Avril. Temps frais mais dégagé. Lou est en vacances. Pas envie de rester sur Paris. Dès le vendredi soir, elle a fait sa valise, la garnissant de bas couture, de porte-jarretelles, de guêpières, de tailleurs et d’escarpins à talons aiguilles. Elle n’a pas oublié ses accessoires, tels que des colliers de bourgeoise et sa chaîne de cheville. La belle salope a prévu de visiter quelques château de la Loire.
Lou a réservé une belle chambre dans un Relais & Châteaux. À peine deux heures de route pour s’y rendre même si en chemin, elle a dû faire une pause pour se caresser. Le château est un bel édifice classique. Dès son arrivée dans la cour, au volant de son coupé, un serveur vient se mettre à sa disposition.
Il a le souffle coupé quand elle sort du véhicule. Tailleur gris, un chemisier blanc échancré sur une poitrine tentatrice et sous lequel Lou a fait abstraction d’un soutien-gorge. Elle aime sentir ses tétons frotter contre la soie. Une jupe fendue, dévoilant le haut de ses bas couture gris retenus par un porte-jarretelles rouge. Elle a paré ses pieds d’élégants escarpins rouges au vertigineux talon de quatorze centimètres. Et sous la fine maille du nylon, sa chaîne de cheville brille de mille éclats. Le jeune homme bredouille quelques mots puis s’empare de la valise.
À la réception, on lui précise que sa chambre se trouve à l’étage. Lou opte pour l’escalier et passe devant le garçon, afin de jouer un peu avec son excitation. Elle sait que son regard est dardé sur son cul moulé par la jupe et sur ses coutures.
La chambre est spacieuse et très confortable. Cela convient parfaitement à Lou. Après avoir fait le tour de la pièce, elle s’assoit sur le bord du lit. Le garçon attend une éventuelle doléance. Il se tient bien droit, les mains dans le dos. Impossible pour lui de cacher son érection.
– Je vois que vous êtes mal en point. Approchez-vous.
Le serveur n’hésite pas et sort sa queue. Il bande fermement. Lou s’empare de sa bite et commence à le branler doucement puis, peu à peu, accélère le rythme. Elle commence par lécher le méat, s’applique sur le gland avant de se consacrer aux couilles lourdes. Lou lèche avec avidité. La belle bourgeoise reprend son souffle avant de gober la queue en intégralité. Son menton vient buter contre les testicules. Lou est heureuse : la gorge profonde est une de ses passions. Plus elle bave, plus sa salive se fait conséquente, plus sa chatte s’inonde. Sa cyprine dégouline, un torrent sans fin.
Lou pompe violemment, des va-et-vient aux bruits de succion qui résonnent dans la chambre. Sa salive se répand sur son chemisier, sur sa jupe, sur la moquette épaisse. Face à un tel traitement, l’homme ne peut pas résister. Il se vide au fond de la gorge de la garce. De longs jets de foutre brûlant. Lou n’en perd pas une goutte. Le serveur se rhabille, plus que satisfait de son pourboire.
Lou a passé son matinée à rêver de grosses queues au fond de sa bouche de pute. Elle s’est caressée longuement, sa cyprine se répandant sur la couverture du lit. La belle bourgeoise en a profité pour se changer. Chemisier écarlate sous une veste noire, toujours pas de soutien-gorge mais un redresse-seins. Un collier de perles noires qui se perd entre les seins généreux. Une jupe noire très moulante. Noirs eux aussi, son porte-jarretelles en dentelle ouvragée et ses bas couture Cervin. Un joli rosebud chromé. Des escarpins noirs, vernis et aux talons aiguilles de quatorze centimètres. Avec une telle hauteur, la démarche pourrait être malaisée mais, bien au contraire, cela fait encore plus chalouper son cul. Lou, tout en maîtrise dans ses chaussures de putain, a rehaussé son regard charbonneux d’une nouvelle teinte sombre et peint ses ongles longs d’un vernis rouge sang. Satisfaite de sa tenue, elle est allée déjeuner sous le regard concupiscent des serveurs. Ils se sont presque battus pour s’occuper de sa table. Lou a souri de l’effet qu’elle produisait.
Aussitôt le café avalé, elle a rejoint sa voiture et embrayé en direction d’un des nombreux châteaux qui parsèment les rives de la Loire. Dans la cour du monument, après avoir réglé son ticket d’entrée, elle se joint à un groupe prêt à faire la visite.
Galeries, chambres, salle à manger, les talons aiguilles de Lou claquent sur le parquet, faisant se retourner les hommes présents dans le groupe. Trois d’entre eux s’attardent sur sa tenue. Dans leur conversation à voix basse, elle discerne deux mots : « pute » et « salope ». Deux termes qu’elle apprécie particulièrement.
La visite se poursuit tranquillement mais, petit à petit, sentant sa chatte se remplir de cyprine, Lou ralentit l’allure. Les trois hommes du groupe font de même. La pièce dans laquelle se tient le groupe, une chambre avec un lit à baldaquins et un fauteuil Voltaire, est située un peu à l’écart du circuit principal de visite.
Une première main vient se poser sur ses fesses, en flatte la rotondité, apprécie le contact électrisant de la jarretelle à travers le tissu fin de la jupe. Une autre main se dirige vers son chemisier, joue quelques instants avec le collier de perles de la belle salope avant d’agacer les tétons dressés. Un troisième main descend vers ses escarpins, joue avec la chaîne de cheville à travers le fin nylon, remonte le long de la couture avant de passer sous la jupe.
Lou ne peut retenir un gémissement. Son jus s’évade de sa chatte. Elle sent qu’il coule entre ses cuisses pleines. La belle salope se cambre un peu plus afin de permettre aux mains affamées de remonter sa jupe. La manœuvre est assez difficile tant le fin tissu colle à sa peau chaude. Après plusieurs secondes à se tortiller pendant qu’on continue de jouer avec ses seins, ses fesses sont enfin libérées.
– Mon Dieu ! Quel cul ! fait l’un des hommes.
Simultanément, les trois mecs sortent leur queue. Ils sont très bien dotés par la nature. Lou passe une langue mutine sur ses lèvres gourmandes. Elle veut sentir et avaler ces grosses bites jusqu’au plus profond de sa gorge. Elle s’accroupit et commence à branler les chibres bien tendus. Ses bas couture, que le porte-jarretelles peine à retenir, commencent déjà à faire des plis aux chevilles et aux genoux.
Lou pompe la première queue avec une avidité folle pendant qu’elle branle les deux autres. Sa salive se répand abondamment sur son chemisier ouvert sur ses seins, sur ses bas et sur le parquet séculaire. La garce n’a jamais sucé autrement. Comme une pute de luxe.
Elle avale les autres queues avec la même énergie. Des pipes extrêmement baveuses. Plus il y a de salive, plus elle mouille. Les verges fermes s’enfoncent au fond de sa gorge en des va-et-vient réguliers. De temps à autre, Lou s’accorde une petite pause, le temps de reprendre son souffle. Puis elle retourne gober les queues avec une énergie constante. Les couilles pleines cognent contre son menton plein de bave. Son chemisier, ses seins offerts aux doigts habiles sont pleinement imbibés de sa salive. Pendant ce temps, on continue de jouer avec son collier de perles et ses tétons. Ceux-ci sont désormais bien dressés. Le jus de sa chatte continue de couler à grands traits jusque sur le parquet.
Ravie de ce traitement, Lou se relève, ajuste un peu ses bas mais pas trop et s’installe sur le fauteuil Voltaire, les cuisses en appui sur les accoudoirs. La vue est magnifique. Chemisier complètement ouvert, les seins dardés, sa corolle rasée pleine de cyprine offerte aux regards concupiscents, ses bas couture et ses escarpins pour rehausser le tout, Lou trône telle une reine de la luxure.
Les hommes s’autorisent quelques instants pour l’admirer puis se rapprochent d’elle. La belle salope les reprend à nouveau en bouche. Une fellation intense, fiévreuse. Deux queues en alternance pendant que le troisième larron s’emploie à lui bouffer sa chatte enflammée. Son jus ne cesse de dégouliner, la source est loin d’être tarie. Son chemisier est inondé d’une salive épaisse.
Aussi, Lou retire le vêtement. La voilà avec son redresse-seins, son porte-jarretelles, ses bas couture, ses escarpins et sa chaîne de cheville. Une vraie pute bourgeoise. Elle a toujours envie de bites mais dans ses autres orifices. La belle salope prend place sur le lit à baldaquins. Tant pis si le mobilier a appartenu à une reine de la Renaissance.
Lou est à quatre pattes, cul tendu, dilaté, bien trempé, prêt à subir les assauts des queues impérieuses. Une première bite se positionne juste à l’entrée de son anus et s’y aventure sans forcer. Les deux autres chibres continuent de pilonner sa bouche de garce. Toujours plus de salive, la bave qui coule comme son jus de chatte. Derrière elle, l’homme s’agrippe à ses hanches et à son porte-jarretelles. Il l’encule sans ménagement, s’enfonçant au plus profond de son anus, arrachant des cris de plaisir à Lou. La belle garce continue de sucer avec un très grand appétit.
Avec elle, c’est simple, il lui faut au moins une bite par jour, au minimum une dose quotidienne de sperme. Lou est une droguée du sexe.
Elle profite d’une légère accalmie pour changer de position. Elle se met sur le dos, la tête légèrement dans le vide, les cuisses bien relevées. Ainsi, celui qui l’enculait va pouvoir baiser sa bouche pendant que les deux autres vont défoncer sa chatte à tour de rôle. La salive de Lou se mélange désormais à son maquillage de putain pendant que sa corolle est sévèrement pénétrée par les deux queues impérieuses. Un ramonage en règle. La belle salope est secouée, ballottée dans tous les sens, pour son plus grand bonheur. Être prise ainsi, comme la dernière des putes, est sa raison de vivre.
Le visage inondé par sa propre bave, Lou se retourne, présente à nouveau son cul. Elle invite un des hommes à prendre place sur le lit puis elle s’empale sur sa queue tendue. Un second mâle s’installe derrière ses fesses. Le troisième vient enfoncer sa bite dans la gorge de Lou. La pute bourgeoise n’est toujours pas rassasiée.
C’est une nouvelle sarabande qui démarre. Tous ses orifices sont investis sans le moindre ménagement. Couilles pleines contre sa chatte. Couilles pleines contre son menton. Lou est transpercée de bonheur et hurle son plaisir. Ses gémissements, qui se mélangent à ses bruits de succion, résonnent jusque dans le couloir. De qui attirer l’attention du vigile. Celui-ci s’avance dans la chambre et, oubliant complètement l’objet de sa mission, sort sa queue déjà raide et l’enfonce dans la bouche de Lou, jusque dans sa gorge. Quand il retire sa bite humide, la belle salope relâche au passage un énorme filet de bave qui s’abat violemment sur le parquet.
On pourrait croire que la pute des beaux quartiers en a assez. Lou, pourtant, change de place. Elle quitte le lit et, tortillant toujours plus des fesses, sans chercher à remonter ses bas plissés, s’installe à quatre pattes à même le parquet, le cul tendu au maximum, l’anus totalement ouvert et trempé. Elle en profite pour retirer ses escarpins vernis et les place juste devant elles. Lou veut leur sperme dans ses chaussures.
Le gardien est le premier à avoir l’honneur de prendre Lou ainsi. La salope gémit encore plus, frappe le sol de sa main aux ongles vernis.
– Baise-moi plus fort, mon salaud ! Va au fond de mon cul ! Je suis ta pute !
Galvanisé par les encouragements de Lou, le vigile remet du cœur à l’ouvrage et pénètre plus profondément l’anus offert. De l’autre côté, les trois hommes, à tour de rôle, s’emploient à remplir la bouche de Lou. La belle salope, dont la cyprine coule abondamment sur le parquet, multiplie les gorges profondes.
Après avoir bien sodomisé Lou, le vigile se retire, saisit un escarpin et y libère sa semence. Un jet épais, gluant qui recouvre une bonne partie de la semelle intérieure. Pendant ce temps, une autre bite a pris la place du gardien dans l’anus de Lou. Un membre tout aussi conséquent qui lui pilonne le cul. Lui aussi va vider son sperme dans l’escarpin.
Les deux hommes restants appliquent le même principe. Une sodomie bien rythmée suivie d’une éjaculation puissante, épaisse dans les chaussures de Lou.
Pantelante mais ravie, la belle salope contemple ses escarpins remplis de foutre. Plus que satisfaite, elle se relève et enfile directement les chaussures. Sentir le sperme juste sur la plante de ses pieds lui provoque de nouvelles sensations. Les hommes la remercient puis s’en vont pendant qu’elle se rhabille.
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