Le plombier vient de passer !
En cette période hivernale, quelques soucis avec ma chaudière… donc le réparateur de la société d’entretien est passé : bla bla bla, etc… « bon rien de trop grave, il y aura deux pièces à changer »
Dans le fil de la conversation :
« le contrôle a été fait en novembre… mais je n’étais pas là, c’est ma femme qui a vu votre collègue »
« ouais, je sais, c’est moi qui ai fait le contrôle »
« et… ??? »
« tout allait bien, pas de souci »
« mais vous aviez bien contrôlé tout ? la chaudière ? la tuyauterie ? »
« oui, oui, j’avais tout contrôlé, zéro problème »
Le jeune gars, manifestement un peu surexcité, dansait d’un pied sur l’autre en me disant cela. En plus, il avait un physique apte à plaire à ma femme : un peu petit costaud et trapu, crâne quasi rasé, le regard du jeune dragueur et un sourire « engageant »… mon sang ne fit qu’un tour : et s’il se l’était faite en mon absence ?
« vous lui aviez tout expliqué à ma femme ? »
« oui, oui… vite fait… mais elle n’écoutait pas trop »
« elle n’a pas trop compris les questions techniques ? »
« non, je ne crois pas, non »
« mais… elle était à vos côtés, là, dans la pièce ? »
« ooooooooooohhhhhhhhh ! oui »
Surpris de cette réponse, je repartis au questionnement :
« mais quoi ? qu’est-ce-que vous voulez dire »
« elle me tournait autour avec sa mini-jupe et ses bas dim-up »
Je marquais un court moment de silence, je ravalais ma salive… je sentais bien qu’il y avait dû y avoir une aventure… j’avais envie qu’il [lui] me le dise, me le raconte avec ses mots à lui… sachant que elle, ma vraie-fausse sainte-nitouche – que je savais bien chaude par ailleurs quand elle le voulait- ne m’avais rien (mais rien de rien) dit de la visite du plombier pour le contrôle de la chaudière.
« vous avez vu qu’elle avait des bas ? » questionnai-je surexcité
« ah ça oui ! elle faisait tout pour me montrer qu’elle avait des bas… en se penchant là (il me montrait la poubelle) ou en cherchant un ustensile (il me montrait l’étagère haute) elle montait sur une chaise et je pouvais tout voir »
« vous avez tout vu ? quoi tout ? »
« Quand elle est montée sur la chaise pour farfouiller dans le placard du haut, sa jupe serrée et moulante -quel beau cul elle a !- est remonté très haut… j’ai bien vu la lisière des bas et sa chair blanche au-dessus… et, la coquine, elle a bien vu que j’avais vu »
« Alors ? »
« Ben quand j’ai eu fini de remonter la chaudière, j’ai fait mine de vouloir nettoyer… alors elle m’a dit : ‘non, laissez, ça c’est moi qui vais le faire’… et elle est venu nettoyer avec une éponge, se collant à moi au passage, me tendant bien son cul sous sa jupette moulante… »
« et, et ? n’ayez pas peur, racontez-moi tout, j’adore »
« je peux ? »
« oui, oui, vous pouvez, vous devez… »
« Bon alors… quand elle a été là (il me montre le plan de travail de la cuisine), à demi allongée pour nettoyer en ondulant du cul sous sa jupe à un mètre de moi, mettant un temps fou… comme si elle attendait en me tournant le dos, je l’ai chopée par les hanches, j’ai bien paluché ses hanches et ses fesses langoureusement et j’ai plaqué ma bite bandée contre son cul offert [il faut dire que je bandais grave, vu qu’elle m’avait bien chauffé !] »
« Ouaouh ! et alors ? »
« La coquine, la salope oui, elle a frotté son cul contre ma bite, elle a ondulé pour bien sentir ma trique… je l’ai chopée à la taille et je l’ai plaquée contre ma bite… Alors, là, elle s’est déchaînée, en un tournemain, elle a défait ma braguette, s’est saisi de ma queue, m’a branlé comme une fofolle… j’ai fait tomber mon futal aux chevilles, j’ai soulevé sa jupe, sans problème j’ai écarté sa culotte souple et je l’ai embrochée en levrette debout contre le plan de travail… elle s’est mise à gueuler comme une furie en même temps qu’elle envoyait des coups de cul déments à la rencontre de ma bite… putain qu’elle était bonne ! je l’ai baisée profond, je tenais bien son cul bien ferme et répondant comme pas deux à mes coups de bite… que c’était bon… elle s’est mise à se trémousser en tous sens, à gémir, ses mains plaquées à plat sur le plan de travail, son cul tendu à l’extrême,… putain qu’est-ce que je lui ai mis ! quel plaisir, elle a un cul fabuleux… et sa chatte, si douce… j’ai pas tenu longtemps tellement elle m’excitait et je lui ai déchargé dans la chatte la remplissant de foutre tout en me vissant à elle qui m’attirait pour mieux sentir mon sperme l’envahir. J’ai pris un pied de fou… comme jamais chez une cliente… c’est la plus chaude que j’aies jamais rencontrée ! une vraie furie de sexe ! quel cul »
Je restais « baba », scotché par son récit, surexcité, bandant comme un âne… heureux d’entendre tout ça… je ne savais plus quoi dire…
« Ahhhh ! je suis bien content pour vous… vous avez dû vous régaler ? »
« Ah oui alors, je me suis bien régalé, elle est vraiment bonne votre femme »
« Vous devez être déçu que ce ne soit pas elle qui soit là aujourd’hui alors ? »
« bennnnnnnnnn ! oui un peu ouais »
« Attendez…. »
Je montais alors rapido au premier, je lui sortis une jolie culotte noire des tiroirs des dessous de ma femme et je redescendis lui offrir :
« tenez, c’est une de ses culottes de coquine, vous pourrez vous branler le soir en pensant à elle… et quand vous voulez je vous autorise à venir la baiser… à la seule condition que vous me racontiez tout après… »
Le jeune gars, surpris et enchanté, me remercia pour la culotte qu’il enfourna soigneusement dans sa poche et me lança : « ouais, j’aimerais bien revenir la baiser, elle est tellement bonne ! »
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