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Moi Maryline 1Ferdinand

Moi Maryline 1Ferdinand



Je m’appelle Marilyne Grisol et oui je sais, mon prénom vous rappelle quelque chose ! Ma maman disait souvent à mon père avec humour, mais aussi une pointe d’agacement dans la voix,
– Tu as insisté pour ce prénom, parce que tu as toujours fantasmé sur « la poule » du président américain.
Ce n’était pas faux en fait. J’ai été élevée dans le pavillon de banlieue qu’ils avaient acheté en s’endettant sur 25 ans et qui même s’il était sur le standard des maisons voisines, un peu copiées collées les unes et les autres, c’était pour eux leur château et leur réussite et leur havre de paix.
J’ai grandi tranquillement, entre un père comptable dans une grande entreprise et une mère au foyer. Notre vie était ordinaire, mais elle ne me déplaisait pas c’était la nôtre. Je suis une femme banale de taille moyenne avec des rondeurs partout, entendez que j’ai des cuisses altières, un cul rebondi, des seins généreux aux tétons assez gros et des lèvres charnues. Mon visage est banal, ni beau ni laid et je n’ai jamais eu le goût du maquillage ni des tenues qui auraient pu mettre en valeur mon corps. Si nous étions à la campagne, on pourrait dire que je suis un joli poulet élevé au bon grain.
Du vivant de mes parents, (ils sont morts la même année quand j’avais 38 ans) je n’avais eu qu’une seule expérience sexuelle et encore si on peut dire ça !
Je travaillais déjà à l’étude de Notaire Barentin et fils comme secrétaire et le notaire avait installé son fils dans le cabinet après qu’il ait eu son diplôme. C’était un garçon un peu rondouillard et boutonneux qui rougissait dès que je lui parlais. Pour moi ce n’était qu’un collègue sans plus et le fait que nous partagions le même bureau faute de place, ne changeait rien à la chose. Je ne pensais pas aux garçons et je calmais mes envies sexuelles naturelles à ma manière, mais ça on en parlera plus tard.
Un jour maître Barentin nous dit qu’il serait absent toute la journée, devant aller à Paris faire signer des actes à une cliente, comme cela lui arrivait régulièrement. Il nous confia nos taches de la journée et nous demanda de travailler ensemble sur le classement des pièces d’un très gros dossier qui devait être bouclé avant la fin de la semaine.
Il faisait chaud en ce jour d’été et pour une fois, j’avais mis une jupe qui toutefois m’arrivait aux genoux, cachant mes rondeurs, du moins le pensais-je, puisqu’elle était large tout en étant légère et je portais un chemisier bien boutonné qui ne laissait rien voir de plus que le début du sillon de mes seins, comprimés dans mon soutien-gorge blanc sans fioriture.
Après le départ du notaire, nous décidâmes d’un commun accord, de faire nos tâches courantes le matin et ensuite après le repas, que je prenais soit dans une brasserie proche, soit dans la petite office attenante à mon bureau, une pièce étroite, sans charme dans laquelle trônait un micro-ondes sur un frigo top près d’une petite table en formica blanc à pieds en inox des années 70, parée de deux chaises du même acabit, dont l’une avait un pied un peu bancal car il manquait le caoutchouc de protection remplacé depuis des lustres par un sous-boc d’une bière belge. Il y avait également dans un angle un petit évier surmonté d’une lucarne au verre dépoli qui ne permettait même pas de voir à l’extérieur et que je n’ai jamais ouverte. Je n’y venais que les jours ou la charge de travail était importante et j’avais toujours dans le réfrigérateur quelques plats à réchauffer et des yaourts. Je décidais ce jour-là compte tenu du surcroit de dossiers à traiter, de rester sur place et à midi, je me rendis dans la petite salle que pompeusement nous appelions la cantine. En ouvrant le frigo, je vis que Ferdinand, oui j’avais oublié de dire qu’il est affublé d’un prénom vieillot et guindé comme l’est son père et comme il est en train également de le devenir, donnant toujours l’impression d’avoir un balai coincé dans le fondement, avait lui aussi mis de quoi se restaurer dans le frigo.
C’est donc de concert que nous préparâmes nos plats à réchauffer. Passés à table nous mangions en silence et j’avais malheureusement hérité (c’est normal chez un notaire) de la chaise branlante (n’y voyez aucun e allusion !).
Je voyais bien tout en avalant mon lapin aux petites carottes que le jeune clerc glissait des regards en douce, plus vers mon chemisier pourtant bien boutonner que vers mon visage. Dès que je le regardais, il se mettait à rougir et reprenait sa mastication lente d’un plat que je n’identifiais pas dans le genre daube ou ragout.
Mon plat de résistance fini, je saisis sans me lever un fromage blanc, n’ayant qu’à tendre le bras pour ouvrir le frigo. Ferdinand alors que j’avais entamé mon yaourt et que je portais une cuillère à mes lèvres, vous vous souvenez les lèvres charnues qui sont le seul élément marquant de mon visage ! Ferdinand donc en se levant accroche involontairement le bord de la table et je me recule par réflexe oubliant que ma chaise est bancale. Résultat de courses je me retrouvé étalée par terre les cuisses toujours accrochées à l’assise de ma chaise et généreusement ouvertes sur ma culotte petit bateau, tandis que le yaourt se repend sur mon chemisier.
Confus Ferdinand se précipite et n’en perdant cependant pas une miette, me tend la main sans trop de précipitation, pour m’aider à reprendre une station verticale. A peine debout je mesure l’ampleur des dégâts sur mon chemisier qui dégouline de yaourt entre mes seins. Je n’ai pas d’autre choix que de me tourner vers le petit évier au bas duquel à la porte du placard est accroché un essuie mains. Je détrempe un angle du tissu et après avoir enlevé le trop plein de fromage frais avec ma petite cuillère, entreprend de supprimer la tâche avec de l’eau froide. Les laitages ça ne tâche pas vraiment, évidement. L’eau par contre sur un chemisier blanc en coton fin, a un tout autre pouvoir. Me voilà donc sans plus aucune tache mais avec un chemisier devenu transparent qui dévoile mon soutien-gorge très sage, mais surtout et c’est le pire, mes tétons déjà gros (ça aussi je l’ai dit plus haut) qui de plus se sont tendus au contact de l’eau froide.
Vraiment en toute innocence, je me retourne vers Ferdinand et lui demande si j’ai bien tout enlevé. Son regard est totalement hypnotisé par le spectacle que j’offre involontairement. En moins de cinq minutes, il a vu ma petite culotte et il découvre maintenant mes seins et mes tétons. Son visage devient rouge brique et il bégaie
– Il en reste un peu là, je vais te l’enlever.
Il saisit le tissu d’une main tremblante et le plaque sur ma poitrine. C’est bien sûr le moment que choisit le bouton de la décence pour se désolidariser de la boutonnière et de moi par la même occasion (le traître). J’ai une pensée furtive et idiote, « les boutons ont une conscience ».
En attendant Ferdinand, frotte avec entrain mon chemisier et soyons franche, je commence à aimer ça, moi qui je le rappelle est vierge et me contente de jeux solitaires, le soir dans la pénombre complice de ma chambre. Il semble que je ne sois pas la seule à apprécier si j’en juge par la protubérance pas très grosse, mais ne soyons pas difficile, qui tend le devant du pantalon de Ferdinand.
Est-ce la chaleur de ce jour d’été, je ne sais pas, mais prise d’une envie violente, je lui intime,
– Ouvre donc mon chemisier et tache de sécher un peu mon soutien-gorge !
Ferdinand ne se fait pas prier et ses doigts malhabiles, déboutonnent plus que de raison mon chemisier, arrachant presque le bouton du bas. Enhardi par mon attitude qui à l’évidence montre que je souscris pleinement à son initiative, il sort mes seins des balconnets et se met à les téter tour à tour avec ardeur. Mes bouts deviennent durs et incroyablement plus longs que quand parfois je les titille. Ils sont indécents, tendus brûlants et durcis de désir. La bouche occupée avec un sein, une main qui s’occupe de malaxer l’autre pour ne pas faire de jaloux, Ferdinand plonge la main libre sous ma jupe qu’il trousse et sans faire plus de manières (il cachait bien son jeu le salopard) saisit ma chatte comme un fruit juteux. C’est vrai que juteuse elle l’est ! Je mouille comme une salope et j’adore ce qui m’arrive. Je suis contente d’avoir la veille au soir fait la tonte de printemps ne laissant qu’une courte toison en triangle sur mon sexe qui est bombé joliment et finement fendu, ne laissant voir le bout de mon clitoris que quand je l’excite dans mes jeux solitaires.
A mon tour, je desserre la ceinture du clerc, je déboutonne en un tour de main (comme si j’avais fait ça toute ma vie) sa braguette et libère d’un vilain slip kangourou heureusement très propre, son sexe pas très gros ni très long je le constate, mais qui pour l’heure me convient parfaitement puisque je n’en ai touché aucun autre auparavant. La petite bête est cependant vigoureuse, noueuse et très dure et j’ai une pensée pour son slip que j’ai critiqué, alors que je suis moi en culotte petit-bateau. En attendant, nos mains s’activent, explorent, ses doigts entrent et sortent de ma chatte qui mouille de plus en plus et s’arrêtent souvent sur mon clito qui brandit sa tête comme un coq sa crête. Ma main n’est pas en reste, massant ses bourses petites et rondes en harmonie avec le reste donc et alors que je pense qu’il va me culbuter sur la table ou l’évier, il me force à me mettre à genoux et saisissant mes cheveux que j’ai blond foncé et dans le genre drus et incoiffables, il plaque ma bouche (oui pulpeuse je sais) sur son sexe.
Je ne suis pas une gourde et je comprends bien que je dois prendre le petit chose en bouche, ce que je fais sans me faire prier. Ce premier contact avec un sexe d’homme me surprend. Le gland est sorti de la gangue du prépuce pendant la pénétration de ma bouche et je sens tout au long de la progression de la hampe entre mes lèvres les veines qui battent sur sa longueur. L’engin est chaud et a un goût assez neutre en fait. Je trouve qu’il sent le propre et j’avoue j’aurai préféré qu’il soit plus épicé. Je ne vais pas faire la difficile, au moins j’ai quelque chose de pas désagréable sur la langue et sous la dent et je mordille légèrement ce qui tire de petits cris de plaisir à l’homme qui tend son ventre plus fort avec pour résultat que je me retrouve le nez plaqué à son pubis et sa bite entière dans ma bouche. Tenant toujours ma crinière (appelons un chat un chat) d’une main il m’imprime des mouvements de va et vient tout en se penchant pour saisir un de mes seins et le malmener brutalement, n’hésitant pas à tirer sur le mamelon. C’est douloureux, mais très vite je me mets à aimer ça et entre deux bouchées (c’est moi la reine) je lui intime,
– Plus fort, vas-y fais-moi mal !
C’est un facile lui il obéit et sa main triture violement mon sein tandis qu’il accompagne le mouvement de ma tête de violents coups de reins.
Forcément à ce rythme ce qui doit arriver arrive. Je sens tout le corps de Ferdinand se tendre, s’arcbouter et il éjacule à longs traits dans ma bouche. J’ai un mouvement de recul mais la main du petit clerc maintient bien ma tête et le sperme abondant emplit ma bouche et s’écoule même aux commissures de mes lèvres. Je découvre là une toute autre saveur, un peu poivrée et en fait pas du tout désagréable. Par contre le Ferdinand débande à la vitesse grand V et sort son engin devenu rikiki de ma bouche. Je conserve son fluide longuement sur ma langue pour le savourer avant de l’avaler lentement.
Me relevant enfin j’arrange du mieux possible mes cheveux et reboutonne mon chemisier. Nous retournons dans le bureau et après avoir contrôlé que ma tenue est à nouveau décente, je dis à Ferdinand,
-Il est temps de s’attaquer à ce dossier, aller hop hop hop !
Nous avons ensuite repris notre train-train quotidien sans plus jamais évoquer notre escapade à la cantine.
Quelques mois plus tard, j’ai quitté l’étude pour une place mieux rémunérée et j’ai cru voir le jour de mon départ, comme des regrets dans les yeux de Ferdinand.
Ma vie a continué tout aussi tranquille, entre un boulot sans grand attrait et ma maison qui maintenant que mes parents étaient partis me semblait bien vide.
Le soir j’ai repris mes jeux solitaires et j’avoue que penser à Ferdinand fait monter mon excitation.

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