Cela fait déjà une semaine que la colonie a démarré. Le temps défile à une vitesse folle. Tout se déroule parfaitement, le directeur est ravi du bon fonctionnement, les enfants s’éclatent et profitent pleinement de leurs vacances et entre nous, animateurs, l’ambiance est vraiment top. Comme à mon habitude, je m’entends bien avec tout le monde et je suis apprécié de tous. Il faut dire que je suis un peu comme leur grand frère. Je suis toujours là pour parler, conseiller ou rigoler.
Avec les deux couples, Cécile/Gaëtan et Virginie/Karim, on délire beaucoup. On se tape de gros fourires et on parle pas mal de cul. Avec Naïma, avec qui je passe la plupart de mes temps libres, on discute énormément de tout et de rien. Cela nous arrive aussi de parler sexe, mais c’est plus intime, plus confident. Il y a aussi la jeune stagiaire Rozenn. Je lui apprends la fonction, je suis un peu son formateur, son mentor Elle est très attentive à mes recommandations. Elle m’idolatre un peu. Et puis, elle et moi nous avons coquiner une seconde fois la nuit dernière.
Il reste Anaïs. Cette ravissante brune est distante. Elle ne digère pas de me voir flirter avec Rozenn. Et oui, c’est bien d’elle dont parlait Naïma sous la douche, lorsque ma beauté noire me signifiait que j’avais fait une jalouse. En effet, je plais également à Anaïs et cette narcissique a fait la gueule en me voyant partir avec la douce Rozenn pour notre séance de massage. Elle pensait m’avoir la première.
Un événement va faire basculer les choses. En ce septième jour de colo, la canicule fait rage dans la région dordognaise. 38 degrés à son point culminant. L’activité principale de la journée est la baignade à la piscine. Les deux groupes d’enfants se succèdent dans le bassin toutes les heures. Les enfants s’amusent beaucoup, ça crie, ça plonge et fait des bombes, ça chahute, ça s’éclabousse.
Soudain une troupe de pré-ados se forme pour se liguer contre nous. Ils veulent nous faire couler moi et les autres animatrices, chacun notre tour.
Je suis leur première cible. Les jeunes m’encerclent à quatre ou cinq et se jettent sur moi. Leur première tentative échoue. Mais ils sont tenaces et retentent leur chance. Cette fois-ci, je bois la tasse. Ils s’en prennent ensuite à Naïma, qui subit le même sort que moi. Ça les fait bien marrer.
Dans leur conquête, pour couler tous les monos, je décide de les aider lorsqu’ils décident de prendre en chasse Anaïs. On lui saute dessus pour lui mettre la tête sous l’eau, mais l’animatrice se débat comme une lionne, mais elle finit par céder. Les petits monstres sont parvenus à leur fin. Sauf que dans cette lutte aquatique acharnée, Anaïs perd le haut de son maillot. C’est le genre de chose qui arrive tous les ans.
Étant à proximité d’elle, j’ai la primeur de voir ses énormes seins, incontestablement les plus volumineux d’entre tous, et cela me met en émoi. Anaïs ne semble pas affolée, mais pose tout de même ses mains sur ses seins pour les cacher au yeux des enfants hilares. Enfin pour les cacher, c’est vite dit, ses mains sont bien trop petites.
Alors que je lui tends son maillot qui flottait à côté de moi, Anaïs me sourit en se réajustant sous l’eau.
– S’il n’y avait pas tous ces mioches, je resterais bien comme ça.
– Adepte du topless?
– Oui, je ne supporte pas les marque de bronzage, c’est pas très joli.
– C’est vrai, d’ailleurs tu as une très belle poitrine.
– Merci.
– Mais les traces de bronzage, ça ne me gêne pas, tu sais pourquoi?
– Non
– Parce que les femmes avec des traces de bronzage, c’est comme le poulet, il y a que le blanc qui est bon…
Elle rigole de ma boutade et enchaîne:
– Moi, je n’ai qu’un endroit où c’est blanc.
– Et tu aimes qu’on te mange cette partie?
Elle me répond pleine de concupiscence:
– J’ADORE!!!
Durant le reste de la journée, Anaïs et moi, on se cherche, on se taquine. La tension sexuelle qu’il y a entre nous est impossible à décrire. On sait l’un comme l’autre que tôt ou tard, ce soir, demain ou dans la semaine, on va coucher ensemble. J’ai hâte que cela se produise, car vu la manière dont la brune de 22 ans me chauffe, j’ai la certitude que c’est une cochonne au plumard.
Le soir-même, alors que notre réunion est achevée, nous nous affairons aux préparatifs du lendemain. Le directeur est allé se coucher comme à son habitude après son briefing. On se retrouve entre animateurs uniquement. L’ambiance est plus joviale.
Comme je suis un peu mesquin, je juge bon d’enquiquiner Anaïs en racontant l’anecdote de la piscine aux 4 autres membres, absent lors de son déballage mammaire.
Les rires fusent et l’animatrice se fait charrier copieusement.
– Tu as dû te sentir seule au monde, dit l’un.
– J’aurais bien voulu être présent pour voir ça, s’exclame Gaëtan.
– Oh, ça va, ce ne sont que des nichons, explique Anaïs.
– Oui, mais nous, on ne les a pas vu, souligne Karim.
Sentant que l’atmosphère se débride et ayant envie de revoir ses globes monstrueux, je défie Anaïs.
– Chiche de nous les montrer?
– Ok, à la condition que tu nous montres ta queue.
– Aucun problème, dis-je sans me débiner.
Et nous voici tous les deux debout sur une chaise.
Anaïs relève son débardeur en première. Elle ne porte pas de soutif, et on s’extasie devant ses gros obus. Ils sont pleins, avec de gros mamelons. Ils ont l’air lourds.
A la surprise générale, c’est Cécile qui fait le premier commentaire.
– Whaou, ils sont superbes.
– Merci bichette.
– Tu fais du combien?
– 100D, qui dit mieux?
Les autres filles ne bronchent pas et je lis toute la fierté d’Anaïs dans son regard.
C’est à mon tour de baisser bermuda et boxer. Sans pudeur, je dévoile mon sexe pendouillant à l’assemblée.
Cette fois, c’est Virginie qui fait le premier constat.
– Hum pas mal, jolie queue bien lisse. Karim prend exemple, rase ta touffe.
Fourire général.
– Tu as de bonnes grosses couilles, déclare Cécile.
– Oui, je fais du 100D comme Anaïs.
Nouvelle effusion d’éclats de rire.
– Ca serait plus excitant de la voir en érection, balance cette dernière.
– Ca peut s’arranger…
Je suis comme un coq en patte devant les 5 animatrices qui observent mes attributs.
En me réajustant, je contemple les regards complices, les sourires coquins. Les petites mises à nue d’Anaïs et moi-même semblent avoir emoustillées tout le monde.
Notre « octogroupe » se sépare à l’heure du coucher. Rozenn et Naïma s’en vont les premières.
Je sors fumer une clope avant d’aller faire dodo. Anaïs me rejoint pendant que les deux couples s’éclipsent en même temps. Nous voilà seuls tous les deux pour la première fois de la journée.
– Tu as du feu?
Je sors mon briquet et allume sa cigarette.
La miss seins nus me balance d’une voix suave:
– Qui allume encule…
– C’est une proposition?
– Non, plutôt une invitation.
Comment résister à cet appel au vice.
Je jette la moitié de ma cigarette et m’avance vers elle. Je pose ma main sur sa nuque et rapproche sa tête de la mienne pour l’embrasser. Ce baiser fougueux déchaîne nos passions. Alors que nos salives se mélangent dans une bonne soupe de langue, sa main s’engouffre directement dans mon boxer pour cajoler et branler ma verge, raide comme un piquet. Ma main s’active également sous sa jupe et sous son string. Je palpe ses fesses bien fermes et lentement, j’enfonce mon majeur dans son cul. Il est chaud et me compresse. J’y fais plusieurs aller-retour en fléchissant ma phalange et en l’allongeant à nouveau. La belle Anaïs se met à miauler sous mes caresses anales.
Notre soif de sexe s’amplifie. Nous faisons quelques pas pour nous mettre à l’écart d’un éventuel passage, faire ça juste devant la salle de réunion n’est pas très prudent.
Nous voilà à l’arrière du bâtiment, tapi dans la pénombre nocturne. Anaïs se met à genoux dans l’herbe, baisse mes fringues et m’offre une délicieuse sucette. Elle lèche ma hampe, m’avale jusqu’à la garde. Je couine de plaisir, la tête vers le ciel et les mains sur ses épaules. Elle me lappe le gland et me suce de bon cœur. Tout s’efface autour de moi. Cette chaudasse retire son haut et coince ma queue entre ses seins. J’ai le droit à une très excitante cravate de notaire. Je râle de plaisir, elle crache plusieurs fois sur mon gland en me masturbant entre ses gros nibards.
– Alors tu kiffes?
– Ouais grave, c’est trop bon.
Elle secoue ses seins de plus belle en suçant mon gland en même temps. Une vague de chaleur m’envahit, ma cavité abdominale ainsi que ma prostate se contractent. C’est le point de non retour et j’éjacule par de puissants jets dans sa bouche et sur ses deux gros roberts.
Notre désir est toujours intact, nous nous enlaçons à nouveau.
On s’allonge sur la pelouse et je l’aide à enlever sa jupe et son string.
Je ne passe pas par la case départ, la case de sa choupinette glabre et humide, je ne touche pas les 20000€. Je m’attaque directement à sa case la plus attractive, la rue de la paix ou plutôt la rue du « pet ».
Anaïs est en culbute arrière, ses genoux de chaque côté de sa tête et je dévore son trou de balle comme un morfale. Ma langue lèche, rentre, sort, navigue autour de son anneau que j’aime tant. Elle m’excite tellement que ma phase réfractaire est de courte durée.
Elle soupire de plaisir.
– Ouuuuhhh oui, tu me fais mouiller comme une chienne.
Je la sens chaude comme une baraque à frites. Ma queue est à nouveau dure comme l’acier et je l’enfonce facilement dans son anus dilaté. Cela lui arrache ses premières vocalises. J’accélère progressivement mes va-et-vient en grognant à mon tour. Nous savourons cet instant complices en communiant par des sourires qui veulent tout dire. C’est super bon.
Alors que ses gémissements se font de plus en plus sonores, je me retire et plonge ma tige dans sa bouche. Elle me pompe avec délectation, puis je retourne dévaster ses chaires obscures.
Je me régale de cette sodomie profonde, tout comme Anaïs qui crie sa jouissance. Elle n’en peut plus, sauf que moi j’ai de la ressource, ayant déjà éjaculé une première fois. Je suis inarrêtable, voir incontrôlable.
Je la retourne et la mets à quatre pattes, ce qui lui donne quelques secondes de répit. Je crache sur sa rondelle avant de pénétrer son cercle endolori. Je suis comme une bête sanguinaire, les yeux grands ouverts, mâchoire serrée et je lui casse le cul sauvagement en la tirant par les cheveux. Je suis complètement déconnecté, pas dans un état normal, je ne sais même pas si elle pousse des cris de plaisir ou de douleur. Ses deux grosses pastèques remuent dans tous les sens, alors que son agonie se termine. Dans un dernier élan, je sens mon sexe se raidir, mon gland se gonfler à bloc, mon cerveau bouillonne, c’est l’irruption. J’inonde son rectum de ma semence gluante, avant de m’avachir sur elle. Nous reprenons notre respiration, elle me sourit:
– Je vais avoir du mal à m’asseoir demain avec ce que tu m’as mis.
– Tu mettras un coussin sous tes fesses comme les mamies.
Nous nous embrassons une dernière fois et nous allons dormir sereinement.
A suivre…
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