J’ai vécu quelques temps avec une très jolie femme
On vivait ensemble depuis presque un an, avec Boule, un briard de deux ans un peu fou-fou. Une vie tranquille et confortable avec une vie sexuelle d’un couple de 30 ans. Vie sexuelle que nous pimentions parfois avec des jeux sm soft, masques, menottes etc.
Voilà comment de coquine, elle est devenue cochonne …
C’est l’été et à la maison elle est souvent nue sous sa robe courte, à cause la chaleur qu’elle dit…
En début d’après-midi, alors qu’il ne l’avait jamais fait avant, Boule commence à fourrer son museau sous la robe. Elle rigole en le repoussant, mais il revient sans cesse à la charge. Je suis à la fois amusé et excité par le jeu.
Quand il passe son museau par le devant de la robe, elle le repousse et plaque sa main sur son mont de venus. Il se met alors à tourner autour d’elle, et elle tente de lui faire toujours face. Il fait alors semblant d’abandonner puis, dès qu’elle relâche son attention, il passe derrière elle et plonge sa truffe sous sa robe.
Ce jeu dure pratiquement tout l’après-midi. Boule disparait puis, au bout d’une heure ou dix minutes, il recommence son cirque.
A sa dernière tentative, juste avant le repas, elle l’att**** par le collier et il est littéralement foutu à la porte.
A peine le repas fini, elle m’attire dans la chambre pour faire l’amour. Je la trouve nue sur le lit, bras en croix et jambes écartées. Comme elle aime bien que je la caresse et que je lui bouffe la chatte en préliminaire, je me précipite pour lui sucer le clito. Surprise ! jamais avant que je commence elle n’avait été autant mouillée, une vraie inondation ! Elle jouit très rapidement sous mes coups de langue. On continu à se donner du plaisir jusqu’à épuisement
Quelques jours plus tard :
On se prépare ce que nous appelons « soirée coquine ».
Une soirée coquine se situe entre l’apéro au champagne et le repas : on fait l’amour, mais de manière, disons, non conventionnelle. Cette fois, c’est moi qui mène la danse.
Elle est dans un fauteuil en rotin (style Emmanuelle, film qu’on avait adoré) Je lui mets un bandeau sur les yeux, lui attache les mains aux accoudoirs et les mollets au pieds du fauteuil pour que sa chatte soit bien offerte. J’adore ça car je peux titiller sa chatte et son clito avec ma langue ou son vibromasseur, lui planter un gode dans la chatte et de temps en temps me faire sucer, sa bouche étant juste à la bonne hauteur. Comme c’est moi qui suis maitre de la situation, je peux me maintenir au bord de l’orgasme.
Elle gémit doucement sous mes caresses. Je suis à quatre pattes entrain de lui sucer goulument le clito quand je repense à ce qui s’était passé quelques jours auparavant. Ça m’excite à un tel point que je pars dans la cuisine et reviens avec un pot de miel.
Je lui badigeonne copieusement la chatte, dedans et dehors, en regrettant que sa position ne me permette pas d’en mettre sur son anus. Elle se trémousse sous mes doigts et demande ce que je fais. Je lui répond doucement : « chutttt …. »
J’ouvre la porte de la chambre et dit avec une voix forte : Boule, viens mon chien !
Elle sursaute et tourne la tête de tous les côtés. Elle semble oublier qu’elle a les yeux bandés.
Boule hésite un instant sur pas de la porte, notre chambre lui est d’habitude interdite Je l’encourage et lui tends mes doigts enduit de miel. Il lèche et je lui fais suivre ma main. Ma femme est tétanisée, elle tremble un peu. J’approche ma main de sa chatte, Boule la suit en léchant. Avec deux doigts, je découvre le clitoris englué de miel de ma femme L’énorme langue de Boule commence à la lécher
J’enlève ma main. Il continu son travail de nettoyage, j’ai une tringle d’enfer
Dans un râle, elle me dit doucement : arrête, je ne veux pas… tout en gémissant doucement, agitée de soubresauts. En fait, elle est dans un orgasme qui ne s’arrête pas. Je lui tourne délicatement la tête pour lui présenter ma queue. On dirait une poupée de chiffon tellement elle est anéantie par cette jouissance continue, mais dès qu’elle sent mon gland se presser sur ses lèvres, elle l’avale goulument. Je joui tout de suite, mais elle continu à aspirer ma queue jusqu’au moment où Boule cesse de la lécher.
Je la détache délicatement et lui enlève le bandeau. Nous sommes tous les deux pantelants. Elle me pose un baiser sur la douche en disant : Je vais prendre une douche.
Nous dinons gentiment sans aucune allusion à ce qui s’est passé.
L’été se passe tranquillement, mais je pense sans cesse à cette soirée coquine !
Ma compagne n’y fait jamais allusion (j’ai le sentiment qu’elle a honte) et même Boule n’essaye plus de fourrer sa truffe sous la robe, alors, je n’ose pas en parler.
Un dimanche de septembre :
On profite de l’été indien : Apéro en plein air, barbecue, et, pour digérer est prévu une petite balade automnale.
Le repas terminé, j’apporte café et digestif. Le café bu, on sirote notre cognac en se regardant tendrement comme à l’habitude. Mais là son regard est bizarre, presque inquisiteur. Tout à coup, elle vide son verre d’un trait et se lève. Je me lève gauchement. Elle m’enlace et me chuchote à l’oreille qu’elle préfère rester à la maison et qu’elle va prendre une douche.
Un peu sonné, je fini mon cognac et entreprends de renter la vaisselle qui reste.
Je rentre dans la maison avec le dernier plateau. Elle est debout dans le salon, nue et magnifique. Le plateau vacille, je le pose rapidement sur la table basse. Je la regarde puis l’entoure tendrement de mes bras. Elle me serre très fort et murmure : il reste du miel ?
Je n’aurai jamais cru qu’une phrase si anodine puisse déclencher en moi une érection si fulgurante !
Je ne sais pas quoi dire, je bredouille un peu puis, angoissé, je cours vérifier car le dernier pot, je l’ai vidé pour lui badigeonner la chatte !
Dans le placard, un pot de miel d’un kilo tout neuf…. Et ce n’est pas moi qui l’ai acheté….
Ma queue ma queue est prête à exploser !
Je lui apporte le pot et me prépare à l’enduire. Elle est debout dans le salon, les jambes écartées Elle me dit : non, je vais le faire moi-même, pendant ce temps, déshabille-toi !
J’ôte mes vêtements tout en la regardant.
A ma grande surprise, elle commence par enduire ses tétons, puis ses aisselles. Elle trace une ligne d’entre ses seins jusqu’à sa vulve. Ensuite, elle continue par sa chatte, son anus et ses fesses. Elle s’arrête me regarde avec ce même regard bizarre, puis regarde ma queue dressée. Elle plonge deux doigts dans le pot de miel, en ressort deux bonnes cuillères à soupe de miel qu’elle rentre dans sa chatte. Elle recommence avec son anus. Ça suinte doucement. J’ai l’impression que je vais gicler sans même me toucher ! Elle me tend le pot et me dit : c’est bon, tu peux le ranger. Penaud, je m’exécute.
De retour de la cuisine, elle est toujours debout dans le salon. Je m’approche doucement d’elle, son regard est foudroyant et je ne sais pas ce que doit faire.
Elle lève les deux bras au ciel et son regard me montre ses aisselles. J’entreprends alors de la nettoyer.
Le miel est collant, ça dure un bon moment, mais elle aime ça, et moi, ma queue n’a jamais été aussi tendue !
Les aisselles propres, sans qu’elle demande, je m’attaque aux tétons. J’alterne droite et gauche, ils sont très dur tous les deux, et à ma grande surprise elle a un orgasme.
Je commence à descendre en suivant la trace de miel qu’elle a tracé jusqu’à son pubis quand elle crie : Boule, viens mon chien !
Sorti de je sais ou, Boule est rentré et après avoir tourné autour d’elle, s’est mis en demeure de tout lécher.
Elle est restée debout les jambes écartées, et a joui silencieusement plusieurs fois sous les coups de langues en me regardant, les yeux embués. Je l’ai regardé en me masturbant, j’ai giclé presque instantanément.
Maintenant, c’est non pas habituel, mais fréquent : Souvent, on invite Boule dans nos ébats, et les « soirées coquines » ont perdus leur aspect sm pour un aspect plus « Boule est avec nous ». On essaye un peu tout, par exemple, pour faire plaisir à Boule, on a essayé le sirop d’érable.
Les positions aussi : Madame sur moi, le dos sur ma poitrine, ma queue dans sa chatte ou son anus, et Boule qui lèche. Mais ce que je préfère, c’est quand elle me suce pendant que Boule lui lèche ses orifices, sans doute parce que je peux bien voir…
Un an a passé…
La « soirée coquine » est bien commencée, la bouteille de champagne est à moitié vide. Elle est très sexy : jupe courte sans culotte, un décolleté à pleurer, et des escarpins.
Elle me regarde avec des yeux pétillants et dit : On invite Boule ?
Bien sûr. Je me lève et vais à la cuisine chercher du miel. Et la… Le pot est presque vide, il n’y a pas de sirop d’érable… Je cherche quelque chose, mais rien. Je reviens un peu dépité.
Dans le salon, un spectacle inédit : Elle a débarrassé la table basse et s’y est allongée sur le dos avec juste un coussin sous la nuque. Elle me regarde en disant : comme ça, tu pourras venir dans ma bouche pendant que Boule me lèche la chatte.
Très excité, je lui étale le peu de miel qui reste sur sa chatte et surtout autour du clito. J’espère que Boule en aura assez.
Boule ! Viens mon chien !
Il arrive tout de suite, tourne autour d’elle, lui met même un coup de langue sur le visage, puis s’arrête entre ses jambes et commence à laper son clitoris. Je la vois se raidir et fermer les yeux. En quelques coups de langue, le peu de miel disparait, mais Boule continu. Il doit aimer le gout et l’odeur de sa chatte. Il n’arrête pas, et c’est hyper bandant de voir ça. Elle a un orgasme qui ne s’arrête pas. Sa tête est penchée en arrière, sa bouche prête à accueillir mon gland. Je vais dans sa bouche en regardant Boule lécher sa chatte avec son énorme langue qui lui rentre même dans le vagin. Je regarde son visage, ses yeux sont comme fous, ma queue est entière dans sa bouche. Je me retire précipitamment et dans un râle commun, mes jets s’étalent sur son corps, des seins jusqu’à son pubis. Boule surpris s’arrête et lève la tête et me regarde un instant, puis tout à coup, il pose ses deux pattes sur la table basse et se met à lécher le sperme. Il remonte doucement jusqu’entre les seins. De son fourreau pénien darde une pointe rouge. Son sexe effleure la chatte dégoulinante de ma femme. Il commence à s’agiter pour la prendre en missionnaire, mais elle repousse Boule gentiment, se lève et m’enlace tendrement.
La fois suivante, elle avait envie, et a offert sa chatte à Boule. Il s’est mis à lécher. Plus il léchait, plus elle était excitée et plus il léchait ! La voir à quatre pattes me sucer pendant que Boule lui lèche ses trous !!!! Le top !
A partir de là, il n’y a pas eu trop de sexe sans que Boule ne soit là. C’est mon chien, mais je pense qu’elle l’a un peu dressé pour son plaisir.
Boule est devenu très obéissant. Il la lèche sur demande et maintenant il bande chaque fois et très souvent il tente de s’accoupler. Elle le repousse toujours gentiment et lui caresse son fourreau pénien en regardant sa pointe rouge sortir et rentrer….
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