Nous serions nu, allongés sur de long et grand lits immenses,
avec des drapés fins de velours aux couleur sang vif.
Là, nous passerions notre temps à admirer les multiples courbes de ces dames. Tantôt tordues de joie, tantôt allongées, soupirant l’allégresse et puis soudain, nous les verrions s’entremêler dans la chaire d’un chanceux.
Simplement habillé de lingerie fine et délicate, l’érotisme à son apogée nous caressera les yeux avec des bas aux infinis niveaux de gris, dessinant les jambes fines ou grassouillette de ces dames, heureuses comme un groupe de biches s’amusant à jouer avec une colonie de papillons de toutes sortes de couleurs, dans une forêt épaisse d’arbres gigantesques et sombres.
Leurs dessous ont des couleurs contrastés à celles de leur peau, et glissent légèrement à un simple touché.
Tout comme le serpent, les femmes se faufilent le long des draps de la couleur de la vie. Elles s’approchent de grandes coupelles en argent brillantes, remplis de fruits encore humides, regorgeant de pulpe du bonheur.
De leurs doigts agiles, nos dames se serviront de raisins jusqu’à avoir la paume fragile, pour ensuite venir s’allonger près de nous. Ce temps de séparation entre nous, nous fera encore plus apprécier ses retrouvailles fruités.
Les grappes de raisins tombent devant nos bouches affamées, notre dos étant allongé sur leur genoux malicieux, la nuque pliée vers les cieux, nous contemplons en même temps, l’harmonieuse vue d’une paire de lunes délicieuse, pour pouvoir att****r la grappe que ces demoiselles tiennent dans leurs mains sucrés qui entrent dans notre bouche et en sort bien léchés, pour ne voir sortir qu’une branche sans vie…
Dans une ambiance violette et rose velouté, des rires et soupires de plaisirs se font entendre. Les yeux toujours à demi-ouvert nous contemplons un plafond de miroirs embrumé par la chaleur des corps désirés.
Nous rions aussi, et quand les bouffées de chaleur deviennent trop fatigantes d’un effort surnaturel, nous nous levons, quittons les drapés du désir, pour aller lentement en rampant vers une pièce toute marbrée, plus fraîche et plus éclairée.
Des serviettes blanches repassées par les dieux nous attendent sur le coins de l’entrée de la pièce illuminée et vaporeuse.
Un choix s’offre alors à nous ! Qui de nous sera celui qui cachera ses attribues pour jouer de meilleurs surprise après ?
Si ce choix n’est pas celui ci, alors il sera de garder sa fierté toute visible pour rire de celles dont les regards seront trop souvent fixés sur cette partie du corps que l’homme souhaite immaculée…
Dans cette pièce, plusieurs bains, encrés au sol, sont dispersés.
Il est difficile de deviner lesquels sont chauds de ceux qui sont sont glacés, là en est le jeux car un nuage de vapeur à la hauteur de nos yeux, reste immobile et nous joue des tours.
Des partie de jambes apparaissent puis disparaissent, pour qu’à quelques mètres à coté, nous discernions
une paire parfaitement ronde comme nos chers planètes, mais il est impossible de savoir s’il s’agit de seins ou d’un fessier et cela même lorsque l’on voit, tel une abeille fonçant vers la plus belle et l’unique fleur d’un désert aride, la tête d’un homme heureux, se ruer à l’intérieure du creux de cette paire si fier.
voila je n’ai pas finis. mais n’hésitez pas à me donner des conseils d’écriture et de syntaxe. et surtout à me dire ce que vous en pensez ?
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