J’appréhendais l’arrivée des copains d’Inès. Allaient ils se moquer de moi, me trouver grotesque dans ma lingerie qu’Inès m’avait ordonné de garder. Elle les avait prévenu que j’étais devenue Mélanie mais je craignais leur réaction. Quand ils entrèrent dans la maison, ils me dirent tout naturellement: « Bonjour Mélanie », ravis de faire la connaissance de la compagne d’Inès ». Ils me firent la bise comme à une copine, ce qui dissipa quelque peu mon malaise puis nous passâmes à table. Inès, en face de moi se mit à caresser mes jambes avec ses escarpins. Instinctivement j’écartais légèrement les cuisses. Je bandais et mes couilles dépassaient de ma petite culotte. C’est alors que je sentis la main de mon voisin de table, Cyril, se poser sur ma cuisse puis libérer mon sexe de la dentelle. Tout en continuant de manger avec sa main droite, il commença à me masturber doucement de sa main gauche. Je ne pu retenir un léger tremblement de tout mon corps sous l’effet de cette caresse. Inès s’en aperçu et fit mine de ne pas comprendre ce qui arrivait.
-Eh bien Mélanie, tu te sens mal, qu’est ce qui t’arrive?
J’étais incapable de répondre d’autant plus que Cyril avait accéléré la masturbation de mon sexe gorgé de sang.
Mélanie se leva de table et vint se positionner derrière moi, me caressant la poitrine à travers la nuisette. Elle me glissa à l’oreille: « Laisse toi aller, je ne suis pas jalouse ». L’amant de Cyril, Antoine, passa soudainement sous la table et se mit à lécher ma verge en érection. Cette caresse buccale combinée à la masturbation de Cyril me fit exploser. Je crachais mon sperme sur le visage d’Antoine. Il sortit du dessous de la table et se précipita sur Cyril pour l’embrasser à pleine bouche avec mon sperme. Inès les encourageait.
-Allez-y les garçons régalez-vous du jus de ma copine….Maintenant sortez vos belles queues…Je sens que Mélanie a envie de vous rendre la politesse.
Inès me fit mettre à genoux tandis que les deux garçons se levaient et ouvraient leurs braguettes, libérant deux magnifiques pieux de chair humide. Inès me poussa la tête vers la queue de Cyril et se mit elle-même à genoux pour sucer Antoine. Nous étions côte à côte avec chacune une bite plantée dans la bouche. Elle s’interrompit un court instant.
-C’est bon un gros clito, hein, ma petite gouine.
-Oui, c’est chaud, humide et tellement vivant.
-Oui, plus vivant que ma queue en plastique.
Cyril émettait des râles de plaisir de plus en plus intenses. Je sentais que l’issue prévisible de cette fellation était proche et j’étais fière d’amener cette belle bite si vite vers la jouissance. Inès abandonna la queue d’Antoine et vint se joindre à ma fellation. Sous l’effet conjugué de nos deux langues avides, il se cabra et explosa dans ma bouche. Inès supplia.
-Embrasse-moi !
Je lui roulais une pelle profonde avec le jus de Cyril qui débordait de nos lèvres. J’en avais partout sur ma petite nuisette et j’étais heureuse d’être ainsi récompensée. Mais ce n’était que le début d’une nuit très chaude….
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