Mercredi 1er mai c’était repas de famille chez ma tante en petit comité. Ma femme me demande traditionnellement quelle tenue porter, je lui propose ça petite robe noir flottante que j’adore et bizarrement elle me demande de mettre une tenu… Pourquoi pas. Ca sera chemise, pantalon… Rien de bien spéciale mais je joue le jeu.
Nous voilà partie pour 1h de route, nous discutons de choses d’autres et plus le trajet avançais plus la robe de ma femme remontait. Je lui glisse :
– tu va finir par me déconcentrer à remonter ta jupe de cette manière.
– oui garde les yeux sur la route, mais rien ne t’empêche d’utiliser ta main droite.
– effectivement, merci la boite automatique.
Je tente de poser ma main sur sa cuisse mais c’est tout de même pas pratique et je fais quelques écarts.
– je vais le faire pour toi, regarde la route.
Cette fois sa robe ne couvre plus ses cuisses et elle commence à se caresser, n’arrivant plus à conduire je sors sur une air d’autoroute, par chance il n’y avait pas grand monde.
– je vais pouvoir m’amuser un peu.
– oh non mon homme, c’est moi qui vais m’amuser et toi tu va me regarder me faire jouir.
– ok je profite du spectacle.
Il ne fallu pas longtemps pour qu’elle arrive à ses fins, elle était tellement excité et puis surtout je compris pourquoi elle était dans cet état. Avant de partir, sans m’en parler, elle avait pris de quoi s’occuper pendant le trajet : des boules de geisha bien installées en elle.
– je comprends mieux ton état chérie.
– t’imagine pas, c’est la fête depuis qu’on roule, j’ai beaucoup aimé les petites routes. Sur l’autoroute c’était moins drôle, ça bouge moins.
– on reprend la route ou bien il y a une autre surprise ?
– pas tout de suite, avant je vais m’occuper de toi.
C’était la première fois qu’on s’amusait hors de notre chez nous et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé. Elle passa de mon côté, dézippa mon pantalon, sortie mon sexe de mon boxer pour le mettre dans sa bouche. Ses lèvres étaient chaudes, douces. Une vague de bonheur m’envahis lorsqu’elle commença les va et vient. Je sentais ma jouissance venir.
– je vais jouir chérie, c’est trop bon comme tu me suce.
– attend pas tout de suite, je ralenti.
– comme tu veux mais j’aime trop sentir tes lèvres.
Elle redéposa ses lèvres sur mon gland, le mouilla bien avec sa salive et le pris de nouveau en bouche. Je ne tenais plus mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Cette fois plus de va et vient mais mon sexe s’enfonce dans sa bouche.
– oh putain oui prend ma bite dans ta bouche.
Elle continua jusqu’à l’avoir entière dans la bouche. Totalement inhabituel et tellement bon, je ne pu me retenir et je joui dans sa bouche et elle n’en perdis par une goutte.
– tu m’a bien baisé la bouche chéri, peut être plus tard tu me baisera autrement.
Je compris qu’aujourd’hui c’est elle qui mène le jeu. Pourquoi pas…
Nous reprenons la route en appelant ma tante pour l’avertir que nous aurons un peu de retard prétextant un besoin de vérifier un truc sur la voiture lorsque nous étions sur l’autoroute. Ma femme continua a discuter comme si rien de ne c’était passé mais je su que ce n’était pas fini car elle a gardé en elle son jouet passe temps. Arrivé à destination, nous nous excusâmes du retard et filons rejoindre le reste de la famille. Un repas de famille reste un repas de famille, on parle de choses et d’autres, on prends des nouvelles. L’apéro se termine et ma tante nous invite à aller nous installer sous la véranda. Nous étions en bout de table, du coups nous pouvions discuter avec tout le monde. Je sentais ma femme ne pas tenir en place, elle était un coup sur la fesse droite, un coup sur la gauche. Ma tante le remarqua :
– Tout va bien Angelle ?
– Oui t’inquiète pas, j’ai juste du mal à trouver une place pour m’installer, surement à cause de la route.
– Tu veux t’étendre un moment ?
– Non ça va aller.
Je m’imagine la réponse dans sa tête : oui bien sûr, je vais aller me coucher dans ton lit et ton neveu va venir me rejoindre pour me baiser comme jamais. Cette scène me fit sourire. Ma femme s’approcha de mon oreille :
– sort de ma tête vilain fripon et non je n’ai pas envie de dormir !
– loin de moi cette idée…
Et je repris ma discussion avec ma cousine. Le repas avance et il temps du dessert. Tout le monde se lève pour aider à débarrasser et ce dégourdir les jambes. J’att**** ma femme par les hanches pour l’approcher de moi et lui glisse à l’oreille.
– alors tu tiens le coups ?
– pfff arrête j’en peux plus. Je suis toute mouillée et j’ai très envie de me faire baiser.
– parfait alors, file à la salle de bain…
– tu va me rejoindre ?
– non, tu va juste retirer ta culotte et revenir pour le dessert.
– mais les boules ne vont pas tenir.
– ça c’est toi qui voit.
Je la regarde partir en balançant ses hanches… J’ai bien failli craquer pour aller l’aider. Dix minutes plus tard elle nous retrouve, nous sommes ré-installé à table.
– bah alors j’ai cru que tu t’étais perdu dans la maison. Lui lança ma tante.
– non quand même, je me suis refais une petite beauté.
Nos regard se sont croisés et je n’en croyais pas un mot. Les discussions reprenais comme si de rien n’était. Je sentis Angelle att****r ma main pour la poser sur sa cuisse. Mais pour la taquiner je ne bougea pas. Elle ne tenait toujours pas en place et repris ma main pour la placer entre ses cuisses. Encore heureux que la nappe de la table était grande. Elle ne portait plus de culotte et sa petite chatte était toute mouillée, mes doigts en profitaient pleinement mais surprise je m’attendais à trouver les boules, mais non elles n’y étaient plus. Discrètement à son oreille :
– tu n’a pas trouvé de solution pour les garder ?
– si si, cherche un peu mieux.
Je continuai les recherches tant bien que mal. La position n’était pas des plus simples et puis il fallait quand même rester discret.
– non toujours rien, je vois vraiment pas où tu les a caché ?
– elles sont dans mon cul !
– ah je comprends mieux pourquoi je les trouve pas. Parfait comme ça ta chatte est toute pour moi.
L’après midi fut à la fois longue car j’avais qu’une envie, m’occuper d’Angelle et en même courte car bien occupé à jouer avec Angelle. Étonnamment le retour lui a été plus long, l’avantage des petites routes de campagnes un jour férié… Il n’y a personne et on peut s’y amuser tranquillement.
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