e retour de chez une amie à Paris, je suis en première classe, au calme, juste un jeune homme est dans le wagon. Je n’arrive pas à dormir et je vois ce jeune passager qui m’observe. Il fait semblant de lire un magazine et me reluque par-dessus. Quelques minutes plus tard, il se lève, passe devant moi et me sourit. Par politesse, je lui réponds. Sur son siège, il a laissé son magazine et quelle est ma stupeur de voir que contrairement à la couverture qui représente un mag auto, c’est un à l’intérieur un magazine porno. A cet instant, je suis un prise de panique en me rappelant de son sourire et de la façon qu’il me regardait. Si ça se trouve il est parti aux toilettes se branler en pensant à moi et aux situations de son magazine. A cette pensée, je frisonne, mais aussi des fourmillements familiers envahissent mon ventre. A son retour, nos regards se croisent et je rougie. Il s’assoit et reprend tranquillement sa lecture mais quelques minutes plus tard, je devine une bosse sous son pantalon. Pour mieux observer cet homme, je fais mine de dormir. Je devine alors entre mes paupières mi-closes qu’il a sorti sa queue et se caresse en me regardant. Tout en continuant à se branler, il vérifie si personne n’arrive. Je me sens vraiment gênée, angoissée mais aussi très excitée et chanceuse d’assister à ce spectacle qu’il m’offre sans s’en rendre vraiment compte. Je vois sa main s’activer sur sa hampe en me regardant et je sens mon sexe s’humidifier. Machinalement j’ouvre mes cuisses et lui permet ainsi de deviner mon string rouge. Là, j’ai une audace folle. Tout en faisant semblant toujours de dormir, je me mets à doucement me caresser par-dessus le string. Il peut maintenant voir les va-et-vient de mes doigts pénétrant mon sexe sous mon string. Je ferme les yeux et de vois plus l’inconnu qui doit profiter de ma folie. C’est dans cet état d’excitation, que l’inconnu se lève et me dit :
« Rejoignez-moi aux toilettes. Je vous attends. »
Je sursaute à ses mots et le vois s’éloigner. Après un certain moment d’hésitation et en me traitant de folle, je décide de répondre favorablement à cette belle invitation inattendue. Mon émotion est telle que mes jambes tremblent en atteignant les toilettes. Je toc fébrilement à la porte et il me tire vivement dans la cabine. Il me colle à lui et ma forte poitrine s’écrase sur son torse musclé et il me prend la bouche tentant de frayer un chemin entre mes lèvres tendres et chaudes. Je ne résiste pas longtemps et échange avec lui un baisé fougueux où nos langues s’emmêlent. J’étais complètement excité. Je pousse mon bassin sur mon organe bien dur. Je glisse alors le long de son corps pour m’agenouiller et cueillir dans ma bouche son membre turgescent. Je commence à le mordiller délicatement. Il doit aimer car je l’entends gémir. Il me prend la tête pour que j’embouche entièrement sa queue mais je préfère le faire languir, jouant de mes charmes buccaux. Son supplice ne dure pas car mon envie d’engloutir cette queue est trop forte. Le léchant tendrement tout d’abord, il tente d’enfoncer complètement son phallus jusqu’au fond de ma bouche en me prenant les cheveux. Je l’entends gémir de plaisir en utilisant ma bouche avec une presque frénésie. Je bave sur sa queue et il m’étouffe presque. Ses mouvements de bassin me baisent la bouche. Je lui caresse les couilles avec ardeur. Je sens sa queue vibrer et qu’il ne va pas tarder à exploser. Mais il semble qu’il ne veuille pas se vider dans ma bouche. Alors, me prenant par les bras, il me relève, me retourne, m’écarte largement les cuisses, et m’appuyant sur le rebord du lavabo, d’un geste sec, il enlève ma jupe et arrache mon string qu’il détruit. Je lui offre ainsi ma chatte détrempée de mouille, bien lubrifiée par le plaisir que la fellation venait de me procurer. Je suis prête à recevoir son gros membre bandé. Tout doucement, il commence à appuyer son sexe contre mes fesses et je me dis que ce n’est pas ma chatte qu’il veut fourrer mais mon cul. Il fait glisser plusieurs fois sa queue sur mon anus et descend jusqu’à la hauteur de ma petite chatte trempée pour l’enfoncer cette fois sans ménagement dans les profondeurs de ma grotte d’amour. Je pousse un cri de surprise mais aussi de plénitude. Je ne pourrais vous dire comme c’était bon. Il me pénètre facilement, tant mon sexe est humide, et commence, tout en empoignant fermement mes fesses qu’il pétrit presque brutalement des deux mains, à m’infliger des mouvements de va-et-vient puissants en me pistonnant rudement, ressortant presque à chaque fois pour mieux replonger entièrement dans ma chatte. Je me mets à haleter et à lui dire :
« Oui baise moi fort ! »
Il me relève une jambe pour me pénétrer plus profondément. Je le veux si profond en moi que j’augmente ma cadence en remuant mon bassin. Je contracte ses muscles vaginaux et mes mains se crispent sur les robinets du lavabo. Je veux prendre le contrôle de mon orgasme mais il se refuse à accepter. D’une ferme poigne, il referme ses mains sur mes fesses me faisant mal et m’oblige à adopter sa cadence, me forçant à suivre ses mouvements. Là, je me mets à gémir vraiment très fort alors que son sexe frotte les parois profondes de mon vagin trempé. L’intérieur de mon con est brûlant. Il introduit deux doigts dans mon cul pour la masser en profondeur. Ayant préparé non sans rudesse mon petit trou, il ressort de ma chatte et brusquement plaque sa queue sur l’entrée de ma rondelle. Je veux réagir, n’aimant pas la sodomie mais maintenue, fermement, je ne peux me débattre.
Je le suplis de ne pas m’enculer :
« Non, Non, pas là, pas là, ta queue est trop !!!!! ….».
Avant même que je termine ma supplique, il pousse son gland dans mon petit cul. Ma mouille sur sa queue aidant, le gland entre immédiatement dans ma rondelle. Je pousse un cri, bref et sec puis je me cambre à cet assaut. Il m’empoigne les seins et se met à me labourer le cul malgré mes cris qui se transforment de cris de douleur en gémissement de plaisir.
« Salope ! Il est bon ton cul. Tu vois que t’aime çà salle putain ! »
Au lieu d’être choquée par ces mots, je suis excitée encore plus. Dans une poussée plus brutale, il s’enfonce jusqu’à la garde. Mes « nons » font placent à des cris de plaisir. Mes cris sont plus stridents à chaque poussée, mes soupirs plus rauques à chaque dégagement. Il accélère soudainement le rithme et me fait hurler. Il m’insulte et ses propos deviennent incompréhensibles mais disent son excitation et son plaisir. Mes spasmes contractent son sexe et je sens que son plaisir monte. Il me pilonne comme un a****l en rut. Ses couilles, trempées de sueur et de mouille, viennent frapper sur mes cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements viennent à un rythme hallucinant. Soudain, il enfonce son sexe à fond dans mon cul et déverse son foutre en longs jets dans mes entrailles en une succession de cris rauques. Il se retire et reste un instant à regarder mon anus bien ouvert et son foutre dégouliner entre mes cuisses. J’ai joui aussi et je m’écroule anéantie. Je mets beaucoup de temps pour reprendre mes esprits. Lui, ressort des toilettes sans un mot. Quand je reviens dans le wagon encore chancelante, il a disparu. Tant mieux me dis-je. Quelle aventure, je me demande encore si c’est un rêve ou la réalité. Enfin c’est histoire de dire car pour mon cul ce n’est pas un rêve.
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