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La maman dévergondée, 13° partie

La maman dévergondée, 13° partie



Dans les épisodes précédents, après une valse-hésitation, ma mère a fini par me convaincre de nous marier à l’église. Elle avait déjà trouvé un prêtre qui acceptait de célébrer cette union quelque peu hors des normes. Nous étions tous les deux fébriles dans l’attente de ce jour, et pour tromper notre impatience, nous copulions frénétiquement, non seulement chez nous, mais aussi à l’extérieur, en profitant de la moindre occasion, comme dans les toilettes des restaurants ou les cabines d’essayage des supermarchés.

Enfin, le grand moment est arrivé. Maman avait revêtu sa robe blanche qu’elle avait achetée avec Adrienne, en mon absence bien sûr. Elle était extraordinaire ! Le tulle, fin au point de se trouver presque transparent, laissait deviner qu’elle était nue en-dessous, et à contre-jour, on apercevait sa silhouette d’ange de sensualité tout droit descendu du paradis. Pour ma part, j’avais opté pour un costume classique, avec une cravate bleue qui m’enserrait le cou : la première et la dernière fois que j’en ai porté une. C’était un soir d’été, alors que la journée avait été torride et que le crépuscule embrasait le ciel à l’occident.

L’église dans laquelle la cérémonie a eu lieu était ancienne et la pierre grise et lourde qui nous entourait n’avait rien de joyeux à nos yeux, mais cette célébration, nous le savions déjà, allait s’avérer très spéciale. La nef n’était pas très grande, mais elle était bien remplie de fidèles que nous ne connaissions pas, des hommes pour la plupart ; ils observaient ma mère avec des regards remplis de désir et commentaient entre eux, sans se cacher, ses formes avantageuses. J’étais en train de penser que cela faisait au moins dix ans que je n’étais pas allé à la messe, et aussi aux charmes exquis de Maman sous sa robe toute blanche, tout en chantant distraitement les cantiques, quand le père Daniel, l’homme d’Église qui nous mariait, m’a tiré de ma rêverie en nous demandant d’avancer vers l’autel pour l’échange de consentements. Deux alliances, deux annuaires garnis d’anneaux d’amour jusqu’à ce que la mort nous sépare : voilà, nous étions unis pour le meilleur et pour le pire.

Puis le prêtre a prié Maman de monter debout sur l’autel et de retirer sa robe. Elle a obtempéré, car c’était là la condition pour que la cérémonie puisse avoir lieu malgré nos liens de parenté et l’impossibilité de nous unir civilement – situation totalement illégale que ce curé n’acceptait qu’en échange des faveurs sexuelles de la mariée, faveurs qu’il avait décidé de partager généreusement avec toute l’assemblée. Pour ma mère, cela ne représentait pas du tout une contrainte : s’il ne l’avait pas exigé, elle le lui aurait proposé spontanément, car elle a toujours aimé avant tout les expériences érotiques extrêmes, s’exhiber en public, et elle donnait toujours un bon accueil au déferlement sur elle du désir des hommes. Dans ce domaine, elle allait être servie au-delà de toutes ses espérances.

Alors que la nuit juste tombée entourait notre petite église, elle s’est montrée, debout devant l’assemblée, fière de sa féminité, totalement nue à la lueur des quelques bougies multicolores qui se trouvaient sur l’autel, plus le grand cierge pascal. Ces petites flammes sculptaient sur son grand corps rosé des ombres fantastiques. Elle rayonnait de joie, levant les bras vers le ciel, comme pour distribuer à tous son bonheur, et bénir tout le monde en assumant son impudeur.

Ensuite, elle a écarté les cuisses et ses grandes lèvres, afin que tous puissent contempler sa chatte poilue et magnifiquement luisante de mouille. Après nous avoir tous deux présentés, elle a déclaré offrir son corps, d’abord au célébrant, puis à toute l’assemblée des fidèles réunis au nom de Jésus-Christ ressuscité et aussi de l’éternelle fornication qui fait tourner le monde et rend la vie joyeuse. Joignant le geste à la parole, elle s’est masturbée d’un index qui tournait autour de son clitoris. Elle prenait son temps, se tortillait de plaisir, et se positionnait de telle sorte que chacun pouvait l’admirer au mieux ; elle ressemblait ainsi aux statues primitives aux seins et au sexe exagéré.

Cela lui a pris vingt bonnes minutes avant d’atteindre la jouissance. Elle en criait de volupté, et tout le monde a applaudi. Certains hommes abaissaient leur braguette et se branlaient aussi, mais en prenant garde à ne pas gaspiller leur sperme. D’autres s’approchaient pour mieux voir, et la photographiaient sous tous les angles. Pour ma part, j’ai retiré mon costume qui me tenait trop chaud, et aussi ma chemise et mon slip, puis je me suis assis dans le fauteuil, tout près l’autel, complètement nu. Je me contentais de regarder ma mère, pardon, ma femme, et j’étais émerveillé autant par sa beauté que par son aisance à s’exhiber sous le regard de la gent masculine.

Maman pris le micro et a déclaré qu’elle désirait expier pour les péchés de tous les fidèles qui se trouvaient là, et qu’à cette fin, son corps était à la disposition de l’Église. Le prêtre a approuvé sa démarche, et lui a proposé de s’allonger sur l’autel, ce qu’elle a fait après lui avoir recommandé de bien la martyriser, pour qu’elle souffre comme le Christ a souffert sur sa croix. Il l’a félicitée pour son courage, et a déclaré que Dieu allait certainement agréer cette offrande de douleur, parce que les démarches de pénitence érotique Lui plaisent particulièrement, surtout lorsque la personne est belle et que c’était le cas, en l’occurrence. Maman a rougi sous le compliment. Sur la table sacrée en marbre ouvragé, elle s’est installée sur le dos, bras et jambes en croix, docilement et sans aucune hésitation.

Puis il est passé à l’action en attachant les poignets et les chevilles aux quatre coins de la table sacrée au moyen de cordes en lin, du genre de celles qu’on utilise pour le shibari, bien huilées pour que ce soit confortable pour elle. Il était toujours prévenant envers les dames qui se livraient, confiantes, entre ses mains. Puis, avec mon aide, il a saisi à deux mains le lourd cierge pascal afin d’arroser de cire liquide la surface de la peau de ma pauvre mère. Celle-ci a pleuré sous la brûlure, mais elle n’a pas demandé que cesse le supplice : bien au contraire, lorsqu’elle parlait, c’était pour encourager son bourreau, quand il craignait de la blesser en allant trop loin.

Pendant ce temps, les fidèles étaient priés de demeurer à genoux, dans une posture de prière, afin d’implorer la mansuétude divine à l’égard de leurs fautes que ma mère était en train de laver, et aussi de glorifier celle qui, par sa douleur, se sacrifiait pour leur salut. Ils obéissaient, certes, mais les braquemarts étaient tous sortis hors des pantalons, levés, les glands tout violacés au bout des hampes tenues à pleine main, et suintant la rosée du désir. Les yeux hallucinés, injectés de sang dans la pénombre de la nef, ils grognaient et bavaient tous comme des chiens en rut et je voyais bien qu’ils étaient impatients de recevoir le signal qui leur permettra de se ruer sur elle. Mais il fallait savoir se tenir, car la discipline religieuse était de mise.

Adrienne s’est levée de son banc du premier rang pour lire la Bible au pupitre : le passage du livre de la Genèse où, après la destruction de Sodome et Gomorrhe, les jeunes filles de Lot ont enivré leur père avant d’abuser de celui-ci pendant son sommeil, afin qu’il les ensemence et laisse une descendance (vérifiez par vous-même si vous ne me croyez pas : Gn 19, 30-36). Si Dieu approuve l’union entre deux filles et leur père, pourquoi pas entre une mère et son fils, a-t-elle commenté ? Elle savait commenter le livre saint d’une manière assez spéciale, et parlait avec l’autorité d’une jeune prophétesse. Elle s’est, elle aussi, mise à nue pour lire, et avait deux boules de Geisha vibrantes insérées dans le vagin et deux autres dans l’anus, de sorte qu’elle est entrée dans une splendide jouissance qui éclairait son joli visage, au moment où elle évoquait, à la fin de l’histoire, la grossesse des deux sœurs, fécondées par leur géniteur, et les lignées qu’elles enfantèrent.

Pendant ce temps, le père Daniel torturait ma mère avec application, au moyen de la cire brûlante du cierge pascal, en laissant couler le liquide blanc qui se solidifiait instantanément au contact de la peau, d’abord sur son ventre, ses épaules, ses bras, ses jambes, puis sur des zones plus sensibles : ses pieds, ses seins et enfin son sexe déjà très humide. Toute la surface de l’épiderme de ma mère se couvrait progressivement de la substance blanche et chaude. Elle gémissait sous ce tourment, et le prêtre prenait visiblement du plaisir à la faire souffrir ; cependant, elle ne réclamait pas la fin de supplice. Au contraire, elle ponctuait ses manifestations de souffrance par des « oui » qui l’encourageait à poursuivre le châtiment expiatoire. Le bourreau a positionné un micro devant la bouche de la mariée attachée afin que chacun puisse bien entendre les plaintes qu’elle émettait. Cette voix nous émerveillait toutes et tous. Oui, c’était un moment merveilleux. Même pour elle.

Le père Daniel était vêtu d’une aube blanche surmontée, comme le voulait le temps liturgique du moment, d’une étole verte. Une bosse révélait l’absence de caleçon et une grosse érection. En effet : il a soudain retiré ces habits sous lesquels il était nu. Il possédait une superbe musculature manifestement sculptée par une pratique assidue de la musculation, et sa verge était énorme, à la fois longue et épaisse, tournée en arc de cercle vers le haut. Un véritable Priape antique. Il était à peine croyable que ce Monsieur ait un jour prononcé un vœu de chasteté, vœu qu’il ne respectait que fort modestement, à l’évidence. Pour le plus grand bonheur des dames de sa paroisse.
Il a défaut en partie les liens de Maman afin de positionner d’une manière différente : les cuisses relevées, attachées aux mollets, genoux repliés, les fesses sur le bord de la table sacrée ; la tête, au-delà du bord, basculait en arrière, face à l’assemblée. Adrienne, qui connaissait bien ce lieu, a appuyé sur un bouton pour faire descendre un écran de vidéoprojecteur, a pris une caméra vidéo et filmé ma mère dans cette position de vulnérabilité aux désirs des hommes.

Le père Daniel a pris la tête de Maman entre ses mains, délicatement, puis a glissé son énorme pénis dans la bouche, en descendant jusqu’au fond de la gorge dont nous observions la déformation au passage du chibre. Elle hoquetait, ne respirant qu’avec difficulté. Puis il se retirait, le braquemart ruisselant de salive, pour y retourner aussitôt. Adrienne s’approchait avec sa caméra qui transmettait la scène en gros plan. Je ne crois pas qu’il soit possible qu’une femme se retrouve dans une position plus humiliante que celle-ci, et pourtant, j’allais découvrir que je me trompais.

Tout cela m’excitait beaucoup. Je suis passé de l’autre côté, pour consommer le mariage. Baiser ma mère en public déchainait en moi de puissantes pulsions érotiques. Il y avait un tube de lubrifiant sur l’autel, le prêtre étant un homme prévoyant, mais je n’en ai pas eu besoin pour pénétrer le vagin de Maman, tant celle-ci mouillait. Je l’ai sentie frémir en entrant en elle. Tout en lui donnant de vigoureux coups de reins, je lui caressais le clitoris, doucement, du bout des doigts. Après quelques minutes, nous avons constaté qu’elle jouissait, car elle se cambrait désespérément et giclait dans toutes les directions, et je suis venu aussi, dans son vagin, et le père Daniel également, dans sa bouche, puis sur son visage : il envoyait une quantité incroyable de sperme, en jets successifs, et des gouttes de liqueur blanche parsemaient les seins et le ventre, jusqu’à venir m’arroser.
Le prêtre a réalisé le sacrement de l’Eucharistie, ce qui, pour Maman qu’il venait de détacher, était l’occasion d’une pause bienvenue. Mais de courte durée : juste après la doxologie, le célébrant l’a invitée à se positionner à nouveau sur l’autel, cette fois à genoux, penchée en avant, la croupe tournée vers l’assemblée. Il lui a fixé les chevilles sur un carcan métallique, légèrement séparées, puis il a ouvert en grand les globes fessiers afin d’exposer très impudiquement le beau cul aux fidèles. Légèrement inquiet pour celle que je venais d’épouser, je me demandais bien où il venait en venir.

Je n’allais pas tarder à le découvrir, ni à constater à quel point l’imagination humaine est fertile lorsqu’il s’agit de bafouer la dignité d’une personne qui, en l’occurrence, ne demandait que cela. Le père Daniel a inséré un spéculum lubrifié dans l’anus, lentement pour ne pas blesser la petite rosette, mais en écartant si fortement les deux languettes de métal que l’on voyait parfaitement l’intérieur du rectum à la lumière du cierge pascal ! Adrienne filmait le visage de Maman, grossi des dizaines de fois sur l’écran, de sorte que chacun pouvait voir le sourire de l’attachée qui, visiblement, aimait ce geste, et pourtant, jamais je ne l’avais vue écartelée à ce point.

Et la folie a continué : le prêtre a versé le vin qu’il venait de consacrer, c’est-à-dire le précieux sang, dans l’ouverture qu’il venait de pratiquer, en guise de lavement. Jusqu’à la dernière goutte : il y en avait un bon litre, et tout est entré en un long filet qui tombait droit dans l’orifice. Puis son bourreau a retiré le spéculum. La pauvre soumise avait mal au ventre : il fallait qu’elle se libère. Alors le prêtre sadique a demandé à ma mère la permission de procéder au supplice final, et bien sûr, elle a accepté, sans hésiter une seule seconde. Aidé d’Adrienne qui était, rappelons-le, une experte dans le domaine électrique, il a positionné des électrodes sur les seins qui pendaient et les nymphes saillantes, et raccordé les connecteurs à un boitier muni de boutons et d’aiguilles. J’en frémissais, et envisageais d’arrêter tout de suite ce délire ardent. Mais ce fut la mariée qui, devinant ma pensée, m’en a dissuadé. Elle voulait aller jusqu’au bout de cette incroyable orgie.

Un paroissien a commencé la quête. Chaque fois qu’une pièce tombait dans la corbeille, cela produisait un tintement que le prêtre entendait : il appuyait sur un bouton qui envoyait une décharge électrique dans les organes intimes de la mariée. Lorsque c’était un billet, le quêteur annonçait le montant à haute voix, et le voltage était supérieur, selon la valeur du don. Tout cela encourageait naturellement la générosité des fidèles qui s’extasiaient devant tant d’obscène cruauté, ce qui était le but recherché, bien sûr, et expliquait aussi le 4×4 flambant neuf du curé garé devant l’église. En même temps qu’il jouait avec les commandes de l’instrument de torture, le prêtre sodomisait Maman, la pénétrant jusqu’au fond avec son immense braquemart, de sorte que l’on voyait le ventre se déformer à chaque coup de boutoir.

Soudain, il a joui d’un orgasme sadique au moment où quelqu’un a versé vingt euros, ce qui a fait tressauter ma mère sous l’effet de l’électricité ; elle a poussé un hurlement à glacer le sang, et tout le monde a applaudi. J’ai vu, au premier rang, un cinglé tenir un billet de cinq cents, et cette vision m’a fait frémir d’horreur. Avant qu’il puisse le donner, j’ai discrètement coupé le courant au disjoncteur, et chacun a cru à une panne. Le curé s’est retiré ; aussitôt la mariée s’est vidée dans un seau opportunément positionné devant l’autel.

Après la communion, les fidèles ont enfin été autorisés à s’approcher de l’autel pour la partie finale. C’était la ruée, le rut généralisé : chacun voulait baiser en premier, mais ils étaient trop nombreux pour le faire en même temps. Ils se sont tous jetés sur elle pour la pénétrer par tous les orifices. Ils l’ont détachée pour qu’elle puisse recevoir la double pénétration tout en branlant une bite dans chaque main. Cela a duré plusieurs heures de déchaînement insane.

Adrienne et moi nous sommes assis sur les fauteuils réservés aux mariés. Tout en regardant le gang-bang de Maman, nous nous sommes raconté nos souvenirs érotiques. Sa vie sexuelle de jeune lesbienne était déjà très bien remplie de toutes les fantaisies imaginables que deux personnes de sexe féminin peuvent accomplir ensemble, et elle me donnait beaucoup de détails très croustillants. Peu à peu, j’ai bandé à nouveau, alors je me suis masturbé en regardant la partie fine qui se déroulait sous nos yeux, et en écoutant les histoires que me racontait ma demi-sœur : des témoignages obscènes de baise entre filles dans le dortoir d’un internat tenu par des religieuses aux mœurs strictes et les volées de nerf de bœuf qu’elle a reçues en retour de la part des surveillantes, sur ses fesses nues qui en portaient encore les marques. Gentiment, elle a même accepté de me chatouiller les bourses, du bout des doigts, en sachant que j’adore ce geste, et j’ai éjaculé dans sa main.

Maman a chaleureusement remercié le célébrant pour cette belle messe très priante, et nous sommes rentrés à l’appartement familial alors que l’aube envoyait ses premiers rayons.

Quelqu’un que nous connaissions bien nous y attendait. Nous n’étions pas au bout de nos surprises !

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