Je vivais à Lyon à l’époque, çela remonte à plusieurs années. Je rentrais souvent très tard dans la nuit à cause de mon travail passionnant. Ma copine, qui vivait avec moi, s’endormait quasiment tous les soirs avant que je ne sois rentré. Nous ne faisions que nous croiser finalement, et c’est peut être ça qui a causé notre rupture par la suite.. Mais le sujet n’est pas là.
Notre appartement était situé au rez de chaussée d’un immeuble bourgeois proche du centre ville. Seul point négatif, et non des moindres, nous avions vue sur la rue. N’importe quel piéton passant devant chez nous pouvait regarder notre intérieur. Les volets et les rideaux ne changeaient pas grand chose à cette gêne.
Trois appartements étaient ainsi situés côte à côte, le mien se trouvait à l’extrémité gauche. Le porte d’entrée de l’immeuble était située entre celui du milieu et celui de droite.
Cet appartement, un studio, était d’ailleurs innocupé depuis plus d’un mois, je le sais car l’ancien locataire était un de mes potes.
Ce soir là de décembre, je rentrais vers minuit, j’ai vu de la lumière provenant de l’appartement en question, les volets n’étant pas fermés. En passant devant j’ai vu un ammoncellement de cartons et de meubles.
Une jeune femme est alors sortie de la salle de bains, seulement vêtue d’une serviette. Elle m’a vu et j’ai été extrèmement géné. Cependant je n’ai pas réussi à défaire mon regard de son corps: 25 ans maximum, 1M75 environ, blonde aux yeux verts. Je pouvais deviner sous sa serviette une petite poitrine. Elle m’a souri, je lui ai souri en retour et lui ai souhaité la bienvenue dans l immeuble. J’avais juste oublié que la fenêtre était fermée.
Elle s’est approchée, l’a ouverte et m’a demandé ce que j’avais dit. Elle avait une voix douce et sensuelle, un véritble délice. Je lui ai à nouveau souhaité la bienvenue dans l’immeuble et lui ai demandé d’où elle venait. Elle venait de Fréjus, s’appelait Charlotte, avait emménagé à Lyon car elle y avait trouvé du travail mais ne connaissait personne. Etant son nouveau voisin et plutôt sociable de nature, je l’ai invité à prendre un verre chez moi un soir. Elle s’empressa d’accepter mais fit une grimace quand elle apprit que ma copine serait présente. Je ne pus m’empecher de sourire beâtement. Elle m’invita à prendre un verre de suite, prétextant ne pas être fatiguée. J’acceptais et rentrais donc dans l’immeuble. J’hésitais alors à rentrer d’abord chez moi pour avertir ma copine. Finalement, sachant qu’elle devait dormir, je n’ai pas voulu la reveiller et suis donc allé taper à la porte de Chalotte.
A ma grande surprise, elle m’ouvrit de suite, toujours en petite serviette. J’avais pensé qu’elle aurait pris quelques minutes pour se rhabiller un minimum. En rentrant dans l’appartement j’y ai trouvé mes repères, les trois logements côte à côte étaient en tout point identique. Malgré les cartons et les meubles empilés, je constatais qu’un canapé clic-clac avait été posé le long du mur.
Charlotte me proposa alors de me mettre à l’aise, j’ai alors enlevé ma veste de costard. Elle m’a félicité sur mon look. je dois préciser que je portais une veste et un pantalon de costard noir, une chemise blanche et une cravate blanche. Je lui ai alors répondu en rigolant que je n’avais pas choisi la tenue de men in black, que çela m’était imposé par mon travail.
Elle me proposa de boire un whisky, j’ai accepté. Elle s’est servie un soda et nous avons trinqué à son arrivée, assis tous les deux dans le canapé.
Après quelques verres, jai eu de plus en plus de mal à détacher mon regard de la serviette qu’elle portait toujours. Elle m’a demandé, non sans rire, si je préférais qu’elle l’enlève. J’ai pensé que ces propos étaient ironiques et me suis excusé de mon comportement. Elle s’est alors levée et a doucement enlevé ce bout de tissu.. J’ai alors eu la sensation que le temps s’eétait arrété. J’ai découvert un corps magnifique. Une petite poitrine, comme je l’avais deviné, de longues jambes, pas une once de graisse et un pubis rasé en forme de ticket de métro.
Je me suis permis d’avancer une main, et ai commencé à toucher sa peau. Elle était si douce. Charlotte s’intalla alors à califourchon sur moi et m’embrassa langoureusement. je répondis à son baiser tandis que mes mains continuaient à explorer son corps. Je m’atarda beaucoup sur sa poitrine, faisant rouler ses têtons entre mes doigts. Puis je l’ai allongé sur le canapé et suis venu sur elle pour la dévorer. Ma langue ne savait plus où donner de la tête sur son corps. Puis j’ai descendu ma main vers son sexe. J’ai commencé à la carresser doucement, de haut en bas, sans m’attarder sur une quelconque zone. Puis j’ai joué avec son clitoris durant de longues minutes. Elle gémissait de plus en plus fort. J’ai présenté mon index à l’entrée de son vagin et je n’ai pas eu à forcer pour le rentrer, elle mouillait énormément. Ma deuxième main continuait à lui caresser la poitrine. Elle voulu me rendre mes caresses mais je portais encore mon pantalon, mes chaussures/chaussettes, ma chemise et ma cravate. Elle se redressa et se mis à râler, disant que ce n’était pas juste.
J’ai explosé de rire et me suis relevé. J’ai entamé un pseudo strip tease mais l’envie était trop importante et je n’ai pas resisté. En quelques secondes j’ai terminé nu.
J’étais toujours debout devant le canapé, Charlotte s’est rassise. Elle a alors passé ses mains sur mon corps. Nous avons déplié le lit canapé et je me suis allongé. Elle s’est mise à quatre pattes à coté de moi et a continé à me caresser. Sa main droite est venue à la rencontre de mon sexe, déja très dur. Moi je continuais à ballader mes mains sur son corps, tout en profitant de cette vue qui m’était offerte. Elle a avancé sa tête vers mon sexe et a poussé un cri. Je n’ai pas compris, elle m’a regardé et a désigné la fenêtre.
Nous avions laissé le volet ouvert ainsi que la lumière allumée et un homme nous observait. Il devait regarder depuis quelques minutes déja puisque sa main droite se trouvait à hauteur de son pénis et se caressait malgré les vêtements qu’il portait. Je me suis levé et me suis dirigé vers la fenêtre afin de lui obstruer la vue en fermant les volets. Mais Charlotte m’informa alors qu’elle avait toujours révée d’être matée par un inconnu pendant l’acte. J’ai alors souri à cet homme, lui donnant ainsi mon accord et suis retourné sur le lit. A peine allongé, Charlotte s’est jettée sur moi et a commencé à m’embrasser le sexe.
J’ai remarqué que cette coquine avait changé de position afin d’offrir une vue panoramique de son anatomie à notre invité, qui pouvait aussi observer les soins qu’elle me prodiguait.
Elle a passé sa langue le long de ma hampe à de nombreuses reprises avant, d’enfin, me prendre en bouche. C’était une experte de la pipe, rien que d’en parler j’en ressens encore des sensations, et ce malgré les années qui se sont passées. Je gémissais et ça lui plaisait. Elle me malaxait également les testicules. Je me suis un peu relevé et lui ai proposé un 69. J’ai regardé la fenêtre et ai vu que l’homme avait cette fois sorti son sexe et se branlait doucement. J’adorais cette situation.
Charlotte s’est installé tête bêche sur moi et j’ai enfin pu gouter son nectar intime. Nous sommes restés ainsi de longues minutes, chacun donnant du plaisir à l’autre. J’ai également passé ma langue sur son anus, et voyant qu’elle n’avait pas l’air réticente, j’ai mis mon index devant et ai poussé d’un coup. Elle a gémi de plaisir, malgré l’étonnement. Ma langue lui lechait le clitoris et la chatte et lui doigtait le cul. Un pur bonheur. Le veinard de dehors devait se régaler.
Elle se leva ensuite pour att****r une capote dans son sac et me l’enfila. Elle déroula le latex avec sa bouche, aucune autre femme ne m’avait fait ça avant.
Je lui ai demandé de se mettre à quatres pattes, et l’ai positionné face à notre voyeur. Je me suis installé derrière elle, et j’ai enfin pénétré son intimité. J’ai d’abord commencé doucement puis j’ai accéléré. Je lui mettais des claques sur les fesses. Elle gémissait de plus en plus et je voyais l’homme se masturber. J’ai remis un doigt dans son anus et ai recommencé mes va et vient. Elle devenait folle, transpirait de désir et de plaisir.
Je l’ai ensuite basculé sur le coté, une jambe relevée et me suis installé derrière elle. Je l’ai limé ainsi, je malaxais sa poitrine et l’embrassais dans le cou. A un moment elle m’a arrété et m’a demandé de me retirer. J’ai accepté sans comprendre ce qu’elle voulait. Elle m’a repris en bouche, en regardant notre mateur. Elle prenait vraiment du plaisir à être ainsi observée et donnait le meilleur d’elle même, pour mon plus grand bonheur.
Elle s’est ensuite allongé sur le dos et a relevé ses jambes. Je suis venu vers elle et les ai coincées dans mes bras. J’ai recommencé à la pénétrer ainsi amis très vite j’eu envie de lui défoncer son petit cul. Je me suis alors retiré de sa chatte et ai présenté ma bite à l’entrée de anus. J’ai un peu forcé et mon gland est rentré. J’ai regardé le visage de Charlotte, aucune inquiétude ne s’échappait de son regard. J’ai compris qu’elle était habituée à la sodomie. J’ai poussé et suis rentré entièrement, elle a poussé un petit cri. J’ai commencé mon va et vient, doucement. Elle gémissait de plaisir, j’ai accéléré le mouvement. Nous avons entendu l’homme grogner, nous sommes tous les deux retournés vers la fenêtre et l’avons vu éjaculer. Il a laché son foutre sur la vitre, a rangé son « matériel », nous a gratifié d’un sourire, nous a remercié et est parti. J’ai regardé Charlotte et on s’est embrassés. J’ai recommencé à lui pénétrer le cul puis j’ai alterné entre son anus et son vagin. J’ai fini par jouir dans son cul. Je me suis relevé, ai enlevé ma capote et me suis assis.
Passé l’excitation je venais malgré tout de tromper ma fiancée pour la première fois. Charlotte a senti mon malaise et m’a pris dans ses bras. Nous sommes restés ainsi de longues minutes, sans rien dire.
J’étais fou amoureux de ma copine mais notre vie sexuelle était morne.
J’ai fini par expliquer çela à Charlotte, et naturellement elle m’a proposé de recommencer quand je le souhaitais. J’étais assez surpris mais finalement heureux. Je l’ai embrassé, me suis rhabillé et suis rentré chez moi.
En arrivant, j’ai pris une douche. Ma copine, révéillée par le bruit de l’eau est venue dans la salle de bain et a cru bon de m’informer que nous avions une nouvelle voisine. Un énorme sourire a alors traversé mon visage.
J’ai souvent revu Charlotte le soir en rentrant du travail et elle fut ma maitresse durant de longs mois. En revanche nous n’avons jamais revu le voyeur. Dommage, Charlotte aurait voulu l’inviter à entrer…
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