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Lou au garage

Lou au garage



Lou revient d’un voyage d’affaires. Deux salons professionnels à Montpellier et à Marseille. Il a fallu recevoir de potentiels clients, négocier et parlementer. Le soir, les conseillers de vente se retrouvaient entre eux. Lou n’a pas lésiné pour leur vider les couilles à coups de gorges profondes intenses et de sodomies multiples.
Sur la route, la BMW commence à montrer des signes de fatigue. Même la boite de vitesses automatiques rechigne à se montrer performante et le voyant de refroidissement s’est allumé. Il faut songer à s’arrêter. Mais trouver un garage automobile sur cette route paumée relève de la gageure.
Au bout de plusieurs kilomètres, un village s’annonce enfin. À la sortie de celui-ci, une enseigne automobile. Lou gare son véhicule dans la cour et se dirige vers le bureau d’accueil, ses talons aiguilles claquant sur le bitume.
Derrière le comptoir, un jeune homme. Il déglutit plusieurs fois avant d’adresser un timide bonjour à la dame. Il faut dire que des salopes comme ça, il n’y en a pas beaucoup dans le coin. Lou porte un collier de perles noires ainsi qu’un bracelet de la même collection. Son manteau de fourrure est ouvert sur un tailleur gris à la veste suffisamment échancrée pour laisser deviner les contours d’une guêpière noire. Sous la jupe fendue, de véritables bas couture noirs. La belle bourgeoise s’est parée d’escarpins noirs vernis avec un talon aiguille de douze centimètres et d’une chaîne de cheville. Pour Lou, il s’agit de sa tenue quotidienne. Elle assume totalement son statut de pute bourgeoise.
– Bonjour, je viens pour ma voiture. Je crois qu’elle chauffe un peu.
Le jeune homme a viré au rouge pivoine.
– Je… Je… Oui, très bien.
Le réceptionnaire se lève, incapable de cacher son érection immédiate et se dirige vers l’atelier. Il revient rapidement avec le patron du garage. Celui-ci, un dénomme Bob, marque un temps d’arrêt en découvrant Lou.
– Magnifique, murmure-t-il pour lui-même. Pour madame, qu’est-ce-que ce sera ?
– Ma BM chauffe un peu et la boîte fait des siennes.
– Vous allez me montrer ça.
Lou et le chef d’atelier gagnent l’extérieur. Il se tient légèrement derrière elle, de façon à avoir le balancement de son postérieur en ligne de mire. La belle salope s’installe au volant, sous l’œil attentif du patron. Le manteau de fourrure est bien ouvert sur la jupe savamment relevée. Il ne manque pas d’admirer ses jambes, la maille délicate du nylon.
– Avancez le véhicule.
Lou obtempère et dirige son coupé allemand vers l’atelier. Quand elle sort du coupé, elle constate que le regard des huit mécaniciens sont tous braqués sur elle. Aussitôt, elle sent que sa chatte s’inonde, que son jus s’écoule jusqu’à la lisière de ses bas.
– Je vous invite à patienter à l’accueil, fait Bob.
Les talons de la belle garce claquent sur le béton brut. Elle devine que les yeux affamés des mécanos la suivent jusqu’au comptoir. Elle prend place sur un fauteuil, croise et recroise les jambes. Bandant comme un âne, le réceptionnaire ne sait plus où se mettre et dessert sa cravate. Elle meurt d’envie de se caresser. Ravi de l’effet qu’elle produit sur le jeune homme, Lou relève un peu sa jupe, écarte les cuisses. Le réceptionnaire, qui s’appelle Kevin, bénéficie d’une vue superbe sur la corolle inondée de la bourgeoise. De temps à autre, avec une gestuelle totalement naturelle, elle porte un doigt à sa bouche. Kevin manque de s’étouffer. Lou en sourit et, pour s’occuper, fouille dans son sac à main. Rassérénée, elle y trouve son portefeuille, son porte-monnaie, des sticks de rouge à lèvres et une paire de bas couture de rechange. Si besoin, elle a encore tout un nécessaire de lingerie ainsi que plusieurs tailleurs dans la grosse valise qui se trouve dans le coffre de son coupé. Pourtant, elle a envie de tenter un coup de poker. La réparation de sa BMW contre son corps. Dix hommes rien que pour elle.
Elle se lève, lisse sa jupe et se dirige vers le comptoir en se composant un visage triste.
– Excusez-moi, jeune homme mais je viens de m’apercevoir que je n’ai pas de quoi payer. J’ai oublié ma carte bancaire. Je suis désolée.
– Ne vous inquiétez pas. On va trouver un arrangement.
Au même moment, Bob débarque de l’atelier. Lou se tourne vers lui :
– Je suis confuse, je n’ai pas la possibilité de payer.
– Ce n’est pas grave, madame. Nous allons trouver une solution. Suivez-moi.
Il ponctue sa remarque d’un clin d’œil puis d’un grand sourire pour ses employés. Dans l’atelier, entre les relents de cambouis et d’huile chaude, les ouvriers se sont arrêtés de travailler. Ils se sont disposé en cercle, comme s’ils attendaient déjà que Lou s’accroupisse au milieu.
La bourgeoise a bien compris la manœuvre mais elle n’espérait pas tant de coopération. Avec des gestes étudiés, elle relève lentement sa jupe, au-delà de sa chatte fiévreuse. Elle ne cherche pas à remonter ses bas puis se place au milieu du cercle.
Dix bites rien que pour elle. La belle salope a longtemps rêvé de ce moment. Elle passe une langue mutine pendant que les mécaniciens, Kevin le réceptionnaire et Bob le patron extirpent leurs queues.
Un premier chibre de taille conséquente se présente devant elle. C’est celle du jeune homme. Avec une lenteur désarmante, Lou lui lèche, à coups de langue très précis, le méat puis le gland. Elle ne manque pas de flatter les couilles pleines. Sans prévenir, elle accélère la cadence, gobant le sexe tendu en entier. Un filet de bave atterrit violemment sur le béton, un autre sur ses bas plissés. Lou, experte en gorges profondes, renouvelle l’opération avec le patron puis chacun des employés. La pute bourgeoise ne sait plus où donner de la tête. Les queues se succèdent dans sa bouche à un rythme d’enfer tandis que le jus de sa chatte dégouline sur le sol.
Lou continue de pomper avec une énergie folle, gratifiant chaque bite de belles gorges profondes bien baveuses. Elle renouvelle l’opération avec un plaisir toujours décuplé. Face à elle, les dix queues sont luisantes d’humidité. Elle sent que les hommes ne sont pas loin de décharger. Sur le sol, une tache énorme, mélange de cyprine et de salive, s’est formée. Avec une pointe de regret, elle arrête son traitement, se relève sans essuyer ses lèvres dégoulinantes d’une salive épaisse et va se positionner sur le capot de la BMW, cuisses bien écartées, corolle complètement trempée et offerte aux bites impatientes. Lui lécher la chatte pourrait se révéler superflu, pourtant un des mécaniciens n’hésite pas à y coller sa langue.
– Quelle putain ! C’est complètement inondé ! commente-t-il.
– Vas-y, montre-nous, fait un autre qui caresse les bas de Lou.
L’homme s’écarte un peu pour laisser ses collègues admirer le spectacle. La cyprine de la belle bourgeoise s’écoule sur le capot de la BMW.
– Baise-moi mon salaud !
L’homme ne peut refuser un tel ordre. Tenant Lou par les jambes, il s’enfonce en une seule poussée. Il pilonne la chatte fiévreuse tandis que la salope ouvre encore plus les jambes. Ses bas sont tendus au maximum. Sa position lui permet aussi de branler deux belles bites. Même avec cette grosse queue au fond de sa chatte, sa cyprine ne cesse de dégouliner. Son jus coule jusqu’à la calandre, le pare-choc et finit par former une nouvelle mare sur le sol de béton brut.
Les participants, tous plus excités par la présence magnétique de cette pute bourgeoise, n’hésitent pas à s’échanger les places. De nouveaux chibres s’installent dans la chatte de Lou et entre ses mains. Elle branle les verges avec une vigueur peu commune.
Jamais rassasiée, elle décide de pimenter un peu plus le jeu. Elle se met debout, ses mains prenant appui sur deux bites. Lou, bien en appui sur ses talons aiguilles de putain, se penche un peu en avant, ce qu’il faut pour que son cul se fasse empaler et qu’elle puisse gober les queues qui se présentent juste devant sa bouche. Ainsi pilonnée, la pute bourgeoise s’en donne à cœur joie. Le jus de sa chatte est devenu un torrent qui ne risque pas de se tarir. Lou pompe les verges dures jusqu’au fond de sa gorge de garce. Elle fait tout pour que les couilles pleines viennent buter contre son menton. Lou, en putain experte, bave constamment.
Les bites, bien humidifiées par ses langue, se tendent toujours un peu plus vers elle pendant que son cul de salope se fait savamment défoncer. Sans discontinuer, les queues se succèdent dans son anus. On s’agrippe à ses hanches, aux jarretelles de sa guêpière. D’autres mains flattent ses seins aux tétons dressés.
La bouche pleine d’une verge qui s’enfonce jusqu’à sa gorge, Lou gémit. Jamais, même dans ses fantasmes les plus fous, elle n’aurait pensé que dix hommes s’occuperaient ainsi de son appétit de salope. Pleine d’autorité, elle choisit de prendre une nouvelle position. Elle s’installe sur le capot d’une autre voiture, la tête tournée vers le sol. Ses talons aiguilles viennent cogner contre le pare-brise. La pute bourgeoise a encore envie qu’on baise sa bouche, que sa bave épaisse dégouline sur son visage et ravage son maquillage. Les dix bites alternent dans son conduit buccal, sa salive se fait toujours plus conséquente et emporte ce qui reste de son maquillage de chienne. Ces autres orifices n’ont pas été abandonnés. D’autres mains s’en occupent. L’un des mécaniciens a plongé son poing entier dans sa chatte et renouvelle l’opération dans son anus distendu. Reprenant son souffle, Lou hurle son plaisir d’être une pute bourgeoise et demande qu’on défonce encore plus sa bouche. Les mécaniciens, plus que ravis de s’offrir cette salope, mettent les bouchées doubles. À tour de rôle, ils viennent pilonner la bouche offerte. Lou, qui manque de suffoquer, bave de plus en plus. En gros paquets, sa salive coule sur ses yeux, ses cheveux et atterrit au sol dans une mare épaisse.
Jamais rassasiée, Lou se repositionne. Elle se met debout, frotte la salive qui imbibe son visage sur ses seins et offre son cul en s’installant à quatre pattes sur le béton brut. D’autorité, le patron du garage prend place derrière ses fesses.
– Mais quel cul de putain ! fait-il, ahanant, avant d’y introduire sa queue humide.
Le boss s’agrippe aux hanches de la pute bourgeoise et la pilonne sans ménagement. Autour d’elle, les autres hommes se branlent avec vigueur. Quant à sa chatte, elle continue de couler. Un flot ininterrompu, toujours plus conséquent. Sur le sol, son jus s’est mélangé à sa salive.
– Je suis votre salope, votre pute ! Allez-y, défoncez-moi ! Faites-moi jouir, mes salauds !
Les hommes pistonnent Lou de plus belle. Le cul de la salope valdingue, tressaute mais tient bon. La belle pute se fait sacrément secouer. Totalement ravie de subir un tel traitement, elle hurle de plus en plus fort. Une jouissance violente. Elle tend encore plus son cul, elle veut les sentir au plus profond d’elle. Les mécanos se succèdent aussi au fond de sa bouche gourmande. Elle multiplie les va-et-vient et les bruits de succion.
Lou sent qu’ils sont à point. Elle les invite à se retirer. Elle s’assoit sur le sol de béton et retire ses escarpins de bourgeoise débauchée.
– Je vais vous demander une faveur, fait-elle avec gourmandise. Je veux que votre foutre atterrisse dans mes chaussures. Mettez-y la dose !
Lou tend ses escarpins vers les dix hommes qui se branlent avec énergie. Tour à tour, et sans retenir leurs cris de jouissance, ils vident leur foutre dans la sublime paire de chaussures. Des paquets épais de semence épaisse et chaude dont la pute bourgeoise se délecte d’avance en caressant sa chatte incendiée.
Les mécaniciens se sont vidés, leurs queues gluantes de foutre font face à Lou et elle s’empresse de bien les nettoyer. Elle a horreur d’en perdre une goutte…
La belle bourgeoise se relève, se rhabille, enfile ses escarpins maculés de sperme. Pour elle, c’est une sensation divine. Les mécanos remballent leurs queues avec la satisfaction d’avoir baisé une pute exceptionnelle. Suivant le patron, Lou retourne vers le bureau.
– Ma voiture sera prête quand ?
– Je ne peux pas vous annoncer de délai. Il faut regarder la boîte de vitesses et le système de refroidissement. Vous allez devoir prendre un hôtel, madame. Je peux vous conseiller l’adresse d’un ami.
Il lui tend une carte de visite. Le Relais de la Forêt, un quatre étoiles.
– Ça me va très bien.
– C’est à quelques kilomètres. Kevin va vous emmener.
Lou récupère sa valise et suit le jeune homme vers un véhicule de courtoisie. Après avoir chargé la valise, il prend soin de lui ouvrir la portière côté passager et ne manque d’admirer la vue sur la chatte de la garce. Le jeune homme ne sait où donner de la tête. Un œil sur la route, l’autre sur les cuisses dévoilées de Lou. Alors qu’ils arrivent déjà dans la cour de l’hôtel, il a furieusement envie de lâcher le volant. Malgré sa queue tendue, il réussit quand même garer le véhicule.
Sans l’attendre, Lou se dirige vers l’accueil, bluffe en expliquant qu’elle n’a pas de moyen de paiement. L’employé se concerte avec son patron. Après avoir dévisagé la bourgeoise avec une envie de luxure dans le regard, il accepte sa requête et lui donne le pass d’une chambre à l’étage.
– Tu vas monter ma valise, Kevin.
Le jeune homme obtempère et suit la pute bourgeoise dans l’escalier. Il se tient à bonne distance afin d’admirer la superbe croupe qui ondule ainsi que les bas couture qui plissent à chaque marche. Lou pénètre d’autorité dans la chambre et, d’autorité, prend place sur le lit. Kevin dépose la valise sur une table et s’apprête à repartir même si, au fond de lui, il espère avoir droit à un petit pourboire.
– Approche-toi, tu as droit à une récompense.
Bien évidemment, le jeune homme obtempère et sort sa bite déjà raide. Lou le pompe avec avidité, multipliant les gorges profondes, la bave épaisse et les bruits de succion. Kevin est aux anges et ne tarde pas à jouir dans la bouche de la salope. Il se retire sans un bruit.
– Tiens-moi au courant pour la voiture.
– Bien, madame…

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