J’étais assis derrière mon bureau quand elle est entrée. Elle a fermé la porte et s’est collée le dos contre elle en me faisant signe, le doigt sur ses lèvres de ne pas faire de bruit.
Je là croisais souvent dans les couloirs des bureaux, mais nous ne nous étions jamais parlé. Elle me semblait inaccessible. Elle représentait la femme superbe et libérée, dont tous les hommes rêvent. Et je m’en faisais l’idée que dans le monde du travail, l’intéressement de ces personnes était proportionnel au niveau occupé dans la hiérarchie. Elle était superbe, grande brune élancée au formes généreuses. Tous les hommes se retournaient sur elle et tous les chefs de service se pliaient à ses désirs, espérant quelques faveurs de sa part. Et je pense qu’elle en jouait et en profitait un peu. Bref je pensais n’avoir aucune chance d’entretenir, au moins une conversation avec elle.
Après un instant, elle se décolla de la porte et vint s’assoir sur le fauteuil devant mon bureau. Elle portait une jolie robe croisée, courte et décolleté, qui mettait en valeur sa superbe poitrine. Elle croisa les jambes et je découvris la naissance de ses jolies cuisses. Je l’admirais et ne disais rien, craignant de la faire fuir.
– Excuses moi d’entrer comme ça dans ton bureau, dit-elle, mais j’ai Durand à mes basques. Et comme sa femme est en vacances, j’ai du mal à m’en débarrasser et il veut un peu plus que la branlette que je lui fais d’habitude…
Je n’en revenais pas, elle était devant moi en train de m’expliquer qu’elle masturbait régulièrement le comptable, dont la femme travaillait dans la même société. J’étais ravi d’entrer dans ses confidences et à la fois anéanti, craignant de rester à un rôle de confident.
– Bin oui, continua-t-elle, quand il devient trop collant et plus entreprenant je me débrouille pour croiser la Vivianne…
J’avais les yeux grands ouverts de surprise à entendre ce qu’elle me racontait et surtout à observer ses charmes devant moi.
– Ooooh mais je ne fais pas ça pour rien ! il me rajoute des petites lignes sur ma paye, ajouta-t-elle en me décrochant un clin d’œil. Mais la Vivianne en vacances, il est en rut le bougre et aimerait bien m’enfiler…tu pourrais me raccompagner chez moi ?
Je ne dis rien et hochais simplement la tête pour lui confirmer que j’acceptais. Qu’allait-elle m’offrir en échange ? Voir ses seins ? Les toucher ? Plus ?
– Alors on y va ! me dit-elle, il ne fera rien s’il nous voit ensemble, il ne veut pas risquer quoi que ce soit et que sa Vivianne ait des soupçons…
Et elle se leva en plongeant la main dans une de ses poches, en ressortant un petit bout de tissus qu’elle déplia. Un tanga ! Elle l’enfila, le faisant glisser sur ses cuisses et remonta sa robe, découvrant ses jolies et superbes fesses, pour l’ajuster à sa taille. Je n’en perdis pas une miette. Et je lui emboitais le pas dans le couloir, en observant ses jolies formes onduler sous sa petite robe, pour rejoindre ma voiture sur le parking de l’entreprise.
En voiture, de retour chez elle, elle m’en apprit encore de biens belles sur ses relations avec les membres de la direction. Elle avait un truc sur chacun. Et en récoltait des avantages à chaque fois. Celui à qui elle racontait des histoires bien cochonnes et qui se masturbait en l’écoutant. Celui qu’elle accompagnait pour draguer. Ou celui à qui elle accordait ses faveurs.
Et nous sommes arrivés dans sa résidence. Je me garais où elle m’indiquait. Elle finit de me raconter ses histoires et me remercia en me claquant un baisé sur la joue. Je ne disais rien.
– Oh toi ! dit-elle, tu espérais plus…une petite pipe !? ajouta-t-elle en posant sa main sur mon sexe.
Je ne bougeais pas. Je ne répondais pas. Mon esprit tournait à 100 à l’heure.
Et pendant ce temps elle avait déjà descendu la fermeture de mon pantalon, glissé sa main dedans et sortit mon sexe. Elle me masturbait. Et elle se pencha pour embrasser le bout. Elle déposa ses lèvres sur mon gland. Les glissa autour et l’engloutit dans sa bouche. Lèvres serrées, sa tête descendit doucement et engouffra toute ma bite. Et elle remonta. Sortit ma queue de sa bouche et lui donna quelques coups de langue avant de la reprendre en bouche et de recommencer. Elle l’astiqua de ses lèvres et sa langue à 3 ou 4 reprises et recommença à là laper. Et encore. Et encore. Tout en me branlant aussi d’une main et en jouant avec mes testicules de l’autre. Je bandais fort et dur. Je ne bougeais pas et j’appréciais ses caresses. Elle dégagea l’un de ses seins de sa robe croisée. Encore une surprise, elle ne portait pas de soutien gorge. Elle prit l’une de mes mains et la posa pour le prendre et le malaxer. J’allais exploser. J’allais lui dire et comme si, surement, elle le sentait, elle me pompa encore plus fort. Je crachais mon sperme dans sa bouche. Elle continua de me sucer en serrant encore plus fort ses lèvres. J’étais au paradis. Elle lécha tout. Remballa mon matériel et se redressa en me faisant un grand sourire.
– C’est mieux ? me dit-elle
Je balbutiais un oui timide et ajoutais « on aurait pu prendre un verre tu sais ».
– Tu as raisons ! fit-elle en descendant de la voiture. Allez ! viens !
Et elle se dirigea vers l’entrée de son immeuble. Je la suivais sans hésitation et l’accompagnais dans son appartement. Elle m’invita à m’installer dans le canapé du salon, pendant qu’elle nous préparait un apéritif. Elle revint avec un plateau qu’elle déposa sur la table basse et s’installa face à moi dans un fauteuil en rotin semblable à celui du film Emmanuelle. Je lui fis remarquer et la conversation s’engagea. Nous discutons, buvons et grignotons. Un verre, un suivant, un autre. En parlant elle bougeait beaucoup et j’en profitais encore pour admirer ses formes. Assise, légèrement avachie, dans son fauteuil face à moi, en me regardant elle écartait ses jambes, les resserrait, les rouvrait. Et puis :
– J’ai chaud me dit-elle.
En décroisant sa robe et se découvrant. Nue, ne portant que son tanga, elle se caressait.
– C’est l’alcool ou ta bite tout à l’heure qui m’excite. Tu veux la sortir ?
Elle ajouta en glissant une main dans son tanga et l’autre empoignant l’un de ses seins.
Je me levais et je déboutonnais ma chemise. Puis ce fut ma ceinture que j’ouvris et mon pantalon que je descendis à mi cuisses avec mon boxer. Je commençais à bander. Elle me regardait et se doigtait.
– Branle-toi ! ça m’excite ! fais grossir ta bite pour venir me la mettre ! j’en ai envie !
Elle se caressait. Elle fit glisser son tanga et m’exposa sa chatte qu’elle frottait énergiquement. J’avais empoigné ma queue et me masturbais en la regardant. J’étais tout raide et dur.
– Approche ! me dit-elle
Je fis le tour de la table basse et me positionnais à ses côtés. En continuant de se doigter elle attrapa mon sexe et le glissa dans sa bouche. Elle me pompa 3, 4 fois.
– Tu es prêt et moi toute mouillée, prend moi !
Elle se cala au dossier de son fauteuil, releva et écarta ses cuisses, m’offrant sa chate toute humide. Je positionnais ses chevilles sur mes épaules et je m’enfilais en elle, d’un seul coup, tout entier, je me collais à son ventre. Puis je commençais une série de longs et lents vas et viens. Elle gémit fort et m’encouragea. J’accélérais.
– Ooooh oui ! baise-moi fort ! me cria-t-elle en ondulant ses hanches.
Je continuais mes mouvements. De plus en plus fort, de plus en plus vite. J’avais enserré ses seins entre mes mains. Nous nous regardions. Elle m’excitait comme un fou. Heureusement qu’elle m’avait déjà vidé les couilles dans la voiture tout à l’heure, sinon j’aurai déjà explosé.
– Retourne-moi ! me dit-elle, prends moi par derrière.
J’exécutais ses ordres. Je dégageais mon sexe, la retournais et me glissais de nouveau en elle, contre ses fesses. Je la besognais à quatre pattes sur le fauteuil. Mon ventre claquant contre son cul.
– Oui vas-y ! me fit-elle
Alors je lui glissais mon pouce sur son anus. J’agrippais ses cheveux et la baisais fort.
– Oh ouiiiiiiiiii ! encore !
J’appuyais mon pouce sur sa rondelle et la pénétrais en continuant de lui glisser ma bite au fond de sa chatte. Elle se cambrait pour que je m’enfonce encore plus loin dans son sexe et dans son cul. Elle criait son plaisir, sa jouissance. Elle était trempée et jouit fort. Je me retirais de ses orifices et la fit descendre du fauteuil, à genoux au sol, face à mon sexe. Elle colla sa main sous mes couilles. Je m’astiquais en serrant mon sexe et lui envoya de grosses giclées sur ses seins et dans son cou en râlant de plaisir. Elle avala mon sexe et le pompa encore.
Depuis elle passe souvent dans mon bureau, parfois dessous, et je là raccompagne chez elle, sans rien en échange. Que du plaisir.
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