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La remplaçante

La remplaçante



Ma secrétaire venait de m’annoncer qu’elle était enceinte. A quarante ans, j’ai trouvé ça ridicule mais je n’y pouvais rien. Seule solution, trouver une remplaçante. J’ai mis une annonce à l’agence du travail mais à cette époque, il n’y avait que des jeunes inexpérimentées. Ils m’en ont envoyé plusieurs mais je ne savais pas vraiment quelle pourrait être la bonne, aussi j’ai choisi celle qui me semblait la plus belle.
J’avais bien rêvé de me taper ma secrétaire mais ce n’était qu’un vœu pieux parce que celle que j’avais avait été celle de mon père et que je n’en avais pas changé.
Le lundi suivant, la fille est arrivée vêtue d’une minijupe et avec un top qui ne cachait rien du tout de ses appâts et j’ai été tellement interloqué que je lui ai demandé pourquoi elle n’avait pas de soutien-gorge. La fille m’a répondu qu’elle n’en a pas besoin puis elle a ajouté qu’elle n’a pas envie d’avoir mal au dos puis elle s’est installée à son bureau. Je n’avais pas grand chose à lui donner en début de semaine aussi je l’ai laissée tranquille mais le lendemain, j’avais une grosse affaire à dépatouiller et elle s’en est bien tirée. J’allais la remercier et elle m’a écouté puis elle a pris la parole pour me dire qu’elle a bien mérité une augmentation.
– Déjà, lui ai-je demandé, un peu amusé par sa demande ?
– Vous ne m’avez pas vraiment embauché au tarif, m’a répondu la fille ? – – Qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour que vous vous décidiez ?
Je la regardais. Elle avait les deux pouces engagés sur la ceinture de sa jupe puis elle l’a faite glisser deux centimètres plus bas sur ses hanches avant de la lâcher pour déboutonner deux trois boutons de son top, ce qui a révélé la naissance de ses seins. Après, ça s’est fait tout seul. Je lui ai arraché son top et j’ai embrassé ses gros nichons puis je lui ai descendu la culotte sur les genoux et j’ai hissé la fille sur son bureau et je l’ai sautée. Ce soir-là, avant de partir, j’ai appelé mon comptable pour qu’il augmente le salaire de ma stagiaire.
J’avais mal aux couilles tellement je les avais vidées. Je suis rentré chez moi et je me suis fait un sandwich avant d’aller me coucher. Le lendemain matin, quand je me suis réveillé, je me suis demandé si je n’avais pas rêvé mais en arrivant au bureau, la nouvelle secrétaire était bien là. Je lui ai fait signe de la main pour lui dire bonjour et je me suis enfermé dans mon bureau mais il a bien fallu que je l’appelle pour le boulot. Elle est arrivée dans mon bureau.
– C’était pas bien hier, m’a demandé la fille ? Ce matin avant que tu n’arrives, j’ai eu le comptable et il m’a dit ! Tu as été très généreux et maintenant, je te suis redevable, a ajouté la fille !
Elle s’est glissée sous mon bureau et elle m’a ouvert la braguette puis elle m’a sucé la bite jusqu’à ce que j’éjacule et quand elle a refait surface, elle avait les lèvres pincées et j’ai compris qu’elle avait gardé mon foutre puis elle l’a avalé avant d’ouvrir la bouche pour me montrer qu’il n’y avait plus rien.
Je n’avais plus de jambes et encore moins de souffle quand elle m’a demandé par quoi on commence et j’ai fait comme j’ai pu. Le midi, je l’ai invitée à déjeuner avec moi et elle a passé son temps a me titiller l’entre-cuisse avec le bout de son pied et ce soir-là, cinq minutes avant de sortir, elle est revenue dans mon bureau pour me demander si on recommence. J’ai hésité. La fille m’a dit que ça ne la gêne pas et elle a ajouté que le problème, ça risque plutôt d’être moi mais j’ai voulu assurer et plutôt que de finir dans son trou, j’ai joui sur son visage et elle en a aussi eu dans les cheveux mais ça ne l’a pas gênée. Elle m’a dit qu’elle se débrouille et elle a disparu dans les toilettes. Je ne l’ai revue que le lendemain. Elle était déjà là quand je suis arrivée et je suis allé vers elle. Elle m’a dit que si je veux, elle veut bien puis elle a ajouté qu’elle a ses règles. Pour moi, ça signifiait que je ferai tintin mais elle avait une autre idée et elle me l’a dit tout de suite en me murmurant dans l’oeil. Ça m’a sidéré.
– Pourquoi ? T’as peur, a ajouté la fille à haute voix ? Je l’ai déjà fait et ça va aller tout seul ! Maintenant, si tu veux !
J’ai préféré le faire le soir. A six heures moins le quart, la fille est venue dans mon bureau puis elle s’est plantée devant moi pour retirer sa petite culotte puis elle s’est couchée sur le bureau et elle a écarté ses fesses avec ses doigts. Son anus était une rose parfaite mais je me suis enfoncé comme dans du beurre et j’ai enculé la fille jusqu’à ce que je jouisse dans ce trou puis nous sommes allés dîner au restaurant. Elle méritait bien ça.
Sept mois plus tard, quand ma secrétaire est rentrée de ses congés maternité, j’ai gardé sa remplaçante mais notre ménage à trois n’a pas vraiment fonctionné. La petite jeune est partie et ça a été pour moi comme un deuil.

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