envahit son corps. Elle n’a jamais été exhibée avant et encore moins en laisse et menottée. Paul la guide, elle peut déjà entendre les annonces publicitaires et la musique dans le centre. Très vite, c’est le bruit de la foule qui se pressent dans les différentes boutiques. Paul prend son temps. Alice ne voit pas comment elle est vue par les clients du centre. Pour le moment, s’il fait quelque détour, il se dirige néanmoins vers la boutique de son ami de toujours.

– Salut mon grand, comment ?

– Bien, très bien. Je vois que tu m’amène du travail. Mignonne cette petite, une cliente ?

– Elle ? non, c’est ma salope très particulière. Tu vas vite comprendre.

Paule retire les menottes des poignets d’Alice. Sans attendre, elle s’agenouille près de son Maître.

– Elle, je la garde pour moi et nos soirées. C’est de loin la meilleure soumise que j’ai connu.

– Et t’en as vu des tonnes.

– Et comment. Bon, les seins, le clito et la cloison nasale. Sur son pubis, ma marque tatouée, sur sa fesse gauche, toujours ma marque, mais au fer rouge.

– Tu ne crains pas qu’elle refuse ?

– Avec elle, non, elle me la souvent prouvé ces dernières semaines.

– Ok, on passe derrière.

Alice se lève quand Paul secoue la laisse. Elle suit son Maître, la peur au ventre. Les mots fer rouge la font frémir d’angoisse, elle s’attend même à hurler de douleur.

– Il te faut te mettre à poil, ma petite salope.

Paul, usant d’un ton de voix très doux, parvient à apaiser les craintes d’Alice. Sans lui retirer son bandeau, Paul la fait monter sur une chaise de gynécologue. Il sangle les chevilles, les poignets et le ventre d’Alice enfin, il lui retire le bandeau.

– Karl est de loin le meilleur que je connaisse. Je lui fais une confiance absolue et nombre de mes clients n’ont pas eu à se plaindre de ses services. Seulement, je ne veux pas qu’il t’endorme là où je veux que tu sois annelée. Il va le faire à vif et c’est particulièrement douloureux. Karl, elle est à toi. Je t’autorise même à en abuser si l’envie te prend, mon salaud.

– Je vais me gêner, tiens. Donc, à vif. T’as bien fait de lui laisser son bâillon.

Sur ses mamelons, Karl gicle un désinfectant puissant. Même l’odeur du produit est puissante. Puis, il se saisit d’une pince stérile, presse le mamelon de gauche. Une fois en place, il marque l’endroit d’un petit feutre spécial.

– Tu es prête à prouver que tu aimes ton Maître ?…C’est bien. Un conseil, quand je te dirai je perce, retiens ton souffle et serre les dents. Oui, exactement comme ça. Alors on y va, je perce.

Alice sent l’aiguille traverser lentement son mamelon. Elle a écouté le conseil, cela diminue la douleur d’autant. Pour le droite, elle s’y prend trop tard et la douleur et mille fois plus vive. Pourtant, elle ne pousse aucun gémissement qui ne soit audible. Paul ne cesse d’être en admiration devant sa soumise qui le fixe désormais. Les seins annelés d’un piercing provisoire, Karl s’attache à la cloison nasale.

– Tu sais, Paul, à ta place, je lui raserai le crâne complètement. Avec cette petite robe, les menottes et le reste, cela la rendrait encore plus soumise.

– Pas con, mais seulement quand tu auras terminé. Je vais vite faire une course. Si tu pouvais m’enregistrer la suite. Oh, pour la marque sur sa fesse gauche, attends mon retour.

– Ça marche vieux frère. Ok, nous voilà seul, toi et moi. Je vais retirer ce bâillon. Après quoi, tu me raconte tout de ta rencontre avec Paul et pourquoi tu veux devenir sa chose, c’est clair ?

– Oui Monsieur Karl. Tout à commencer quand, dans une soirée, il y a bientôt trois ans, je l’ai rencontré en me cognant contre lui. puis…

Alice ne cache rien à Karl, elle lui dit tout et en forçant même sur les moindres petits détails. Pendant ce temps, Paul fait quelques achats, réserve une séance d’épilation totale dans la boutique esthétique tenue par une soumise de ses clientes. Là, il insiste bien pour qu’Alice soit épilée de manière définitive, de la tête aux pieds. Il ne lui laisse que les cils et sourcils et encore, en les taillants comme il le désire. La patronne de la boutique connait bien les gouts de son dominants, elle n’aura aucune peine avec Alice. Dans la boutique Karl écoute avec une attention soutenue le récit d’Alice, il en profite même pour lui percer le nez et le clitoris. Alors qu’il commence le tatouage, Alice en termine avec sa vie. Paul revient à la boutique, Karl s’excuse d’avoir oublié de mettre sa caméra en fonction. Cependant, il lui fait part de son long entretien Alice.

– Oh, cette petite, je crois bien qu’elle est très amoureuse de toi. quand elle parle de son Maître, c’est comme si elle parlait de Dieu.

– T’inquiète, si elle m’aime, c’est aussi valable dans le sens inverse.

– Oh, là, tu m’inquiète mon petit Paul.

– Non, pas de souci, je vais continuer comme avant, sauf qu’Alice sera intégrée dans mes séances. Pour les femmes cela ne va pas poser de problème, mais c’est pour les mecs que ça risque de coincer. Ils me croient tout pédé comme un phoque. Ils vont tomber de haut quand Alice leur mettra son pied là où je pense.

– Oh-oh, je vois ça d’ici. Bien, il te faudra revenir pour que je termine le pubis.

– Il ne te reste que sa fesse ?

– Et oui. Pour le pubis, il ne reste que la couleur.

– Surtout pas, c’est une esclave, ma salope ok, mais une esclave, pas de fioriture.

– Bon, comme tu veux. Je fais chauffer le fer. Tu le veux bien rouge ou juste un peu ?

– Disons que cela guérisse en deux ou trois semaines.

– Donc un peu rouge, ça roule ma poule.

Dans le cabinet, Paul profite de la position jambe écartée d’Alice pour la baiser sauvagement. Karl revient pendant que le fer chauffe. Il place son sexe devant la bouche d’Alice qui ne fait pas de manière, elle le suce avec avidité.

– Tu vois, cette petite est prête à tout pour me faire plaisir. C’est la première fois qu’elle se retrouve entre deux hommes. Je compte bien lui faire découvrir nos longs weekends.

– Je te reconnais bien là. En plus, elle suce comme une déesse.

– Si tu as envie de soulager ta vessie, Alice se fera un plaisir de te boire.

– Oh, c’est assez rare pour ne pas en profiter. Mais après le marquage.

Karl se retire, Alice regrette déjà. Quand il revient, c’est pour dire qu’il faut mettre Alice à quatre pattes sur la table et bien la sangler pour qu’elle ne bouge pas. Avec l’aide de Karl et la docilité d’Alice, Paul n’a aucun mal à mettre sa soumise en position et bien l’attacher.

– Ma chérie, il est encore temps de refuser le fer rouge.

– Maître Paul, je suis prête !

– Mon cher Paul, voilà qui est envoyé !

Karl revient avec le fer, il rougeoie légèrement quand Alice découvre ce fer. Paul désinfecte la fesse gauche, Alice se crispe, Paul tente de la détendre et le fer vient se coller à la peau d’Alice. Elle ne hurle pas, serrant les dents, c’est un long cri étouffé que les deux hommes peuvent entendre. Le fer est vite retiré. Paul et Karl contrôlent la fesse.

– J’attends un moment avant de mettre un pansement. Alice, la preuve d’endurance que tu viens de nous offrir est digne de ta soumission. Je ne peux pas en dire autant des autres esclaves de Paul, ses payants. S’il y avait une comparaison à faire, je dirais que tu es la crème de la crème et eux, des larves toujours bon à payer pour embrasser tes pieds. Reste encore comme ça un moment. Je viens panser cette marque.

Karl étale une crème qui calme immédiatement la douleur. Paul essuie les larmes de sa petite salope. Il l’en profite pour l’embrasser et faire l’éloge de sa soumission. Sur sa fesse, Alice sent que Karl panse sa chair. Il se montre excessivement doux avec elle. Une fois le travail terminé, on délivre Alice de la table. Devant Karl, elle s’agenouille, sort son pénis et le suce. Karl, pourtant habitué, voit cette jeune femme avec une certaine jalousie envers son ami Paul.

– Paul, il m’en faut une comme ton Alice. J’en crève d’envie depuis qu’elle m’a tout dit de vous deux.

– Ok, je vais voir ça. Viens dans la semaine, Alice doit tout quitter pour venir crécher chez moi.

– Ok. Je t’apporterai ma petite note.

– Pas de souci. aussi, tu pourras vérifier qu’aucune infection ne se propage sur Alice.

– C’est clair. Bon, ce n’est pas que je ne…Oh punaise, je vais juter mon salaud.

Paul est tout sourire en voyant son copain jouir dans la bouche et sur le visage d’Alice.

– Monsieur Karl est-il satisfait de la salope de Monsieur Paul ?

– Plus que jamais. Je n’ai qu’une hâte, c’est de te revoir au plus vite.

– Merci Monsieur Karl, votre compliment touche la pute que je suis.

Paul salue son ami, Alice baise les pieds de Karl, direction l’esthéticienne pour la tonte totale. Alice, une fois de plus, se sent visée par tous les regards qui se tournent dans sa direction. Paul tire sur la laisse.

– Ça va ta fesse, tu n’as pas trop mal ?

– Que mon Maître se rassure, je vais bien. Il me faudra remercier Monsieur Karl comme il se doit.

– Effectivement, quand il passera chez moi. voilà, on y est. Quand tu en ressortiras, tu n’auras plus aucun poil sur le corps comme sur ton crâne. Cela fera de toi définitivement mon esclave.

– Voilà qui a l’art de plaire à votre salope, Monsieur Paul.

Dans la boutique, la patronne ferme la porte à double tour et pose une affichette qui avertit les éventuels clients que la boutique est fermée pour cause exceptionnelle. Une fois la chose faite, la patronne soumise retire sa blouse et nue, entraine Alice derrière, dans l’un des petits salons.

– Monsieur Paul a exigé que je vous retire tous vos poils de manière définitive.

– Êtes-vous aussi sa soumise ?

– Une cliente, tout au plus. couche-toi sur cette…ok, le fer rouge. Bon, je vais devoir procéder autrement. Mets-toi sur le ventre alors et mets tes bras bien en avant.

– Dis, la chienne, si tu te loupe, qu’un seul poil repousse, c’est l’âne espagnol pour une nuit.

– Bien Maître. Voulez-vous prendre place pour me regarder faire ? Une boisson vous serait agréable ?

– Un double de ton merveilleux 36 ans d’âge sans rien.

P.S. Je n’écris pas aussi vite avec mes doigts que mon cerveau tordu ne me dicte, la suite prendra un peu de temps, celui de la correction, à plus pour la suite

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