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Alice et les hommes mûrs – partie 2

Alice et les hommes mûrs – partie 2



Dès le lendemain, Alice et moi avons reparlé de cette envie commune qui consistait à ce que je l’offre à un homme mûr. Nous avons évoqué des tas de possibilités, des paquets d’occasions à provoquer, et même une petite liste de personnes de ma connaissance, qui, selon moi, n’auraient probablement vu aucun inconvénient à passer un moment avec une fille de 21 ans.
Mais, au terme d’une longue réflexion, nous avons décidé que le premier veinard serait un inconnu. Et là encore, nous avons passé en revue une foule de façons de s’y prendre. Au final, il restait deux possibilités et nous avons tiré au sort. Ce fut celle-ci qui l’emporta : nous allions cueillir notre veinard dans un bar.
Pas plus tard que le soir-même.

Celui que nous avons choisi se trouvait près de la gare, et je savais qu’on n’aurait aucune peine à y trouver une proie. L’endroit fermait ses portes assez tard et on pouvait y croiser autant des épaves que des solitaires, ainsi que des voyageurs, et une poignée de femmes avinées. Je m’y étais rendu quelques fois, à l’occasion de marches nocturnes dans la ville. J’y avais bu un verre et j’étais reparti. Le souvenir global que je gardais du lieu était une cohue agitée et un brouhaha masqué par des musiques populaires.
Nous y sommes entrés peu après 21 heures. A vue d’œil, il y avait une trentaine de personnes. Une écrasante majorité d’hommes. Nous sommes parvenus à dénicher deux tabourets au comptoir et on a commandé deux pressions.
Alice avait soigneusement étudié sa tenue vestimentaire. En haut, elle portait un petit chemisier blanc, légèrement décolleté. Une jupe assez courte et souple, rouge vif, des bas couleur chair, très sobres, et des nu-pieds à talons noirs. Dessous, je savais qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. En revanche, sa culotte était rouge, moins vif que sa jupe, et transparente.

Naturellement, tous les regards s’étaient tournés vers nous à notre arrivée. Certains s’étaient vite détournés, mais d’autres avaient persisté assez longtemps à suivre des yeux cette jeune demoiselle en tenue légère, surtout lorsqu’elle s’était hissée sur son tabouret.
Notre plan était simple : nous allions laisser venir notre proie à nous.
Alice était l’appât.
Et la proie ne tarda pas longtemps. Il s’agissait d’un homme qui devait avoir une cinquantaine d’années, à peine. A l’évidence, il avait déjà bu un peu, ce qui ne l’empêcha pas d’être courtois et poli. Il se trouvait non loin de nous, au comptoir, quand je me suis absenté pour aller aux toilettes. A mon retour, il discutait avec Alice.
Elle me présenta comme étant son responsable de stage, ce qui en soi n’était pas vraiment un mensonge, puisque c’était à cette occasion que j’avais rencontré Alice.
L’homme s’appelait Marc. Il vivait non loin de là et il était divorcé. Il travaillait dans un bureau de la SNCF et venait parfois ici pour boire un verre et tuer le temps.
Nous avions établi un code avec Alice : si l’homme lui convenait, elle me ferait un appel du pied. Dans le cas inverse, elle ferait en sorte qu’il s’en aille. Mais c’est le premier cas qui se présenta. Au bout d’une dizaine de minutes, je reçus un petit coup de chaussure au niveau de la cheville.
On tenait notre proie.
J’en étais à peu près sûr, car l’homme dévorait Alice des yeux. Restait à voir si ce qu’on avait prévu de faire le tenterait ou pas. Ce n’était pas encore gagné.

Nous avons brassé quelques banalités encore, puis Alice profita du fait que Marc propose de remettre une tournée pour dire :
« Je suis déjà bien pompette… »
L’homme insista et elle ajouta :
« Je ne sais plus trop ce que je fais quand j’ai bu. »
Il insista encore et elle finit par céder.
« Ça me fait plaisir ! s’exclama Marc. »
Je suis intervenu en disant :
« Vous ne direz pas la même chose lorsqu’il faudra m’aider à la ramener chez moi. »
Marc m’a regardé :
« Ah, elle dort chez vous ? »
Sa déception était palpable, mais je l’ai atténuée en répondant :
« Je l’héberge pour le week-end. J’ai un grand appartement. »
Il s’est tourné vers Alice en disant :
« Eh bien, je vous aiderai volontiers à la ramener. »
Trois verres ont atterri sous nos yeux et nous avons trinqué.

Ensuite, Alice a commencé son jeu gestuel. Elle a décroisé puis recroisé les cuisses sur le tabouret, de sorte à ce qu’on s’aperçoive qu’elle portait des bas, et non des collants. L’homme n’en a pas perdu une miette.
L’étape suivante consista à faire sauter un bouton de son chemisier. Elle s’y prit très discrètement. Je ne la vis même pas faire.
J’ignorais jusqu’où elle avait envie d’aller dans le bar. Combien de boutons elle choisirait de défaire encore, pour chauffer Marc, et jusqu’à quel point elle jouerait avec ses cuisses. Quoi qu’il soit, nous n’étions pas les seuls à profiter du spectacle. De temps en temps je relevais des regards dans la salle, posés sur les cuisses d’Alice.

Et je dois avouer qu’elle imitait à la perfection la fille un peu ivre, c’est-à-dire celle qui rigole pour rien du tout et qui se met à prendre des postures un peu négligées. Notre plan fonctionnait à merveille, et j’en ai rajouté une couche en remettant à mon tour une tournée.
Alice a rouspété, cela faisait partie du plan. Elle a décroisé ses cuisses et s’est penchée vers moi en me pointant du doigt et en disant :
« Vous avez vraiment décidé de me faire boire, hein ? Vous l’aurez voulu, car maintenant je ne vais plus pouvoir m’arrêter. »
Le vouvoiement faisait également partie du plan.
J’ai répondu :
« Ce n’est pas grave, puisqu’on sera deux pour te ramener. »
J’ai fait un clin d’œil à Marc, puis il a dit à Alice :
« Oui, et on va être très délicats, tout va bien se passer. »
Lui aussi avait un coup dans l’aile. Il dévorait des syllabes et ses gestes étaient de plus en plus maladroits. Cependant, ses yeux continuaient d’épier les mouvements d’Alice. Ils étaient littéralement scotchés à l’élastique des bas qu’on distinguait nettement, et surtout à la peau des cuisses visible. Sans parler du décolleté qui, selon les positions que prenait Alice, offrait une vue sur la naissance de ses seins, révélant qu’elle n’avait pas soutien-gorge.

Puis un dernier geste a sonné l’heure de s’en aller d’ici. Ce fut le moment où Alice cessa de croiser les cuisses. Après avoir pris une gorgée de bière, elle les laissa un peu entrouvertes au bord de son tabouret, assez pour qu’on voit clairement sa culotte. Marc assista au spectacle, et j’ai laissé s’écouler quelques secondes avant de dire à Alice :
« Je crois qu’il va être temps qu’on te ramène… »
Elle m’a regardé et dit :
« D’accord, mais on prendra un dernier verre chez vous, hein ? »
« Je ne sais pas si c’est bien sérieux, ai-je dit. »
Elle a mis ses mains en prière :
« S’il vous plait, juste une vodka. »
Je me suis tourné vers Marc :
« Je crois qu’il va vraiment me falloir de l’aide… »
Il a souri et répondu :
« On y va quand vous voulez. »

Dans la rue, elle fit semblant de tituber. Dans l’escalier de mon immeuble aussi, puis dans l’entrée et dans le salon, jusqu’à ce qu’elle décide de se poser au milieu du canapé. Là, elle leva les yeux vers nous et dit :
« Asseyez-vous, j’ai la tête qui tourne. »
Marc s’est assis en face d’elle, dans un fauteuil, et je suis allé chercher des verres dans la cuisine. A mon retour, Alice était penchée en avant, elle refaisait la boucle d’un de ses nu-pieds. On voyait ses seins en entier. Ils étaient pointus et leurs auréoles assez larges. Les yeux de Marc ne s’en sont pas décrochés une seconde, tandis que je remplissais les verres d’alcool fort. Car non seulement on voyait ses seins, mais en plus de ça, elle avait rouvert ses cuisses. Sa culotte moulait le volume de ses lèvres lisses, et je me suis mis à bander sévèrement.
Je me suis assis dans un fauteuil voisin de celui de Marc et je n’ai pas attendu pour passer la vitesse supérieure.
J’ai regardé Marc et j’ai dit :
« Elle est craquante, n’est-ce pas ? »
Il s’est tourné vers moi, juste un instant, puis il a pris son verre et il est revenu à Alice qui venait de se redresser.
« Absolument craquante, a-t-il dit. »
J’ai continué :
« Si vous n’étiez pas là, je crois que je me serais laissé tenter. »
« C’est-à-dire ? »
J’ai répondu en observant Alice qui portait son verre à sa bouche en nous jetant des petits regards :
« C’est-à-dire que je me serais amusé avec elle. »
« Je ne voudrais pas déranger, a dit Marc. »
« Vous ne dérangez personne, d’autant qu’on a passé la soirée tous les trois. Autant que vous en profitiez, non ? »
Alice est intervenue :
« Qu’est-ce que vous complotez, tous les deux ? »
J’ai répondu aussitôt :
« On est en train de se dire que tu mérites un gros câlin. »
« Oh oui ! a-t-elle dit. Un très gros câlin. Qui commence ? »
Marc et moi, on s’est regardé, mais Alice s’est levée au même moment, puis elle a fait « plouf-plouf » à haute voix en nous pointant tour à tour du doigt :
« Ce sera toi qui me câlinera en premier… »
Etc.
A ce fut Marc qui l’emporta.

Alice est venue vers lui, puis s’est assise sur ses genoux. Sa jupe était retroussée et ses cuisses écartées. Elle avait pris un air naïf de fille qui a beaucoup bu et à qui on peut faire tout ce qu’on veut. Sa position était insolente et je bandais à mort.
Marc a commencé par poser une main sur une cuisse d’Alice, puis il l’a faite remontée doucement vers la lisière du bas couleur de chair, jusqu’à la peau. Moi, je fixais la culotte transparente et les lèvres lisses dessous.
Puis Alice a posé sa bouche sur celle de Marc. Ils se sont embrassés avec la langue, tandis que je défaisais les boutons de mon pantalon. Mon érection était devenue douloureuse. J’ai libéré ma queue au moment où Alice portait ses doigts aux boutons de son chemisier, pour les défaire un à un, puis elle montra ses seins à Marc qui s’empressa d’en palper un, délicatement.
Je me suis mis à me masturber.

Et je suis bien obligé de préciser ici que moi aussi j’avais un sacré coup dans l’aile. Notre plan avait fonctionné, mais je n’avais plus les idées très claires. Je voyais même un peu flou, mais encore assez clair pour voir Alice se mettre debout à un moment donné, pour enlever son chemisier et dégrafer sa jupe qu’elle envoya voltiger sur le sol.
Entre temps, Marc s’était aperçu que j’avais sorti ma queue, et quand il vit Alice enlever sa culotte devant lui, il sortit la sienne. Mais il eut à peine le temps de se masturber, car Alice l’incita à baisser son pantalon et son caleçon. Ensuite, elle lui tourna le dos, recula vers lui et s’empala sur la bite raide. Marc cramponna aussitôt les fesses qui se mirent à bouger sur lui, puis les petits nichons qui remuaient dans les mouvements.
Un inconnu d’âge mûr était en train de pénétrer Alice sous mes yeux, c’est ce que nous avions voulu. Elle était à poil et, d’où je me trouvais, je pouvais voir le cul de cette fille qui rebondissait sur cette queue qui n’était pas la mienne.
Je me souviens m’être enfin mis debout, puis avoir enlevé à mon tour mon pantalon et mon caleçon. Puis mon t-shirt. Je crois être resté un assez long moment debout comme ça, à un mètre d’Alice et de Marc, à me branler en les regardant baiser.

Je me souviens qu’elle l’a sucé, un peu plus tard, et qu’il l’a prise par devant, dans le canapé, sans se préoccuper de ma présence. Je me suis déplacé pour bien voir la pénétration, et à un moment donné pour tripoter un sein d’Alice, mais ce fut tout. Je n’ai pas participé. Je me suis contenté de mater cet homme qui baisait ma jeune complice qui ne demandait que ça.
De temps en temps, je me rasseyais pour me servir un verre, puis je revenais vers eux en me touchant la bite et les couilles. Marc se tournait vers moi, parfois, et je lui faisais un clin d’œil. Et quand il m’invita à prendre sa place, je lui répondis :
« Non, allez-y. Elle est à vous. »

Je me souviens enfin que, tard dans la nuit, Alice a pris Marc par la main pour l’entraîner vers la chambre d’amis. Je les ai vus quitter le salon, puis disparaître, et, quelques minutes plus tard, j’ai entendu Alice jouir en criant. Je m’étais rassis et je me branlais, seul dans le salon. Je ne débandais pas, car Alice continuait de gémir dans la chambre voisine. Elle se faisait sauter chez moi par un inconnu, et je savais qu’une fois qu’il serait parti, on irait dans mon lit, et ce serait mon tour de pénétrer cette jolie fille.
Elle me raconterait des choses à voix haute, dans l’obscurité, en me serrant très fort tandis que j’enfoncerais ma queue dans sa chatte brûlante et humide.

De Marc, elle me dirait :
« Les giclées de sperme qu’il a envoyé sur mon ventre, tu aurais vu ça… »
Ou :
« Il a fini par me dire qu’il avait une fille de mon âge. »
Ou encore :
« J’ai envie qu’on se fasse un autre inconnu, mais d’une autre façon, dans un autre endroit. Si tu es d’accord. »
Je lui répondrais « oui ».
Et, dès le lendemain matin, nous ferions un choix.

A suivre

…/…

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