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Sofia, Michèle et Laurie, collègues dépravées

Sofia, Michèle et Laurie, collègues dépravées



Christian est ce qu’on pourrait appeller facilement un pauvre bougre. À un peu plus de soixante-dix ans, il renonce à partir à la retraite. Son patron lui a proposé à de nombreuses reprises mais il refuse systématiquement. Alors, depuis une dizaine d’années, il s’occupe des archives de la boîte, au deuxième sous-sol.
Christian ne voit quasiment jamais la lumière du jour et n’est guère dérangé dans son travail. Ça lui convient parfaitement. Il y a bien une raison à tout ça : la présence de Sofia. La putain du patron le fait fantasmer, le fait bander, l’oblige à se branler plusieurs fois par jour. Quand elle a besoin d’un dossier, elle n’hésite pas à venir le voir et à le provoquer. Elle cambre les fesses, remonte un peu sa jupe et fait sauter un bouton de son chemisier. Il faut dire que Sofia met toujours le paquet.
Pour ses yeux, un maquillage charbonneux, digne d’une pute de luxe. Des lèvres rouge sang, tout comme ses ongles longs. Un chemisier dont elle ne ferme jamais les boutons du haut, offrant ainsi une vue imprenable sur ses gros seins. Sa jupe, souvent fendue, épouse parfaitement les courbes de sa croupe. Il est ainsi facile de deviner qu’elle porte rarement une culotte ou parfois un string qui lui rentre bien dans la raie et on distingue parfaitement les contours de son porte-jarretelles. Comme tous les jours, Sofia porte des bas couture. Ils sont légèrement grisés aujourd’hui. Christian le sait car il est parvenu à installer une petite caméra sous le bureau de la salope. Enfin, à ses pieds, des escarpins aux talons aiguilles de quinze centimètres qui obligent Sofia à tanguer du cul quand elle parcourt les couloirs de l’entreprise. Bien évidemment, sa chaîne de cheville ne manque pas. Aujourd’hui, elle en a une à chaque cheville. Ça aussi, Christian le sait car il a eu droit à un gros plan tout à l’heure.
Sofia n’ignore pas qu’elle est filmée. Bien au contraire, cela ajoute à son excitation permanente. Sa chatte de garce à bites est tout le temps trempée. Entre deux dossiers, la secrétaire n’hésite pas à se branler, soit avec ses doigts, soit avec l’un des godes de son tiroir.
Avec le gros plan sur les chaînes de cheville, Christian a bandé aussitôt. Il s’est dirigé vers les toilettes et s’est masturbé une bonne dizaine de minutes. Il en a profité pour se filmer avec son téléphone portable et, après avoir giclé sa semence, a envoyé la vidéo à Sofia. La belle salope a pris son temps pour regarder le petit film. Mais pour ça, il lui a fallu s’enfermer dans les toilettes. Dans le box, bien assise sur la cuvette, jupe relevée sur ses cuisses divines, tétons bien dressés, la putain du patron s’est bien fait plaisir. Sans se retenir ses gémissements de chienne, elle a giclé un gros jet de mouille sur le carrelage. Un jus épais, comme à chaque fois.
Mais ça ne lui suffit pas. Elle a besoin de bites et son patron, qui a l’habitude de la défoncer au moins deux fois par jour, est absent. En sortant des toilettes, il lui vient une idée. Pour la première fois, elle va se donner à Christian. Grâce aux vidéos, elle n’ignore pas qu’il est très bien monté. Cette pensée suffit à la faire mouiller à nouveau. En s’observant dans le miroir, elle sent que sa cyprine coule déjà sur le haut de ses cuisses.
Elle n’a plus qu’à descendre au second sous-sol en faisant bien claquer ses talons aiguilles de garce à bites. Elle passe devant les open spaces où les secrétaires, celles qui n’ont pas encore eu les faveurs du boss, la regardent avec une moue empreinte de jalousie. Aucune ne porte de talons aussi hauts que les siens, aucune n’a encore eu le droit de se faire asperger le visage de foutre. Quelques hommes bossent et tous, sans exception, ont arrêté leur labeur. C’est toujours un plaisir de la voir aller et venir, de contempler son cul en train de se tortiller. Tous les mecs qui bossent ici ont eu l’honneur de lui ramoner la gorge et de lui défoncer l’anus. Une pute, voilà ce qu’elle est. Une putain qui vit pour son plaisir et celui des autres. Une chienne insatiable. Une traînée jamais rassasiée de queues.
Au premier sous-sol, elle croise David. Il s’occupe de la logistique. Sofia adore sa bite. Lui a l’occasion de la baiser au moins une fois par jour quand elle doit venir ici pour vérifier certaines livraisons. Dès qu’il la voit arriver, il se dirige vers elle.
– Ah, Sofia, tu tombes bien. J’ai besoin que tu me vides les couilles. Maintenant.
Il la reluque de la tête aux pieds.
– T’es encore habillée comme une putain. Tu mérites que je te défonce la gorge.
La belle salope sourit. Ravie d’être ainsi courtisée.
– On va dans ton bureau ?
– Viens.
Sofia passe la première, balance exagérément du popotin sous le regard envieux des collègues de David. Une fois dans la pièce, elle relève sa jupe tant bien que mal, tant celle-ci moule ses formes. Elle tient à ce que le logisticien ait une belle vue sur sa chatte dégoulinante de jus de pute. Puis elle s’accroupit, langue sortie. Prête. David extrait sa queue, déjà bien raide. Sans préambule, il imprime un rythme intense dans la bouche et la gorge de la pute du patron. Gorges profondes, facefucking, ce sont des domaines dans lesquels Sofia a toujours excellés. Au lycée et à l’université, elle taillait des pipes très baveuses afin de s’assurer des meilleures notes.
La pute bourgeoise bave sans discontinuer. Des grands jets de salive qui viennent imprégner son décolleté ravageur, son chemisier de soie, ses bas. Une flaque épaisse s’est formée sur la moquette. Sofia pompe avec passion. Plus elle bave, plus elle crache de salive, plus elle suce bruyamment, plus elle mouille. La moquette n’échappe pas à la cyprine de la putain.
Ses gémissements attirent d’autres hommes du service logistique. Plus ou moins jeunes, plus ou moins vieux, la chienne s’en moque. Du moment qu’ils ont beaucoup de foutre à lui donner. Elle suce chaque bite avec avidité, elle bave énormément. Les mâles n’hésitent pas à lui maintenir la tête pendant un vingtaine de secondes. Sofia est au bord du vomissement mais, de plus en plus expérimentée, elle résiste vaillamment. À chaque fois, elle crache d’énormes paquets de salive. Il y aurait de quoi remplir un seau. Sofia pompe toujours plus vite, toujours plus fort. Elle devine que les hommes ne vont pas tarder à éjecter leur semence. David est le premier à arroser son visage. Du sperme bien chaud, bien épais. Ses collègues ne sont pas en reste et, chacun leur tour, inondent ses cheveux, sa bouche et son décolleté. Tous satisfaits, ils repartent sans dire un mot.
Sofia se rhabille tant bien que mal. Pour autant, elle ne s’essuie pas le visage. Elle adore sentir le foutre. C’est un parfum totalement naturel.
Avec un immense sourire, ravie d’avoir soulagé ces hommes, elle gagne le second sous-sol. Christian est affairé dans un des rayonnages. Certes attentif à son travail, il ne résiste pas au claquement des talons sur le sol de béton brut. Il remet le bouquin à sa place et quitte la rangée. Sofia est là à quelques mètres. Elle est superbe avec son son visage plein d’un foutre qui commence à sécher, ce qui a le don de faire aussitôt durcir la bite de l’archiviste…

Au même moment, Michèle, la responsable du service comptabilité, accueille Laurie. Michèle est une femme expérimentée. Elle aime se soumettre aux bites des hommes. C’est à la sueur de son cul qu’elle a gagné la tête du service. Comme Sofia, elle teste aussi tous les nouveaux qui rentrent dans la boîte. Aujourd’hui, elle porte un tailleur gris avec une jupe fendue, des bas couture noirs qui plissent déjà aux chevilles et des escarpins rouges. Quant à Laurie, dès son premier jour, elle fait déjà forte impression. Elle est sanglée dans un tailleur de cuir qui épouse parfaitement ses formes généreuses et laisse deviner ce qu’elle en porte en-dessous. Une guêpière mauve qui retient péniblement des bas couture noirs plissés aux genoux et aux chevilles. À ses pieds, une épaisse chaîne de cheville et des mules rouges aux talons vertigineux de quatorze centimètres.
Dans la salle de pause, devant leurs gobelets de café, Michèle distingue une odeur affolante : celle de la cyprine. La cheffe de la compta devine que c’est celle de Laurie. La respiration de Michèle s’accélère. Elle a envie de goûter à ce minou délicat. Elle lâche son gobelet et pose sa main aux ongles vernis sur celle de Laurie.
– Tu mouilles, hein ? Tu es rentrée comment ici ?
– J’ai sucé au moins trois bites dans le bureau de la direction. Je suis rentrée chez moi la gueule pleine de foutre.
– Alors, bienvenue. Je te fais faire le tour ou bien je te bouffe la chatte ?
Juste derrière elles, il y a un canapé. Avant de s’y installer, Laurie remonte sa jupe, dévoilant un abricot parfaitement glabre. Elle prend place sur le cuir, écarte ses cuisses. Ses bas font encore plus de plis. Michèle se met à genoux et approche sa langue. Le jus de Laurie est déjà abondant. Copieusement émoustillée par la situation, elle att**** la tête de sa cheffe et l’amène à elle. Michèle goûte à la chatte baveuse. Laurie ne se retient pas pour gémir et, face à l’expertise de sa responsable, lâche de gros jets de cyprine. Le visage de Michèle est violemment aspergé d’un jus bouillant et épais. Le reste se répand sur le canapé ainsi que sur le carrelage.
Heureuses mais pas repues, les deux femmes se relèvent, légèrement vacillantes sur leurs talons de putes bourgeoises. Il est temps de commencer la visite de la boîte…

Au deuxième sous-sol, Sofia, jupe relevée, est déjà accroupie. Face à elle, Christian a sorti sa bite. Une verge épaisse, longue, au gland proéminent. La putain lèche lentement la hampe dressée, distribuant des coups de langue précis aux points stratégiques. Elle sent les mains de l’archiviste sur son crâne. Des mains puissantes pour l’inciter à accélérer le mouvement. Alors, Sofia ouvre plus grand la bouche et gobe l’intégralité de la queue gonflée et tendue. Elle bave autant que sa chatte coule. C’est-à-dire en abondance. Sa salive se répand sur son chemisier qui n’a pas eu le temps de sécher, sur ses gros seins, sur ses bas plissés. Sur le sol brut, une grosse flaque s’est formée, mélange de son écume et de son jus de pute. Christian soupire d’aise.
– Hmmmmmm, grosse chienne ! Grosse truie !!
Sofia adore qu’on la traite ainsi. Ça la fait mouiller encore plus. Le débit de sa chatte se fait plus conséquent et sa bave de garce est plus opulente. De temps en temps, elle se permet de griffer les couilles pleines de Christian.
– Ah, tu en redemandes, grosse putain !! Tu vas voir !
Christian s’appuie un peu plus sur le crâne de Sofia. Il besogne sa bouche encore plus fort. La pute bourgeoise suffoque mais elle adore ça. Sa succion est tellement bruyante que David l’entend à l’étage au-dessus. Ni une, ni deux, il abandonne ses collègues, prétextant la vérification d’un document et descend au second sous-sol. Ce qu’il voit lui coupe le souffle. Il ne lui en faut pas plus pour bander. Il vient se positionner à côte de Christian et, à son tour, sort sa queue dure.
– Vas-y, pompe, grosse traînée !
Sofia, plus que ravie d’avoir une seconde bite à disposition, abandonne momentanément celle de Christian. L’archiviste en profite pour changer de position et insérer ses doigts dans l’anus dilaté de la salope. C’est extrêmement gluant et après le majeur et l’index, il peut commencer à y mettre le reste. La bouche pleine du chibre de David, Sofia gémit. Le logisticien lui maintient fermement la tête. La bite de son tourmenteur au fond de la gorge, la chienne dépravée peut à peine respirer.
C’est comme ça qu’elle aime être investie. Comme la pire des traînées, comme la plus chienne des putes, comme la plus garce des salopes. Sofia n’est jamais rassasiée. Il lui faut du sexe, des bites, matin, midi et soir. Toute la nuit s’il le faut.
La main de Christian est maintenant intégralement insérée dans son cul. Sofia sent les doigts impatients qui fouillent ses parois anales. Elle gémit toujours plus fort, hurle et largue un énorme jet de son jus de pute. On pourrait croire qu’elle est fauchée par ce premier orgasme. Il n’en est rien. Bien au contraire, elle repart de plus belle à l’assaut de la bite de David. Elle pompe comme une acharnée, crache toujours plus de salive épaisse. Elle ne se gêne pas pour balancer sa bave sur la queue de David.

Dans leur dos, des claquements de talons aiguilles. Le trio ne se retourne pas et continue son spectacle. Michèle et Laurie descendent les dernières marches et s’approchent des trois excités. Michèle passe une main sur la queue ferme de Christian en se léchant la lèvre. Elle aussi, ça fait longtemps qu’elle a envie du chibre de l’archiviste. À côté d’elle, Laurie n’est pas surprise de la situation. Si elle a postulé dans cette boîte, c’est pour vivre ce genre d’aventures.
La nouvelle arrivante trouve place sur une chaise. Elle a relevé sa jupe, libérant l’accès à une chatte dégoulinante d’un jus épais. Presque à regret, Christian abandonne le cul de Sofia et se dirige vers Laurie. D’un geste totalement naturel, elle ouvre une bouche aux lèvres épaisses. L’archiviste s’enfonce d’une seule poussée dans le conduit brûlant. Laurie joue avec sa langue sur les veines de la hampe épaisse. Christian gémit et ressort sa queue luisante de bave. Laurie crache sa salive sur le visage de Michèle. La cheffe comptable, ravie, n’en demandait pas tant.
– J’en veux aussi, fait-elle, la voix rauque.
À son tour de se lancer à l’assaut de la bite de Christian. L’archiviste, aux anges, applique le même traitement qu’avec Sofia et Laurie. Il maintient le crâne de l’heureuse élue pendant une trentaine de secondes. Il faut que ça bave avec lui. Et à Michèle de cracher sur le visage de Laurie. Les deux salopes sont heureuses.
Sofia continue de pomper la bite de David comme une chienne à foutre. Avec lui, c’est toujours le même cérémonial : à genoux et les mains dans le dos. C’est lui qui dicte le rythme afin que Sofia puisse baver au maximum. Et la chienne bourgeoise, elle bave sacrément. Elle met de la salive partout.
Plus qu’excitée, elle a envie de quelque chose de plus fort. De se faire prendre par le cul. De se faire agripper par les hanches. De se faire défoncer sans le moindre ménagement pendant que ses bas couture plissent de partout. Avec ses yeux de chienne volcanique, elle regarde David. Pas besoin de discours, il comprend le message. Il quitte la bouche enfiévrée et vient se placer derrière l’anus tentateur.
Sofia n’a pas besoin de préparation, Christian s’en est chargée. Mais David plonge la langue la première. Il sait exactement où viser. Sofia gémit de plus belle.
– Bouffe-moi la rondelle ! Plus fort mon salaud !

Juste à côte, Laurie se fait détruire la bouche par Christian. Michèle, en bonne perverse, a trouvé de quoi lui attacher les mains dans le dos. La nouvelle arrivante, à genoux comme il se doit, continue de faire ses preuves. Elle pompe jusqu’à s’en étouffer, à la limite du vomissement. Elle ne lésine pas sur la bave, elle met de la salive partout, sur ses gros seins aux tétons dardés, sur le pantalon et les pompes de Christian et, de temps à autre, elle ne manque pas de viser le visage extatique de Michèle. Laurie sait se montrer plus que convaincante. Son maquillage de chienne a coulé. À chaque fois, Christian lui laisse un peu de répit, juste quelques secondes puis Laurie, en putain avertie, repart à l’abordage.
Quant à Michèle, elle s’est très légèrement décalée afin de fouiller alternativement la chatte et l’anus de Laurie. À chaque fois, elle en retire une main pleine de jus.
– Qu’est-ce-qu’elle mouille, cette putain ! Elle est digne de la boîte.
Pour bosser ici, c’est une des conditions d’entrée. Le patron ne se gêne pas, pendant l’entretien d’embauche, de tester les capacités des postulantes. Elles doivent se soumettre notamment à un test buccal et anal. Pour mémoire, Laurie avait arrosé le bureau du boss avec son jus, Michèle avait tellement gémi qu’il avait fallu changer une vitre du bureau et Sofia avait tellement bavé qu’il avait fallu procéder au remplacement de la moquette. Autres critères d’admission : le port obligatoire de talons aiguilles de douze centimètres minimum et de véritables bas couture.

Le second sous-sol est désormais rempli de gémissements. Ceux de Sofia, qui se fait profondément enculer par la bite impérieuse de David et ceux de Michèle, que Christian besogne sans aucun ménagement. Ses bas ne tiennent presque plus aux jarretelles. Quant à Laurie, elle alterne entre les orifices offerts. Elle a envie de goûter à tout. Elle retend ses bas puis oriente son cul vers la bouche de Sofia. Tout en léchant et en se faisant sodomiser, la pute bourgeoise, la préférée du patron, gémit encore plus. Elle hurle un plaisir qui ne se tarit pas. Son jus de pute coule sans cesse et il en est tout autant de celui de Laurie.
Les coups de langue de Sofia sont précis, appliqués avec régularité. La chatte de Laurie bave toujours plus. Quant à Michèle, on ne la tient plus :
– Vas-y, Christian, plus fort !! Pilonne-moi ! Fais-moi mal !
L’archiviste ne se le fait pas dire deux fois. Il s’arc-boute un peu plus aux hanches de la bourgeoise dépravée et augmente la cadence.

– Aaaaaahhhhhhh !! Putain !!
Laurie vient de jouir, giclant violemment son jus sur la mine gourmande de Sofia ainsi que sur le sol de béton brut. La grosse pute dépravée n’essuie pas son visage, trop heureuse de l’offrande et pivote pour pouvoir faire subir le même traitement au cul de Michèle. Elle repousse tranquillement Christian qu’elle gratifie d’une gorge profonde bien baveuse. Ses doigts aux ongles bien longs se posent sur la rondelle fiévreuse. David et Christian en profitent pour s’occuper de Laurie. Christian se positionne dessous et David se place dessus. Laurie va recevoir une double pénétration en bonne et due forme. Les deux hommes trouvent rapidement le bon rythme et la nouvelle arrivante, honorée de recevoir un tel bizutage, ne se prive pas pour faire entendre ses gémissements.
– Allez-y !! Bourrez-moi le cul ! Bourrez-moi la chatte ! Encore !!!
Laurie hurle son bonheur d’être prise comme la dernière des putains. Le visage dans le jus qu’elle a giclé tout à l’heure, elle entreprend de lécher sa propre semence. Elle se fait violemment pilonner et en redemande.
– Plus fort !!

Fascinées par ce spectacle, Michèle et Sofia se rapprochent sans cesser de se bouffer la chatte et le cul. Elles ont laissé de grosses traînées de jus de putain sur le béton. Elles veulent de la bite maintenant. Elles veulent se faire secouer comme de vulgaires chiennes, comme les putes assoiffées qu’elles sont ! C’est alors que Pierre, le patron de la boîte, débarque.
– Ça fait une heure que je vous cherche. Je vois qu’on ne s’ennuie pas.
Ni une, ni deux, il déballe sa queue. Elle est déjà grosse, bien ferme, le gland bien violacé et proéminent. C’est une bite que Sofia et Michèle connaissent par cœur. Tandis que David et Christian continuent de faire hurler Laurie, Pierre se place entre ses deux putains et entreprend de leur exploser la gorge à tour de rôle. Le chemisier de Michèle est plus qu’imbibé de salive pendant que la grosse poitrine de Sofia est intégralement recouverte de bave. Leurs gémissement et leurs bruits de succion, couplés aux cris de Laurie, résonnent dans tout le second sous-sol. Ce sont de vrais truies.
Christian et David ramonent sans mollir cette grosse chienne de Laurie. À force d’être secouée, ses bas couture font énormément de plis. Elle est complètement ballotée. Elle ne cesse de hurler qu’elle est une chienne, une putain, qu’il faut la défoncer sans ménagement, qu’il faut exploser sa chatte et son cul.
La bite encore gluante de la salive cumulée de Michèle et Sofia, Pierre est à point. D’un pas tranquille, il pivote vers Laurie. Il admire son visage de chienne où le maquillage a coulé. Il insère des doigts dans sa bouche, en évalue la profondeur puis il flatte ses seins lourds.
– C’est à moi, messieurs. Allez vous occuper de ces deux truies. Elles ont un grand besoin de foutre.
David et Christian ne se font pas prier. Ils changent de place tandis que Sofia et Michèle se font face à face en se roulant des pelles. David a décidé de s’occuper du fion de Sofia. Christian se chargera de la rondelle de Michèle. Quant à Pierre, il est positionné face à la bouche grande ouverte de Laurie. Avant même d’y avoir introduit sa bite, elle bave déjà. Il se penche pour claquer son cul tandis qu’elle gobe la queue tendue. Il en profite pour saisir une de ses mules et lui insérer le talon dans l’anus dilaté.
Elle aspire son nouveau patron jusqu’aux couilles pleines. Les pipes effectuées par Laurie sont toujours bruyantes mais là, c’est probablement son record. Ses bruits de succion dépassement les gémissements conjugués de Sofia et Michèle. Christian ne ménage pas sa peine pour sodomiser la salope expérimentée. Quant à David, il y met tout son cœur pour enculer Sofia. La reine des putains hurle, son jus gicle violemment sur le sol brut, ses bas plissent énormément. Elle sait que c’est pour bientôt. Elle sent que les hommes ne vont pas tarder à gicler.
Christian est le premier à se retirer. Il contourne le cul de Michèle afin de se positionner face à son visage et libérer son foutre épais. La cheffe comptable ouvre la bouche pour en avaler le maximum. Puis c’est au tour de David. Il oblige Sofia à se retourner. À nouveau, elle gobe sa queue et lui, à grands jets, n’a plus qu’à déverser sa semence chaude au fond de son estomac. Elle ne tient pas à en perdre une goutte. Enfin, c’est au tour de Pierre. Il se place de façon à pouvoir arroser les bas couture de Laurie. Son sperme vient imbiber le nylon en paquets épais. Le surplus sera pour la bouche de sa nouvelle employée.

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