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Une espionne au Moyen Orient

Une espionne au Moyen Orient



Je suis sortie de prison récemment après plusieurs années de pénitencier assortie d’une peine de sûreté Je suis depuis 15 ans dans les services secrets qui m’utilisent pour mes charmes, ma rapidité d’esprit et quelques autres talents cachés. J’aime le risque et avec un métier comme ça, je suis servie. C’est peut-être de l’insouciance mais je suis sûre de moi. Depuis mon éducation très spécial avec mon Oncle depuis mon adolescence, j’ai compris que je pouvais utiliser mes atouts féminins pour atteindre mes objectifs Peu d’hommes me résistent et je m’en amuse. Lors de mes missions, j’utilise mes charmes pour atteindre mes objectifs. Mais la dernière mission a foiré et je me suis retrouvée pour quelques mois dans une prison miteuse où j’ai subi les pires humiliations et sévices sexuels. Mais j’ai réussi, toujours par la ruse de mes charmes à m’évader en séduisant un gardien. Après un long séjour en cellule dormante et à coup de séances de psy, je reprends du service sur une mission à risque au moyen orient. Le briefing est sans équivoque.
« Michèle, nous avons besoin de vous pour une mission délicate pour infiltrer un réseau terroriste. Nous avons pensé à vous pour vos talents de charme. Votre engagement personnel est la clef de voûte de cette mission. Votre couverture sera une entraîneuse dans un cabaret clandestin. Un colonel saoudien fréquente ces lieux. Vous devrez le séduire. Il est friand de BDSM. Vous devrez devenir son esclave sexuelle. »
Impatiente de retourner sur le terrain j’accepte immédiatement la mission. Devenir une esclave sexuelle réveille en moi un vieux fantasme lorsque j’étais encore une adolescente. Pour asseoir ma couverture, Je me crée un site web et un live show en web-cam. Je participe à des tournages porno et à des séances photos où, nue je suis enchaînée, les seins torturés par divers équipements, ou empalée sur un gros gode, jambes maintenues écartées par une barre . Du maquillage sur mon corps simule des coûts de fouet. En présentation sur mon site, je précise que j’aime être fouettée, punie et être traitée en chienne domestique.
Je dois avouer que j’ai pris un plaisir non dissimulé à la préparation de cette mission. Excitée comme jamais, la séance photo s’est conclue, avec toute l’équipe dans un gangbang furieux ou j’ai joui comme jamais. Pendant le vol je rentre dans le personnage et étudie les us et coutumes de ce pays où les femmes sont considérées moins que des animaux. Je comprends tout les risques de cette mission. Mais il est trop tard pour reculer. Dés le premier soir, je me fonds aux escorte girl la soirée de gala donné par le fameux colonel que je dois approcher. Pour être remarquée, je suis en robe noire ultra moulante et décolletée et chaussée d’escarpins aux talons vertigineux. Lorsque je traverse le hall, tous les regards se sont tournés vers moi. J’ai réussi mon entrée me dis-je. Ca me procure une certaine excitation et je sens mon mon vagin devenir humide. Je n’ai aucune peine à rencontrer le colonel, car c’est lui qui m’aborde en me proposant sans ambages d’être sa chienne à son service personnel. Je ne pensais pas que la chose aurait été aussi rapide et facile. Je suis contente du début de ma mission sans vraiment imaginer que la suite serait plus scabreuse pour moi. Le colonel Adnan m’entraîne dans la chambre de sa suite et, dés mon arrivée, il me menotte et me suspend dans le dressing de sa suite. De son air vicieux, il me contemple quelques minutes gigotant au bout de mes chaînes. Je ne suis qu’un bout de viande pour lui. J’aurais du le savoir. Sans précaution aucune, Il m’enfonce de grosses boules de geisha dans mon vagin. Puis il me dit satisfait :
« J’ai vu tes prestation de chienne dans les films et tes web-cam. Tu es une es une foutue salope infidèle. Tu sais comment on traite les putes de ton genre chez nous ? Tu vas m’attendre quelques heures dans cette position pour que tu réfléchisse sur ton sort ! »
Il éteint la lumière me laissant seule dans le noir. J’ai peur. Ma position est très inconfortable. Mais curieusement et sûrement à cause des boules de geishas, une excitation sournoise s’empare de mon corps. Je sens de la cyprine couler le long de mes cuisses. A son retour, Il ne peut que constater mon état. Il sourit. Retirant les boules de geisha de mon vagin, je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Tout en étant suspendue, il se saisit de mes jambes et me pénètre d’un coup. Etre prise tout en étant enchaînée est des plus excitant . Un orgasme me surprend sans que j’ai besoin de le feindre. Il jouit en moi et me laisse pour aller prendre un whisky. Du sperme mélangé à ma cyprine me coule le long des cuisses. Ha ! Elle est belle l’espionne, me dis-je. J’ose lui demander de me détacher pour prendre une douche. Sa réponse est cinglante :
« Espèce de salope occidentale ! Ici dans mon pays une chienne est mieux considéré que ta race. Tu n’es qu’une esclave sexuelle. Tu n’as rien à demander. Je vais te faire passer ton arrogance grosse pute ! Habille toi , nous partons !»
Il exige pour l’accompagner que je sois vêtu comme une escorte girl sexy. C’est à dire en gros comme une pute en bas résilles, mini-jupe au ras des fesses, avec juste un string et bustier avec un profond décolleté mettant en valeur mon opulente poitrine. J’ose faire remarquer à Adnan que dans son pays ma tenue pourrait être problématique. Mais il ne me répond pas. Avec mon expérience, j’aurai du comprendre que quelque chose d’anormal se passait dans le déroulement de ma mission. Il m’embarque donc dans un jet privé pour une destination que j’ignore. En montant à bord, il me présente une femme en uniforme militaire.
« Je te présente Amina, commandante des service secret. Elle est à mon service et se chargera de ta sécurité. »
Maintenant je ne peux plus faire marche arrière. Je regrette d’avoir accepté une telle mission. Je ne le sens pas du tout, comme prise au piège qui se referme sur moi. Pour essayer de sauver les apparences, je lui dis avec un air narquois :
« J’espère que votre expérience dans ce domaine est au moins égale à vos charmes ! »
Avec un regard mauvais, Amina réplique :
«  Ne fait pas la maligne salope. J’ai corrigé des putes plus rebelles que toi. »
Le ton est donné. Il n’est pas question de jouer avec cette femme. Je vais me tenir à carreau et plutôt tenter de me la mettre dans la poche. Je suis assise aux côtés d’ Amina. Elle est armée d’un pistolet et d’une matraque électrique. Une fois l’avion en l’air, elle m’ordonne de me rendre au fond de l’appareil. Comme je ne bouge pas,elle m’inflige une décharge avec la matraque électrique. J’obtempère rapidement et là sous les yeux égrillard d’Adnan, elle me fourre dans le vagin un gode métallique relié à une télécommande. Elle appuie sur la télécommande et je comprend immédiatement le fonctionnement de l’engin en recevant une décharge électrique dans le vagin. Je pousse un cri de surprise qui amuse Amina et Adnan. Je suis entrain de devenir leur jouet. Bien que je devine la raison de cet équipement, le Colonel précise :
«  Tu vas obéir à la Commandante Amina sans discussion. Dans le cas contraire, elle t’enverra, avec sa télécommande, des décharges électriques dans le vagin et cela peut devenir très douloureux ! C’est compris ? »
Comme je ne réponds pas, je reçois une petite décharge puis une deuxième franchement douloureuse. J’exprime ma douleur dans un cri déchirant. Et en m’excusant, je leurs dis que j’ai bien compris le message.
Après l’atterrissage, notre avion roula jusqu’au terminal militaire. Je vois un Airbus d’Air France et tout ce bouscule dans ma tête. J’imagine des scénarios pour m’échapper et me réfugier dans cet avion Français. Mais mes espoirs de fuite se résument à zéro trop encadré par des militaires et par cette salope qui par sadisme m’envoie régulièrement de petites décharges qui me font à chaque foi tressauter. Je suis presque jetée dans un limousine et quelques minutes plus tard nous arrivons devant un hôtel grand luxe. Là, Amina me dit :
« Tu vas à la réception pour le check-in. Une suite est réservée à ton nom. Comporte-toi normalement sinon je me ferais un plaisir de t’envoyer une charge maximum dans la chatte. Allé file ! »
Je marche à travers ce hall interminable. Ma tenue dénote dans cet établissement grand luxe où les femmes sont en burqa ou voilée. L’objet enfoncé dans ma chatte, rend mes déplacements délicats et je sens mon entre jambe devenir très humide. Mon enregistrement à l’accueil se passe bien et un groom m’accompagne vers ma suite. A peine arrivée dans le luxueux logement, le Colonel et Amina font irruption dans la suite. Ils arrachent ma mini-jupe et mon bustier, ôte le gode électrique et m’attachent chevilles et poignets à deux barres d’écartements. En un rien de temps, je me retrouve nue, offerte et sans défense, les bras et les jambes en croix étirés au maximum. On m’avait bien dit que le Colonel avait des meurs très particulière mais ça dépassait tout. Amina place sur mes mamelons et sur mon clitoris des sortes de tubes dont elle fait le vide d’air étirant mes tétons et mon clito au maximum. Je serre les dents pour ne pas leurs faire le plaisir de crier. Adnan me regarda droit dans les yeux et me révèle :
« Petite pute d’espionne à deux balles.  Je sais tout de ta mission. Tes chefs de la DST sont des cons snobinards qui nous prennent pour des débiles.Nous allons prendre des photos pour les envoyer à la police. Tu vois ta couverture de pute est parfaite. »
Avant que je ne puisse dire quoi que se soit, il me fourre sa bite dans la bouche et me baisse avec rudesse jusqu’à l’éjaculation. Amina, prend des photos en faisant attention de ne pas prendre le visage d’Adnan. Nue, ligotée, les seins et le clitoris distendus, du sperme dégoulinant de ma bouche, Amina prend un malin plaisir à me voir dans ces affre d’humiliations et de désespoir. Mes seins et mon clitoris me font souffrir tant ils étaient distendus. C’est alors qu’une très jeune femme entre dans la pièce. Amina arrache brusquement les tubes collés à mes parties sensibles puis me libère. Je ne comprends pas ce qu’il ce passe. Ils attache à son tour la jeune fille qui se laisse faire sans aucune résistance. Et à coup de cravache, il m’oblige à violer cette fille avec un énorme gode et ensuite à faire un 69 avec elle. Toutes les scènes sont prises en photo. Puis ils détachent la jeune fille, et lui annonce que grâce à elle son père sera libéré dés le lendemain. Elle quitte la pièce et Adnan me menotte sur une chaise. Amina téléphone à la police en leurs indiquant ‘où ils pourraient me trouver avec les preuves de mes infamies. Le Colonel me dit tout en me pinçant fortement les pointes de mes seins :
«  Il te reste que quelques minutes de liberté. Je te donne le choix grosse salope d’espionne. Soit tu me donnes le code secret de ton smarphone immédiatement, soit je te livre aux flics et là, je ne te donne pas cher de ton intégrité physique. »
Malgré la situation scabreuse dans laquelle je suis, mon professionnalisme prend le dessus. J’ai été formée pour résister aux pires interrogatoires que peut subir un agent féminin.
« Je ne sais pas de quoi vous voulez parler. Je suis une escorte girl, Pas une espionne. ! »
Lorsque la police entre dans la chambre, le Colonel leur dit d’un air mauvais :
« Cette pute Française vient de violer une fille mineure. Nous avons délivrée la jeune fille des griffe de cette débauchée. Je vous ordonne de l’incarcérer dans la forteresse de notre prison militaire pour un interrogatoire poussé. Elle est ma prisonnière personnel. Personne d’autre que moi et la Commandante ne doivent l’approcher. Les policiers obtempèrent et me traînent nue à travers les couloirs et le hall de l’hôtel sous l’œil effaré des nombreux touristes. Des flashes crépitent à mon passage. jusqu’à leur fourgon où je suis jetée comme un sac de linge sale. Dans la forteresse, ils me jette dans un cachot et m’attachent à un anneau métallique scellé au mur. En attendant l’arrivée du Colonel et d’Amina, ils me force à ingurgiter plusieurs litres d’eau croupie. Puis, enfin, on me laisse seule. Malgré la situation, c’est un instant de repos et de soulagement qui ne dure pas longtemps. Désobéissant aux ordres du Colonel, un garde entre dans ma cellule, baisse son pantalon et exhibe un énorme sexe en érection. Il s’amuse à me gifler avec son gourdin puis me force la bouche et en me prenant par les cheveux. Il s’active rapidement avec férocité et finit par éjaculer sur mes seins,juste au moment ou le Colonel entre dans le cachot. Il engueule sévèrement le gardien en le matraquant et le vire dehors. Dans cette agression, je n’ai pu me retenir et baigne dans une marre de pisse. Il ordonne à un soldat :
« Lave le cachot et la pute ! L’odeur de cette salope est à vomir ! »
Avec un jet d’eau froide à haute pression, il nettoie la cellule et insiste sur mes parties intimes. Grelottante, je suis lavée de la pisse et du sperme qui me souillaient. Adnan me lance :
« C’est l’heure de la promenade chienne. »
On me met des colliers en nylon sur chaque seins qu’on serre au maximum.. Des pinces munies de clochettes sont placées sur mes petites lèvres intimes. Ainsi affublée, nous traversons la salle des gardes puis nous arrivons au milieu de la cour de la forteresse. Là, un soldat m’attache les bras au-dessus de la tête à une potence. Amina s’approche de moi et me tira fortement les cheveux, elle me dit d’un air haineux, tout en introduisant sa main dans mon vagin :
« Il me semble que je t’avais dit que je savais mater les putes de ton genre ! »
Fouillant d’une main ma chatte, de l’autre main elle fixe des poids sur mes tétons. Puis on me laisse moisir ainsi aux yeux de tous pendant une bonne heure. Je reste le plus possible immobile car le moindre mouvement dans mes entraves entraîne des douleurs intolérables. Deux soldats se font un plaisir de m’accompagner ensuite dans la salle d’interrogatoire. Mes seins sont violet et mes petites lèvres douloureuse sont allongées par les pinces. On me délivre de ces entraves et quand le sang réinvestit mes parties comprimées, je hurle de douleur faisant rigoler les soldats et le couple Adnan, Amina. D’un claquement de doigts, Adnan ordonne aux soldat de m’attacher à une croix de St André. Sanglée, jambes écartées, vulve offerte et mon clitoris bien visible, le colonel m’introduit le gode électrique dans le vagin et Amina m’en fourre un dans le cul. Je redoute la suite de l’interrogatoire. Vais-je tenir le coup ?.Des pinces reliées à des fils électrique son installés sur mes tétons douloureux. Puis, le Colonel me tirant les cheveux, brandit mon smartphone sous les yeux :
« Le code tout de suite, salope ! »
En pleurant de toute mon âme et en suppliant je lui jure :
« Je ne sais pas de quoi vous parlez ! Je ne suis pas une espionne, juste qu’une vulgaire pute !!!!!. »
Aussitôt, me font tressaillir et hurler de douleur. L’effet de cette torture est contradictoire car mon corps réagit en me faisant couler comme une fontaine. Aprés vingt minute d’un tel traitement, je m’évanouis sans avoir donné le code. Mon corps est luisant de transpiration et mes cuisses poisseuses de ma cyprine. On me réveille avec un sceau d’au au visage. On retourne la croix et je suis suspendue la tête en bas. Amina commence à me fouetter durement les parties intimes. Cette foi, on était loin des scènes sado-maso simulées pour les photos et le site de ma couverture de star du porno BDSM. Une foi mon corps zébré de coups, Adnan me réitére la question :
« Le code putasse ! »
Je geint sans répondre. Alors il dit à Amina :
«  Allons boire une bière au mess des officiers pendant que cette chienne réfléchit. »
Avant de partir, Amina fouette ma chatte et mes seins avec une cravache en me disant :
«  Quand nous reviendrons, tu nous supplieras pour parler ! »
Je reste ainsi seule dans le noir, pendue à l’envers, nue, les seins et la chatte brûlante des coups reçus pendant un temps qui me semble interminable. A leurs retour, le Colonel avant toute question, me gifle et tire sur mes tétons jusqu’à ce que je hurle de douleur.
« Le code sale chienne ou je te laisse entre les mains d’Amina! »
La tête me tourne. Je ne sais plus qui je suis et je craque lorsqu’il me fourre une matraque électrique dans le cul. La décharge est si douloureuse que je hurle mon code.
Satisfaits, le colonel et Amina quittent la salle d’interrogatoire en disant aux soldats :
« Amusez-vous avec et transférez là ensuite dans la section d’isolement. »
Les soldats me détachent et profitent de moi une bonne heure en me prenant de tout côtés. Puis je suis enfermé dégoulinantes de sperme, le corps et mon intimité meurtrie dans une geôle sans fenêtre. Cette incarncération a duré je ne sais combien de temps. Mais je suis violée quand bon leurs semble. Je ne suis plus humaine. Je ne suis qu’un vide couille, un sac à foutre. Si je meure, j’irais à la décharge comme un vulgaire détritus.
Plusieurs mois passent ainsi sans que je revois le Colonel ou Amina. Puis un jour un garde me traîne dans une salle où Adnan, toujours très élégant et parfumé, m’attend. Son premier bonjour est de me dire en me tendant un journal :
« Regarde ce que tes idiots d’amis Français ont fait. »
Je regarde hébétée le journal. La date me confirme que ça fait trois mois que je subit les outrages de ces salops. Un gros titre en première page annonce « Grosse bavure des états capitalistes Européens ».
« Ces cochons d’incroyants on détruit avec un missile notre lieu de culte le plus sacré. Ils vont payer ça. Amina est passée Colonel et maintenant c’est elle qui dirige la propagande anti Européenne au moyen orient. Pour marquer le coup, ton procés fait la une. Que penses-tu de la photo ? »
Horrifiée, je me vois nue, mon visage parfaitement reconnaissable escortée par deux policiers lors de mon arrestation. Folle de rage, je lui jette le journal à la figure et arrive à lui griffer le visage. Je reçois un violent coup de poing qui m’assomme. Quand je me réveille, je suis suspendue toujours nue dans une cage qui se balance dans la cour de la forteresse.
Le lendemain, je sais que mon procès sera sans appel pour marquer les esprits. Chez eux c’est la lapidation pour les femmes. Mes espoirs d’être sauvée par mon gouvernement est quasi nul. La nuit tombe et je grelote dans ma cage. Je réfléchi comment je pourrais me suicider pour ne pas leurs faire le plaisir de me lapider en place publique. Tout à coup, je ressens une vive piqûre sur un sein. Quelques seconde plus tard, je m ‘évanoie dans ma cage.
Quand j’entrouvre les yeux, je ne sais combien de temps plus tard, Je suis dans une chambre d’hôpital. Tout est flou et j’entends une voix me dire :
« Bienvenue chez nous Agent Michèle ! »
Je crois réver. Mon cauchemar serait fini ? Je suis à Bégin en France. Je suis sauvée.

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