A plusieurs reprises, j’avais tenté de l’initier à la sodomie, mais elle avait toujours refusé. J’avais un peu oublié cette pratique, jusqu’à ce soir là…
Allongée sur le dos, je lui caressais le ventre et la poitrine. Ses petits tétons frémirent sous mes doigts. J’approchais ma bouche de ses tétons et les aspirait délicatement l’un après l’autre. Je les embrassais en passant de l’un à l’autre, sans oublier le reste de sa poitrine, bien sûr. Lentement, je descendais le long de son joli ventre, pour arriver à sa belle toison. Pendant que mes doigts glissaient délicatement sur sa fente, je plongeais mon nez dans son pelage, déclachant chez elle un éclat de rire. Redevenant sérieux, j’entrepris de lécher sa petite grotte, en léchouillant d’abord l’entrée, sans y glisser la langue. Puis, progressivement, j’enfonçais ma langue de plus en plus loin dans sa petite chatte ruisselante. Elle cria de plaisir quand enfin je la pénétrais totalement avec ma langue pour lui lécher l’intérieur. Stoppant un moment, je suis demandais ce qu’elle prédérais, mais elle me répondit qu’elle aimait que je lui lèche aussi bien l’entrée que le fond de la chatte. Je me remis donc au travail, en alternant, glissant parfois ma langue au plus profond de son être, puis me contentant de lécher délicatement ses lèvres.
Et c’est en léchant délicatement ses lèvres que je suis descendu progressivement jusqu’à son périnée. Ses cris ont redoublés, plus violents, plus forts. Elle s’est cambrée beaucoup plus qu’avant. J’ai continué à jouer un bon moment avec son périnée, et visiblement, ça lui plaisait. Mais j’ai aussi continué mon exploration, et bientôt, ma langue a quitté son périnée pour venir rencontrer son petit trou. J’ai commencé par faire glisser la pointe de ma langue juste sur la base de son trou du cul, puis, délicatement, j’ai percé l’entrée de son trou noir avec la langue. Elle était déchaînée, une véritable furie. Son corps était secoué par de violents spasmes. Enfin, après quelques minutes de traitement, elle s’est relevée brusquement, me regardant fixement dans les yeux, et m’annoncant : « Je veux ta queue dans mon cul. ».
J’étais évidement aux anges, mais avant de m’éxécuter, j’ai commencé par lui préparer la porte en glissant un de mes doigts dans sa chatte, puis, une fois le doigt bien recouvert de mouille, en le plongeant dans son petit trou. J’ai attendu quelques secondes que son sphincter se décontracte un peu, et j’ai entamé un lent mouvement de va-et-vient avec mon doigt. Après quelques va-et-vients, j’ai enfoncé un deuxième doigt, dilatant ainsi un peu plus son anus.
Enfin, après m’être assuré que son anus était suffisamebnt préparé, j’ai pointé la museau de ma queue à l’entrée de son orifice, et j’ai poussé délicatement. Ma queue est entrée très facilement, et contrairement à ce que je croyais, j’ai pu la sodomiser en faisant entrer la totalité de ma queue dans son cul. L’excitation était telle que nous avons rapidement joui tous les deux très bruyament, mais quel instant merveilleux, et quel souvenir extraordinaire.
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