La semaine s’était bien passée, un beau ciel azur persistait en ce mois de septembre et, chose rare, je n’ai pas été submergé par les consultations d’urgence.
Je m’appelle Pierre, médecin urgentiste de 43 ans, 1m80, brun aux yeux verts. Je suis célibataire mais ma profession ne me laisse que peu de temps pour rencontrer l’âme sœur. J’aime mon travail bien qu’il soit très prenant. C’est seulement une fois rentré de l’hôpital que la solitude me gagne. Seul dans mon appartement vide, la douceur d’une femme auprès de moi me manque beaucoup.
Exceptionnellement libre tout le week-end, je décide de me coucher tôt pour aller le lendemain matin à un vide-grenier situé à une heure de route de chez moi. J’aime beaucoup les antiquités et plus particulièrement les objets liés à la mythologie grecque.
Le matin, je rejoins le vide-grenier. Un grand soleil surplombe les ruelles de la ville dans laquelle je déambule à la recherche de la perle rare. Mon regard se pose alors sur un vase grec. Il ne me semble pas authentique mais suffisamment beau et ancien pour mériter sa place dans la vitrine de mon salon.
Je m’approche du stand tenu par une femme d’une cinquantaine d’années. Nous nous mettons d’accord sur le prix de 50 €. Heureux de mon acquisition, je la dépose dans le coffre de ma voiture avant de terminer le tour du vide-grenier.
Aucun autre objet ne parvient à attirer mon attention, je décide donc de rentrer chez moi.
De retour en ville, je décide d’aller faire expertiser mon vase chez un antiquaire avant de rejoindre mon appartement. Je me gare devant la boutique et ouvre mon coffre pour prendre le vase. C’est alors qu’un automobiliste klaxonne à plusieurs reprise à quelques mètres de moi. Surpris, je lâche le vase qui se brise à mes pieds.
« C’est pas vrai !! 50 € qui partent en fumée à cause d’un excité du volant ! »
Je respire profondément pour essayer de me calmer et regarde les morceaux de vase sur le sol. Je m’aperçois qu’un petit objet était parmi les fragments. Une sorte de pendentif orné d’une pierre bleue aux reflets violacés. Je la saisis et la met dans ma poche puis je rassemble dans les éclats dans un sac pour les emmener dans la boutique.
La gérante est une femme blonde, 55 ans environ, très svelte et coquette. Je dépose ma récente acquisition en miettes sur son comptoir et lui dit :
« – Bonjour, j’ai acheté ce vase en un seul morceau ce matin et il s’est brisé il y a quelques minutes devant votre boutique. J’aimerais connaître son ancienneté, et s’il a de la valeur, savoir s’il est possible de recoller les fragments.
– Je vais regarder ça mais vu son état, le réparer prendrait beaucoup de temps donc il se peut que la réparation coûte plus chère que l’objet lui-même.
– Je l’ai acheté 50 €. S’il ne vaut pas plus, inutile de le réparer.»
Elle regarde les plus gros débris pour contempler les motifs.
« -Il s’agit d’une poterie en céramique représentant le dieu Eros et la déesse Aphrodite qui tendent les bras vers quelque chose. Je ne trouve pas le bout du vase pour savoir de quoi il s’agit. En tout cas, j’ai l’impression que cette poterie est très ancienne, mais les inscriptions semblent presque intactes. Elles ne peuvent pas être aussi bien conservées si ce vase est authentique.
– C’est ce que je me suis dit mais je voulais en être sûr.»
Mes yeux se posent sur les débris et je vois alors un bout de vase avec une amulette peinte dessus. Je le prends et le montre à la gérante.
«- Ah ! C’est très probablement l’objet vénéré par les dieux de votre poterie. Ça ressemble à une amulette ou un pendentif serti d’une pierre précieuse, dit-elle.
– C’est drôle, j’ai justement trouvé un bijou au milieu des morceaux de vase tout à l’heure.»
Je glisse ma main dans ma poche et m’empare de l’artefact. C’est alors que la femme m’agrippe le col et le tire avec une force incroyable jusqu’à ce que nos lèvres se rencontrent avec v******e. Surpris, j’essaie de la repousser mais elle renforce sa poigne. Sa bouche humide presse tellement la mienne que la douleur envahit ma mâchoire. Elle accentue encore sa prise et je tombe à plat ventre sur le comptoir, renversant tous les bouts de vase qui se fragmentent encore plus. Ne comprenant pas ce qu’il se passe, je me retourne mais ses mains, d’une habilité et une rapidité folle, se ruent sur mon entrejambe. Elle déboutonne mon pantalon et l’abaisse avec le caleçon pour laisser apparaître mon sexe encore au repos. Mon regard se pose sur son visage, elle était méconnaissable, l’air déterminé, les yeux imperturbablement focalisés sur mes parties intimes. Elle se penche sur moi, appuyant sa poitrine généreuse son mon visage, et sort sa langue pour lécher ma queue. La sang afflue très rapidement et vient gonfler mon membre viril. La quinquagénaire fait sortir mon gland et l’engouffre dans sa bouche saliveuse. Les va-et-vient commence le long de ma tige avec un appétit hors du commun. La raison m’abandonne et je décide de ne plus lutter. Mes membres se détendent et je laisse mes lèvres effleurer le décolleté de la belle antiquaire. Le désir monte de plus en plus en moi, je synchronise mon bassin au rythme de ses va-et-vient pour pénétrer sa gorge le plus profondément possible. Imperturbable, elle encaisse ma bite sans broncher et ses mains expérimentées viennent caresser mes testicules.
L’armature de son soutien-gorge s’enfonce dans mes joues, j’aimerais dégager ma tête pour admirer ce qui se cache sous sa belle jupe moulante. Le pendentif toujours en main, je pousse la belle avec mes bras pour alléger sa pression mais sans succès. Résigné, je me détends à nouveau et décide d’utiliser ma main libre pour explorer le corps de la belle. J’effleure ses jambes et remonte lentement le long de ses cuisses. Plus j’approche de sa vulve, plus sa peau est humide. Mes doigts se posent sur sa culotte et je m’aperçois qu’elle est trempée. La cyprine traverse la dentelle du tissu et coule le long de ses cuisses. La position est inconfortable et la douleur due au soutif s’accentue mais j’en veux plus. Je glisse mon majeur sous sa culotte et caresse son pubis garni d’un petit ticket de métro entretenu. Mon doigt s’égare ensuite le long de ses lèvres charnues et parfaitement lubrifiées. Je me rends compte qu’à cet endroit, le tissu a rétréci, la culotte est en fait un string ou un tanga. Mon excitation augmente encore, la fellation est de plus en plus profonde et ma queue est à la limite de l’explosion. J’introduis une phalange dans son vagin ruisselant, puis deux. Je n’ai aucun mal à les rentrer dans son intimité brûlante. Mon index rejoint mon majeur et tout deux se mettent à onduler lentement et sensuellement dans sa chatte. La gérante qui jusque là semblait imperturbable, émet des gémissements de plaisir. Sa respiration s’accélère, je suis au bord de l’extase. Mes doigts sont enfoncés très profondément dans sa vulve chaude et imbibée de mouille. Je retire mon index et le pose délicatement sur l’anus pour l’enduire de cyprine. La femme sursaute légèrement lorsque je glisse mon doigt dans son cul maintenant lubrifié mais cela n’altère pas pour autant sa force et détermination. J’ai maintenant un doigt dans sa chatte et un doigt dans son anus, je les fais aller et venir, provoquant à chaque passage un cri de désir de ma partenaire. Elle me suce avec passion, sa langue procure une vague de plaisir à chaque caresse sur mon gland. C’est tellement bon, me demande ce que j’ai fait pour mériter pareil traitement. Elle enfonce soudainement ma bite profondément dans sa gorge, un violent orgasme s’empare de mon corps et embrume mon esprit, je décharge mon sperme dans son œsophage et l’avale sans la moindre hésitation. Les spasmes de plaisir paralysent mes muscles et je lâche le bijou qui tombe sur le comptoir.
La belle redresse la tête pour faire sortir mon sexe encore gonflé de sa bouche et fait un pas en arrière. Sa main saisit mon poignet et m’oblige à extraire ma main de son entrejambe. Je me relève rapidement, remonte mon pantalon et me place face à la belle quinquagénaire. Mon visage est encore endolori, mes doigts ruissèlent et une bosse étire mon jean. Nos regards se croisent et je perçois à quel point elle est gênée :
« – Je suis désolée, je ne sais pas ce qui m’a pris. Ça n’aurait jamais dû se passer, je suis une femme mariée et fidèle.
– Je ne comprends pas ce qu’il s’est passé non plus. Vous m’avez entraîné vers vous, je n’ai rien pu faire. Ce que vous me faisiez était incroyable, je me suis laissé prendre par le désir. »
Elle baisse les yeux et se met à sangloter. Je ne comprends pas comment cette femme si entreprenante est devenue soudainement aussi honteuse, rongée par la culpabilité.
« – On a tous nos envies et nos pulsions. Ne vous inquiétez pas, je n’en parlerais à personne. Vous avez ma parole.
– Je vous remercie, ça n’aurait jamais dû se passer
– Ça ne s’est jamais passé, madame.
– Oui… pour le vase, je…
– Ne vous inquiétez pas pour le vase, gardez-le. Faites-en ce que vous voulez.
– Très bien Monsieur. Merci et … bonne journée.
– Au revoir, Madame.»
Elle se retourne et disparaît dans l’arrière-boutique. Je récupère mon médaillon sur le comptoir, le remet dans ma poche et reprend la route.
Je n’arrive toujours pas à comprendre ce qu’il vient de se dérouler. Pourquoi m’a-t-elle sauté dessus ? D’où provenait sa force prodigieuse ? Pourquoi, après avoir éjaculé en elle, avait-elle changer à ce point pour devenir une femme timide pleine de regrets ?
Je ne trouve aucune réponse à ces questions pendant le trajet jusqu’à mon appartement. Fatigué, je me mets au lit et m’endors en imaginant ce qui ce serait produit si un client ou pire, le mari de la gérante, était entré dans la boutique.
La semaine se ponctue malheureusement par un dimanche pluvieux. Je reste donc chez moi à regarder des séries et fait quelques recherches sur le pendentif qui ne donnent aucun résultat excepté le fait que la couleur de la gemme est identique à celle de la Tanzanite, pierre extrêmement rare. Je décide de le faire expertiser dans une bijouterie le lendemain, si j’en ai le temps après le travail.
Le lundi après-midi est relativement calme comparé au rythme infernal de la matinée. Je quitte les urgences vers 18h et prend la route pour la bijouterie.
Arrivé sur le parking, je sors l’objet de la boîte à gants et le glisse dans ma poche. J’entre dans la boutique, une magnifique jeune femme d’environ 25 ans m’accueille, vêtue d’une robe noire et courte terriblement sexy. Perchée sur ses escarpins, elle est grande et mince, un joli teint mat, les cheveux bruns retenus par un chignon serré.
« – Bonjour, puis-je vous aider Monsieur ?
– Bonjour, j’aimerais que vous regardiez un bijou que j’ai trouvé ce week-end. Je pense que la pierre qui est dessus est une tanzanite mais je n’y connais rien. J’espérais avoir un avis d’expert.
– Une tanzanite ? C’est très rare. Voyons ça tout de suite.»
Elle m’accompagne dans un coin de la bijouterie, pose un magnifique coussin rouge sur la vitrine.
« – Vous pouvez déposer votre trouvaille sur le coussin, me dit-elle avec un grand sourire. »
Je plonge ma main dans la poche pour en sortir le pendentif. Je m’apprête à le placer sur le coussin lorsque la jeune femme me prend délicatement le menton de sa main droit et ondule l’index de son autre main, me faisant signe de la suivre.
« – Viens par ici, me dit-elle d’un ton sensuel et ferme à la fois.
– Euh… d’accord, répondé-je, surpris par ce tutoiement soudain. »
Elle me tourne le dos et marche massivement vers l’arrière-boutique. Je mets le pendentif autour de mon cou et la suis. Je la retrouve appuyé contre une table, toujours dos à moi. Elle pivote la tête vers moi, l’expression de son visage est sans équivoque, elle me désire. Elle remonte sa robe et dévoile de belles fesses rebondies dépourvues de sous-vêtements. Elle est superbe, je la contemple avec envie lorsqu’elle me lance avec une voix douce et explicite qui me fait fondre :
« – Qu’est-ce que tu attends ? Occupe-toi de moi ! »
Je ne réfléchis plus, je me mets à genoux et approche ma tête de ses fesses. Son cul parfait est chaud et moelleux, je l’embrasse et le lèche avec acharnement. Je relève un léger goût de noix de coco sur sa peau bronzée. J’enfonce ma langue dans le sillon formé par ses deux divines boules parfumées et la traîne sur son anus. Une tressaillement de plaisir traverse la bijoutière, ses fesses se resserrent puis se relâchent pour ouvrir le passage à mon organe saliveux. Mes léchouilles sont de plus en plus appuyées, je parviens même à pénétrer légèrement son rectum. Je sens l’excitation monter en elle, une odeur chaude et puissante de cyprine gagne progressivement mes narines. Je dirige ma langue vers la source de ces effluves enivrantes. Mon nez est maintenant entre ses fesses, collé à son anneau serré pendant que je me délecte du doux liquide lubrifiant qui perle entre les grandes lèvres de sa chatte. Je pénètre son vagin de quelques centimètres, le goût de la mouille envahit ma bouche. Cet arôme m’avait tellement manqué. Ma partenaire gémit de satisfaction, sa respiration est intense et irrégulière. Ma langue s’étire encore pour aller titiller son clitoris gonflé à l’extrême. Ses gémissements se transforment en cris de plaisir, j’espère que l’on est seuls dans la boutique. Ma bite raide comme un piquet est toujours prisonnier dans mon pantalon, il est temps de la libérer.
Je me relève, baisse rapidement mon pantalon et mon boxer, et insère mon imposante queue dans sa vulve inondée. Je l’enfile entièrement sans aucune difficulté, son minou est une merveille de douceur qui m’enduit immédiatement de son jus torride. Elle est penchée sur la table, le dos cambré pour accueillir au mieux mon sexe gorgé de sang. Nos corps fusionnent, nous synchronisons nos mouvements. A chaque fois que je m’enfonce jusqu’à la garde en elle, mes couilles tapent contre son bouton rose, augmentant mutuellement notre excitation. Des gouttes coulent de ma verge au scrotum puis tombent sur mon pantalon baissé aux chevilles. Mon gland continue de coulisser dans le ventre de la jeunette, c’est tellement bon. Comment ai-je pu me passer de cette sensation si longtemps ?
Ses cris sont de plus en plus longs et de plus en plus forts à chaque coup de queue. Nos cœurs s’emballent, nos respirations s’accélèrent, conséquences de la folle stimulation de nos corps en ébullition. Mon sexe est au bord de l’explosion, je suis sur le point de jouir en elle mais je veux que ça dure encore. Je me retire de sa fente béante, prend la cochonne par les hanches et la fait pivoter face à moi. Je la pousse pour qu’elle pose son cul sur le rebord de la table, m’accroupis et lui bouffe à nouveau la chatte. La cyprine dégouline en cascade de son trou. Je lui mordille ses lèvres trempées, promène ma langue d’un orifice à l’autre. Je me redresse et introduis mon sexe aux veines hypertrophiées dans son anus. Bien que très lubrifié, son cul peine à s’ouvrir sous la pression de mon gland. La jeune femme émet un petit gémissement de douleur mais elle ne refuse pas la pénétration pour autant. L’anneau se détend enfin pour engloutir la totalité de ma queue. Mes yeux croisent ceux de ma partenaire qui semble au septième ciel. Son esprit est sur un nuage, déconnecté de la réalité. Elle se mord les lèvres délicieusement maquillées ce qui estompe progressivement leur teinte rouge carmin. L’extase est proche. Je remonte sa robe pour exhiber sa magnifique poitrine maintenue par une soutif noir. Un symbole tribal est tatoué sur son sein gauche. Les coups de bite dans son rectum font bouger sa somptueuse paire de seins. Le spectacle qui s’offre à moi décuple mon plaisir. Une vague orgasmique parcourt mon corps. J’extrais mon pénis de ce cul extraordinaire et libère ma semence sur sa fine toison pubienne. Je gémis tellement le plaisir est intense. Les spasmes qui me traversent sont accompagnés de jets de sperme inondant les seins, le nombril et le pubis de la coquine.
Les yeux embrumés, elle récupère le foutre avec ses doigts, le porte jusqu’à sa bouche puis l’avale d’un trait. Un filet blanchâtre relie sa main à son visage rougi par l’effort.
Je reprends mon souffle et mes esprits en admirant la scène. Une fois ma respiration stable, je remonte mon pantalon, retire le pendentif de mon cou pour le remettre dans ma poche.
La bijoutière se redresse, tire sur sa robe pour recouvrir ses parties intimes. Elle semble de nouveau lucide mais son regard fuyant montre une certaine gêne.
Je crois que je commence à comprendre, le talisman provoque, à chaque contact, un violent désir sexuel chez les personnes entourant son porteur.
« – Excusez-moi, c’est la première fois que ça m’arrive, je ne suis pas ce genre de femme, me dit la jolie brune.
– Ne vous excusez pas, je me sens un peu honteux aussi. Je n’aurais pas dû mais vous êtes tellement belle, je n’ai pas pu résister.
– Ça reste entre nous ? Je ne tiens pas à ce que mon patron ….
– Bien sûr, je ne dirai rien à qui que ce soit.
– Pouvez-vous sortir de l’arrière-boutique ? J’ai peur que mon patron revienne et vous n’êtes pas censé être là.
– Oh pardon ! Oui, je file »
Je vois une tache assombrir sa robe au niveau du ventre.
« – Attention, le sp… vous êtes encore mouillée, dis-je en lui montrant la tache.
– Oups. Merci…»
Gênée et confuse, elle disparaît dans les toilettes et j’en profite pour sortir de la bijouterie.
En rentrant chez moi, je réfléchis à ce qu’il vient de se passer. Je suis de plus en plus convaincu que c’est ce talisman qui modifie le comportement des personnes que je croise. S’agirait-il donc d’un vase authentique, incroyablement bien conservé par la magie ? Un talisman vénéré ou généré par les dieux Eros et Aphrodite en personne ? Est-ce éthique de garder un objet conférant un tel pouvoir ?
Arrivé chez moi, je cache le bijou sous une pile de vêtements d’un de mes tiroirs et m’engage à ne plus utiliser son pouvoir ensorceleur même si, au fond de moi, je sais qu’il sera difficile de résister à une telle tentation.
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