Lorsqu’il ouvrit la porte il eut un moment d’hésitation puis son visage s’illumina, il venait de me reconnaitre.
– Elodie ! Quel plaisir, je ne t’attendais plus. Entre, je t’en prie. Tu es magnifique tu sais ?
– Merci Philippe lui répondis-je d’une petite voix, un peu intimidée maintenant que j’étais là.
Que devais-je faire, comment me comporter ? Mais je n’ai pas eu très longtemps à hésiter car dès qu’il eut fermé la porte il m’attira à lui et nos lèvres se trouvèrent pour un baiser fougueux. Ces mains me parcoururent le dos, les fesses, le haut des cuisses pour trouver leur place sur mes fesses qu’il attira à lui me laissant deviner une érection déjà bien développée. Comment pouvais-je lui faire un tel effet ? « Ho ma chérie, tu m’as manqué. Tu es si belle aujourd’hui, j’ai envie de toi, là maintenant ». Ni une ni deux il me fit me retourner et je me retrouvais les fesses contre son sexe, ses mains me caressant le corps, découvrant les courbes créées par la guêpière. Il vint caresser mon clito qui s’était dressé au travers de la jupe tandis qu’il m’embrassait le cou. Sous ces caresses je me cambrais et ondulais pour mieux sentir son sexe que je sentais maintenant en pleine forme.
Après quelques instants de ces caresses je l’ai senti glisser dans mon dos et ses mains quitter mon clito pour remonter ma jupe. Arrivé au niveau de mes fesses il a commencé à leur faire quelques bisous puis à suivre les contours du tanga du bout de la langue, s’insinuant entre mes fesses. Je me suis alors cambrée davantage pour lui faciliter la tâche. Lorsqu’il est passé à proximité de mon sexe encore protégé par la mince ficelle du tanga j’ai eu un petit frisson de plaisir. Je me suis alors penchée en avant, prenant appui sur le mur avec les mains pour lui laisser la possibilité de m’explorer sans entrave. Les caresses de sa langue se sont alors concentrées autour de mon sexe que je sentais palpiter de plaisir. Il allait me faire mourir s’il continuait comme ça. Mais il finit par écarter mon tanga et après quelques tours de langue, je l’ai senti me lécher doucement, m’arrachant un soupir de plaisir. Lorsque qu’il a pointé sa langue et qu’il m’a pénétré j’ai eu l’impression que mon corps s’enflammait, qu’une explosion venant de mon sexe avait des ondes de choc dans tout mon être. J’ai senti sa langue être remplacée par ce que j’imaginais être un doigt qu’il fit jouer en moi, me donnant des frissons à chaque mouvement. Lorsqu’un deuxième doigt tenta l’intrusion, je fouillais fébrilement mon sac qui était resté à mon épaule et lui tendais le gel. « Ho mais je vois que Madame a pensé à tout et qu’elle avait des idées derrière la tête. ». Me dit-il en étalant le gel du bout des doigts avant de les faire pénétrer et de reprendre leurs jeux entre mes fesses. Je ne sais pas combien de temps se massage a duré ni même avec combien de doigt au final tellement j’étais partie dans mon plaisir.
Toujours est-il que lorsqu’il ôta ses doigts et qu’il remonta, il ne lui fallut que quelques instants pour présenter son sexe et me pénétrer profondément, d’une seule poussée. A peine arrivé en butée il est ressorti et a débuté une sodomie bestiale, rapide, brutale. Il grognait dans mon dos tandis que je gémissais sous ses assauts brutaux. Il m’avait saisi les hanches et me faisait aller et venir au rythme de ses va et vient les rendant plus forts et plus profond. Sous ce traitement il ne m’a pas fallu longtemps pour sentir l’orgasme monter et lorsqu’il ma agrippé plus fermement me plaquant avec force contre lui alors qu’il tentait de s’enfoncer encore plus profond, qu’il a poussé un long râle et que j’ai senti son sexe vibrer et se vider en moi, je crois que j’ai crié de plaisir, emporté par un orgasme incroyable.
Mes jambes ne me soutenant plus, je me suis laissée glisser au sol, sentant son sexe quitter le mien pendant ma descente. Il s’agenouilla, le sexe un peu ramolli mais luisant de nos plaisirs partagés et vint m’embrasser. Me laissant pantelante il me dit que nous allions passer un super week-end. Finalement il me prit par le bras et m’aida à me relever. Vient me dit-il j’ai préparé à souper. Je me rajustais et le suivis.
Effectivement la table était dressée avec goût et des bougies brillaient sur la table.
– Ho ! Tout ça pour moi, c’est trop gentil. Ne pus-je m’empêcher de m’exclamer.
– Parce que tu le vaux bien ma chérie. Vas y installe toi.
– Je vais d’abord me refaire une petite beauté.
Je passais dans la salle de bain pour me passer une lingette intime sur mon sexe encore ouvert qui commençait à laisser perler un peu de son jus. Les fuites semblant devoir être écartées je rajustais mon tanga en me disant que j’aurais dû prendre aussi le string. Une retouche de rouge à lèvre et je sous de retour dans la salle à manger où il m’attendait en tenant ma chaise qu’il poussa lorsque je m’assis. Il nous servit une coupe de champagne et s’installa en face de moi. Après un long moment de silence où nous nous regardions dans les yeux et où il trouva ma main sur la table qu’il commença à caresser nous entamions des discussions à propos de tout et de rien. L’étonnant avec le recul c’est que je répondais en tant qu’Élodie et que mes paroles n’étaient pas celles que j’aurais eu en tant que moi.
Ajouter un commentaire