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La patronne de ma mère est une cougar 2

La patronne de ma mère est une cougar 2



Chapitre 2
Ah si ma mère savait…

Dans le premier chapitre qui manifestement vous a beaucoup plu, je vous parlais du jour où je suis devenu un homme, grâce à la DRH du boulot de ma mère. J’étais majeur depuis peu et nous nous sommes rencontrés à l’occasion du repas de fin d’année du boulot de ma maman. Cette femme s’est chargée de faire mon éducation en une soirée avec l’apothéose dans une petite salle au-dessus de celle où avait lieu la réception. Muriel avait réussi à faire ça en toute discrétion et ma mère n’y avait vu que du feu. Christiane ma mère ignorait aussi que la DRH était très portée sur la chose; j’en conclus et qu’entre collègues de travail elles se connaissaient au boulot mais pour beaucoup ne se connaissaient pas du tout en dehors. Moi qui étais parti à cette soirée en me disant que j’allais m’ennuyer fortement, je suis rentré à la maison la tête dans les nuages et surtout débarrassé de mon pucelage. Une fois rentré à la maison, il était un peu tard et je suis parti directement dans ma chambre pour aller me coucher.

C’est à ce moment-là que j’ai constaté que Muriel m’avait laissé sa petite culotte, encore toute humide, dans ma poche. Bien évidemment mon réflexe a été de la porter à mon nez pour la humer, ce qui m’a permis de mieux me remémorer ce que je venais de vivre. J’étais aussi heureux car mon boxer sentait le minou de la DRH de ma mère, je vais vous avouer que je n’étais pas prêt à le mettre au sale. Mais bon, vu qu’il était tard et que j’avais eu une soirée assez mouvementée; je n’ai pas été bien loin à m’endormir avec la petite culotte sous mon oreiller. Le dimanche matin quand je me suis réveillé, j’avais envie de chanter sur les toits comme quoi j’étais devenu un homme. Ayant repris des forces par rapport à hier soir, c’est dans mon lit que je me suis fait un plaisir en me remémorant tout ce que j’avais vécu la veille; je n’ai pas été bien long à partir dans une chaussette, pour pas que j’en mette partout. Du coup je me suis endormi une bonne heure et demie avant de me relever pour aller prendre mon petit déj’. Maman était là en train de finir le sien, elle m’a demandé si je m’étais remis de ma soirée.

Elle m’a expliqué que c’était la première fois que j’appréciais ce repas de fin d’année car d’habitude je prenais ça comme une galère, je lui ai répondu qu’effectivement j’avais grandi. Nous habitions un grand appartement dans une résidence très cotée, ma mère était divorcée et gagnait bien sa vie dans cette boîte où elle était responsable qualité. Muriel habitait un pavillon dans la ville d’à côté mais je ne savais pas trop où exactement. Ma maman m’a dit que j’avais fait forte impression auprès de Muriel, au fond de moi je me disais je te promets que oui maman. Une fois le ventre plein, je suis parti continuer à réviser car il y avait la suite des partiels la semaine prochaine. Ma maman me savait sage et studieux, elle n’avait pas besoin d’aller surveiller si je travaillais ou pas. Bien que mes souvenirs de la veille ne m’aidaient pas trop à me concentrer, j’ai quand même réussi à travailler efficacement trois bonnes heures avant que ma mère m’appelle pour que nous déjeunions.

En fait hier soir en plus de perdre mon pucelage j’avais découvert combien l’odeur intime d’une femme pouvait être troublante, enivrante, excitante. Maintenant en plus de ne penser qu’à mes études, mon rêve était de plonger à nouveau mon nez et ma langue entre les jambes de Muriel. J’ai passé mon après-midi à réviser puis j’ai attaqué la semaine sur la suite de mes partiels. Je ne sais pas si c’était le fait d’avoir perdu mon pucelage ce weekend mais je psychote beaucoup moins que la semaine précédente le matin en arrivant en classe. Le jeudi soir alors que les contrôles venaient de prendre fin et que j’étais assez content de moi, ma maman m’a dit que Muriel désirait que je passe la voir pour que je l’aide à faire ses branchements; elle venait de changer d’opérateur Internet. Ma mère s’est juste chargée de me donner l’adresse et moi je me rendu à vélo sur place, je me doutais bien qu’il y avait anguille sous roche.

Quand je suis arrivé devant chez elle j’ai trouvé sa maison très jolie avec un beau terrain et j’ai sonné à l’interphone qui faisait aussi visiophone. Elle m’a répondu en m’invitant à rentrer, chose que je fis en traversant son magnifique jardin fleuri. Vu l’état du jardin elle devait passer des heures à s’en occuper avec amour. J’ai sonné à la porte, cette dernière s’est ouverte, je suis rentré et elle a refermé la porte. Quel n’a pas été mon choc de la découvrir dans une sortie de bain dissimulant des dessous magnifiques: guêpière toute douce avec une magnifique paire de bas et un tanga tout en lycra. À la voir ainsi vêtue je connaissais le programme de la journée. J’ai quand même fait l’innocent et lui ai demandé où se trouvait sa box pour que je m’occupe du changement. Muriel avait préparé de quoi boire avant que je me mette au boulot, nous nous sommes mis dans le canapé elle a bu un thé et moi j’ai bu un jus d’orange. Au bout d’un bon quart d’heure à converser, à nous découvrir, à nous observer et qui sait peut-être à nous comprendre voire même peut-être nous séduire; je me suis mis au boulot.

Il y avait une galère car Muriel voulait garder son antenne satellite en plus de sa box, du coup je ne vous raconte pas la complexité des branchements. Il m’a facilement fallu deux heures pour réussir à ce que tout marche comme elle désirait. Quand je suis parti à sa recherche pour lui faire constater que l’installation marchait, je suis monté à l’étage, j’ai essayé plusieurs portes avant de tomber sur elle dans la même tenue que tout à l’heure; elle était vraiment désirable. En fait Muriel était dans sa chambre en train d’écouter de la musique et mon petit doigt me dit qu’elle était peut-être même en train de se chatouiller la friandise. Quand je suis arrivé, elle n’a pas tardé à se lever, elle a rajusté ses vêtements et c’est enchantée qu’elle s’est mise à me suivre pour aller constater la qualité de mon travail. Je ne suis pas resté longtemps dans ta chambre mais j’ai quand même pu constater que ses draps avaient l’air très doux et qu’elle aimait beaucoup le rose et le violet. Il y avait aussi, accroché au mur, un magnifique tableau avec deux corps féminins enlacés et qui laissaient vraiment supposer il y avait attouchements entre elles.

J’ai aussi eu le temps de voir qu’une paire de collants magnifiques étaient déposés sur le lit et que l’on pouvait admirer avec le rayon du soleil traversant la vitre, tel un spot voulant les mettre en valeur. En la cherchant tout à l’heure à l’étage j’ai aussi pu constater qu’il y avait un bureau avec un éclairage tamisé et aussi un magnifique tableau au mur. Il ne fallait pas sortir d’une grande école pour en déduire que c’est là qu’elle travaillait le soir ou le weekend voire même peut-être en télétravail. Nous sommes descendus ensemble dans le séjour direction la box, j’ai été gratifié d’une main au cul dans l’escalier. Vous savez quoi, ce petit geste déplacé m’a immédiatement collé une érection, une érection difficilement dissimulable aux yeux de Muriel. Elle était tout à fait consciente de l’état dans lequel elle était en train de me mettre; il n’y a pas à dire je la désirais. Je me remémorai ce que nous avions fait voilà quelques jours et j’avais vraiment envie de remettre ça avec elle, même si elle avait l’âge de ma mère, l’âge de la mère de mes copines, l’âge de la mère de mes copains.

Je la devançais pour nous rendre à la box et je me savais observé sous tous les angles et c’était le regard d’une femme qui m’envisageait, qui me désirait. Quand je me suis agenouillé devant le terminal Internet, elle a saisi les télécommandes puis s’est assise dans le canapé. J’ai allumé la télé puis elle a commencé à jongler avec les télécommandes, sans un mot et durant dix bonnes minutes, elle a pianoté sur ses petits outils pour s’assurer qu’elle pouvait capter toutes les chaînes qu’elle désirait. Une fois satisfaite du résultat, c’est avec un grand sourire qu’elle m’a tendu les bras pour que je m’approche d’elle; chose que je fis avec grand plaisir. Une fois à sa portée et elle m’a attrapé les mains et m’a tiré vers elle, je n’ai pu garder l’équilibre et je me suis retrouvé à tomber sur elle. Son peignoir s’était ouvert et je pouvais qu’admirer son corps à la lumière du jour, un corps magnifique. Même si cette femme m’avait pris mon pucelage et m’avait formé au cunnilingus je manquais quand même énormément d’assurance avec elle et avec les femmes en général.

En quelques instants sa main gauche qui était collée contre le canapé s’est retrouvée calée entre mes jambes en train de juger le diamètre de mon sexe en grosse érection. Constatant que ce dernier était vraiment inaccessible Muriel m’a invité à me relever pour que je me déshabille. Je me suis exécuté mais une fois debout j’ai eu un peu de mal à me déshabiller devant cette femme à ce point expérimentée. Vu que j’étais un peu long à passer à l’action, Muriel s’est redressée et c’est elle qui m’a déshabillé. Elle a saisi mon sweat puis m’a fait lever les bras, m’aidant à m’en débarrasser, elle fit de même pour mon maillot de corps. Ce fut une autre paire de manches quand elle est passée au pantalon car j’étais parfaitement conscient que si elle me l’ôtait, je me retrouverai face à elle avec mon érection que je ne pourrais dissimuler.

Une fois défait de sa ceinture, mon pantalon est descendu naturellement, seul mon boxer en lycra dissimulait mon sexe mais ne pouvait cacher ma poutre apparente. Je n’ai pu ou n’ai osé la retenir quand elle s’en est pris à mon boxer; ainsi débarrassé, je me retrouvai nu comme un ver devant cette femme qui me désirait. Mon sexe était au garde-à-vous et Muriel était en train de l’ausculter, de le caresser tel un médecin zélé. Elle s’était assise sur le canapé et elle avait maintenant mon sexe en main qu’elle allait s’apprêter à prendre en bouche. J’ai sursauté quand elle a déposé un baiser sur mon prépuce, je la désirais énormément et j’étais en train de me dire que je n’allais pas tenir longtemps avant d’éjaculer. Il fallait que je me contrôle pour ne pas passer pour un lapin, quand j’ai senti sa chaleur buccale autour de mon sexe je n’ai pas eu besoin de regarder pour comprendre que ce dernier avait pris position dans sa bouche. Je réalisai que mes potes qui me parlaient de la fellation et du bien que se la procurait…, avaient vraiment raison.

Elle s’est accrochée aux hauts de mes cuisses et s’est mise à aller et venir sur mon dard pour mon plus grand plaisir. Elle me regardait dans les yeux pendant qu’elle me faisait du bien, c’était un regard provocant, un regard excitant, un regard qui laissait supposer qu’elle en voulait plus. J’avais l’impression que mon sexe allait tout au fond de sa bouche et se calait au fond de sa gorge; cela me faisait un bien fou. J’étais maintenant concentré à ne pas éjaculer, maintenant c’était plus la peur de passer pour un lapin mais pour que ce plaisir continue. Elle a continué sa prestation encore cinq bonnes minutes avant de se relever pour m’embrasser avec gourmandise, je retrouvai le goût de mon sexe dans son baiser. Une fois redressée, mon sexe était à la hauteur du sien et je pouvais sentir les poils de sa toison pubienne. Ses mains me tenaient maintenant et me plaquaient contre elle, il n’y a pas à dire c’est Muriel qui dirigeait les opérations. Sa bouche avec l’odeur de mon sexe m’excitait et sa langue était en train de me faire un détartrage en règle.

Une de ses mains avait quitté mon dos pour aller saisir mon sexe et se caresser le minou à travers sa douce culotte satinée; elle avait maintenant quitté ma bouche pour venir m’embrasser ou plutôt me croquer le cou. Cela me faisait un bien fou à tel point que j’en avais des frissons et la chair de poule. Elle m’a invité à m’agenouiller devant elle, je me suis exécuté et là elle m’a demandé de lui retirer sa douce culotte. Je l’ai retirée et je n’ai pu me retenir de la sentir car elle était humide de mouille, je n’étais pas expert mais c’est sûr; cette culotte sentait la femme désireuse. Je me suis redressé, sa pièce de tissu dans la main, elle me l’a saisie pour me caresser le sexe avec; Muriel savait y faire. Elle s’est accrochée à moi et s’est laissée tomber dans son vaste canapé, maintenant nos deux corps dénudés étaient totalement en contact; cela me faisait tout drôle. Si je m’étais écouté, je l’aurais pénétrée sur-le-champ mais il fallait que je sache faire durer le plaisir et résister à la tentation.

Bien évidemment c’est Muriel, qui dirigeant toujours les opérations, a commencé à me caresser de façon précise et on ne peut plus efficace. Dire que ma maman était en train de penser que je travaillais chez sa DRH pour me faire un peu d’argent de poche. Nos corps se savouraient, nos corps s’appréciaient, nos corps se découvraient; son corps appelait les baisers, son corps appelait les caresses, son corps était dessiné pour l’amour. Elle avait les désirs et la santé d’une tigresse, je ne me sentais pas grand-chose à côté d’elle; je savais que dans quelques instants nous allions faire l’amour à nouveau. Mon corps ne cessait d’onduler sous les caresses de ma partenaire, mon sexe était calé entre ses jambes et ne faisait que se frotter et s’enduire de cyprine. La pointe de ses seins était érigée; je n’en avais jamais vu en vrai d’aussi près à la lumière du jour. En plus de tout cela il y avait son parfum qui me montait à la tête du bas, moi qui ai toujours été sensible aux odeurs. Entre l’odeur de son minou, son parfum, la douceur de son corps et ses mains entreprenantes je savais que je n’allais pas résister longtemps.

Nous étions encore en train de nous embrasser quand elle a saisi mon sexe pour venir se frotter le clito ainsi que son vagin avec. Mon sexe était en train de devenir aussi mouillé que le sien, la sensation était vraiment très agréable. Mon sexe sentait très fort la femme, mon sexe sentait le minou, il sentait Muriel; dans quelques secondes j’allais pénétrer la DRH de ma mère. Il commençait à m’être de plus en plus dur de résister à donner un simple coup de reins pour me retrouver en elle. Mon corps ondulait et donnait des coups de reins comme si j’étais en elle, je savais que c’était Muriel qui allait donner le top départ. Moi qui passais mon temps à mater mes copines de classe, je pense même que certaines faisaient la même chose à mon égard. Là pour la deuxième fois de ma vie, j’allais pénétrer une femme, la même femme, une quadra et je pense que la plupart de mes potes ainsi que leurs papas auraient fantasmé sur elle. Ça y est Muriel avait positionné mon sexe bien à l’entrée de son vagin et avait commencé à l’introduire. Dans son regard je pouvais voir que j’avais son accord pour que je donne le coup de reins qui allait la pénétrer. Et Hop…

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