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baise entre cousine

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e suis une fille comme les autres. J’aime me caresser le soir dans mon lit ou sous le douche. Par contre je n’ai pas de petit ami. J’ai failli en avoir un qui m’a même embrassé. Sa bouche était tellement sale que je me suis dégagée aussitôt en jurant que plus jamais une bouche masculine viendrai sur mes lèvres. Pourtant les copines me disaient que c’était si bon, surtout quand ils venaient mettre leurs doigts dans leur chatte.
Je ne voulais pas entendre parler de cette engeance d’homme qui à mon avis ne cherchait que son plaisir sans penser aux autres.
Je m’abstenais de fréquenter, sinon en copine, sans plus, les garçons. Pourtant je crois que l’un deux ne m’aurait pas déplu: mais il fréquentait une autre fille.
Mais au fond quel plaisir de plus j’aurais avec un garçon puisque je trouvai mon plaisir extraordinaire, surtout quand je réussi à me dépucelée seule, avec un godemichet improvisé: une concombre enveloppé dans un préservatif: j’ai eu mal au début puis la fin fut parfaite: je jouissais.
Quand j’ai eu 20 ans, j’avait envie de jouir avec une autre personne: je rêvais de donner mon sexe non pas à un garçon, mais à une fille. Une de mes lectures m’apprenait que l’amour entre filles était excellent et surtout sans risque de grossesse.
Je ne savais pas trop comment faire quand en vacance je retrouvais ma cousine Juliette. Ah ma cousine Juliette. Dans la famille elle était considérée comme une honte: pensez, elle ne fréquente que des filles et aucun garçon. C’était pile mon cas. Je n’avait encore jamais fait l’amour avec une de mes semblables. Si elle aimait les filles, il devait bien avoir une raison.
Nous étions bloquées toutes chez ma grand-mère. Nous pouvions sortir bien sur, aller où nous voulions; mais voilà, les seuls endroits où nous pouvions aller était à des kilomètres et à pieds……
Donc nous bavardions en nous promenant dans la campagne avec Juliette. Au début nous parlions de tout. Je ne sais comment ni pourquoi je lui racontais mes aventures de masturbation et ma délivrance avec un concombre.
– Figures toi que moi aussi je me suis rendue femme avec un concombre: j’avais à peine 16 ans à l’époque. je me donnais du plaisir seule, j’ai continué. Voilà tout.
– On dit que tu aime mieux les fille s que les garçon.
– C’est vrai, quand une fille me plait je fais tout ce que je peux pour faire l’amour avec elle. J’ai essayé plusieurs fois avec un homme d’expérience: je n’ai jamais jouis. Alors qu’avec les femmes je n’ai jamais ce soucis là: je jouis beaucoup à chaque fois.
– Est-ce que je te plais pour baiser avec toi.
– Baiser avec toi, en famille. Tu es belle et sexy, pourquoi pas, je n’osais pas te faire d’avance.
– J’aimerai bien essayer une fois au moins.
– Ce soir tu viens dans ma chambre ?
– D’accord à ce soir.
Nous nous arrêtons en pleine campagne pour nous embrasser. Ses lèvres sont drôlement douces. Sa langue entre dans ma bouche: je fond de désir. Je voudrai qu’elle me fasse l’amour, là, de suite dans ce champ à coté. L’après midi me semble long, trop long. Enfin le soir arrive et après l’inévitable programme de télévision, je peux enfin monter dans ma chambre. Je n’ai pas demandé à Juliette où nous devions nous retrouver. J’espère qu’elle ne pense pas que je vais la rejoindre dans sa chambre.
Je me déshabille et me couche nue, comme tous les soirs. Je commence même à me caresser. Enfin la porte s’ouvre sur Juliette qui ne porte rien sur elle. Pour moi c’est une forme de courage de venir chez moi ainsi. Elle se glisse à mes cotés. Nous reprenons où nous en étions restées: ses lèvres se posent encore sur les miennes pendant que sa langue pénètre ma bouche consentante. Elle profite de ma nudité pour poser ses main sur ma poitrine. Je suis novice de ce coté là. Elle me caresse lentement, sans appuyer en ne touchant un mamelon qu’avec un seul doigt. Il me semble qu’il grossit pas mal. Sa bouche sur mon autre sein me suce l’autre mamelon. Je sais déjà que quand je me masturberai la prochaine fois je le ferai au moins en caressant mes seins.
Elle sait comment m’exciter en caressant mes hanches, mon ventre et mon pubis velu. Il me semble qu’elle me peigne avec ses doigts écartés. Je sens que la cyprine coule entre mes jambes que j’ai pourtant ouvertes que je me caressais. Je sens sa main venir sur ma chatte: elle touche partout ma féminité. Elle ne s’arrête pas à un endroit particulier: j’aimerai tellement qu’elle me fasse jouir; ce doit être délicieux une main de femme dans le sexe d’une autre. Je n’ose pas lui demander de ma masturber: Est-ce que les femmes demande telle chose à leur compagne ?
Elle doit comprendre ce que je veux: enfin elle pose deux doigts (comme je fais) sur le clitoris. Enfin la recherche du plaisir est sur moi. Elle me caresse très lentement. Je me sens obligée de prendre sa main pour qu’elle aille plus vite: je ne peux pas parler avec sa langue dans ma bouche. Elle va et vient sur mon bouton. Le plaisir est bien supérieur à celui que je me donne. Je suis prête à faire avec elle tout ce qu’elle me demandera, même si la morale l’interdit. De toute façon ce qu’elle me fait est hors de la morale normale.
Je me crispe en jouissant: je ne me tiens que pas les talon et ma tête sur le lit: le reste du corps est soulève par cet orgasme. Elle en profite pour mettre une main sous mes fesses. Je n’ose pas y appuyer. Elle le fait pour moi. Elle force à peine pour arriver à mon petit trou. Je sais que les couples mixte se serve de cet endroit pour se faire jouir. Pourquoi je n’y aurai pas droit ? J’ai la réponse quand elle me caresse lentement le tour de l’anus. C’est nouveau pour moi et qu’est-ce que c’est bon. Je suis totalement sous sa dépendance. Elle entre son doigts dans le cul. Je ne m’y attendais pas du tout. Il me semble encaisser un coup mal placé avec son doigt à cet endroit particulièrement secret. Pour elle pas d’importance: elle commence à aller et venir: je ne m’attendais pas à ce nouveau plaisir en jouissant.
– Branle toi pendant que je te sodomise.
– Pourquoi ?
– Tu jouira encore plus.
Je fais comme elle dit: mes doigts survolent à toute allure mon bouton. Entre mon clitoris et son doigt, j’avoue que j’ai un orgasme encore plus fort que les autres.
Je suis totalement vidée: je n’ai pas l’habitude de jouir autant à la fois.
– Arrête, s’il te plais, je n’en peut plus.
– J’attendais que tu le dise. Maintenant je vais me branler devant toi pour que tu sache tout ce que je peux faire. Il faudra quand même que tu m’aide pour apprendre certaines choses qu’on ne peut faire qu’à deux filles.
Elle se couche à mes cotés: je la regarde bien pour apprendre; Elle commence par une légère caresse sur le clitoris pour aller mettre deux doigts dans sa vulve. Elle ne se doigte pas normalement: elle caresse à peine une petite zone dans son vagin. Elle commence à jouir sans cesse.
– Tu vois, je me caresse ce qu’on appelle le point G, le plus sensible de la femme.
Elle continue vers le bas pour entrer deux doigts dans son cul, elle les fait aller et venir. Elle se caresse le clitoris avec son pouce de la même main. Je voudrai bien lui faine ce qu’elle me demanderai: elle veux se débrouiller seule. Elle arrive à passer sa main sous l’autre pour cette fois se doigter le vagin. Elle commence à délirer;
– C’est trop bon, je vais jouir. Encore. J’aime ce que je me fais. Embrasses moi.
Là je répond aussitôt: ma langue est vite dans sa bouche. Sans qu’elle le demande je lui caresse les seins comme elle l’a fait pour moi. Mais mon autre main est sur mon bouton; je me branle en la regardant. Enfin elle arrête ses caresses solitaires:
-Aimons nous autrement. Viens sur moi à l’envers.
Je monte sur elle, écarte bien mes jambes pour que se tête passe aisément: sa bouche est vite sur ma fente. Sa langue fait les révisions sur ma chatte: elle repasse partout où elle a déjà été. Je me décide à la sucer également. Je suis un peu surprise par le mon goût de sa cyprine: moins fort que la mienne. Je vais directement à l’endroit où elle a commencé: je vais sur son anus. Je m’attendais à une forte odeur: pas du tout. J’entre ma langue dans ce cul et la fait aller et venir. Je sens ses contractions qui me montrent que je l’ai faite jouir. Je remonte un peu pour chercher son point G. Au diable pour savoir où il est exactement. Coup de chance je le trouve. Je le lèche sans arrêt même si elle jouit sans cesse. Elle me fait partir plusieurs fois encore. J’aime bien les 69 avec elle.
Fatiguées nous cessons non pas de baiser mais de faire des 69. Nous nous embrassons, les bouches pleines de la cyprine de l‘autre.
Elle me demande de me mettre presque assise. Elles est juste contre moi, me faisant face, passe ses jambes croisées sur le mienne pour arriver à mettre son clitoris contre le mien. Nous commençons une drôle de danse de l’amour. Danse qui nous mène vers des rivages inconnue de moi.
Les vacances sont trop courtes pour nous aimer ainsi. La dernière nuit est la plus éprouvante: nous nous aimons sans arrêt.

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